Voilà enfin dans au moins deux magazines français une dénonciation de militants prétendument « antifascistes » pour des prises de position publiques très clairement favorables au terrorisme islamiste, ou le justifiant.
Elle provient à l’évidence de l’extrême-droite lyonnaise qui a actuellement tout intérêt à se démarquer de sa petite soeur fasciste de l’extrême-gauche, dont elle était jusque-là très complice.
Concernant plus précisément les « antifas » de Lyon, je rappelle qu’un certain nombre d’entre eux furent les premiers à m’attaquer sur le site Rue89, en 2008, avec leur complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de dingues telle qu’elle était alors constituée, sans grande surprise quand on sait que les uns et les autres, ne formant d’ailleurs, à cette époque, qu’un seul et même groupe de riverains du site Rue89, étaient tous mobilisés contre moi par la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, dont émanait le grand chef de l’extrême-gauche lyonnaise, un vieux complice de ladite Josette Brenterch, de la LCR de Brest, donc, tout comme d’ailleurs l’élue brestoise « antifa » Julie Le Goïc, qui le 26 juillet 2016 s’était fait remarquer pour ses moqueries à l’encontre du père Jacques Hamel tout juste assassiné par deux terroristes islamistes dans son église de Saint-Etienne-du-Rouvray :
A Lyon, un leader antifa loue les djihadistes de Boko Haram et rigole de la décapitation de Samuel Paty
Selon le magazine étudiant l’Etudiant libre, Hamma Alousseini, plus connu sous le nom de Luc Bawa, multiplie les provocations en soutenant la “nébuleuse islamiste”.
Ce sont les événements de trop. Selon l’Etudiant libre, le magazine politique et culturel qui agit en compagnie de Campus Vox, il est temps de prendre des mesures contre la Jeune garde, un mouvement antifasciste lyonnais. Plusieurs figures du mouvement, et en particulier une, multiplient les provocations. La dernière en date remonte à quelques jours à en croire des captures-écran réalisées sur le compte Instagram d’Hamma Alousseini, connu sous le nom de Luc Bawa. Dans une story, il a partagé le tweet de l’assassin de Samuel Paty, le Tchétchène Abdoullakh Anzorov, en ajoutant un commentaire équivoque : « A force de critiquer et insulter la même religion voilà le résultats … mais le tweet mooooorrrrr », lance-t-il dans un message accompagné d’émoticônes moqueurs.
Le même Luc Bawa qui posait dernièrement, selon l’Etudiant libre, sur un pickup dans le désert en train « de faire la promotion de Boko Haram », une organisation considérée comme terroriste. D’ailleurs, un peu plus tôt, après des attentats commis par la mouvance terroriste, la Jeune garde antifasciste avait à demi-mot justifié ces actes en appelant seulement à « faire barrage à l’extrême droite ».
Un groupe invité par la mairie
Le groupe antifa avait d’ailleurs fait le même style de réponse à la suite de l’assassinat de Samuel Paty, par l’intermédiaire d’un de ses leaders : « Cette attaque n’est qu’un reflet de l’extrême droite […] présente aussi bien en Occident qu’au Moyen Orient […] Lorsque l’extrême droite grandit ici, elle grandit au Moyen Orient, ils se nourrissent entre eux. »
Aujourd’hui, L’Etudiant libre demande une réaction des autorités, d’autant que le mouvement antifasciste a été, selon eux, accueilli dans la grande salle de la mairie du Ier arrondissement de Lyon pour une conférence sur l’extrême droite. « Assez cocasse de profiter de ce même système quand on dit lutter contre le système ou l’Etat », tance le magazine.
Une soirée du magazine “L’Étudiant Libre” attaquée par des antifas, un étudiant touché à l’œil par de l’ammoniaque
La jeune revue de droite “L’Etudiant Libre” organisait mercredi soir, dans un bar de Rennes, une soirée de présentation. Vers 20h40, un groupe masqué a fait irruption devant l’établissement en projetant divers objets comme des canettes dont certaines contenaient de l’ammoniaque.
La revue l’Etudiant Libre, fondée par des étudiants de différentes universités vendéennes dont l’ICES, a fait l’objet hier soir à Rennes d’une attaque d’« antifas » devant le bar où se déroulait leur soirée de présentation de la revue. « Ils ont commencé par lancer des canettes de bières mais ne voulaient pas prendre le risque de rentrer dans le bar, le personnel a réagi extrêmement rapidement, les serveurs et la sécurité qui étaient plutôt costauds les ont dissuadés d’aller plus loin » raconte Guy Alexandre Le Roux, organisateur et rédacteur pour l’Étudiant Libre.
