Aucun droit pour les femmes : trop cool...
Les auteurs des faits se sont non seulement trouvés en service sur la même base de Colorado Springs, mais ont aussi loué leurs véhicules sur le même site.
Dès le 1er janvier, j'indiquais que le choix de La Nouvelle-Orléans, qui étonne autant que les profils des terroristes pour cette nouvelle série débutée en fait le 20 décembre en Allemagne, n'était pas antérieur au 25 décembre 2024.
Puis nous avons appris que l'auteur de l'explosion de Las Vegas avait quitté son domicile précisément ce 25 décembre 2024.
Cela fait déjà trois points communs entre les deux attaques du 1er janvier aux Etats-Unis.
Et pour ce qui est de l'Allemagne, rappelons que le 10e groupe des forces spéciales, basé à Colorado Springs, opère aussi sur la base américaine de Stuttgart, en Allemagne, un pays où la secte des "déconnologues" du malade mental, pédocriminel, cybercriminel, harceleur, calomniateur et terroriste "islamigré" Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui se prend pour Shiva sous sa forme la plus terrible, compte bien quelques adeptes.
Est-ce que par hasard une nouvelle procédure complètement folle n'aurait pas encore débuté contre moi ces derniers temps ?
Non, parce que, en général, c'est quand même bien ça qui déclenche les attentats.
Et depuis le temps que ça dure, le phénomène est archi connu.
Lire ou relire :
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Le 17 août 2023, un décret prévoyant l'exclusion de leur établissement scolaire des élèves harceleurs et non plus celle de leurs victimes jusque-là toujours obligées de changer d'école pour retrouver une certaine sérénité venait de tomber, avec entrée en vigueur dès le 18 août 2023, et la bataille entre le rappeur Booba et ses fans d'un côté et la papesse des influenceurs Magali Berdah de l'autre faisait rage, mais Cyprien Luraghi s'en moquait bien, car avec sa bande de cyberharceleurs dits "déconnologues", il a toujours fait bien mieux que le rappeur et ses affidés et s'apprêtait d'ailleurs à frapper de nouveau une ou plusieurs de ses victimes, comme toujours avec l'aide de son copain le diable, ayant cette fois pris l'apparence de Kaal Bhairav, puissant avatar de Shiva honoré notamment à Katmandou et à Dharan au Népal, comme à Varanasi en Inde (c'est le dieu des cannibales, dont le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi dit devoir se contenter à défaut de pouvoir célébrer les bacchanales de Dionysos comme elles l'étaient autrefois).
Lire ou relire :
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http://satanistique.blogspot.com/2025/01/kali-moitie-de-shiva-deite-des-thugs.html
http://satanistique.blogspot.com/2025/01/le-rappeur-francais-booba-proche-de-p.html
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Harcèlement scolaire, cyberharcèlement... Désormais, les élèves qui sèment le trouble devront changer d'école, selon un décret publié au Journal officiel ce jeudi 17 août 2023.
La sanction est tombée. Désormais, un élève coupable de harcèlement scolaire et de cyberharcèlement envers l’un ou l’une de ses camarades devra quitter l’établissement dans lequel il se trouve.
Cette décision, déjà abordée par l’ancien ministre de l’Éducation Pap Ndiaye dans une série de mesures applicables à la rentrée prochaine, a été scellée dans un décret paru au Journal officiel (JO), ce jeudi 17 août 2023.
Le texte concerné entrera en vigueur le lendemain de la parution au JO, soit le vendredi 18 août 2023.
Cette mesure renverse la vapeur : jusqu’ici, l’élève harcelé était contraint de devoir changer d’école, de collège ou encore de lycée.
Le texte de loi précise en effet que « lorsque le maintien d’un élève constitue un risque pour la santé ou la sécurité d’autres élèves », le directeur académique des services de l’éducation nationale (DASEN), saisi par le directeur de l’école, peut demander au maire de procéder à la radiation de l’élève.
Avant d’en arriver là, le directeur ainsi que l’équipe éducative doivent mettre en place une série de mesures pour que le comportement de l’élève cesse. Le chef d’établissement peut notamment suspendre l’accès à l’établissement de l’élève pour une durée maximale de cinq jours, précise le décret.
