A Brest, l’avocat des Salafistes est… bien entendu celui de la
criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest contre moi jusqu’en 2015,
David Rajjou. Il défend aussi leurs associés occasionnels tels les gens
du voyage, il fait toutes les racailles.
Mais surtout, il a bien participé aux tentatives d’escroquerie de sa cliente contre OverBlog et moi-même, ainsi qu’à toutes ses entreprises terroristes et criminelles associées, en toute connaissance cause.
En effet, comme tous les autres Brestois impliqués dans cette affaire, il savait pertinemment qui il attaquait et pourquoi.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/01/18/01016-20190118ARTFIG00063-un-avocat-de-djihadistes-mis-en-examen-pour-financement-du-terrorisme.php
Un avocat parisien est soupçonné d’avoir versé de l’argent à un intermédiaire censé exfiltrer d’Irak Maximilien Thibaut, un djihadiste originaire de la région parisienne, aujourd’hui introuvable.
Parti rejoindre l’EI en 2015, Maximilien Thibaut, 33 ans, est l’époux de Mélina Boughedir, une jeune Française condamnée en juin 2018 à Bagdad à la perpétuité pour avoir rejoint l’EI, une peine qui équivaut à 20 années de réclusion au regard de la législation irakienne. Capturée à l’été 2017 par les forces irakiennes, elle avait décrit son mari comme un «cuisinier» au sein du groupe Etat islamique (EI).
Elle avait échappé à la peine capitale mais était devenue la deuxième Française condamnée à la perpétuité en Irak, moins de deux mois après Djamila Boutoutaou. Toutes deux avaient plaidé avoir été dupées par leurs maris, aujourd’hui introuvables.
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/un-avocat-tres-genereux-avec-une-ex-djihadiste_2057706.html
Me Bruno Vinay prenait très à coeur la défense des djihadistes françaises qui figuraient parmi ses clients. Trop ? Le pénaliste parisien de 45 ans a été interpellé mardi 15 janvier et placé en garde à vue dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure, à Nanterre (Hauts-de-Seine), qui le soupçonne de financement du terrorisme.
Selon une source proche de l’enquête, Me Vinay aurait par exemple mis la main au portefeuille pour aider Maeva Sola, 25 ans. Cette convertie, native de Nice, rejoint les rangs de l’État Islamique en 2014. Sur les réseaux sociaux, elle prodigue ses conseils aux jeunes filles désireuses de suivre la même voie. Comment s’habiller, quel itinéraire suivre, quel passeur contacter… Elle recrute des épouses pour les combattants et incite des mineures dans l’incapacité de rallier la Syrie à commettre des attentats en France -ce qu’elle conteste.
Maeva rentre dans l’Hexagone, via la Turquie, en juillet 2015. Mise en examen à son retour et incarcérée, puis placée sous surveillance électronique, elle renoue avec la liberté en juillet 2016, dans l’attente de son procès.
Six mois plus tard, Maeva est à la rue après avoir quitté son appartement de Montpellier. Elle souhaite s’installer dans la région parisienne. Son avocat, Bruno Vinay, lui déniche une colocation à Villemonble (Seine-Saint-Denis). Mais avant de signer le bail, la jeune femme a besoin de l’accord de la juge d’instruction qui suit son dossier. En attendant, le pénaliste l’aide à payer son logement trouvé sur le site Airbnb. La magistrate refusera de donner son aval. Motif : la colocataire est, elle aussi, une jeune femme radicalisée.
Maeva Sola sera renvoyée derrière les barreaux en janvier 2018, alors qu’elle s’apprête à épouser civilement le djihadiste Redouane Taher, condamné à huit ans de prison pour sa participation à la filière dite « de Strasbourg« , au côté du frère de l’un des tueurs du Bataclan. En mars dernier, Maeva a écopé de huit ans d’emprisonnement, elle aussi. Un jugement dont Me Vinay a fait appel. Est-ce que son soutien financier est susceptible de lui valoir des poursuites judiciaires? Il est encore trop tôt pour le savoir.
L’avocat défend en tout cas plusieurs autres jeunes femmes radicalisées ou ayant flirté avec le djihad. Comme S. L., 22 ans, retenue prisonnière à l’automne 2016 par l’Armée Syrienne Libre alors qu’elle essayait de fuir la Syrie. Pour tenter d’obtenir sa libération, le pénaliste aurait même pris contact directement avec ce rassemblement hétéroclite de groupes rebelles opposés au régime du président Bachar el-Assad, d’après un bon connaisseur du dossier… Au point d’attirer l’attention des services de renseignement ?
Me Vinay est encore le conseil de Yasmine Herriche, 30 ans, interpellée pour apologie du terrorisme avec son mari en décembre 2016, et de Sonia Belayati, 25 ans, originaire de Saint-Chamond (Loire), partie deux fois en Syrie. Il défend aussi Emilie König, une convertie de 34 ans arrêtée en janvier 2018 par les forces kurdes. Recruteuse de Daech, elle figurait depuis trois ans sur la liste noire des terroristes les plus recherchés par les Américains. L’Algérien Kamel Daoudi, condamné pour terrorisme et assigné à résidence depuis sa sortie de prison en 2008, est un autre de ses clients. Contacté par L’Express, Emmanuel Daoud, l’avocat de Bruno Vinay, n’a pas souhaité s’exprimer.
Mais surtout, il a bien participé aux tentatives d’escroquerie de sa cliente contre OverBlog et moi-même, ainsi qu’à toutes ses entreprises terroristes et criminelles associées, en toute connaissance cause.
En effet, comme tous les autres Brestois impliqués dans cette affaire, il savait pertinemment qui il attaquait et pourquoi.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/01/18/01016-20190118ARTFIG00063-un-avocat-de-djihadistes-mis-en-examen-pour-financement-du-terrorisme.php
Un avocat de djihadistes mis en examen pour «financement du terrorisme»
- Par Le figaro.fr AFP agence
- Mis à jour le 18/01/2019 à 13:18
- Publié le 18/01/2019 à 09:27
Un avocat parisien est soupçonné d’avoir versé de l’argent à un intermédiaire censé exfiltrer d’Irak Maximilien Thibaut, un djihadiste originaire de la région parisienne, aujourd’hui introuvable.
Un avocat de djihadistes entre les mains de la justice. Maître Bruno
Vinay, défenseur notamment de Français partis rejoindre le groupe État
islamique (EI) en Irak et en Syrie, est soupçonné d’avoir versé une
somme d’argent à un intermédiaire censé exfiltrer d’Irak Maximilien
Thibaut, un djihadiste originaire de la région parisienne, aujourd’hui
introuvable.
Présenté à un juge d’instruction après 48 heures de garde à vue à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), l’avocat a été mis en examen pour «financement d’une entreprise terroriste» et «transfert non autorisé d’une somme supérieure à 10.000 euros», selon une source proche du dossier, confirmée par une source judiciaire. Il est soumis à un contrôle judiciaire qui lui interdit de rencontrer ce djihadiste et son épouse Mélina Boughedir, ainsi que deux journalistes, selon ces sources.
En septembre, l’une d’elles, une journaliste spécialiste des affaires de djihadisme, avait été placée en garde à vue à la DGSI dans ce dossier avant d’être remise en liberté sans faire l’objet de poursuites. Le juge d’instruction en charge du dossier s’apprête désormais à saisir le conseil de l’ordre en vue d’une éventuelle suspension de l’exercice de sa profession d’avocat. La décision, susceptible d’appel appartient à l’instance disciplinaire des avocats qui peut prononcer une suspension de 4 mois, plusieurs fois renouvelables.
Selon la source proche du dossier, le versement litigieux porte sur une somme de 20.000 euros collectés auprès de l’entourage du djihadiste qui se trouvait alors à Mossoul (Irak) avec sa famille. L’argent devait permettre de faciliter une potentielle reddition du djihadiste. Mais l’opération qui était alors suivie de près par les deux journalistes n’a pas eu lieu, selon cette source.
Ces soupçons sur des transferts d’argent à destination de la zone irako-syrienne étaient apparus dans le cadre d’une information judiciaire ouverte en 2017 pour «financement du terrorisme» et «abus de confiance en relation avec une entreprise terroriste», selon une autre source proche du dossier.
À l’origine, les investigations visaient en particulier les activités de l’association Syrie prévention famille, une structure qui se propose notamment d’«aider les familles à maintenir le contact avec leurs proches toujours présents en Syrie et en Irak», d’après ses statuts. Dans ce dossier, trois parents de djihadistes, soupçonnés d’avoir envoyé de l’argent à leurs enfants en Syrie, notamment en détournant des fonds de leur association subventionnée, ont été mis en examen en juin 2017.
Que faut-il faire des islamistes français partis se battre avec Daech ? – Regarder sur Figaro LivePrésenté à un juge d’instruction après 48 heures de garde à vue à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), l’avocat a été mis en examen pour «financement d’une entreprise terroriste» et «transfert non autorisé d’une somme supérieure à 10.000 euros», selon une source proche du dossier, confirmée par une source judiciaire. Il est soumis à un contrôle judiciaire qui lui interdit de rencontrer ce djihadiste et son épouse Mélina Boughedir, ainsi que deux journalistes, selon ces sources.
Saisine du conseil de l’ordre
En septembre, l’une d’elles, une journaliste spécialiste des affaires de djihadisme, avait été placée en garde à vue à la DGSI dans ce dossier avant d’être remise en liberté sans faire l’objet de poursuites. Le juge d’instruction en charge du dossier s’apprête désormais à saisir le conseil de l’ordre en vue d’une éventuelle suspension de l’exercice de sa profession d’avocat. La décision, susceptible d’appel appartient à l’instance disciplinaire des avocats qui peut prononcer une suspension de 4 mois, plusieurs fois renouvelables.
Selon la source proche du dossier, le versement litigieux porte sur une somme de 20.000 euros collectés auprès de l’entourage du djihadiste qui se trouvait alors à Mossoul (Irak) avec sa famille. L’argent devait permettre de faciliter une potentielle reddition du djihadiste. Mais l’opération qui était alors suivie de près par les deux journalistes n’a pas eu lieu, selon cette source.
Ces soupçons sur des transferts d’argent à destination de la zone irako-syrienne étaient apparus dans le cadre d’une information judiciaire ouverte en 2017 pour «financement du terrorisme» et «abus de confiance en relation avec une entreprise terroriste», selon une autre source proche du dossier.
À l’origine, les investigations visaient en particulier les activités de l’association Syrie prévention famille, une structure qui se propose notamment d’«aider les familles à maintenir le contact avec leurs proches toujours présents en Syrie et en Irak», d’après ses statuts. Dans ce dossier, trois parents de djihadistes, soupçonnés d’avoir envoyé de l’argent à leurs enfants en Syrie, notamment en détournant des fonds de leur association subventionnée, ont été mis en examen en juin 2017.
Parti rejoindre l’EI en 2015, Maximilien Thibaut, 33 ans, est l’époux de Mélina Boughedir, une jeune Française condamnée en juin 2018 à Bagdad à la perpétuité pour avoir rejoint l’EI, une peine qui équivaut à 20 années de réclusion au regard de la législation irakienne. Capturée à l’été 2017 par les forces irakiennes, elle avait décrit son mari comme un «cuisinier» au sein du groupe Etat islamique (EI).
Elle avait échappé à la peine capitale mais était devenue la deuxième Française condamnée à la perpétuité en Irak, moins de deux mois après Djamila Boutoutaou. Toutes deux avaient plaidé avoir été dupées par leurs maris, aujourd’hui introuvables.
La rédaction vous conseille
Le figaro.fr
AFP agence
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/un-avocat-tres-genereux-avec-une-ex-djihadiste_2057706.html
Un avocat très (trop?) généreux avec une ex-djihadiste
Par Anne Vidalie, publié le 17/01/2019 à 07:00 , mis à jour le 18/01/2019 à 15:45
[EXCLUSIF] En garde à vue à la DGSI depuis le 15 janvier, l’avocat Bruno Vinay aurait aidé financièrement l’une de ses clientes.
Me Bruno Vinay prenait très à coeur la défense des djihadistes françaises qui figuraient parmi ses clients. Trop ? Le pénaliste parisien de 45 ans a été interpellé mardi 15 janvier et placé en garde à vue dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure, à Nanterre (Hauts-de-Seine), qui le soupçonne de financement du terrorisme.
Selon une source proche de l’enquête, Me Vinay aurait par exemple mis la main au portefeuille pour aider Maeva Sola, 25 ans. Cette convertie, native de Nice, rejoint les rangs de l’État Islamique en 2014. Sur les réseaux sociaux, elle prodigue ses conseils aux jeunes filles désireuses de suivre la même voie. Comment s’habiller, quel itinéraire suivre, quel passeur contacter… Elle recrute des épouses pour les combattants et incite des mineures dans l’incapacité de rallier la Syrie à commettre des attentats en France -ce qu’elle conteste.
Maeva rentre dans l’Hexagone, via la Turquie, en juillet 2015. Mise en examen à son retour et incarcérée, puis placée sous surveillance électronique, elle renoue avec la liberté en juillet 2016, dans l’attente de son procès.
Un logement Airbnb à Montpellier
Six mois plus tard, Maeva est à la rue après avoir quitté son appartement de Montpellier. Elle souhaite s’installer dans la région parisienne. Son avocat, Bruno Vinay, lui déniche une colocation à Villemonble (Seine-Saint-Denis). Mais avant de signer le bail, la jeune femme a besoin de l’accord de la juge d’instruction qui suit son dossier. En attendant, le pénaliste l’aide à payer son logement trouvé sur le site Airbnb. La magistrate refusera de donner son aval. Motif : la colocataire est, elle aussi, une jeune femme radicalisée.
Maeva Sola sera renvoyée derrière les barreaux en janvier 2018, alors qu’elle s’apprête à épouser civilement le djihadiste Redouane Taher, condamné à huit ans de prison pour sa participation à la filière dite « de Strasbourg« , au côté du frère de l’un des tueurs du Bataclan. En mars dernier, Maeva a écopé de huit ans d’emprisonnement, elle aussi. Un jugement dont Me Vinay a fait appel. Est-ce que son soutien financier est susceptible de lui valoir des poursuites judiciaires? Il est encore trop tôt pour le savoir.
Sarah, Yasmine, Sonia et Emilie
L’avocat défend en tout cas plusieurs autres jeunes femmes radicalisées ou ayant flirté avec le djihad. Comme S. L., 22 ans, retenue prisonnière à l’automne 2016 par l’Armée Syrienne Libre alors qu’elle essayait de fuir la Syrie. Pour tenter d’obtenir sa libération, le pénaliste aurait même pris contact directement avec ce rassemblement hétéroclite de groupes rebelles opposés au régime du président Bachar el-Assad, d’après un bon connaisseur du dossier… Au point d’attirer l’attention des services de renseignement ?
Me Vinay est encore le conseil de Yasmine Herriche, 30 ans, interpellée pour apologie du terrorisme avec son mari en décembre 2016, et de Sonia Belayati, 25 ans, originaire de Saint-Chamond (Loire), partie deux fois en Syrie. Il défend aussi Emilie König, une convertie de 34 ans arrêtée en janvier 2018 par les forces kurdes. Recruteuse de Daech, elle figurait depuis trois ans sur la liste noire des terroristes les plus recherchés par les Américains. L’Algérien Kamel Daoudi, condamné pour terrorisme et assigné à résidence depuis sa sortie de prison en 2008, est un autre de ses clients. Contacté par L’Express, Emmanuel Daoud, l’avocat de Bruno Vinay, n’a pas souhaité s’exprimer.
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