C’est bien encore Lulu qui se gourationnait gravement sur le jour de son verdict, il l’a dit après avoir lu mon précédent article.
Plus nul que lui en dates, cela n’existe pas, précise-t-il.
Ce n’est pas son seul domaine de nullité absolue, mais passons.
S’il a un tel problème avec les dates, c’est tout simplement, comme je l’ai déjà dit, parce qu’il ne vit pas sur la même planète que nous ou dans le monde réel ordinaire des gens normaux. Il ne vit que pour et par la jouissance que lui procurent toutes ses saloperies et n’en retient donc que les dates, tout le reste n’ayant pour lui strictement aucune existence.
Je l’avais déjà remarqué en 2009.
Entre autres choses, il restait buté sur la date du 22 mars 2009 comme marquant le début de la révolte d’un certain nombre de riverains du site Rue89 contre sa bande de « déconnologues » qui le polluait quotidiennement avec des quantités considérables de commentaires injurieux et diffamatoires à l’égard d’autres riverains, notamment ceux qu’ils venaient tous les jours y harceler tous en meute, comme moi, ces posts tous hors sujet et particulièrement orduriers nécessitant plusieurs fois par jour l’intervention des modérateurs.
Le riverain répondant au pseudonyme de « Quinine » avait donné le top départ de cette révolte avec une « lettre ouverte » qu’il avait postée à leur attention dans les commentaires sur un article du site… en réalité une bonne semaine plus tard.
En fait, la date du 22 mars 2009 correspondait à celle où Cyprien Luraghi s’était inscrit sur le site Le Post pour aller y calomnier ses cibles habituelles sur le site Rue89, dont moi, et demander aux modérateurs et journalistes du Post comme à ceux de Rue89 leur bannissement et la suppression de leurs comptes, entraînant sur Le Post la suppression de tous les commentaires et textes afférents, au motif que nous n’aurions été que des folles. Or, en ce qui me concerne, je n’y serai jamais inscrite que six mois plus tard…
Cette initiative de Cyprien Luraghi avait choqué et lui sera reprochée par Quinine quelques jours plus tard, dans le flot de tous les griefs qu’il avait à lui adresser.
D’où, probablement, la confusion de dates dans l’esprit du coupable.
Et le 7 janvier, qu’est-ce donc ?
Eh bien, c’est très simple, il y a deux ans, Cyprien Luraghi attendait avec impatience ce jour de l’année, il l’attendait depuis tellement longtemps que ce jour reste gravé dans son esprit comme celui d’une très grosse victoire, celle censée emporter la confirmation de condamnation qu’il attendait de la Cour d’Appel de Rennes à la suite de l’audience alors fixée au 4 février 2015, mais de report inattendu en report non prévu, ce fut un flop que même le remake à grande échelle du 13 novembre 2015 à quelques jours seulement du verdict tant attendu ne put rattraper, si bien qu’il s’est ensuite lancé dans une nouvelle procédure abusive sur laquelle il a reporté tous ses espoirs d’il y a deux ans.
D’où, à nouveau, une remarquable confusion de dates dans son esprit.
Cela dit, il a bien réitéré ce jour sa menace de publication d’une nouvelle montagne d’incroyables saloperies dès qu’il aura obtenu la décision qu’aujourd’hui il attend, si seulement il l’obtient.
http://rue89.nouvelobs.com/2017/01/03/nest-travail-journalistique-est-pourri-266011
« Ce n’est pas “le travail journalistique” qui est pourri »
Oui, c’est une guerre, la guerre de l’infaux. Une guerre mondiale.
Et comme dans toute guerre, il faut être d’un côté ou de l’autre. Pas
d’entre deux. Pas de no man’s land. Pas de distance critique. Avec nous
ou contre nous….
Par Daniel Schneidermann. Publié le 03/01/2017 à 10h20
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Commentaires postés
Publié le 03/01/2017 à 14h54
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Publié le 03/01/2017 à 14h57
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Publié le 03/01/2017 à 15h27
C’est bien ce qui me semblait…vous devriez faire breveter « retard supplementaire ».
Pas pour le même litige, un ami attend depuis deux ans, de report en retard que le jugement soit rendu sur son affaire, comme il s’agit uniquement d’argent ( licenciement économique) on en blague depuis qu’il a retrouvé du boulot, ce devait être en Décembre maintenant en Mars, il attaque la troisième année, vaillamment….
Pas pour le même litige, un ami attend depuis deux ans, de report en retard que le jugement soit rendu sur son affaire, comme il s’agit uniquement d’argent ( licenciement économique) on en blague depuis qu’il a retrouvé du boulot, ce devait être en Décembre maintenant en Mars, il attaque la troisième année, vaillamment….
2 réponses
Publié le 03/01/2017 à 18h04
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Publié le 03/01/2017 à 18h12
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Publié le 03/01/2017 à 18h15
Il s’agit donc d’un retard supplémentaire écourté pour cause de nullitude en dates du justiciable. Une grande première qu’il convient d’arroser d’un bon café ; -)
Sinon faut pas être pressé, c’est clair.