Si toutefois ces conditions ne s’avèrent pas concluantes et que le harcèlement persiste, alors l’élève devra alors quitter l’école concernée.
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En premier lieu, l’élève est donc exclu de l’école dans laquelle il se trouve. Mais son inscription dans une autre école de la commune ou dans une autre école du territoire peut également être suspendue.
En revanche, quand la collectivité concernée ne possède qu’une école sur son territoire, cette radiation est soumise à une condition, précisée par le décret.
La radiation de l'élève ne peut intervenir que si le maire d'une autre commune accepte de procéder à son inscription dans une école de cette commune.
Par ailleurs, pendant tout le temps que nécessite la procédure, le directeur de l’école peut décider de suspendre l’accès à l’établissement de l’élève harceleur.
En cas de radiation, l’élève qui harcèle son ou ses camarades fera l’objet, lorsqu’il sera scolarisé dans une nouvelle école, « d’un suivi pédagogique et éducatif renforcé » jusqu’à la fin de l’année scolaire en cours.
Dans le cas des collèges et lycées, cette sanction est étendue aux élèves qui harcèleraient des élèves situés dans d’autres établissements. Une procédure disciplinaire peut en outre être enclenchée si l’élève en question « porte atteinte aux valeurs de la République ou au principe de laïcité », précise le décret.
Plusieurs lignes téléphoniques sont dédiées à la prise en charge des cas de harcèlement :
- Le 3020 pour l'écoute et l'aide des familles et des victimes (ouvert
du lundi au vendredi de 9h à 20h et le samedi de 9h à 18h, sauf les
jours fériés).
- Le 3018, une ligne d’appel nationale des situations de
cyberharcèlement (gratuit, anonyme, confidentiel, ouvert du lundi au
vendredi de 9h à 20h).
- L’application 3018 pour signaler toute situation de cyberharcèlement
pour une prise en charge rapide (tchat, questionnaire, fiches pratiques
et possibilité de stockage des preuves).
Selon le Sénat, entre 800 000 et 1 million d’enfants seraient victimes de harcèlement scolaire chaque année – soit 6 à 10 % des élèves.
Depuis bientôt deux ans, le rappeur Booba dénonce des pratiques commerciales trompeuses de certains influenceurs et accuse en particulier leur manageuse Magali Berdah. Après plusieurs passes d’armes entre ces deux protagonistes, Booba a été mis en examen pour cyberharcèlement aggravé, lundi 2 octobre, alors que sa rivale, soupçonnée de banqueroute et de blanchiment, a été placée sous contrôle judiciaire. On vous résume ce feuilleton qui agite les réseaux sociaux en quatre actes.
La guerre virtuelle a pris une tournure judiciaire. Les avocats de la papesse des influenceurs, Magali Berdah, 41 ans, ont saisi le juge par courrier, mardi 3 octobre 2023, accusant le rappeur Booba, 46 ans, d’avoir repris son harcèlement. Pour rappel, celui-ci a été mis en examen la veille et placé sous contrôle judiciaire, pour cyberharcèlement aggravé à l’encontre de l’agente tropézienne.Depuis bientôt deux ans, le « Duc de Boulogne » dénonce les pratiques douteuses de la fondatrice de Shauna Events, la plus grosse agence de stars de la téléréalité française. La manageuse tropézienne est ainsi accusée par la justice de banqueroute et blanchiment d’argent.
On vous résume cette affaire, à la source de nombreux rebondissements, en quatre actes.
Il était une fois… la montre de la discorde. Le conflit débute en décembre 2021 lorsqu’un candidat de téléréalité qui vit à Dubaï, Marc Blata, s’en prend sur les réseaux sociaux au rappeur Booba. Il l’accuse d’avoir porté, lors d’un shooting photo, une fausse montre de la maison d’horlogerie de luxe Richard Mille. En retour, Élie Yaffa, alias Booba, se lance aux trousses de l’influenceur en dénonçant son business de cryptomonnaies.
