Le documentaire qui a été diffusé mardi soir sur France 5 est encore visible ici durant cinq jours :
http://pluzz.francetv.fr/videos/harcelement_sexuel_le_fleau_silencieux_,151177268.html
Je n’ai pas repris le même titre, car le rire des pervers est toujours extrêmement sonore, tout le monde l’entend, leur entourage sait très bien ce qu’ils font, ils ne se cachent pas, ils sont très fiers de leurs « blagues » salaces et autres « plaisanteries » allant jusqu’à des viols, des tortures diverses, des actes de barbarie, des meurtres ou des assassinats, dont seules les victimes, lorsqu’elles peuvent survivre, ne rient jamais… parce qu’elles sont toutes atteintes d’une grave maladie mentale qui se caractérise par une absence totale du sens de l’humour, of course…
Les rires de tous les pervers de la bande de « déconnologues » du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’étalent sur la toile depuis huit ans sans que la « justice » française, plusieurs fois saisie par les victimes, n’y ait jamais rien trouvé à redire, bien au contraire : les magistrats brestois participent activement à toutes les saloperies de cette bande de criminels patentés.
Ils ont toujours approuvé le projet « littéraire » que le mythomane Cyprien Luraghi présente depuis ses débuts comme l’écriture de ma soi-disant « biographie », une montagne d’ordures principalement constituée de la vie sexuelle qu’il m’attribue sans même me connaître, et qu’il avait justifiée comme suit au printemps 2012 :
Fucking class hero
Par cyp | Publié : 9 mai 2012
Il n’y a pas que le cul dans la vie. Mais un peu pas mal tout de même. Sans sexe, que serions-nous sinon des espèces de tristes myxomycètes ? Sans sexe, pas de déconnologie : au grand dam des biomormons − ces saloperies de puritains des temps modernes − les grosses blagues de cul nous font rire grassement. Le cul est un des ciments liant ces êtres si différents les uns des autres que nous sommes. Et il est aussi à l’origine des toutes premières discussions de joyeux drilles partant en vrille qui nous caractérisent et que le monde entier nous envie − nous jalouse : je le dis tout net.
Lire la suite ici :
http://petitcoucou.unblog.fr/2017/01/05/harcelement-sexuel-un-fleau-toujours-extremement-bruyant/
…/…
A l’heure où d’autres commencent à prendre conscience des ravages produits par ces pervers tandis que leur « Konducator » Cyprien Luraghi me promet encore de monter d’une strate dans l’horreur et l’abjection, il était bon de le rappeler.
Comment s’étonner que les victimes aient encore du mal à dénoncer ce qu’elles subissent quand, au-delà de toutes les difficultés à exprimer l’ignoble saloperie, on leur dit encore comme certaines personnalités sur les plateaux télévisés dans les années 1990 que la loi a tout réglé, qu’il n’y a plus de harcèlement sexuel dans les entreprises (Elisabeth Guigou), ou qu’il suffit de dire non pour que ça s’arrête (Inès de la Fressange dans le même débat télévisé), comme si ces pervers pensaient toujours à nous demander notre avis ou pouvaient en tenir compte ? Cela m’avait tellement choquée que je me souviens toujours très précisément de qui avait dit quoi.
http://www.europe1.fr/societe/le-harcelement-sexuel-au-travail-est-encore-complique-a-denoncer-2740978
Le harcèlement sexuel au travail est « encore compliqué à dénoncer »
07h42, le 10 mai 2016
L’affaire de harcèlement sexuel mettant en cause Denis Baupin secoue actuellement le monde politique et révèle une chose : le harcèlement sexuel au travail n’est pas rare.
20% des femmes concernées. L’affaire de harcèlement sexuel mettant en cause l’élu vert Denis Baupin
secoue actuellement le monde politique et révèle une chose, le
harcèlement sexuel au travail n’est pas un fait rare. La dernière
enquête sur le harcèlement sexuel, commandé par le Défenseur des Droits,
révèle que 20% des femmes y ont été confrontées au moins une fois. Des chiffres qui sont d’ailleurs dans les mêmes proportions que les violences conjugales.
« Un environnement hostile et humiliant ». « La définition du harcèlement sexuel a été revue et corrigée en 2012 par une nouvelle loi qui correspond bien à la réalité vécue par les femmes, à savoir le fait d’imposer des propos et des comportements à connotation sexuelle, au moins une fois. Des propos qui portent atteinte à la dignité et qui créé un environnement intimidant, hostile, humiliant et offensant », a expliqué mardi matin sur Europe 1, Marilyn Baldeck, la déléguée générale de l’Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT).
