A en croire ses bons amis « déconnologues » de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, elle ne serait plus de ce monde.
Aurait-elle été éliminée par ses complices avec lesquels elle n’aurait plus été d’accord ?
Rappelons que c’était la seule à n’avoir aucun goût pour la révolution communiste, et donc, possiblement, les attentats islamistes.
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Seulement dans le gratin dauphinois.
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Bérengère Viennot
@Berentrice
· 22h
Ne vous mettez pas d’ail dans le vagin http://slate.fr/story/185534/ail-vagin-medecine-alternative-danger
via @slatefr
NON
Elle est pas là pour nous gronder.
Elle est partout, comme l’œil de Dieu observant Caïn.
Elle nous manque tant ..
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
7:30 PM · 23 déc. 2019·Twitter Web App
3
J’aimePour mémoire :
76188
Mon-Al répond à 76187
Le 18 juillet 2010 à 14:15 | Permalien
Mon pseudo m’est venu tout seul … et le plus drôle c’est que des
amis, tout à fait hors du Net, m’appellent comme ça ! Il faut dire que
c’est simple comme bonjour, puisque c’est l’abréviation de mon prénom,
qui est composé mais bien trop long à dire.
Je l’aime bien ce pseudo. Il faut dire aussi que lors de mon adolescence, je n’utilisais que le second prénom car je détestais le premier … alors Mon-Al m’a réconciliée avec les deux
Je l’aime bien ce pseudo. Il faut dire aussi que lors de mon adolescence, je n’utilisais que le second prénom car je détestais le premier … alors Mon-Al m’a réconciliée avec les deux
Son compte Facebook a été vidé de toute trace de son activité passée :
https://www.facebook.com/aline.palissot
https://www.village-justice.com/articles/publication-decisions-justice-Internet,14623.html?fbclid=IwAR0PzjApQDeNKXzW9Szsjv7460sedVojC3owAsBWAvs1fhnZYtZr2_iwv-U
RépondreSupprimer1 / Le risque au civil : l’atteinte à la présomption d’innocence
En premier lieu, pour que la publication d’une décision de justice soit licite, elle ne doit pas être incomplète. En réalité, cette exigence se dédouble et implique que la publication :
présente les débats judiciaires fidèlement et de bonne foi ;
fasse mention de l‘existence d‘un éventuel recours formé, chaque fois que la décision publiée n’aura pas acquis un caractère définitif.
Cette règle a récemment été appliquée par la Cour de cassation dans un arrêt du 10 avril 2013, à l’encontre d’un médecin qui avait affiché sur la porte de la salle d’attente de son cabinet une version expurgée d’un jugement correctionnel qui avait condamné son ex-associé pour abus de confiance.
La première chambre civile a alors considéré que, ce faisant, l’auteur de la publication avait porté atteinte à la présomption d’innocence de son ex-confrère, qui était dès lors en droit de se prévaloir de la protection offerte par l’article 9-1 du Code civil. En effet, l’auteur de la publication avait volontairement tronqué certaines parties du jugement et omis de mentionner que le jugement avait été frappé d’appel.
Ainsi, la publication d’un jugement non définitif (car frappé d’appel ou ayant donné lieu à un pourvoi en cassation) pourra constituer une atteinte à la présomption d’innocence chaque fois qu’elle ne fait pas état du caractère révocable de la décision. L’auteur de la publication pourra alors être sanctionné sur le fondement de l’article 9-1 du Code civil. Seule une condamnation définitive, devenue irrévocable, fait disparaître la protection conférée par l’article 9-1 et peut donc, en principe, être librement publiée.
C'est intéressant, ce que vous me mettez là, M. Nemrod. Il faut préciser que l'auteur de ce texte est Romain Darrière, l'avocat parisien que les "déconnologues" de la bande du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi dont vous faites partie auraient tous payé collectivement pour m'attaquer au nom de leur champion, après que celui-ci eut publié l'intégralité de l'arrêt de la cour d'appel de Rennes qui m'a totalement et définitivement blanchie des accusations mensongères de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et de ses divers complices, y compris les magistrats CORROMPUS du TGI de Brest, cette nouvelle publication illicite d'une décision de justice me concernant ayant pour but de me présenter derechef au public, de manière mensongère et calomnieuse, comme coupable, avec de plus, comme toujours depuis 2010, des atteintes gravissimes à l'intimité de la vie privée de mes proches et moi-même, pour qu'enfin ce texte rappelant la loi sur de telles publications prenne tout son sel...
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