Sur Instagram, Marc Blata invite ses abonnés à utiliser ses services d’investissement, moyennant la somme de 500 €. Jusqu’ici, rien d’illégal. Sauf que, d’après Booba et les témoignages rassemblés par le journal Libération , les internautes qui investissent de l’argent le perdent quasi automatiquement. De fil en aiguille, le rappeur se met à dénoncer les pratiques commerciales douteuses de plusieurs influenceurs travaillant pour l’agence de… Magali Berdah.
En l’espace de quelques mois, Booba recense les témoignages et plaintes de personnes qui disent avoir été arnaquées par d’autres influenceurs. Le rappeur, qui se définit comme « lanceur d’alerte » avec ses 6 millions d’abonnés sur Twitter, met sa notoriété à profit pour attaquer ceux qu’il a rebaptisés les « influvoleurs ». Dans son viseur, les candidats de télé-réalité Dylan Thiry ou Maeva Ghenam, qu’il accuse de faire du drop-shipping, une pratique qui consiste à vendre plus cher des produits bas de gamme.
Depuis Miami où il habite, le rappeur va même jusqu’à interpeller le gouvernement. « Il faut que les autorités réagissent, moi, je ne suis pas ministre des fraudes », déclare-t-il. « Au-delà de n’avoir aucun talent, de faire la promotion de la culture du vide, de la débilité, et de ne pas payer leurs impôts en France, ils entubent des citoyens », se confie Booba fin juillet à Libération .
En juillet 2022, le chanteur porte plainte contre X et contre Shauna Events pour « pratiques commerciales trompeuses » et « escroquerie en bande organisée ». Une enquête est ouverte uniquement pour la première qualification le 6 septembre par le tribunal de Grasse (Alpes-Maritimes), commune où est immatriculée la société de l’agente. Marchandise non reçue et non remboursée, produits non conformes… Ces plaintes recensent plusieurs témoignages de consommateurs affirmant avoir été escroqués par des sociétés promues par des influenceurs de l’agence Shauna Events.
Lire aussi : Trafic d’enfants, proxénétisme… La justice saisie après les accusations de Booba contre Dylan Thiry
Alors que l’étau se resserre autour de la Tropézienne, celle-ci décide de porter plainte contre le rappeur. Dès juin 2022, elle obtient de la part du Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) du parquet de Paris, l’ouverture d’une enquête pour menace de mort, harcèlement par un moyen de communication électronique et injure publique à raison de l’origine et du sexe. Dans un communiqué mi-juillet, l’agente d’influenceurs accuse le chanteur de « publications mensongères ». « Depuis, je subis un harcèlement en ligne de masse », ajoute-t-elle. Elle indiquera notamment sur Instagram, fin juillet, avoir reçu « 69 687 menaces et insultes » en l’espace de deux mois et demi.
Dès la rentrée, la diffusion d’une émission ravive les braises. Dans un numéro de « Complément d’enquête » diffusé sur France 2, le 11 septembre 2022, et ayant pour ambition de « dénoncer le vrai business des influenceurs », Booba tourne en ridicule Magali Berdah, provoquant des réactions en chaîne sur X (ex-Twitter). Dès le lendemain, l’agente en appelle à la justice en poussant un cri d’alerte auprès de Nice Matin : « Est-ce qu’on peut se rendre compte qu’on est en train de mettre à mort une femme ? […] Condamnez-moi ou innocentez-moi, mais que cela cesse ! »
Alors que le conflit peine à s’apaiser, la responsable de Shauna Events annonce, le 20 avril 2023, porter plainte contre X pour complicité de cyberharcèlement. La papesse des influenceurs déclare notamment, au micro de Franceinfo , vivre « une réelle angoisse » en recevant des messages « d’appels au viol, à la mort, à la décapitation, au suicide ». « Mes données confidentielles sont dévoilées sur les réseaux […] et cela met en danger mes enfants », alerte-t-elle. À ce jour, outre l’instruction visant Booba, 28 personnes doivent être jugées entre novembre et janvier 2023 devant le tribunal correctionnel de Paris pour cyberharcèlement aggravé, menaces de mort ou encore menaces de crime à l’encontre de Magali Berdah.
