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mercredi 27 février 2019

Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l'Evêque et Jean-Marc Donnadieu de Béziers : deux prédateurs


Ceux qui les lisent régulièrement le savent depuis longtemps.

Ils viennent encore de le rappeler dans des écrits publics l’un et l’autre, le premier dans son billet de blog du 22 février 2019, où il dit bien « dévorer » ceux qu’il estime nés avec une cuillère en argent dans la bouche, les « bourgeois » dont je ferais partie, tout comme les journalistes qui soi-disant le « méprisent » parce qu’il serait différent, « bourgeois » que par ailleurs il a toujours dit haïr et attaquer depuis sa plus tendre enfance, et le second dans un message d’hier sur sa page Facebook, message d’ailleurs devenu répétitif ces derniers mois : il mange les oiseaux, particulièrement les coucous, comme il se plaisait déjà à le répéter dans ses commentaires sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog en 2010, 2011, 2012 et 2013 – il n’a en fait pas cessé de me répéter qu’il allait me faire « manger » ou me tuer.

Puisque l’un et l’autre ont toujours mensongèrement prétendu ne pas se connaître avant d’être soi-disant devenus l’un et l’autre de mes « victimes » (pervers narcissiques l’un et l’autre, ils inversent sciemment toutes les situations), je recolle ci-dessous une copie de mon article du 26 mai 2010 par lequel j’avais publié le message de menaces qu’il venait de m’adresser alors que j’avais prévenu mes lecteurs que je rendrais systématiquement publiques toutes les exactions de ce type :


2010-05-26 De quoi se mêle Jean-Marc Donnadieu  - Un petit coucou


Cliquer sur l’image pour l’agrandir.

Il convient d’y relever que dans le texte de dénonciation – calomnieuse – qu’il me dit avoir envoyé à mon hébergeur de blog, il écrit par deux fois, non pas qu’il aurait découvert mon existence en allant quotidiennement sur Le Post, mais que je passerais mon temps à poster sur ce site et ailleurs des liens menant vers mon blog, et qu’il passerait son temps à les signaler à la modération du Post et ailleurs pour en obtenir la suppression, tout comme il entend aussi voir supprimer mon blog après sa dénonciation calomnieuse à mon hébergeur de blog, comme il l’expliquera lui-même en fin d’année 2011 dans un long texte publié alors sur son propre site.

De fait, je pourrai vérifier par la suite qu’il m’a bien dénoncée aussi sur d’autres sites afin d’y obtenir la suppression de mes commentaires. Il surveille donc l’intégralité de mes productions et traque absolument partout tout commentaire contenant un lien menant vers mon blog afin d’exiger sa suppression, son but étant de réduire au maximum ma visibilité sur Internet en attendant que mon blog soit supprimé.

En vérité, il a été recruté à cet effet par Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui a aussi convaincu au moins un autre internaute de faire le même travail et de me harceler de même sur mon blog. Il s’agit de Joël Cooche, qui lui cessera assez rapidement ce petit jeu, après s’être rendu compte avoir été manipulé, et pour quelle entreprise, comme il reviendra en témoigner de lui-même sur mon blog à plusieurs reprises, par exemple dans les commentaires sur cet article du 2 juin 2010 (commentaires N°6 et N°7) :


2010-06-02 A tous ceux qui s'obstinent à m'injurier, me diffamer, me calomnier - Un petit coucou


Je rappelle que le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses complices les plus indéfectibles me pirataient depuis mes premières interventions anonymes sur le site Rue89 en 2008, et que cela a toujours continué en dépit de plaintes étayées de nombreux éléments de preuve à cet égard, dont le pièce suivante, contenant des échanges de courriers électroniques entre une douzaine de mes harceleurs, parmi lesquels le susdénommé Pascal Edouard Cyprien Luraghi, son épouse Annie et leur complice Jean-Marc Donnadieu de Béziers (Nemrod), devenu hyperactif à compter du printemps 2010 dans la perspective de se faire de l’argent avec les escroqueries au jugement projetées par ses commanditaires dès 2009 :


Pirates


Cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte.

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