C’est le profil type de tous les sbires de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, enseignante à la retraite, pour qui la rentrée est toujours fixée début septembre. Elle fait suite à l’Université d’été de la LCR ou du NPA, au cours de laquelle elle est bien préparée, et fut annoncée cette année dès le 22 août 2018 :
http://petitcoucou.unblog.fr/2018/08/23/mercredi-22-aout-2018-une-rentree-bien-annoncee/
L’on notera que c’était l’anniversaire du « chef » Jean-Marc Donnadieu de Béziers.
Or, en 2014, lui et ses amis terroristes avaient déjà choisi un marché de Noël pour cible, celui de Nantes, qui fut attaqué par l’ex-Bitterrois Sébastien Sarron le 22 décembre vers 19h, après que deux autres attentats se soient déjà produits à Joué-lès-Tours et Dijon les 20 et 21 décembre 2014.
On rappelle au passage le goût de Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Jean-Marc Donnadieu pour les jeux de mots, le second affectionnant tout particulièrement les farces et attrapes :
https://www.facebook.com/jeanmarc.donnadieu
Balance : Vous ferez un stage d’observation dans une entreprise de farces et attrapes. On testera sur vous les boules puantes et autres « coussins péteurs » dans des réunions très sérieuses.2
Quant au premier, il préconisait l’attaque au véhicule fou dès 2009 :
Cyp’ le 30/08/2009 à 12:12
@ les RG :
Je préfère écrabouiller les folles furieuses qui se jettent sous les roues de ma bagnoles alors que je roule pépère sur la départementale, plutôt qu’aller me frotter aux CRS ou planter ma caisse dans un platane pour éviter ces cinglées.
D’ailleurs, vous faites plaisir aux CRS, quand vous manifestez : c’est grâce à vous qu’ils peuvent écouter Sardou et payer les traites de leur pavillon Phénix ultra-moche.
Sans vous, ils n’existeraient pas et le monde serait plus sympathique.
Vroum !
Cette année 2018 aura encore été marquée par toute une série d’attentats pour les fêtes de fin d’année, comme je l’ai mis en évidence sur ce blog au fur et à mesure qu’ils se produisaient ou étaient déjoués.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/01/15/01016-20190115ARTFIG00196-attentat-de-strasbourg-cherif-chekatt-avait-premedite-l-attaque.php
Attentat de Strasbourg : Cherif Chekatt avait prémédité l’attaque
- Par Stanislas Poyet
- Publié le 15/01/2019 à 15:51
Le djihadiste préparait l’attentat, qui a tué cinq personnes le 11 décembre sur le marché de Noël de la ville, depuis plusieurs mois, selon les premiers éléments de l’enquête judiciaire révélée par Le Monde et France 3. Il cherchait des armes et avait fait part de ses funestes plans à sa mère ainsi qu’à un ancien codétenu.
Cherif Chekatt avait prémédité son attaque du 11 décembre. L’auteur
de l’attentat de Strasbourg, qui a tué cinq personnes sur le marché de
Noël de la ville, n’a pas agi sur un coup de tête: son acte a été
préparé des semaines, voire des mois à l’avance, selon les premiers
éléments de l’enquête judiciaire révélés par Le Monde et France 3. Cherif Chekatt avait fait part à ses proches de ses désirs de martyr et s’était démené pour trouver des armes.
» LIRE AUSSI – Strasbourg: le profil hybride de Chérif Chekatt, fiché S radicalisé et braqueur de banques
L‘attentat, qui a également blessé onze personnes, a été revendiqué par l’État Islamique (EI) dans une vidéo diffusée par Amaq, son agence de propagande quelques minutes après la mort du djihadiste. Dans la foulée, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, avait dénoncé une revendication «totalement opportuniste» de l’EI, et s’était montré très prudent sur la motivation terroriste de l’attaque. Si des témoins avaient bel et bien entendu Cherif Chekatt crier «Allahu Akbar» – «Dieu est le plus grand», fréquemment utilisé comme cris de guerre par les djihadistes – les enquêteurs ne voulaient pas privilégier trop vite la piste du djihadisme au détriment d’autres explications. Il n’est pas rare que l’organisation terroriste revendique des attaques qu’elle n’a pas organisées, comme à Las Vegas, lorsqu’un retraité avait tué 58 personnes. Aujourd’hui encore, cette revendication reste remise en cause car aucun élément ne permet d’affirmer que l’attentat de Strasbourg ait été effectivement organisé avec le concours de l’EI.
» LIRE AUSSI – Fiches S, mandats d’arrêt: ces individus déjà repérés qui sont passés à l’acte
Toutefois, les soupçons s’étaient rapidement confirmés lorsqu’une vidéo d’allégeance à l’État Islamique avait été retrouvée à son domicile le 22 décembre. Cherif Chekatt y arbore un keffieh rouge, et pendant trois minutes jure obéissance à Daech. Des armes y avaient également été retrouvées: des couteaux de chasses, une grenade défensive, un revolver de calibre 22 long rifle et ses munitions ainsi qu’un message écrit à la main «ô vous hommes, la bataille est engagée, les appels au djihad sont lancés, les portes du paradis sont ouvertes. Si vous n’êtes pas des cavaliers guerriers, poussez-vous et laissez place aux femmes pour diriger la bataille».
En 2015, lors d’un de ses nombreux passages en prison, on apprend à travers l’enquête que Cherif Chekatt avait fait part de ses velléités terroristes à un codétenu, dont le témoignage a été recueilli par la police. Selon Le Monde et France 3, il déclarait déjà vouloir «commettre un braquage avant de partir en Syrie ou mourir en martyr». Sa mère a elle aussi raconté aux enquêteurs les confidences de son fils «environ cinq mois» avant l’attentat, qui lui avait fait par de «son intention de mourir». Décrit comme manipulable et «déglingué du cerveau» par son propre frère lors d’une conversation téléphonique avec sa mère, sa famille ne l’avait pas pris au sérieux.
» LIRE AUSSI – Radicalisation: les services publics sous surveillance
D’après les éléments de l’enquête judiciaire révélés par Le Monde et France 3, Cherif Chekatt cherchait aussi depuis plusieurs mois à se procurer une arme. Au cœur de l’enquête: un homme, Audrey M., rappeur de 37 ans au casier judiciaire chargé, père d’une famille de trois enfants franco ivoirienne. Cet ami de longue date du djihadiste n’est pas connu pour une quelconque accointance avec le terrorisme. Il s’est présenté lui-même à la police le jour même de la mort de son ami. Le rappeur a été mis en examen et placé en détention provisoire pour «participation à une association de malfaiteurs terroristes criminelle» et «acquisition, détention et cession d’armes de catégorie B».
Audrey M. nie cependant toute implication dans l’attentat. Il dit avoir rencontré Cherif Chekatt en prison, en 2012. Selon Le Monde, c’est vers lui que se tourne le terroriste «en septembre 2018» pour se procurer des armes afin de commettre des «braquages». Le rappeur en utilise fréquemment dans ses clips musicaux. Rapidement, Audrey M. met en contact son ami avec la communauté des gens du voyage, une rencontre est organisée avec une famille de Sélestat dans le Bas-Rhin, à 50 kilomètres de Strasbourg. Cette famille de vanniers est connue de la police pour donner dans le trafic d’armes. Le 11 décembre au matin, une autre rencontre est organisée par le rappeur sur un parking au nord de Colmar (Haut-Rhin). Le lendemain, Audrey M. reçoit un appel intercepté par les services de renseignement: «tu sais le pote avec lequel tu es venu à Sélestat (…) il a fait le con hier soir (…), le vieux il se chie dessus à mort».
Cherif Chekatt est sans doute passé à l’acte plus rapidement que prévu. Selon les informations de France 3, l’intervention de la police le matin même des attentats a précipité ses plans. La DGSI surveillait de près le djihadiste mais n’avait aucun élément permettant d’arrêter le jeune homme. Le préfet, à la tête du groupe d’évaluation départemental de la radicalisation du Bas-Rhin, avait décidé de l’interpeller pour une affaire de droit commun. Le 11 décembre, la police était intervenu au domicile de son père, tandis que le jeune homme dormait exceptionnellement chez sa mère.
» LIRE AUSSI – Strasbourg: le profil hybride de Chérif Chekatt, fiché S radicalisé et braqueur de banques
L‘attentat, qui a également blessé onze personnes, a été revendiqué par l’État Islamique (EI) dans une vidéo diffusée par Amaq, son agence de propagande quelques minutes après la mort du djihadiste. Dans la foulée, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, avait dénoncé une revendication «totalement opportuniste» de l’EI, et s’était montré très prudent sur la motivation terroriste de l’attaque. Si des témoins avaient bel et bien entendu Cherif Chekatt crier «Allahu Akbar» – «Dieu est le plus grand», fréquemment utilisé comme cris de guerre par les djihadistes – les enquêteurs ne voulaient pas privilégier trop vite la piste du djihadisme au détriment d’autres explications. Il n’est pas rare que l’organisation terroriste revendique des attaques qu’elle n’a pas organisées, comme à Las Vegas, lorsqu’un retraité avait tué 58 personnes. Aujourd’hui encore, cette revendication reste remise en cause car aucun élément ne permet d’affirmer que l’attentat de Strasbourg ait été effectivement organisé avec le concours de l’EI.
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Du désir de martyr à l’allégeance à l’État Islamique
Toutefois, les soupçons s’étaient rapidement confirmés lorsqu’une vidéo d’allégeance à l’État Islamique avait été retrouvée à son domicile le 22 décembre. Cherif Chekatt y arbore un keffieh rouge, et pendant trois minutes jure obéissance à Daech. Des armes y avaient également été retrouvées: des couteaux de chasses, une grenade défensive, un revolver de calibre 22 long rifle et ses munitions ainsi qu’un message écrit à la main «ô vous hommes, la bataille est engagée, les appels au djihad sont lancés, les portes du paradis sont ouvertes. Si vous n’êtes pas des cavaliers guerriers, poussez-vous et laissez place aux femmes pour diriger la bataille».
En 2015, lors d’un de ses nombreux passages en prison, on apprend à travers l’enquête que Cherif Chekatt avait fait part de ses velléités terroristes à un codétenu, dont le témoignage a été recueilli par la police. Selon Le Monde et France 3, il déclarait déjà vouloir «commettre un braquage avant de partir en Syrie ou mourir en martyr». Sa mère a elle aussi raconté aux enquêteurs les confidences de son fils «environ cinq mois» avant l’attentat, qui lui avait fait par de «son intention de mourir». Décrit comme manipulable et «déglingué du cerveau» par son propre frère lors d’une conversation téléphonique avec sa mère, sa famille ne l’avait pas pris au sérieux.
» LIRE AUSSI – Radicalisation: les services publics sous surveillance
Trouver des armes
D’après les éléments de l’enquête judiciaire révélés par Le Monde et France 3, Cherif Chekatt cherchait aussi depuis plusieurs mois à se procurer une arme. Au cœur de l’enquête: un homme, Audrey M., rappeur de 37 ans au casier judiciaire chargé, père d’une famille de trois enfants franco ivoirienne. Cet ami de longue date du djihadiste n’est pas connu pour une quelconque accointance avec le terrorisme. Il s’est présenté lui-même à la police le jour même de la mort de son ami. Le rappeur a été mis en examen et placé en détention provisoire pour «participation à une association de malfaiteurs terroristes criminelle» et «acquisition, détention et cession d’armes de catégorie B».
Audrey M. nie cependant toute implication dans l’attentat. Il dit avoir rencontré Cherif Chekatt en prison, en 2012. Selon Le Monde, c’est vers lui que se tourne le terroriste «en septembre 2018» pour se procurer des armes afin de commettre des «braquages». Le rappeur en utilise fréquemment dans ses clips musicaux. Rapidement, Audrey M. met en contact son ami avec la communauté des gens du voyage, une rencontre est organisée avec une famille de Sélestat dans le Bas-Rhin, à 50 kilomètres de Strasbourg. Cette famille de vanniers est connue de la police pour donner dans le trafic d’armes. Le 11 décembre au matin, une autre rencontre est organisée par le rappeur sur un parking au nord de Colmar (Haut-Rhin). Le lendemain, Audrey M. reçoit un appel intercepté par les services de renseignement: «tu sais le pote avec lequel tu es venu à Sélestat (…) il a fait le con hier soir (…), le vieux il se chie dessus à mort».
Cherif Chekatt est sans doute passé à l’acte plus rapidement que prévu. Selon les informations de France 3, l’intervention de la police le matin même des attentats a précipité ses plans. La DGSI surveillait de près le djihadiste mais n’avait aucun élément permettant d’arrêter le jeune homme. Le préfet, à la tête du groupe d’évaluation départemental de la radicalisation du Bas-Rhin, avait décidé de l’interpeller pour une affaire de droit commun. Le 11 décembre, la police était intervenu au domicile de son père, tandis que le jeune homme dormait exceptionnellement chez sa mère.
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