Lire aussi : La loi pour réguler les influenceurs définitivement adoptée : voici ses principales mesures
Le rappeur Booba a finalement été mis en examen, lundi 2 octobre 2023, à Paris pour harcèlement moral en ligne aggravé notamment par la dégradation de la santé de Magali Berdah entre mai 2022 et mai 2023. D’après une source proche du dossier, le contrôle judiciaire de Booba lui interdit d’entrer en contact avec elle. Il se voit reprocher « au moins 487 messages sur les réseaux sociaux la visant directement », d’après des éléments de l’enquête dévoilés par Le Parisien et dont l’AFP a eu connaissance.
De son côté, la papesse des influenceurs sera jugée le 18 décembre à Nice pour « banqueroute et blanchiment » pour des faits remontant à avant la création de son agence d’influence en ligne, a appris l’AFP, lundi 2 octobre, de source judiciaire. « Elle a été placée sous contrôle judiciaire avec une interdiction de gérer et une obligation de pointage », a indiqué le parquet. Pour rappel, le Parlement a définitivement adopté une loi visant à réguler ces pratiques, malheureusement courantes dans ce milieu si controversé.
Ce sont trois nouveaux procès d'ampleur pour cyberharcèlement, après celui dans l'affaire Mila en juin 2021. A partir du 27 novembre, 28 personnes sont renvoyées devant le tribunal correctionnel de Paris pour cyberharcèlement aggravé, menaces de mort ou encore menaces de crime à l'encontre de Magali Berdah, à la tête de l'agence d'influenceurs Shauna Events.
La femme d'affaires dénonce une campagne de cyberharcèlement à son encontre, déclenchée par le rappeur Booba depuis 2022 sur les réseaux sociaux. Toutefois, une enquête se poursuit contre l'artiste, mis en examen le 2 octobre pour "harcèlement moral aggravé" en ligne : il ne fait donc pas partie des prévenus jugés dès lundi et jusqu'à fin janvier. Franceinfo détaille les enjeux de ces trois procès, répartis sur neuf jours d'audience.
Selon les informations de franceinfo, parmi les 28 personnes renvoyées devant la justice, figurent 26 hommes et deux femmes, âgés de 20 à 49 ans. Leurs activités professionnelles sont diverses : agent d'entretien, restaurateur, employée de banque... Certains sont à la recherche d'un emploi. Ces 28 prévenus ont "des profils variés", résumait le parquet de Paris à l'AFP début juillet. Ils "résident partout en France, avec des casiers judiciaires vierges ou bien déjà connus des services de police pour violences et stupéfiants", avait-il alors précisé.
Tous comparaissent pour harcèlement. Cette infraction est constituée lorsque les propos "sont imposés à une même victime par plusieurs personnes, de manière concertée ou à l'instigation de l'une d'elles, alors même que chacune de ces personnes n'a pas agi de façon répétée", selon l'article 222-33-2-2 du Code pénal(Nouvelle fenêtre). Mais elle peut également l'être dès lors que plusieurs personnes, qui s'en prennent à une même victime, "savent que ces propos ou comportements caractérisent une répétition", y compris "en l'absence de concertation".
Quand il s'agit de harcèlement en ligne, la peine encourue est de deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende. Mais si le harcèlement est accompagné de circonstances aggravantes, la sanction peut aller jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende. C'est le cas pour le cyberharcèlement de Magali Berdah qui lui a occasionné une incapacité totale de travail supérieure à huit jours. Pour quatre prévenus, une autre circonstance aggravante a été retenue : le fait que le harcèlement ait été commis "en raison de l'appartenance vraie ou supposée à une religion". En d'autres termes, il s'agit de propos à caractère antisémite. Il est ainsi reproché à l'un des prévenus d'avoir écrit : "Dommage que Hitler ne s'est pas occupé de tes grands-parents."
En plus du cyberharcèlement, dix prévenus sont également renvoyés devant la justice pour menaces de mort, une infraction punie de 3 ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende. Dix autres le sont pour menace de crime, ce qui peut être sanctionné de six mois d'emprisonnement et 7 500 euros d'amende. Ils sont jugés pour avoir adressé sur les réseaux sociaux à Magali Berdah des messages tels que "On va te brûler", "Va mourir salope", "Je vais t'violer salope" ou encore "On va te finir grosse pute".
