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Disparition d’Émile : un “corps sans vie” retrouvé, ce drame qui ressurgit
@Capture d'écran BFM TV
Émile, deux ans et demi, est toujours recherché par les enquêteurs, après sa disparition du Haut-Vernet, le 8 juillet dernier. Des auditions et nouvelles fouilles ont eu lieu. Les investigations pourraient bien mener à un autre drame qui a touché la famille de l'enfant en 2019.
Et si les deux enquêtes étaient liées ? Depuis le 8 juillet dernier, le petit Émile, âgé de deux ans, est toujours recherché. Au moment de sa disparition, il était sous la surveillance d'une partie de sa famille, au Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Une information judiciaire, avec deux juges d'instruction co-saisis, a été ouverte le 18 juillet dernier. Quatre ans plus tôt, dans la nuit du 22 au 23 mars 2019, un autre drame avait touché les proches d'Émile. Comme le rappelle Le Parisien, ce jeudi 3 août, une maison appartement à la famille maternelle de l’enfant, plus précisément à l'un de ses arrière-grands-pères, avait été endommagée par un incendie.
Cette nuit-là, quatre maisons au total avaient brûlé dans le hameau du Boullard, à Beaujeu, à seulement une dizaine de kilomètres de la commune du Vernet. Au moment des faits, D'Ici Radio, média local implanté dans les Alpes du Sud, avait notifié que le "climat est particulièrement pesant" sur place, avec des rivalités et tensions ancrées dans le village de 150 habitants. La radio avait également indiqué qu'un an auparavant, "le corps sans vie d'un homme qui vivait justement dans l'une des maisons détruites", avait été retrouvé par les autorités.
Une idéologie politique au cœur des incendies ?
En 2019, après l'incendie de plusieurs maisons dans ce hameau composé de six habitations, la thèse de l’intention criminelle a pris le dessus sur celle de l'accident. Plusieurs départs de feu distincts ont été observés par les enquêteurs. Mais, aujourd'hui, les investigations n'ont pas avancé et le hameau sonne désormais bien vide, ont observé nos confrères du Parisien. Le motif lié à des idées politiques défendues proches de l'extrême droite résonne comme une possible explication à ces différents incendies.
De là à refermer la porte d'un possible lien avec la disparition d'Émile ? "C’est une piste qui existe, a indiqué une source judiciaire auprès du Parisien. Elle n’est ni privilégiée ni exclue par les enquêteurs à ce stade. Mais forcément, le fait que cette famille semble avoir été visée par des incendies criminels oblige à s’y intéresser".
Crédits photos : Capture d'écran BFM TV
Disparition d’Émile : cette caméra de surveillance qui fait jaser
@Capture d'écran / TF1
Cela fait bientôt un mois qu’Émile, deux ans et demi, demeure introuvable. Entre accident et acte criminel, les enquêteurs étudient plusieurs pistes possibles. Un détail a d’ailleurs attiré leur attention : une caméra de surveillance retirée peu de temps avant sa disparition, selon les informations du Parisien.
Le 8 juillet dernier, Émile S. se réveille de sa sieste dans la maison de ses grands-parents maternels au Haut-Vernet, un hameau des Alpes-de-Haute-Provence. Il échappe à la surveillance de ceux-ci, dévale sur la place du village où il est aperçu par deux voisins à 17h15 et se volatilise. Depuis, aucune trace du petit garçon âgé de deux ans et demi. Les enquêteurs se démènent depuis 27 jours pour le retrouver, étudiant plusieurs pistes possibles, entre simple accident et acte criminel. Dans une enquête publiée ce jeudi 3 août, Le Parisien a fait ressurgir un sombre fait divers concernant la famille du garçonnet, datant de 2019. Un détail de cette histoire a particulièrement interloqué les gendarmes.
Dans leur reportage, nos confrères expliquent qu’avant de s’installer au Haut-Vernet, les arrière-grands-parents d’Émile auraient vécu dans le hameau du Boullard, à quelques kilomètres. Dans la nuit du 22 au 23 mars 2019, leur maison ainsi que deux autres résidences prennent subitement feu. Ayant retrouvé "plusieurs systèmes de mise à feu" au milieu des ruines, les gendarmes concluent qu’il s’agit d’incendies volontaires, sans toutefois parvenir à élucider l’affaire. La famille déménage et le hameau est peu à peu déserté de ses habitants. Les aïeux d’Émile entreprennent alors des travaux de rénovation de leur demeure. "Une caméra est placée au sommet de la petite chapelle, installée pour soi-disant contrôler l’avancée des travaux", indique le quotidien.
Ce dispositif est à l’origine de tensions au Boullard. La caméra prend en photo plusieurs maisons autour de celle des arrière-grands-parents d’Émile, ainsi que la voie publique, ce qui agace les autres habitants du hameau. "Deux ans durant à raison d’une image par minute, elle aurait capturé la quiétude de l’endroit". Fait interpellant : "Il y a un peu plus d’un mois, la caméra aurait été retirée." Est-ce un hasard si ce dispositif a été décroché juste avant la disparition d’Émile ? Pour l’heure, aucun élément ne permet de répondre à cette question. Mais cette étrange histoire d’incendie volontaire reste une piste intrigante. "Elle n’est ni privilégiée ni exclue par les enquêteurs à ce stade. Mais forcément, le fait que cette famille semble avoir été visée par des incendies criminels oblige à s’y intéresser", a fait savoir une source judiciaire.
La disparition d’Émile liée à une vendetta ?
Une hypothèse pourrait expliquer l’origine du feu criminel qui a ravagé la maison des arrière-grands-parents d’Émile. Son aïeul aurait acheté la demeure avec plusieurs amis dans les années 1960, créant ainsi un hameau dont les habitants soutenaient des idées "très à droite", note le journal. Tous étaient en effet partisans des thèses de Jean Raspail, un auteur et explorateur ayant dénoncé dans ses écrits une "submersion de l’Occident par une vague d’immigration massive". L'autre piste pour expliquer ces incendies serait celle de conflits au sein même du village. Quatre ans après l’incendie et son déménagement, la famille d’Émile est toujours officiellement "propriétaire" du Boullard. La disparition du petit garçon pourrait-elle donc être un acte de vengeance ? "Je ne peux m’empêcher de voir un lien entre ces incendies de 2019 et ce terrible drame qui les touche aujourd’hui", a conclu la source.
Crédits photos : Capture d'écran / TF1
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