L’intervention russe en Syrie a débuté le 30 septembre 2015, jour même de l’audience tant attendue devant la Cour d’Appel de Rennes quant aux accusations mensongères de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre, alors que la France avait aussi commencé à y faire des vols de reconnaissance pour préparer des raids ciblés contre les djihadistes de l’EI.
La volonté de mes adversaires de gagner coûte que coûte contre toutes les lois de la République française et de permettre enfin au malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi de publier l’intégralité de sa version calomnieuse de ma biographie en toute sérénité avait déjà causé plusieurs assassinats, notamment ceux des 7, 8 et 9 janvier 2015 à Paris, par attentat terroriste portant sur le thème de la liberté d’expression, devenue objet d’une véritable haine du psychopathe de Puy-l’Evêque depuis que mon soi-disant complice OverBlog l’avait évoquée pour sa propre défense à Brest.
De report en report, le procès en appel initialement prévu au mois de septembre 2013 s’était beaucoup trop éloigné des manifestations de juin 2013 relatives à l’affaire du décès de Clément Méric pour que celles-ci puissent encore le porter d’aucune manière, et derechef, après de nouveaux reports inattendus, de celles consécutives à l’attentat commis contre Charlie Hebdo le 7 janvier 2015 à Paris. Il était donc évident qu’un nouvel attentat se préparait.
Au mois de mars 2016, la défaite inattendue de Josette Brenterch contre Petitcoucou et OverBlog le 2 décembre 2015 devant la Cour d’Appel de Rennes devenait définitive, puis la Russie surprenait le monde en annonçant un retrait progressif de ses troupes en Syrie.
Au mois d’avril 2016, les deux complices Cyprien Luraghi et Josette Brenterch n’ayant toujours pas abandonné leurs projets prétendument « littéraires » me concernant consultaient un nouvel avocat et en obtenaient qu’il accepte comme les précédents d’instrumentaliser la justice à leur profit.
Attentats et menaces d’attentats étaient donc toujours d’actualité.
Les interventions russes en Syrie se poursuivaient alors que cette nouvelle procédure tout aussi ahurissante que la précédente et celles de NEMROD34 dans l’Hérault donnait lieu à deux audiences successives les 13 septembre et 8 novembre 2016.
Initialement fixée au 16 décembre 2016, la décision cette fois-ci attendue a finalement été rendue hier, 5 janvier 2017.
Aujourd’hui, 6 janvier 2017, la Russie annonce de nouveau son retrait de la Syrie.
Le 6 janvier est aussi un anniversaire important, celui du 6 janvier 1994 où s’était produit le premier des évènements ayant tout au long de cette année-là provoqué les aléas des négociations des deux contrats d’armement Sawari II et Agosta.
http://www.liberation.fr/planete/2017/01/06/la-russie-se-retire-a-nouveau-de-syrie_1539566
La Russie se retire (à nouveau) de Syrie
Par Veronika Dorman — 6 janvier 2017 à 17:43
La Russie va encore une fois alléger son dispositif militaire déployé en soutien du régime de Bachar el-Assad.
- La Russie se retire (à nouveau) de Syrie
Plutôt deux fois qu’une. La Russie a commencé ce vendredi le retrait d’une partie de son dispositif militaire en Syrie. La première fois, c’était en mars dernier, quand Vladimir Poutine avait créé la surprise en annonçant le retrait du gros de ses troupes, estimant que la tâche que la Russie s’était fixée avait été «globalement accomplie». Officiellement, la phase active de l’opération russe en Syrie était terminée. Mais le Kremlin n’a pas cessé, depuis, d’investir des moyens considérables pour soutenir le régime de Bachar al-Assad. Des systèmes de défense aérienne S-300 installés en septembre sur sa base de Tartous et S-400 Triumph sur celle de Hmeimim, dans la province de Lattaquié, au porte-avions Amiral Kouznetsov déployé en novembre au large des côtes syriennes, en Méditerrannée. La Russie a finalement sauvé de la déroute l’armée syrienne et évité l’effondrement du régime, en lui assurant notamment la victoire décisive à Alep, dans les derniers jours de 2016.
C’est le départ de l’Amiral Kouznetsov qui doit marquer le coup d’envoi du retrait russe. «Les objectifs assignés au groupe aéronaval pendant sa mission ont été atteints», a déclaré le chef des opérations militaires russes en Syrie, le général Andreï Kartapolov, en précisant que les pilotes russes ont effectué, en deux mois d’opérations, 420 sorties aériennes et frappé plus de 1 200 cibles terroristes : infrastructures, combattants et stocks d’armes, postes de tirs et places fortifiées… «Toutes les cibles ont été détruites», a-t-il conclu. «Le soutien de l’armée de l’air russe a joué un rôle essentiel dans ces victoires, et ouvert la voie à un accord sur une suspension des hostilités, créant les conditions nécessaires au lancement d’une régulation politique du conflit en Syrie», a déclaré de son coté le chef d’état-major de l’armée du régime, Ali Abdullah Ayyoub, cité par les agences russes.
Un cessez-le-feu est entré en vigueur le 30 décembre, sous l’impulsion de Moscou, qui s’apprête à tenir, à la fin du mois, des négocations de paix à Astana (Kazakhstan), avec la Turquie et l’Iran, en excluant la coalition menée par les Etats-Unis. Le plan de sortie de crise russo-turc avait été adopté à l’unanimité par le Conseil de sécurité de l’ONU, mais les représentants américain, français et britannique avaient néanmoins déploré que certains détails de l’accord ne leur aient pas été communiqués, comme la liste précise des groupes armés concernés par le cessez-le-feu. Les négociations sous l’égide de l’ONU doivent reprendre le 8février à Genève.
Veronika Dorman
http://www.leparisien.fr/international/syrie-la-russie-annonce-un-allegement-de-sa-presence-militaire-06-01-2017-6533121.php
Syrie : la Russie annonce un allègement de sa présence militaire
>International|06 janvier 2017, 11h03|3
Le groupe aéronaval russe et son porte-avions Amiral Kouznetsov devraient prochainement quitter la région.
Une semaine après l’annonce d’un cessez-le-feu global en Syrie entre régime et rebelles, la Russie a annoncé vendredi avoir commencé à alléger son dispositif militaire mobilisé dans le pays.
En application des décisions du président russe Vladimir Poutine, «le ministère de la Défense russe a commencé à réduire les forces militaires déployées pour la Syrie», ont affirmé plusieurs agences russes citant le chef d’état-major de l’armée russe, le général Valeri Guérassimov.
>>A LIRE. Syrie : les rebelles gèlent les discussions sur la paix après de nouveaux bombardements
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