Au printemps 2022, Booba s'est évertué à dénoncer, sur les réseaux sociaux, les "influvoleurs", ces influenceurs qu'il accuse de multiples arnaques à l'encontre des internautes. Dans sa croisade contre ces pratiques, il a visé plus précisément Magali Berdah, ce qui a entraîné de la part d'autres utilisateurs des réseaux sociaux des milliers de messages virulents. Ce sont leurs auteurs qui sont renvoyés devant le tribunal correctionnel de Paris. Ainsi, certains messages de menaces de mort contiennent le hashtag #LaPiraterie, en référence à la marque de vêtements de Booba et à l'appellation qu'il donne à sa communauté de fans. "Il ne fait pas de doute que l'intentionnalité de ces messages va être au cœur des procès", estiment les trois avocats de Magali Berdah.
De son côté, le rappeur a été mis en examen le 2 octobre pour harcèlement moral aggravé, des faits qu'il a aussitôt démentis. Si Magali Berdah considère Booba comme responsable de ce déferlement, au contraire, le rappeur se dédouane de toute responsabilité dans le contenu des messages des internautes. Et se définit comme un "lanceur d'alerte" dont l'"action a été motivée par un seul but : dénoncer les influenceurs".
Ils correspondent aux trois vagues d'interpellations menées dans cette affaire, à des moments différents. C'est le Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH), créé en 2021, qui a coordonné et centralisé les investigations menées dans différentes régions de France. Le PNLH enquête depuis mai 2022 sur le cyberharcèlement qui vise Magali Berdah, à la suite de plusieurs plaintes de la femme d'affaires de 41 ans, fondatrice d'une entreprise spécialisée dans les relations entre les personnalités issues de la télévision et les marques.
Le premier procès aura lieu lundi 27 et mardi 28 novembre, puis lundi 4 et mardi 5 décembre. Il permettra de juger treize personnes sur un total de 28. Huit prévenus seront jugés lors du deuxième procès, les 11 et 12 décembre. Enfin, sept personnes comparaîtront lors du troisième procès les 24, 29 et 30 janvier 2024.
Selon ses avocats, Magali Berdah sera présente. "Elle est prête à leur faire face, attend cela depuis longtemps. Ce procès est donc un moment important pour elle, il illustre la réalité du cyberharcèlement, qu'elle a subi", ajoutent-ils. Et de souligner : "L'enjeu de ce procès est de restaurer toutes les dimensions du statut de victime de Magali Berdah et d'envoyer un message fort à toutes les victimes de cyberharcèlement et à tous les auteurs, de leur dire que l'impunité n'a pas sa place sur internet."
L’agente d’influenceurs avait déjà vu 28 de ses cyberharceleurs condamnés au pénal devant le tribunal correctionnel de Paris en mars dernier.
JUSTICE - Les plaintes de Magali Berdah pour harcèlement continuent à se multiplier. Alors que la femme d’affaires avait été visée par une campagne du rappeur Booba contre les « influvoleurs », Magali Berdah accuse le réseau social X d’avoir permis ce déferlement de haine contre elle. Ce mercredi 4 décembre, le parquet de Paris a indiqué qu’une enquête judiciaire avait été ouverte contre X pour complicité de harcèlement moral aggravé après une plainte de l’ex-papesse des influenceurs.
Cette dernière accuse le réseau social d’avoir sciemment continué à donner à l’artiste l’accès à ses services, « lui permettant ainsi de la harceler », d’après une source proche du dossier. Cette information judiciaire doit permettre « à la justice d’apprécier le rôle de la plateforme X dans le cyberharcèlement subi par Magali Berdah et de se prononcer sur la responsabilité pénale des plateformes », ont estimé les avocats de la plaignante, Antonin Gravelin-Rodriguez, Rachel-Flore Pardo et Elie Touitou, contactés par l’AFP.
La femme d’affaires est en conflit avec le rappeur Booba, mis en examen depuis octobre 2023 dans un autre dossier à Paris pour cyberharcèlement à son encontre. Magali Berdah avait déjà porté plainte en avril 2023, mais l’enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris avait été classée, « au motif qu’aucune infraction n’était suffisamment caractérisée », a expliqué le ministère public. En novembre 2023, Magali Berdah a de nouveau déposé plainte, cette fois-ci avec constitution de partie civile, et obtenu la saisine d’un magistrat instructeur.
