Nous venons d’aborder le cas de François Vérove, né sous le signe du Verseau, le 22 janvier 1962 à Gravelines.
Tout comme le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, né le 7 février 1958 à Strasbourg, c’est un exemple tout à fait représentatif de la criminalité du Verseau.
Bien entendu, tous les individus nés sous le signe du Verseau ne sont pas pour autant des criminels.
Cependant, on en retrouve beaucoup parmi les pires.
Leurs caractéristiques communes relèvent de la personnalité particulière du Verseau, signe dont les deux planètes quelque peu antagonistes Uranus et Saturne ont la maîtrise.
Saturne n’est ni drôle ni jeune ni particulièrement affable, il est sérieux comme un pape et très sévère, austère, réducteur, contraignant, c’est la police ou le conservatisme des vieux psychorigides et de la droite la plus dure, ce sont aussi l’effort physique ou intellectuel à fournir dans le travail, les mathématiques, la mélancolie, la misanthropie, etc…
A l’inverse, Uranus s’affranchit de toute limite, tout carcan, c’est l’insolent Prométhée ayant volé par ruse le feu sacré des Dieux… ou François Vérove et d’autres criminels s’autorisant eux-mêmes à ôter la vie de qui ils veulent quand ils veulent comme ils veulent.
Le Verseau, contestataire né, anti-conformiste, et en même temps conservateur à l’extrême, ne lâchant jamais rien, d’une grande rigidité, préférant rompre que plier ou céder, brutal, violent, radical, foudroyant ou sidérant toutes ses victimes, est ainsi le signe de la schizophrénie, de la paranoïa, de toutes les maladies mentales, tous les dérèglements, toutes les démesures, toutes les libertés et révolutions – il se prend pour Dieu lui-même et vous instaure sa dictature dans le sang et la fureur.
C’est également le signe de la fameuse et fumeuse « indépendance » du juge d’instruction français, lui aussi bien trop souvent un dangereux malade mental en roue libre.
La Loi, c’est lui, le hors-la-loi par excellence.
Individualiste à l’extrême, totalement inhumain, sans aucune sensibilité, à l’image de Prométhée ayant volé le feu des Dieux pour le rendre aux humains, paradoxalement, il se signale aussi comme un champion de l’amitié et de l’humanité – il va par exemple militer contre la peine de mort ou toute peine d’emprisonnement en oubliant le sort des victimes de ses chers protégés ou complices du crime organisé. Bien évidemment, il n’y a pas là la moindre générosité de sa part, il est sec, très sec, calculateur et très intéressé, rusé.
Tout en étant singulier, marginal, il est donc néanmoins très entouré, intégré dans un grand cercle amical, comme un syndicat, une confrérie quelconque, une secte, un parti politique ou un réseau criminel.
Ce n’est pas un loup solitaire, il chasse plus volontiers en meute, étant toujours à la recherche d’une certaine respectabilité, de l’accord du nombre, même dans le crime, c’est-à-dire qu’il va toujours chercher à imposer toutes ses déviances comme nouvelles normalités.
Autre exemple notable : Nordahl Lelandais, né le 18 février 1983 à Boulogne-Billancourt.
Bien sûr, comme déjà dit, tous les individus nés sous le signe du Verseau n’en sont pas là. Lorsqu’ils sont dotés d’une intelligence normale, ce qui n’a jamais été le cas des criminels précités, ils s’orientent généralement avec succès vers les sciences et techniques, font preuve d’ingéniosité, d’originalité, de créativité, innovent, au lieu d’être simplement d’excentriques destructeurs.
Pour être un inventeur ou un créateur digne de tous les honneurs, un « génie », littéraire ou autre, il ne suffit pas d’être capable d’inventer absolument n’importe quoi ou les pires saloperies pour nuire à autrui, et tout spécialement à ceux qui semblent promis à un très bel avenir de véritables ingénieurs ou créateurs.
Là, je dois dire que je suis quand même assez frappée par le profil de Cécile Bloch et son assassinat.
L’assassin n’avait pas repéré juste sa future victime, mais toute sa famille avec elle, et il s’est plu à narguer le père, la mère et le frère aîné (déjà engagé dans des études scientifiques de haut niveau) avant de fondre sur sa proie et la torturer à mort. Il me semble évident qu’il a voulu détruire toute une famille, qui ne le connaissait pas, et qu’il ne connaissait donc pas lui-même, et n’avait peut-être même pas repérée lui-même. Les précédentes agressions du mois d’avril 1986 peuvent être des essais, afin de s’assurer de ne pas rater la cible principale, lorsque son heure sera venue. A mon avis, Cécile Bloch n’a pas commis l’imprudence de prendre l’ascenseur avec un inconnu, il devait l’attendre dans le noir sur son palier et ne lui a pas laissé le choix. Pour cette fois-là, tout avait été bien calculé. Lui le cancre n’ayant probablement pu faire ce qu’il voulait parce qu’il était trop mauvais en tout ou presque a tout spécialement visé, peut-être aiguillé en cela par un tiers, une famille dont les enfants, contrairement à lui, ne manquaient pas d’intelligence.
Cela ressemble beaucoup à ce que je subis moi-même depuis des décennies. Or, j’ai été repérée par des individus qui haïssaient mon père (non pas comme « truand bien connu du Milieu brestois », comme ils le diront plus tard mensongèrement pour me calomnier, mais au contraire comme un genre de chevalier blanc dérangeant très sérieusement tous les truands de la région), très précisément à l’âge de onze ans, parce qu’en classe de 6ème où nous commencions à être notés, je m’avérais excellente élève (ce n’est pas mon mot mais celui le plus fréquemment utilisé par mes professeurs pour me qualifier), au collège comme à l’Ecole de Musique où j’obtenais aussi des mentions très bien en solfège et en violon.
Qui plus est, la folledingue qui depuis toujours organise, initie ou ordonne toutes les violences dont mes proches et moi-même sommes victimes, à savoir la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, a toujours obtenu tout ce qu’elle voulait de ses deux grandes familles d’appartenance, la politique et la gendarmerie.
Et l’assassinat très particulier de Cécile Bloch, qui manifestement n’était pas destiné à passer inaperçu, a effectivement connu un très fort retentissement médiatique.
S’agit-il vraiment de coïncidences, ou non ?
En 1986, il y avait déjà beaucoup de monde à me haïr, mais uniquement par jalousie. Je n’avais pas encore eu le temps de déranger qui que ce soit par mon travail, sauf, bien sûr, durant ma scolarité et mes études, depuis la classe de 6ème. Il y avait donc la folledingue Josette Brenterch et tout son entourage politique, amical et familial, dont le futur juge Raymond André, qui haïssait déjà toute ma famille dans les années 1980, ce que je n’apprendrai que de manière tardive (nous ne le connaissions pas). Arrivé au TGI de Brest en 1989 comme juge d’instruction et anciennement commissaire de police, ce type est un vrai dingue anormalement intéressé par la gent féminine.
Où était-il en 1986 ? N’aurait-il pas débuté sa carrière avec un poste à Paris ?
Le Verseau est parfaitement capable de commettre des crimes pour gagner l’amitié d’un individu ou d’un groupe d’individus, lorsqu’il estime qu’elle va servir ses ambitions.
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