Ben… c’est de la politique, c’est tout.
Cela s’apprend notamment dans les fameuses écoles de cul dites Sciences Po, dont celle de Bordeaux, très réputée en la matière.
Pour ceux qui n’ont pas les moyens d’en payer les frais de scolarité ou n’ont pas de temps à perdre dans ce type d’établissement, il y a aussi les clubs échangistes, c’est aussi bon (demandez à Jean-Marc Donnadieu, Richard Ferrand, Eric Zemmour, etc… ils vous le confirmeront).
Ce que je disais le 19 mai dernier concernant le choix d’Elisabeth Borne comme première ministre se confirme donc déjà. Son directeur de cabinet lui ayant été imposé, tout le reste aussi très probablement, et elle n’est là que pour servir de pot de fleurs bouclier pour les machistes qui nous gouvernent.
A lire ou à relire :
En effet, quoi de mieux qu’une femme ingénieure pour incarner tout à la fois la femme sans cervelle et le meilleur punching ball qui soit ?
Nous traiter, nous, femmes ingénieures, comme de véritables débiles mentales ou des folles nécessitant tutelle, tout en nous maltraitant et nous exposant aux pires violences, et tout spécialement aux retours de flammes qui devraient leur revenir, pour tous ces cochons, c’est éminemment jouissif.
Rappelons par exemple que des prostituées comme Céline Verdier, devenue juge d’instruction après être passée par l’école de cul de Bordeaux, bénéficient à l’inverse d’une liberté totale et d’énormes pouvoirs là où elles exercent, tout en y étant extrêmement bien traitées et considérées – surtout quand elles font assassiner des ingénieurs, d’ailleurs… – mais elles ont d’abord fait la preuve de leur nullité en tout sauf en coucheries, ce qui en fait paraît-il de « vraies » femmes, pas des débiles ni des malades mentales.
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