La période visée par la plainte de Magali Berdah s’étend avant et après le rachat de la plateforme par le milliardaire américain Elon Musk. Mais les critiques accusant le réseau de servir de chambre d’écho à la haine en ligne et au harcèlement n’ont pas attendu ce changement de propriétaire.
Au civil, Twitter avait notamment été assigné en justice en France par six associations à partir de 2020, et condamné en mars 2023 par la Cour de cassation à détailler ses moyens de lutte contre la haine en ligne. Et depuis son rachat par le propriétaire de Tesla, les accusations liées au manque de modération du réseau social se sont multipliées. Selon le régulateur australien, le nouveau propriétaire du réseau a licencié quelque 1 200 personnes chargées de modérer les contenus.
Dans le cas de Magali Berdah, le réseau social est notamment accusé par la plaignante d’avoir fait fi des alertes adressées sur la plateforme de modération ou des mises en demeure formulées par ses avocats, selon la source proche du dossier.
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Ah oui, c'est ça, le Pizzagate à côté du Luraghigate qui viendra bien un jour, c'est de la gnognote !
Et après avoir enterré ses oeufs, il les remplace par des petits choux.
Avec ceux-là aussi, il fait des rituels...
Lire ou relire :
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https://www.afrique-sur7.fr/496788-france-un-rappeur-fait-des-revelations-choquantes-sur-booba
Un rappeur français en conflit avec Booba vient de faire des révélations troublantes sur lui. Ce dernier du nom de Sadek a dans une vidéo publiée sur la toile affirmé que le Duc de Boulogne doit son succès en pratiquant la magie noire.
Le rappeur français, Booba s’est fait beaucoup d’ennemis dans le milieu musical en France. le Duc de Boulogne installé à Miami aux Etats-Unis tire à boulets rouges sur ses collègues à travers ses différents réseaux sociaux. Il était récemment de retour en France où il s’est mis dans son exercice favori en s’attaquer à un rappeur français du nom de Sadek. Ce dernier a eu des soucis avec la justice et B20 qui est en guerre avec lui depuis des années en a profité pour le clasher.
Booba en a profité pour publier une ancienne vidéo dans laquelle le rappeur, natif de Neuilly-Plaisance l’insulte, ainsi que sa grand-mère avec en légende : ‘’Hello ! Tu te rappelles de moi ?’’. Il a continué ses piques sur Instagram avec plusieurs storys visées en direction du chanteur. Des séquences qui n’ont pas manqué de faire réagir ses millions de fans !
Resté silencieux pendant longtemps, Sadek a fini par répondre à Booba. Ce lundi 13 novembre, dans une vidéo qui circule sur le réseau social Tik-Tok, le rappeur a réagi en portant de graves accusations contre Kopp. ‘’En fait, moi je sais la vérité sur Booba. Et Booba, au risque de choquer les gens, je sais qu’il pratique la magie noire. Il l’a même dit sur TPMP quand il dit : ‘’j’ai enterré des oeufs dans le sable’’. Vous ne vous rendez même pas compte de ce qu’il est en train de dire. Parce que vous n’êtes pas spirituels. Pour les gens qui sont spirituels, ils savent ce que ça veut dire enterrer des œufs. C’est une magie d’une violence inouïe. Et moi, je sais par A plus B qu’il a sacrifié l’un de ses meilleurs amis qui s’appelle Brams. C’est pour cela qu’il a un impact sur sa communauté où ils sont complètement aveuglés et que tout lui réussit sur terre’’, révèle-t-il.
Une affaire de sorcellerie secoue le monde de la télé-réalité. Carla Moreau est accusée d'avoir fait appel à une voyante dans le but de nuire à ses camarades des Marseillais, notamment à sa meilleure amie Maeva Ghennam et aux enfants des candidats du programme de W9. Un scandale évoqué jeudi 4 mars 2021 sur le plateau de Touche pas à mon poste... en présence de Booba, venu promouvoir son nouvel et ultime album Ultra. Le rappeur de 44 ans a révélé y avoir lui-même eu recours.
