Non, non, pas un portefeuille d’actions, juste celui d’une jeune fille sous curatelle qui ne contenait que 200,00 €…
A priori, elle ne se prénomme pas Céline, comme celle-ci qui se prélasse actuellement en Tunisie, chez ses amis terroristes islamistes :
http://satanistique.blogspot.com/2015/11/dou-sortent-les-magistrats-du-tgi-de.html
1 commentaire:
merci pour la qualité de votre article, j’ai aussi écrit un mémoire concernant le sujet, voici des informations : https://www.expert-sorcellerie.com/ , j’espère que ca va vous plaire.
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À Rouen, une magistrate jugée pour le vol d’un portefeuille : « Je ne me suis pas rendue compte »
Une magistrate, rattachée au tribunal d’Évreux à l’époque désormais en poste au Havre, est accusée d’avoir dérobé le portefeuille qu’une jeune sous curatelle avait laissé tomber au supermarché
C’est une simple affaire de vol de portefeuille qui est renvoyée devant le tribunal correctionnel de Rouen en composition juge unique le 17 décembre dernier. Seule la profession de la prévenue, magistrate auprès du tribunal judiciaire d’Évreux, sort de l’ordinaire. Il est reproché à la juge de 39 ans de s’être délibérément emparée, au carrefour city d’Evreux, le 7 mai 2020, du portefeuille, qu’une jeune fille, placée sous curatelle, avait laissé tomber. Il contenait 200€,qui ont déjà été remboursés par la prévenue, une carte bleue et une carte vitale.
« Sur la bande de vidéosurveillance on vous voit demander un sac plastique au caissier, vous baisser et faire discrètement basculer le portefeuille dans le sachet », détaille la présidente de l’audience. Le gérant du magasin reconnaît la suspecte quelques jours plus tard et la dénonce aux forces de police. Il simule une panne de caisse pour la maintenir dans le magasin pour faciliter son interpellation. Quand les policiers arrivent, la femme présente sa carte professionnelle faisant état de sa qualité. Elle tente de prétexter qu’elle était confinée à ce moment-là et qu’elle ne pouvait pas se trouver sur Évreux à ce moment-là mais est vite confrontée aux vidéos et reconnaît la matérialité des faits.
« Je n’avais aucune intention de le voler. Je ne me suis pas rendu compte de ce que je faisais. Dès que j’ai réalisé, j’ai paniqué et j’ai jeté le portefeuille dans une benne à ordure », se confie la juge, des larmes coulent sur ses joues. « Une personne sensée aurait dû retourner au magasin pour le donner au caissier, mais je n’étais pas en état de réfléchir à ce moment-là », explique la prévenue.
« Le confinement n’a rien arrangé »
L’expert psychiatre chargé d’examiner la femme conclut à un comportement psychopathologique qui aurait pu être entrainé par la pression du confinement. « Je ne me sentais pas bien à ce moment-là, mais pas au point que mon discernement soit altéré », assume la juge. « La vidéo démontre que ce n’est pas un acte irréfléchi. Il y a une volonté de dissimulation. Dans sa position, madame a un devoir d’exemplarité », estime la substitut du procureur qui requiert une peine d’amende de 1000€.
« C’est une situation inédite. Ma cliente n’avait pas besoin de l’argent présent dans ce portefeuille. Bien-sûr, elle aurait dû le rendre au personnel du magasin. Certes le parcours professionnel de madame est ce qu’il est. Mais il y a aussi sa vie personnelle. Son conjoint de l’époque était gravement malade, elle devait s’en occuper au quotidien. Le confinement n’a rien arrangé », plaide l’avocat de la défense. Le tribunal se donne jusqu’au 29 décembre pour rendre sa décision. La prévenue est actuellement encore en poste auprès du tribunal du Havre.
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