Il faut bien dire qu’il est un peu coincé, quand même, depuis que je sais, et qu’il sait que je sais…
Voir ici :
Du coup, il me fait poursuivre par plusieurs de ses complices pour des motifs totalement bidons ou bidonnés à sa sauce, d’où la nouvelle série d’attentats « islamistes » débutée au mois de janvier de cette année 2020, qu’ils soient avortés ou non.
En effet, cela a commencé tout de suite, dès la fin de l’année dernière, et nous en sommes déjà à la procédure en appel pour le premier procès, que me fait un individu dont je n’ai jamais parlé sur Internet du fait qu’il me harcelait hors toile, quoique ses attaques ou exactions diverses à mon encontre fussent bien toutes téléguidées par le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Bien sûr, ce dernier a encore perdu en première instance alors qu’à nouveau je me défendais seule, sans l’aide d’un avocat, c’est-à-dire que son complice – qui lui est avocat – a été débouté de toutes ses demandes à mon encontre. C’est donc lui qui a fait appel de cette décision qui était attendue pour la mi-août, et en prévision de laquelle, pour fêter dignement la très lourde condamnation qu’à nouveau il escomptait, le malade mental extrêmement dangereux PEC Luraghi avait organisé l’assassinat de jeunes humanitaires français au Niger le 9 août dernier.
Il avait annoncé cet attentat à sa manière en publiant le 31 juillet 2020 un texte parfaitement délirant dans lequel il racontait comment il assassine les « moutons » – entendez jeunes diplômés tous sortis du même moule des écoles françaises – en précisant : « zigouiller un mouton, c’est arracher une betterave, et encore » (sic).
Tout le monde a bien compris ou comprend de mieux en mieux avec le procès des attentats de janvier 2015 qu’il avait alors très violemment attaqué la République française sur le premier de ses fondements : la Liberté.
Il continue avec le second, l’Egalité, à travers des attaques de plus en plus saillantes contre l’Ecole de la République qui offre à tous les mêmes chances d’intégration sociale, sans distinction de race, religion, sexe ou autres conditions de naissance : cuiller d’argent dans la bouche, baron tessinois, etc… dont ses complices et lui-même déplorent tous qu’elles soient ignorées par un système qui leur demande de travailler comme les autres alors qu’ils estiment pour leur part tout leur être dû en raison de la seule supériorité intrinsèque qui serait la leur.
Ce mois-ci, il y a donc eu l’assassinat du professeur d’histoire Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine, revendiqué sur Twitter comme le précédent, puisque c’est là qu’officie désormais le malade mental, puis des menaces de mort contre d’autres professeurs et des élèves, à Lyon, et afin de leur donner du crédit, un massacre d’enfants dans leur école samedi dans la région anglophone du Sud-Ouest du Cameroun :
Cameroun : plusieurs enfants tués dans l’attaque de l’école dans une zone anglophone
L’attaque n’a pas encore été revendiquée et les assaillants identifiés par les autorités. Le premier ministre a tenu, samedi, une réunion d’urgence.
Le Monde avec AFP Publié le 24 octobre 2020 à 22h08 – Mis à jour le 25 octobre 2020 à 08h07
Au moins huit enfants ont été tués et douze autres ont été blessés, samedi 24 octobre, dans l’attaque de l’école de Kumba, dans la région anglophone du Sud-Ouest au Cameroun, a rapporté l’Organisation des Nations unies (ONU).
Les assaillants étaient munis de machettes, selon les éléments diffusés dans un communiqué du Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA) dans le pays. Un responsable local avait annoncé auparavant que quatre enfants avaient été tués et plusieurs autres grièvement blessés lors de cette attaque.
« L’attaque contre des écoliers est la pire atrocité depuis la reprise de l’année scolaire, le 5 octobre 2020, dans laquelle plus d’étudiants se sont inscrits dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest que ces dernières années », a insisté l’OCHA.
Depuis près de trois ans, des groupes séparatistes et l’armée s’affrontent dans ces deux régions camerounaises où vit l’essentiel de la minorité anglophone, dont une partie s’estime marginalisée par la majorité francophone du pays.
« Le boycott des écoles était une stratégie des séparatistes ces dernières années. Sept cent mille jeunes environ étaient en dehors du système scolaire à cause du conflit, a expliqué à l’Agence France-Presse (AFP) Arrey Elvis Ntui, analyste senior du groupe International Crisis au Cameroun. Le gouvernement et la société civile anglophone ont mis beaucoup de pression sur les groupes séparatistes pour que leurs enfants retournent à l’école, et des écoles qui étaient fermées depuis des années ont commencé à rouvrir. »
Plus de 3 000 morts et 700 000 déplacés
L’attaque n’a pas encore été revendiquée et les assaillants n’ont pas encore été identifiés par les autorités. Une réunion d’urgence a été organisée, samedi, par le premier ministre.
https://twitter.com/CyprienLuraghi/status/1320766876167929856
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