Cyril Hanouna et son équipe de chroniqueurs reçoivent Sarah, présentée comme "une sorcière pratiquante". La jeune femme explique son métier et apporte des informations quant aux différents types de sorcellerie. "Il ne faut pas résumer la sorcellerie à uniquement la magie noire. Il y a énormément de pratiques différentes. Il y a tout ce qu'on appelle la magie verte, la magie rouge, la magie blanche, lâche-t-elle. La magie verte c'est la magie qui utilise les plantes, eh oui ça existe !"
Surpris d'apprendre l'existence de magie verte, Booba fait une révélation de taille : il a lui-même déjà pratiqué de tels rites. "J'ai déjà enterré des oeufs dans le sable au Sénégal avec des dessins dessus. J'ai déjà fait des trucs. On ne sait jamais, sur une malentendu ! Je ne sais pas, ça a échoué mais j'ai tenté. Je sais que ça existe", lance l'interprète du titre Garde la pêche.
Et alors que Gilles Verdez lui demande s'il s'agit là d'oeufs "offensifs ou de protection", Booba est clair : "Ah, c'était de la bagarre !" Nathalie Marquay, qui semble calée sur le sujet, fait remarquer que "les oeufs, c'est très très grave en sorcellerie". Sans honte ni gêne, la star du rap poursuit : "Moi je fais dans l'oeuf direct, la magie verte ce n'est pas pour moi !"
Des révélations à moitié surprenantes. En effet, en juillet 2018, Booba avait balancé une vidéo de Gims qui indiquait vouloir "l'anéantir" via la magie noire ou la sorcellerie. Dès lors, le duo s'était lancé dans une guerre sans nom sur les réseaux sociaux...
J'avais oublié de la montrer à mes fidèles lecteurs...
Encore une fois, cela vaut le détour, la demandeuse est une givrée de la région parisienne qui tout d'un coup s'est réveillée à propos d'un vieil article de 2020 :
https://www.google.com/ | ||
10 Dec 2024 | 16:53:34 |
12 Dec 2024 | 09:11:29 |
Bien entendu, elle n'a rien obtenu.
Encore un attentat ?
Signalons au passage que le malade mental (toujours le même) s'était bien signalé en Allemagne au lendemain de l'attentat du 20 décembre :
Lire ou relire :
https://satanistique.blogspot.com/2024/12/grosse-crise-dun-de-mes-lecteurs-ce.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/01/nouvelle-crise-du-malade-le-30-decembre.html
http://satanistique.blogspot.com/2025/01/un-attentat-islamiste-la-nouvelle.html
http://satanistique.blogspot.com/2025/01/explosion-dune-tesla-las-vegas-en-lien.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/01/explosion-dune-tesla-las-vegas-le.html
L’explosion de la clôture a blessé une agente victime d’un «traumatisme sonore» et un agent. Les deux policiers ont été pris en charge médicalement.
Deux policiers allemands ont été blessés, dont un gravement, après une explosion survenue jeudi soir au niveau de la clôture de leur bâtiment de police. L’explosion a eu lieu dans le quartier berlinois de Wittenau, dans le nord de la capitale allemande.
L’agente et l’agent blessés participaient alors à «une patrouille de sécurité de routine», précise la police. Avant de poursuivre : «selon les premières investigations, un objet alors non-identifié a explosé, causant de graves blessures au visage et aux yeux de l’agent». Les deux policiers ont été pris en charge médicalement, l'agente victime d'un «traumatisme sonore».
La police criminelle a été investie pour mener l'enquête. Interrogé par l’AFP, un porte-parole de la police n’a fourni aucune autre information sur l’incident.
Cet incident survient après la nuit du Nouvel An au cours de laquelle 30 agents des forces de l'ordre allemandes ont été blessés, dont un grièvement. Ce dernier a été touché par un feu d'artifice de fabrication illégale. Cinq personnes sont décédées accidentellement lors de la nuit du Nouvel An en Allemagne en allumant des feux d'artifice puissants, et environ 400 personnes ont été interpellées dans la capitale, d'après le dernier bilan des autorités mercredi.