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samedi 21 octobre 2017

A Brest, la procureure meilleur médecin que le médecin !

Dans cette affaire, le médecin n’est pas capable de déterminer l’origine des blessures, mais la procureure, oui !

Ce ne serait pas encore Isabelle Johanny, par hasard ?

Elle refait aussi tous les diagnostics de mes médecins, des spécialistes réputés…


http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/tribunal-pour-moi-c-est-une-honte-d-etre-a-la-barre-aujourd-hui-21-10-2017-11710784.php

Tribunal. « Pour moi, c’est une honte d’être à la barre aujourd’hui »


Publié le 21 octobre 2017

Le 1er octobre 2016, à Brest, tout commence à cause d’excréments de chats qu’un homme trouve dans son jardin. Une affaire de voisinage, jugée hier, au tribunal. Et les versions de l’affaire divergent.


À Brest, le 1e r octobre 2016, dans un quartier résidentiel, un homme constate que, depuis plusieurs semaines, des excréments de chats souillent son jardin. Il décide donc d’aller voir ses voisins pour trouver le responsable. Lorsqu’il se présente à la maison d’un voisin, celui-ci reconnaît les faits et s’en excuse. C’est à ce moment que la présidente souligne « qu’il y a deux versions complètement différentes ». Pour le prévenu : « Quelques heures, après on frappe à la porte, c’était une voisine que je ne connaissais pas (et qui était la compagne du voisin). Elle a forcé la porte avec son pied, elle nous a insultés. Elle était bourrée, dans un sale état. Tout de suite, j’ai appelé le 17, ils ont dit : « C’est rien » ». Ensuite la voisine est rentrée chez elle mais elle revient le lendemain à trois reprises pour insulter et menacer le prévenu et sa famille. À trois reprises, le prévenu signale le fait aux forces de l’ordre mais il n’y a aucune intervention de leur part.

« Vous êtes un homme, sortez pour régler le problème »


Le prévenu est formel : « La police m’a dit : « Vous êtes un homme, sortez pour régler le problème » et j’ai dit  » Vous êtes sérieux ? » Ils ont répondu « Oui oui » ».

L’homme n’est pas sorti mais il a vu par la fenêtre sa voisine tomber violemment sur le sol. Il a alors appelé de nouveau la police pour le signaler mais c’est finalement le fils de cette dernière qui est arrivé. Il a insulté sa mère, en lui reprochant son mauvais comportement, et il l’a ramenée chez eux. Un passant, le surlendemain, lui demande si c’est lui qui a frappé la voisine. Le prévenu s’empresse alors de faire une main courante au commissariat mais les policiers ne la prennent pas en compte. Pour la victime, la version est différente. Alors qu’elle s’est présentée, sans aucune raison, chez son voisin, celui-ci l’aurait accueillie avec une raquette à la main. Il l’aurait frappée avec. Elle a eu 42 jours d’ITT mais l’origine des blessures n’est pas avérée. Cette femme est connue par les forces de l’ordre et par ses voisins pour son alcoolisme et ses fausses accusations. Pour la procureure, l’origine des blessures ne pouvant être dûe à une chute, elle requiert quatre à cinq mois de prison avec sursis. L’avocat de la défense est impératif : « Pour moi, la victime, c’est mon client (…) Il est père de famille, il a un travail, une vie normale. Il a de bons rapports avec ses voisins ». La victime est absente à la barre. La décision de la présidente est sans appel : c’est la relaxe.

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