« Souvent pris à la légère ». La déléguée générale de l’AVFT conseille donc à toutes les femmes qui en sont victimes d’en parler autour d’elles, même si, elle l’admet, « les femmes osent parler mais le problème vient plutôt de la surdité de leurs interlocuteurs qui ne veulent pas les entendre, car entendre suppose d’agir ». Selon elle, il est donc « encore compliqué de dénoncer des faits de harcèlement sexuel qui sont souvent pris à la légère et à la rigolade » car, « on a tendance à dire : ‘est-ce la femme qui ne l’aurait pas un peu cherché ?’ ».
A qui s’adresser ? »Il y a une panoplie d’acteurs qui sont compétents en matière de harcèlement sexuel. La victime peut tout d’abord aller voir le médecin du travail qui a compétence pour intervenir auprès de l’employeur. Elle peut aussi saisir l’inspection du travail, chargée de faire respecter la réglementation et il peut également y avoir dans les grandes entreprises des délégués et des représentants du personnel », a détaillé Marilyn Baldeck. Si la délégué générale de l’AVFT a donc un conseil à donner c’est, « qu’il faut en parler à un maximum de personnes et conserver toutes les traces, que ce soient des textos, des mails ou des messages vocaux. Il faut en quelque sorte tenir un journal de bord ».
Que risque un harceleur ? Un harceleur risque jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende. « Une peine qui peut se voir augmentée en cas de circonstances aggravantes telles qu’un abus d’autorité », a ajouté Marilyn Baldeck. Et, sachez également que la prescription des faits est de trois ans. Au delà, le harceleur ne sera plus inquiété par la justice.
Plus rare, les hommes peuvent également dénoncer des faits de harcèlement sexuel car cette situation n’est pas réservée aux femmes. Et dans la plupart des cas, cette situation met en cause d’autres hommes.
« Un environnement hostile et humiliant ». « La définition du harcèlement sexuel a été revue et corrigée en 2012 par une nouvelle loi qui correspond bien à la réalité vécue par les femmes, à savoir le fait d’imposer des propos et des comportements à connotation sexuelle, au moins une fois. Des propos qui portent atteinte à la dignité et qui créé un environnement intimidant, hostile, humiliant et offensant », a expliqué mardi matin sur Europe 1, Marilyn Baldeck, la déléguée générale de l’Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT).
« Souvent pris à la légère ». La déléguée générale de l’AVFT conseille donc à toutes les femmes qui en sont victimes d’en parler autour d’elles, même si, elle l’admet, « les femmes osent parler mais le problème vient plutôt de la surdité de leurs interlocuteurs qui ne veulent pas les entendre, car entendre suppose d’agir ». Selon elle, il est donc « encore compliqué de dénoncer des faits de harcèlement sexuel qui sont souvent pris à la légère et à la rigolade » car, « on a tendance à dire : ‘est-ce la femme qui ne l’aurait pas un peu cherché ?’ ».
A qui s’adresser ? »Il y a une panoplie d’acteurs qui sont compétents en matière de harcèlement sexuel. La victime peut tout d’abord aller voir le médecin du travail qui a compétence pour intervenir auprès de l’employeur. Elle peut aussi saisir l’inspection du travail, chargée de faire respecter la réglementation et il peut également y avoir dans les grandes entreprises des délégués et des représentants du personnel », a détaillé Marilyn Baldeck. Si la délégué générale de l’AVFT a donc un conseil à donner c’est, « qu’il faut en parler à un maximum de personnes et conserver toutes les traces, que ce soient des textos, des mails ou des messages vocaux. Il faut en quelque sorte tenir un journal de bord ».
Que risque un harceleur ? Un harceleur risque jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende. « Une peine qui peut se voir augmentée en cas de circonstances aggravantes telles qu’un abus d’autorité », a ajouté Marilyn Baldeck. Et, sachez également que la prescription des faits est de trois ans. Au delà, le harceleur ne sera plus inquiété par la justice.
Plus rare, les hommes peuvent également dénoncer des faits de harcèlement sexuel car cette situation n’est pas réservée aux femmes. Et dans la plupart des cas, cette situation met en cause d’autres hommes.
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