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lundi 26 octobre 2020

Procès de la gauche : il n'est jamais trop tard pour bien faire

 

Et tous les instants sont bons, tragiques ou pas.

Et c’est pareil pour la droite.

Dans tout le spectre politique, on n’en voit vraiment pas un pour rattraper les autres.

Lequel dénonce PEC Luraghi et sa bande de criminels ? Aucun.

Passons donc aux travaux pratiques.

J’ai vu plus d’une fois en audition sa juge préférée, celle qu’il appelle par son prénom, la Brestoise Céline Verdier.

Avec ses collègues harceleurs du TGI de Brest, elle a effrayé tous mes avocats successifs au point d’en obtenir ce qu’elle en exigeait : qu’ils ne me défendent surtout pas.

La dernière en date a été fortement déstabilisée par les harcèlements qu’elle a subis de sa part et m’a toujours dit avoir été profondément choquée par ses comportements à mon égard en audition : en 25 ans de métier, elle n’avait jamais vu ça, m’a-t-elle répété par la suite à chacun de nos entretiens; selon ses dires, j’avais été maltraitée par cette juge comme jamais ne l’est même le pire des criminels; or, je n’avais et n’ai jamais rien fait de mal, j’étais censée être interrogée comme victime, ce que je suis effectivement à un point totalement inouï, de l’ordre du jamais vu : on ne me reproche que des qualités, pas des défauts, encore moins des actes répréhensibles, à hauteur suffisante pour justifier trente années de violences ininterrompues, dont plusieurs tentatives d’assassinat.

Je me suis donc plus d’une fois trouvée face à cette juge qui m’accusait en haussant le ton démesurément d’accuser des gens (toujours preuves à l’appui, bien entendu, jamais de manière gratuite, comme le font aussi tous les autres plaignants sérieux) et s’est mise à égrener leurs qualités, titres, fonctions ou professions d’une manière hystérique, jusqu’à s’en étrangler lorsqu’elle a finalement hurlé :

« DES OUVRIERS DE L’ARSENAL !!! »

Ce n’est pas une puce qu’elle m’a mise à l’oreille avec ça, mais carrément le haut-parleur du syndicaliste au plus haut de sa forme.

En effet, je n’ai jamais accusé nulle part aucun ouvrier de l’arsenal, ni dans aucune de mes plaintes, ni dans aucun autre écrit.

En revanche, j’avais jadis bien pu identifier comme des syndicalistes CGT de la DCN certains des individus que j’avais constamment sur les talons à Brest à une époque encore assez proche de celle où, de début mai 1994 jusqu’à la mi-septembre 1994, les avait précédés un groupe de milices dont l’une composée de Pakistanais, alors qu’était négocié le fameux contrat Agosta par l’équipe du sulfureux Ziad Takieddine.

La CGT DCN tenait beaucoup à ce contrat.

Mais l’enquête sur l’attentat de Karachi du 8 mai 2002 n’a jamais exploré cette « piste » constituant pourtant l’une des données essentielles de l’équation « tragique ».

Et pourquoi donc ?

Faisant bloc derrière le juge Raymond André qui s’était personnellement impliqué dans les évènements de cette année 2002, la magistrature ultra CORROMPUE du TGI de Brest alertée par de nouvelles investigations à compter de l’année 2008 a dès lors pris les devants en organisant avec le terroriste « islamigré » Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses mentors du NPA de Brest, notamment la criminelle Josette Brenterch, leur complice de toujours, une déstabilisation massive de l’institution judiciaire.

 

https://www.liberation.fr/france/2020/10/25/ian-brossat-certains-tentent-en-cet-instant-tragique-d-instruire-le-proces-de-la-gauche_1803420

Ian Brossat : «Certains tentent en cet instant tragique d’instruire le procès de la gauche»

 

Par Margaux Lacroux — 25 octobre 2020 à 15:20
Ian Brossat à Paris, le 11 avril. Photo Anne-Christine Poujoulat. AFP

Le porte-parole du Parti communiste réagit à l’inscription «collabo» taguée samedi à l’entrée de son siège parisien.

  • Ian Brossat : «Certains tentent en cet instant tragique d’instruire le procès de la gauche»

Le mot «collabo» a été inscrit à l’encre rouge sur le dôme blanc du siège du parti communiste à Paris, samedi. Le porte-parole du PCF réagit à cet acte de vandalisme, qu’il attribue à l’extrême droite.

Comment interprétez-vous le tag du terme «collabo» devant votre siège ?

Je le vis d’abord comme une infamie. Le Parti communiste, c’est la Résistance. Ce tag a été dessiné sur notre siège au moment où nous commémorons le 79e anniversaire du massacre de Châteaubriant. 27 communistes furent alors fusillés par les nazis. Parmi eux, il y avait Guy Môquet, âgé de 17 ans. Ce siège national du PCF est situé place du Colonel-Fabien, du nom de ce résistant français auteur du premier attentat contre un militaire nazi, le 21 août 1941. Quant aux auteurs de ce tag, je n’ai guère de doute sur leur profil. J’y vois la marque et la signature de l’extrême droite.

Que répondez-vous à ceux qui accusent le PCF de complaisance envers le communautarisme et l’islamisme dans le contexte actuel ?

Je leur réponds que le PCF n’a aucune leçon de République à recevoir de personne. La République française, nous la chérissons et nous avons su la défendre les armes à la main. Après ce que nous venons de vivre, on attendrait des responsables politiques qu’ils veillent à l’unité du pays. Je constate avec effarement que c’est l’exact inverse qui est en train de se produire. Certains tentent en cet instant tragique d’instruire le procès de la gauche, de la disqualifier voire de la criminaliser. Une chose est certaine. Ce n’est pas la gauche, en tout cas pas la mienne, qui vend des armes à l’Arabie saoudite, ce n’est pas ma gauche qui baise les babouches des pétromonarques du Golfe et les décore de tout ce que la République compte de distinctions diverses et variées. Pour le reste, ce que nous disons est clair et précis. Il faut lutter sans faille contre l’islamisme, qui est une forme de fascisme. Cela suppose de condamner avec la plus grande sévérité ceux qui de près ou de loin ont prêté main-forte à l’assassin de Samuel Paty. Et il faut d’un même mouvement lutter contre tout qui fait le terreau de cette idéologie mortifère. Cela suppose de faire revenir l’État dans nos quartiers, pas uniquement sous sa forme répressive mais avec l’ensemble des services publics qui manquent aujourd’hui cruellement. Au premier rang desquels, l’école.

A lire aussi En finir avec l’«islamo-gauchisme» ?

Quelles suites allez-vous donner ?

Nous allons porter plainte, bien sûr. Et je ne doute pas les coupables seront identifiés et punis. Mais le plus important n’est pas là. Nous allons surtout continuer le combat pour une République sociale et démocratique.

Margaux Lacroux

 

2 commentaires:

  1. https://www.youtube.com/watch?v=nhqrGgn2QhY&feature=youtu.be&fbclid=IwAR0W23pviPB5QE2H2xdVY7zlGMOe2NwKHiZoR-IIIcatUpAExYA-og-nyQQ

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    1. Cette vidéo a été supprimée par la personne qui l'a mise en ligne. C'était quoi, M. Nemrod ?

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