A qui la faute ?
Le malade mental au clavier – son « arme » – n’est pas près de désarmer et les magistrats censés l’arrêter ne semblent eux non plus toujours pas prêts à le faire.
Dès le 19 juin 2010, lorsque le mythomane révélait mon identité au public après l’avoir obtenue à l’aide de piratage informatiques et l’associait à l’attentat de Karachi du 8 mai 2002 ainsi qu’à une montagne d’inventions calomnieuses à mon encontre, bien des magistrats savaient ce qui allait en découler s’ils n’intervenaient pas rapidement pour faire cesser le trouble à l’ordre public.
Admettons qu’ils n’aient alors rien vu ou n’aient pas été prévenus tout de suite, ce que je ne crois pas une seule seconde. Ce n’est plus le cas lorsque je commence à porter plainte. Or, que font-ils alors ? Ils ne trouvent rien de mieux à faire que d’armer toujours plus le malade mental au clavier…
Ils ont bien voulu et favorisé au maximum sinon commandité ou organisé eux-mêmes l’intégralité des attentats terroristes qui ont été commis sur le sol français à compter de mars 2012.
Ces magistrats ne sont pas des inconnus, ils ont des noms.
On sait qui ils sont, où ils logent ou sévissent, et ce qui les motive : ultra CORROMPUS, ASSASSINS multi-récidivistes, ils ont opté pour la stratégie du chaos afin d’être en mesure de faire disparaître toutes les traces de leurs précédents crimes.
Seulement voilà, leur calcul est erroné, ils ne parviendront jamais qu’à faire assassiner toujours plus d’innocents en pure perte.
Que font leurs collègues ?
Qu’attendent-ils encore pour prendre les mesures adéquates ?
La magistrature française nécessite d’être définitivement purgée de ces criminels.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/01/23/01016-20180123ARTFIG00078-selon-francois-molins-la-menace-terroriste-va-rester-elevee-pendant-plusieurs-annees.php
VIDÉO – Interrogé par RTL, le procureur de Paris alerte sur la potentielle dangerosité des femmes et des mineurs. Il estime par ailleurs que les autorités locales sont «légitimes» pour juger les prisonniers français arrêtés sur les zones de conflit.
http://www.europe1.fr/societe/il-faut-eviter-que-les-djihadistes-detenus-en-irak-rentrent-en-france-selon-manuel-valls-3553898
Le malade mental au clavier – son « arme » – n’est pas près de désarmer et les magistrats censés l’arrêter ne semblent eux non plus toujours pas prêts à le faire.
Dès le 19 juin 2010, lorsque le mythomane révélait mon identité au public après l’avoir obtenue à l’aide de piratage informatiques et l’associait à l’attentat de Karachi du 8 mai 2002 ainsi qu’à une montagne d’inventions calomnieuses à mon encontre, bien des magistrats savaient ce qui allait en découler s’ils n’intervenaient pas rapidement pour faire cesser le trouble à l’ordre public.
Admettons qu’ils n’aient alors rien vu ou n’aient pas été prévenus tout de suite, ce que je ne crois pas une seule seconde. Ce n’est plus le cas lorsque je commence à porter plainte. Or, que font-ils alors ? Ils ne trouvent rien de mieux à faire que d’armer toujours plus le malade mental au clavier…
Ils ont bien voulu et favorisé au maximum sinon commandité ou organisé eux-mêmes l’intégralité des attentats terroristes qui ont été commis sur le sol français à compter de mars 2012.
Ces magistrats ne sont pas des inconnus, ils ont des noms.
On sait qui ils sont, où ils logent ou sévissent, et ce qui les motive : ultra CORROMPUS, ASSASSINS multi-récidivistes, ils ont opté pour la stratégie du chaos afin d’être en mesure de faire disparaître toutes les traces de leurs précédents crimes.
Seulement voilà, leur calcul est erroné, ils ne parviendront jamais qu’à faire assassiner toujours plus d’innocents en pure perte.
Que font leurs collègues ?
Qu’attendent-ils encore pour prendre les mesures adéquates ?
La magistrature française nécessite d’être définitivement purgée de ces criminels.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/01/23/01016-20180123ARTFIG00078-selon-francois-molins-la-menace-terroriste-va-rester-elevee-pendant-plusieurs-annees.php
Selon François Molins, la menace terroriste va rester élevée pendant plusieurs années
- Par Le figaro.fr
- Mis à jour le 23/01/2018 à 11:05
- Publié le 23/01/2018 à 09:57
VIDÉO – Interrogé par RTL, le procureur de Paris alerte sur la potentielle dangerosité des femmes et des mineurs. Il estime par ailleurs que les autorités locales sont «légitimes» pour juger les prisonniers français arrêtés sur les zones de conflit.