Après deux minutes de jets de bouteilles et de godets en verre sur le bar, les tables et chaises de la terrasses ont été projetées et entassées pour bloquer l’entrée. Un étudiant a été brûlé à l’œil par un jet de substance chimique. Emmené à l’hôpital, le produit relevé s’avère être de l’ammoniaque. « Il aurait pu perdre la vue s’il n’avait pas eu de lunettes » s’inquiète Guy Alexandre Le Roux.
Une attaque préméditée sur un groupe Facebook
L’appel à la mobilisation “antifasciste” est donné notamment sur le groupe Facebook « Comité de mobilisation Rennes 2 », un groupe d’étudiants de l’Université Rennes 2, revendiquant en photo d’accueil : « Rennes 2 la rouge et noire », couleurs des anarchistes.
Une attaque qui s’inscrit dans un contexte de répression systématique de l’extrême gauche
Depuis plusieurs semaines, la situation est très tendue dans plusieurs facultés. Qu’il s’agisse d’organisations étudiantes ou de personnalités politiques, l’extrême-gauche exerce une violence systématique contre l’opposition idéologique. À Nanterre, le syndicat étudiant La Cocarde est régulièrement agressé et ses militants harcelés par des comptes anonymes sur Twitter. Les conférences de Sylviane Agacinski et de François Hollande ont été aussi annulées pour des troubles causés par ces groupuscules. Les livres de l’ancien président ont même été déchirés et piétinés par des militants. Malgré la répétition de ces agressions de plus en plus régulières, aucun plan d’action n’a été annoncé. La liberté d’étudier, tout en ayant un engagement syndical, est pourtant ici en question.
Autre signe de l’impunité de l’extrême-gauche ; lors d’une « assemblée générale » organisée dans un amphithéâtre de la faculté de Tolbiac, le slogan « siamo tutti antifascisti » (nous sommes tous antifascistes) claque. Dans la foulée, deux étudiants de la Cocarde en sont expulsés de force.
Qu’est-ce que «L’Etudiant libre», le mensuel conservateur attaqué à Rennes?
Par Louis Heidsieck • Publié le 28/11/2019 à 18:01
Mercredi, un groupuscule d’extrême gauche a attaqué à Rennes les membres de ce journal étudiant créé en mars dernier et qui défend une ligne conservatrice et patriote.
Mercredi 27 novembre en début de soirée, un groupe d’une vingtaine de personnes encagoulées, en vêtements noirs, avec des bombes lacrymogènes et un liquide acide, a attaqué une quinzaine de jeunes dans un bar à coups de pied et de chaises. Ces jeunes ciblés faisaient partie du nouveau journal conservateur et patriote L’Etudiant Libre, créé à La Roche-sur-Yon (Vendée) en mars dernier, et qui a été visé ce mercredi pour ses supposées affinités avec des personnalités et syndicats de droite et d’extrême droite.
» LIRE AUSSI - Des étudiants anti-blocage agressés à Tolbiac
«On n’est pas dans le courant dominant»
«L’Etudiant Libre est une publication conservatrice et patriote qui ambitionne de rassembler tous les courants de la droite, explique son président Stanislas Rigault. Nous sommes quatre étudiants de l’Institut catholique de Vendée (Ices) à avoir fait la constatation il y a un an qu’il n’existait pas de journal étudiant conservateur. On a donc lancé L’Etudiant Libre en mars. Les débuts n’ont pas été faciles, parce qu’on n’est pas dans le courant dominant mais aujourd’hui nous avons près de 150 abonnés papier et nous venons d’arriver à l’équilibre budgétaire».
Le mensuel, qui vient de sortir sa huitième édition, dispose d’une version payante en ligne en plus de son mensuel papier. Ce média s’est fait connaître pour ses entretiens avec de très fortes personnalités de la droite et de l’extrême droite. Ainsi a-t-il consacré sa dernière Une à Jean-Marie Le Pen, «le dernier tribun» avec qui les jeunes journalistes ont pu s’entretenir à son domicile de Montretout (Hauts-de-Seine). Pêle-mêle, les numéros précédents donnaient la parole à Jean-Frédéric Poisson, le président du Parti chrétien-démocrate (PCD), Charlotte d’Ornellas, journaliste à Valeurs actuelles ou Philippe de Villiers, l’ancien président du Conseil général de la Vendée.
«Problème migratoire»
Récemment, il a donné la parole aux membres de Nemesis, une association féministe qui «refuse de se soumettre à la pensée unique qui consiste à ne pas parler du problème migratoire», et qui s’est fait remarquer par des pancartes hostiles à l’immigration lors de la dernière manifestation contre les violences conjugales, le 23 novembre dernier à Paris.