Le procureur de Paris, François Molins, est revenu mardi matin sur RTL sur plusieurs sujets liés à la menace terroriste et au conflit irako-syrien. Lefigaro.fr fait le point sur les principales déclarations de son intervention.
Selon François Molins, l’effondrement militaire du Califat n’est pas synonyme d’une baisse de la menace terroriste en France. «On avait une grosse menace exogène venant de l’étranger [au moment de l'expansion de Daech, mais aujourd'hui] les filières venant d’Irak et de Syrie se sont taries.» De la même manière, il n’y a presque plus de candidat au départ vers les zones de combats.
Pourtant autant, «Daech continue de vivre dans d’autres zones géographiques que le Moyen-Orient, en Afrique notamment» et continue à appeler à commettre des attentats en France. La menace est donc «plus diffuse, plus difficile à cerner car elle vient de chez nous, de la part de gens moins connus des services de renseignement. Cette menace risque de durer plusieurs années.»
François Molins avertit que les femmes et les mineurs peuvent représenter une menace dont on ne se doutait pas jusqu’à maintenant. «On a longtemps cru que les femmes étaient cantonnées par Daech à des tâches ménagères, explique-t-il. Or, elles ont été impliquées dans des opérations et ont appris à manipuler les armes. C’est une inflexion qu’a connu Deach cet été: femmes et enfants ont été appelé au djihad armé. Il n’est pas exclu qu’il y ait dans l’avenir des femmes et des mineurs impliqués dans des activités combattantes. Cela traduit un délitement et la fin de l’histoire sur le plan militaire de cette organisation.»
C’est pour cela que le procureur de Paris appelle à «cesser l’angélisme» sur la question. En cas de retour d’un mineur, celui-ci est «judiciarisé» au-dessus de 13 ans. En-dessous, on est essentiellement dans des prises en charge d’ordre éducative. «Ces petits, qui ont vécu dans des conditions pas normales, qui ont pu être amenés à voir des décapitations, qui ont vu des armes tous les jours, qui ont grandi dans des valeurs antidémocratiques, anti-tout, sont peut-être des bombes à retardement et doivent être éduqués. C’est un véritable enjeu pour les années à venir.»
Concernant la question des djihadistes prisonniers en Irak et en Syrie, le procureur de Paris a affiché une position proche de celle du gouvernement français. Il a tenu à distinguer les deux pays. L’Irak, tout d’abord, où il existe «un gouvernement légitime pour mettre en œuvre les peines de sa législation», en jugeant l’individu par lui-même ou en le remettant à son pays d’origine, quand bien même ce pays applique la peine de mort.
La Syrie, ensuite. Ici la question est différente puisqu’il n’y a pas de relation diplomatique entre les deux pays. Il n’y a donc pas de convention d’extradition. Mais les organisations kurdes qui contrôlent une partie du nord du pays n’ont pas non-plus la légitimité étatique pour juger.
Faut-il pour autant les rapatrier? François Molins rappelle que ces les personnes prisonnières «ont commis des exactions contre des civils, rejoint une organisation qui a appelé au djihad armé contre la France et été arrêtés dans le cadre d’un conflit armé […] Il faut retourner la question. Si l’on avait des terroristes étrangers qui viendrait commettre des attentats sur notre sol, est-ce qu’on ne souhaiterait pas les juger? Si elles ont participé à une organisation terroriste, l’État, là-bas, n’est-il pas légitime pour les juger?» Le procureur a par ailleurs rappelé à quel point il était difficile d’évaluer le degré de sincérité des «revenants» qui affirment tous avoir perdu leurs illusions envers Daech et souhaiter rentrer «chez eux». À ce titre, le témoignage d’un détenu français aux mains des forces kurdes, dans un reportage diffusé dimanche soir par France 2 l’a «laissé très perplexe».
• Le niveau de la menace terroriste
Selon François Molins, l’effondrement militaire du Califat n’est pas synonyme d’une baisse de la menace terroriste en France. «On avait une grosse menace exogène venant de l’étranger [au moment de l'expansion de Daech, mais aujourd'hui] les filières venant d’Irak et de Syrie se sont taries.» De la même manière, il n’y a presque plus de candidat au départ vers les zones de combats.
Plus puissants que les Etats, plus riches que les banques, qui peut
arrêter les GAFA ? La Chine ? La régulation ? Ou peut-être les citoyens
eux-mêmes…
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Pourtant autant, «Daech continue de vivre dans d’autres zones géographiques que le Moyen-Orient, en Afrique notamment» et continue à appeler à commettre des attentats en France. La menace est donc «plus diffuse, plus difficile à cerner car elle vient de chez nous, de la part de gens moins connus des services de renseignement. Cette menace risque de durer plusieurs années.»
• La potentielle dangerosité des femmes et des mineurs
François Molins avertit que les femmes et les mineurs peuvent représenter une menace dont on ne se doutait pas jusqu’à maintenant. «On a longtemps cru que les femmes étaient cantonnées par Daech à des tâches ménagères, explique-t-il. Or, elles ont été impliquées dans des opérations et ont appris à manipuler les armes. C’est une inflexion qu’a connu Deach cet été: femmes et enfants ont été appelé au djihad armé. Il n’est pas exclu qu’il y ait dans l’avenir des femmes et des mineurs impliqués dans des activités combattantes. Cela traduit un délitement et la fin de l’histoire sur le plan militaire de cette organisation.»
C’est pour cela que le procureur de Paris appelle à «cesser l’angélisme» sur la question. En cas de retour d’un mineur, celui-ci est «judiciarisé» au-dessus de 13 ans. En-dessous, on est essentiellement dans des prises en charge d’ordre éducative. «Ces petits, qui ont vécu dans des conditions pas normales, qui ont pu être amenés à voir des décapitations, qui ont vu des armes tous les jours, qui ont grandi dans des valeurs antidémocratiques, anti-tout, sont peut-être des bombes à retardement et doivent être éduqués. C’est un véritable enjeu pour les années à venir.»
• La question des prisonniers français
Concernant la question des djihadistes prisonniers en Irak et en Syrie, le procureur de Paris a affiché une position proche de celle du gouvernement français. Il a tenu à distinguer les deux pays. L’Irak, tout d’abord, où il existe «un gouvernement légitime pour mettre en œuvre les peines de sa législation», en jugeant l’individu par lui-même ou en le remettant à son pays d’origine, quand bien même ce pays applique la peine de mort.
La Syrie, ensuite. Ici la question est différente puisqu’il n’y a pas de relation diplomatique entre les deux pays. Il n’y a donc pas de convention d’extradition. Mais les organisations kurdes qui contrôlent une partie du nord du pays n’ont pas non-plus la légitimité étatique pour juger.
Faut-il pour autant les rapatrier? François Molins rappelle que ces les personnes prisonnières «ont commis des exactions contre des civils, rejoint une organisation qui a appelé au djihad armé contre la France et été arrêtés dans le cadre d’un conflit armé […] Il faut retourner la question. Si l’on avait des terroristes étrangers qui viendrait commettre des attentats sur notre sol, est-ce qu’on ne souhaiterait pas les juger? Si elles ont participé à une organisation terroriste, l’État, là-bas, n’est-il pas légitime pour les juger?» Le procureur a par ailleurs rappelé à quel point il était difficile d’évaluer le degré de sincérité des «revenants» qui affirment tous avoir perdu leurs illusions envers Daech et souhaiter rentrer «chez eux». À ce titre, le témoignage d’un détenu français aux mains des forces kurdes, dans un reportage diffusé dimanche soir par France 2 l’a «laissé très perplexe».
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Le figaro.fr
http://www.europe1.fr/societe/il-faut-eviter-que-les-djihadistes-detenus-en-irak-rentrent-en-france-selon-manuel-valls-3553898
Il faut « éviter » que les djihadistes détenus en Irak rentrent en France, selon Manuel Valls
12h01, le 23 janvier 2018
L’ancien Premier ministre Manuel Valls estime que le retour en France des djihadistes détenus en Irak est à « éviter » tout en demandant aux autorités locales de ne pas appliquer la peine de mort pour ces Français.
Manuel Valls a appelé mardi à « éviter » que les djihadistes français détenus en Irak
« rentrent en France, hommes ou femmes, quelle que soit l’issue », même
si « on peut intervenir auprès des autorités irakiennes » pour que, le
cas échéant, la peine de mort « ne soit pas appliquée ».
« Une forme de déchéance de nationalité ». Pour l’ancien Premier ministre, ces djihadistes ne doivent pas être jugés en France, même s’ils risquent la peine de mort en Irak. « Nous devons éviter qu’ils rentrent en France, hommes ou femmes, quelle que soit l’issue », a-t-il affirmé sur BFMTV et RMC, ajoutant que « d’une certaine manière nous appliquons, sans le dire, une forme de déchéance de la nationalité ».
« Comme le terrorisme nous fait la guerre, là on est dans un moment particulier où je pense que nous devons être intransigeants, très clairs », a-t-il développé. « C’est difficile à assumer, mais il faut le faire. Il ne faut pas le faire de manière hypocrite, nous savons ce qui se passe en Irak, nous savons quelle est la justice irakienne ».
Demander de ne pas appliquer la peine de mort. « Je pense qu’on peut intervenir auprès des autorités irakiennes pour que cette peine de mort ne soit pas appliquée, mais c’est déjà extrêmement compliqué, c’est un pays souverain », a estimé le député (ex-PS devenu apparenté LREM) de l’Essonne. « Je reconnais qu’il y a une confrontation juridique, voire quasi philosophique, entre ce que représentent comme danger pour nous ces terroristes et la question de la peine de mort », a-t-il ajouté.
Les détenus radicalisés, de véritables « bombes à retardement ». Interrogé sur la situation dans les prisons, au 9ème jour du mouvement de blocage par les surveillants, déclenché par l’agression de gardiens par un détenu djihadiste, Manuel Valls a par ailleurs estimé que les détenus radicalisés représentaient « une véritable bombe à retardement ». On est passé de « 700 détenus considérés comme radicalisés » en 2015 à 1.500 début 2018, a-t-il souligné, « et on voit bien que ça va progresser ».
Privilégier « la prévention à l’égard des plus jeunes ». « Tous les spécialistes vous disent que ceux qui sont dans ce processus de radicalisation n’en sortiront pas », a-t-il affirmé, plaidant plutôt pour « la prévention de la radicalisation, notamment en milieu carcéral, à l’égard des plus jeunes ». « Il faut rendre au maximum hermétique le lien possible entre radicalisés et ceux qui ne le sont pas », a déclaré l’ex-Premier ministre qui croit « à des petites unités hermétiques, décentralisées, déconcentrées, spécialisées, avec des gardiens -ils le sont- formés ».
Un « besoin de reconnaissance » pour les surveillants. Manuel Valls a également estimé que les gardiens de prison « ont besoin de reconnaissance, d’empathie (…) ils ont évidemment aussi une attente en matière rémunération, de primes, de formation (…) ce travail doit être évidemment fait ». « Nous avons peut-être perdu, les uns et les autres, il faut le reconnaître, beaucoup de temps par rapport à une profession qui souffre (…) peut-être d’abord d’un manque de considération », a-t-il dit.
« Une forme de déchéance de nationalité ». Pour l’ancien Premier ministre, ces djihadistes ne doivent pas être jugés en France, même s’ils risquent la peine de mort en Irak. « Nous devons éviter qu’ils rentrent en France, hommes ou femmes, quelle que soit l’issue », a-t-il affirmé sur BFMTV et RMC, ajoutant que « d’une certaine manière nous appliquons, sans le dire, une forme de déchéance de la nationalité ».
« Comme le terrorisme nous fait la guerre, là on est dans un moment particulier où je pense que nous devons être intransigeants, très clairs », a-t-il développé. « C’est difficile à assumer, mais il faut le faire. Il ne faut pas le faire de manière hypocrite, nous savons ce qui se passe en Irak, nous savons quelle est la justice irakienne ».
Demander de ne pas appliquer la peine de mort. « Je pense qu’on peut intervenir auprès des autorités irakiennes pour que cette peine de mort ne soit pas appliquée, mais c’est déjà extrêmement compliqué, c’est un pays souverain », a estimé le député (ex-PS devenu apparenté LREM) de l’Essonne. « Je reconnais qu’il y a une confrontation juridique, voire quasi philosophique, entre ce que représentent comme danger pour nous ces terroristes et la question de la peine de mort », a-t-il ajouté.
Les détenus radicalisés, de véritables « bombes à retardement ». Interrogé sur la situation dans les prisons, au 9ème jour du mouvement de blocage par les surveillants, déclenché par l’agression de gardiens par un détenu djihadiste, Manuel Valls a par ailleurs estimé que les détenus radicalisés représentaient « une véritable bombe à retardement ». On est passé de « 700 détenus considérés comme radicalisés » en 2015 à 1.500 début 2018, a-t-il souligné, « et on voit bien que ça va progresser ».
Privilégier « la prévention à l’égard des plus jeunes ». « Tous les spécialistes vous disent que ceux qui sont dans ce processus de radicalisation n’en sortiront pas », a-t-il affirmé, plaidant plutôt pour « la prévention de la radicalisation, notamment en milieu carcéral, à l’égard des plus jeunes ». « Il faut rendre au maximum hermétique le lien possible entre radicalisés et ceux qui ne le sont pas », a déclaré l’ex-Premier ministre qui croit « à des petites unités hermétiques, décentralisées, déconcentrées, spécialisées, avec des gardiens -ils le sont- formés ».
Un « besoin de reconnaissance » pour les surveillants. Manuel Valls a également estimé que les gardiens de prison « ont besoin de reconnaissance, d’empathie (…) ils ont évidemment aussi une attente en matière rémunération, de primes, de formation (…) ce travail doit être évidemment fait ». « Nous avons peut-être perdu, les uns et les autres, il faut le reconnaître, beaucoup de temps par rapport à une profession qui souffre (…) peut-être d’abord d’un manque de considération », a-t-il dit.
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