» LIRE AUSSI - À Nanterre, violente bagarre générale entre étudiants «antifas» et souverainistes
«On les connaît bien et on les soutient depuis leur lancement, explique Pierre-Romain Thionnet, secrétaire général de la Cocarde étudiante, syndicat proche lui aussi de la droite conservatrice et dont certains membres écrivent pour L’Etudiant libre. Il n’y avait aucun journal étudiant de droite. En gros, les étudiants avaient le choix entre les feuilles anarchistes ou d’extrême gauche et les journaux sans intérêt intellectuel des BDE (bureau des élèves). Il y avait bien quelques petites feuilles conservatrices distribuées dans le quartier latin, mais rien de stable.»
«On prend nos aises»
Selon Pierre-Romain Thionnet, «c’est moins le contenu du journal qui gêne les groupes d’extrême gauche que le fait qu’une organisation de droite puisse s’exprimer dans l’espace public. Le fait qu’on s’affiche de plus en plus, à visage découvert, les insupporte, ils ont l’impression qu’on prend nos aises». Selon Stanislas Rigault en effet, «le message du journal est parfois difficile à faire passer, dans un contexte tendu», mais le jeune homme en est persuadé, «les gens en ont ras le bol du manque de pluralité à la fac et se rendent compte à quel point les assemblées générales et les blocages sont insupportables».
L’Etudiant Libre s’appuie désormais sur des «relais», des groupes d’étudiants sympathisants qui en font la promotion un peu partout en France. C’est l’un de ces groupes qui a été attaqué à Rennes mercredi. «C’est la première fois qu’on a un problème! On était étonnés que ça ne soit pas arrivé avant, on se disait qu’on passait entre les mailles du filet…» Des mailles visiblement rafistolées, au grand dam de ce nouveau journal conservateur.
Brest : la permanence du Front National vandalisée par l’extrême gauche sous les yeux de la police
12/11/2013 – 09H00 Brest (Breizh-info.com) – Samedi, la permanence du Front National de Brest a été attaquée par une soixantaine de militants identifiés comme appartenant à l’extrême gauche. L’ouverture, début septembre, rue Anatole-France, dans le centre de la ville, de ce local n’avait pas manqué de provoquer une montée d’adrénaline parmi l’extrême gauche locale.
Depuis deux mois, de nombreux tags ornaient la façade du local, mais les choses se sont accélérées samedi dernier, puisque la porte a été fracturée et un bloc de béton projeté à travers les vitres. Le tout en marge d’une manifestation organisée par un « collectif antifasciste » qui appelait à manifester pour « montrer au Front National qu’il n’est pas le bienvenu à Brest La Rouge » (sic).
Visages masqués par des cagoules, les « antifas » de « Brest la Rouge
», armés pour certains de chaînes et de bâtons, ont pu agir en toute
impunité. Les policiers présents sur place les ont en effet laissé se
positionner devant l’entrée du local pour en interdire l’accès aux
sympathisants et adhérents frontistes. Une conseillère municipale
Europe-Ecologie les Verts, Julie Le Goïc, s’est vantée sur Twitter d’avoir participé à cette « descente ». Aucune interpellation n’a bien entendu été effectuée.
Le secrétaire départemental du Finistère du FN, Éric Dechamps, a annoncé le dépôt d’une plainte, la quatrième en un mois.
En juin dernier, 200 manifestants appartenant à la mouvante d’extrême gauche brestoise (CNT, SCALP, autonomes, anarchistes, redskinheads etc.) avaient pu défiler tranquillement dans les rues de Brest, armes blanches à la main – bâtons, tessons de bouteille, ceintures cloutées…) pour rendre un dernier hommage à Clément Méric, ce militant « antifa » brestois décédé après avoir reçu un mauvais coup alors qu’il « chassait » des militants d’extrême droite.
Toujours à Brest, en 2011 ces mêmes « antifas » avaient bien failli tuer un jeune couple« , simplement parce qu’ils étaient soupçonnés, à tort, d’appartenir à « l’extrême droite ». Sans suites judiciaires.
À l’image de Rennes, où les agressions émanant de groupuscules clairement identifiés à l’extrême gauche se multiplient, il semblerait que des milices particulièrement violentes puissent agir en toute impunité sur Brest. « Ils ont pignon sur rue, ils fréquentent, les bars de la place Guérin », confie un sympathisant FN. « En juin, ils organisaient plusieurs fois dans la semaine des patrouilles à la recherche de personnes à agresser. À Saint-Renan, ils louent même une salle plusieurs fois dans l’année pour y organiser des concerts. » Certains policiers et gendarmes travaillant dans l’agglomération brestoise avouent « en avoir par-dessus là tête » des agissements de cette mouvance.
À quelques mois des élections municipales, la municipalité socialiste brestoise ne semble pas vouloir prendre la mesure de ces troubles répétés à l’ordre public et à la sécurité des habitants. De quoi donner du grain à moudre aux opposants à François Cuillandre … en plus de tous les autres dossiers déjà très chauds.
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2013, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire