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samedi 21 novembre 2015

Terrorisme : inquiétude autour d'un vol à l'hôpital Necker

L’extrême-gauche est toujours chez elle dans les hôpitaux, elle y fait exactement ce qu’elle veut au mépris des lois de la République.

Nous l’avons déjà vu, par exemple, au mois de juin 2013, alors qu’elle avait annoncé le décès du jeune Brestois Clément Méric le soir même des faits ayant conduit à sa mort le lendemain.

A l’époque, elle attendait ma condamnation par le Tribunal Correctionnel de Brest le 11 juin 2013 pour la publication de droits de réponse à la suite des campagnes de calomnies publiques nominatives que Josette Brenterch, du NPA de Brest, menait à mon encontre depuis le 19 juin 2010.

Aujourd’hui, c’est une confirmation en appel de cette condamnation qui est attendue.

Ce second procès, initialement programmé pour septembre 2013, alors que l’émotion suscitée par la mort du jeune militant « antifasciste » n’était pas retombée, a été reporté plusieurs fois jusqu’à cette année.

Lors des attentats sanglants des 7, 8 et 9 janvier 2015 à Paris, commis notamment CONTRE LA LIBERTE D’EXPRESSION, mes adversaires de la bande du cyberdélinquant, psychopathe et terroriste Cyprien Luraghi étaient persuadés que ce procès en appel se tiendrait le 4 février, mais il a encore été reporté par une décision inattendue de fin janvier 2015 et n’a finalement eu lieu que le 30 septembre dernier.

Le « bénéfice » de ces attentats pour le terroriste prétendument « antifasciste » Cyprien Luraghi commençait à s’estomper.



http://www.leparisien.fr/faits-divers/attentats-etrange-vol-a-l-hopital-necker-21-11-2015-5299813.php

Attentats : étrange vol à l’hôpital Necker


21 Nov. 2015, 15h46 | MAJ : 21 Nov. 2015, 15h46

Illustration. Simulation de contamination bactériologique à la Défense, le 19 novembre.
Illustration. Simulation de contamination bactériologique à la Défense, le 19 novembre.
AFP/ALEXANDER KLEIN

Une dizaine de combinaisons de protection étanches, du type des kits de protection contre le virus Ebola, trois fois plus de paires de bottes en polyéthylène, une matière résistante aux agents chimiques, des gants, des masques antibactériens… Ces équipements ont disparu cette semaine d’un local sécurisé de l’hôpital pédiatrique de l’AP-HP Necker (Paris XVe).


Un local auquel aurait accès « beaucoup de monde pour l’approvisionnement en matériel courant ». L’institution confirme que « la disparition de ces éléments de tenue, en nombre limité, a été constatée mercredi et une plainte déposée le lendemain ». Un tel vol intrigue dans le contexte actuel. « Après les déclarations alarmistes du Premier ministre sur d’éventuelles attaques chimiques, c’est forcément inquiétant », note le maire du XVe Philippe Goujon. « Les conditions de sécurité ont été renforcées sur le site », répond l’AP-HP.



http://www.lepoint.fr/societe/attentats-de-paris-un-vol-qui-inquiete-a-l-hopital-necker-21-11-2015-1983624_23.php

Attentats de Paris : un vol qui inquiète à l’hôpital Necker


Des combinaisons de protection pour lutter contre des agents chimiques ont été dérobées, au moment où se précise la menace de ce type d’attaques.


Publié le 21/11/2015 à 14:24 – Modifié le 21/11/2015 à 15:16 | Le Point.fr

Des combinaisons de protection étanches, semblables à celles utilisées pour lutter contre le virus Ebola et permettant de se protéger contre des agents chimiques, ont été dérobées dans l'hôpital Necker, à Paris. Un vol qui inquiète les autorités.
Des combinaisons de protection étanches, semblables à celles utilisées pour lutter contre le virus Ebola et permettant de se protéger contre des agents chimiques, ont été dérobées dans l’hôpital Necker, à Paris. Un vol qui inquiète les autorités.

C’est un vol qui provoque l’inquiétude. Une dizaine de tenues résistantes aux agents chimiques, une trentaine de bottes en polyéthylène, des gants et des masques antibactériens ont « disparu » cette semaine de l’hôpital pédiatrique Necker, situé dans le 15e arrondissement de Paris, révèle Le Parisien dans son édition du samedi 21 novembre. Des combinaisons semblables à celles utilisées pour traiter le virus Ebola.

Selon la direction de l’hôpital, elles étaient situées dans un local sécurisé, mais auquel aurait accès « beaucoup de monde pour l’approvisionnement en matériel courant ». La disparition a été constatée mercredi matin, et l’hôpital a déposé une plainte.

« C’est forcément inquiétant »


Le maire du 15e arrondissement, Philippe Goujon (Les Républicains), fait part de son inquiétude. « Après les déclarations alarmistes du Premier ministre sur d’éventuelles attaques chimiques, c’est forcément inquiétant. » Jeudi, devant l’Assemblée, Manuel Valls a fait part d’un nouveau risque. « Je le dis bien sûr avec toutes les précautions qui s’imposent, mais nous le savons, et nous l’avons à l’esprit, il peut aussi y avoir le risque d’armes chimiques ou bactériologiques. »

Une déclaration d’autant plus inquiétante que, selon les services de renseignements français, cités par plusieurs médias, Daesh est capable de fabriquer du gaz moutarde. Par le passé, le groupe terroriste État islamique a déjà utilisé des armes chimiques, en Syrie notamment.

Inquiétude avant la COP 21


Lundi 16 novembre, trois jours après les attentats de Paris, un décret a été publié au Journal officiel. Il permet au Service des armées d’approvisionner les services d’aide médicale urgente en sulfate d’atropine. Une substance qui est le seul antidote permettant de traiter les personnes au contact du gaz sarin notamment.

Le texte évoque la nécessité de « prendre toute mesure utile en cas d’exposition d’un nombre potentiellement important de victimes». La publication de ce décret, à quinze jours à peine du début de la COP21, illustre l’inquiétude des autorités autour de l’organisation de cet évènement mondial. Une mesure d’urgence, alors que le délai est trop court pour que les laboratoires aient le temps de fabriquer des quantités suffisantes d’antidote.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/11/21/97001-20151121FILWWW00136-paris-disparition-de-materiel-de-protection-chimique-a-necker.php

Paris: disparition de matériel de protection chimique à Necker

 

    • Par Le Figaro.fr
    • Mis à jour le 21/11/2015 à 19:53
    • Publié le 21/11/2015 à 19:46

Une dizaine de tenues de protection, du type de celles utilisées contre le virus Ebola, ont disparu cette semaine d’un local sécurisé de l’hôpital pédiatrique Necker, rapporte Le Parisien.

Avec ces combinaisons, une trentaine de paires de bottes résistant aux agents chimiques, ainsi que des gants et des masques antibactériens, manquent également.

« La disparition de ces éléments de tenue, en nombre limité, a été constatée mercredi et une plainte déposée le lendemain », a détaillé l’institution auprès du quotidien. Les conditions de sécurité sur le site ont été renforcées.

« Après les déclarations alarmistes du Premier ministre sur d’éventuelles attaques chimiques, c’est forcément inquiétant », a relevé le maire du XVe arrondissement, où est situé l’établissement, Philippe Goujon. Jeudi, le premier ministre a rappelé que risque d’attaques chimiques en France était pris en compte par les autorités.

LIRE AUSSI:
 
» Les cinq choses à savoir sur les attaques chimiques


http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/11/19/01016-20151119ARTFIG00236-les-cinq-choses-a-savoir-sur-les-attaques-chimiques.php

Les cinq choses à savoir sur les attaques chimiques

 

    • Par Caroline Piquet
    • Mis à jour le 19/11/2015 à 21:52
    • Publié le 19/11/2015 à 16:56

Policiers, pompiers et secouristes s'entraînent à réagir à une éventuelle attaque chimique jeudi 12 novembre à Lens, au Stade Ballaert, qui accueillera quatre matchs de l'Euro 2016.
 
VIDÉO – Jeudi matin, le premier ministre Manuel Valls a déclaré que ce type d’attentat n’était pas à exclure, alors que tous les Samu de France vont se voir approvisionner en atropine, seul antidote contre les gaz très toxiques.

Le risque d’attentats aux armes chimiques est-il réel? Devant l’Assemblée nationale, le premier ministre Manuel Valls ne l’a pas exclu ce jeudi. Evoquant une «guerre nouvelle» et l’«imagination macabre» des donneurs d’ordre des attentats, le locataire de Matignon a évoqué, «avec toutes les précautions qui s’imposent», «le risque d’armes chimiques ou bactériologiques».

Cette mise en garde est loin d’être surprenante. Samedi, le gouvernement a autorisé en urgence, par la voie d’un arrêté du ministère de la Santé, la pharmacie des armées à distribuer un antidote aux Services d’aide médicale urgente (Samu) ainsi qu’aux équipes de sapeurs-pompiers pouvant être amenées à intervenir sur ce type d’opération. Ce produit est appelé sulfate d’atropine 40 mg/20ml PCA. La publication de ce texte, qui n’est pas liée aux attentats de Paris et de Saint-Denis, selon la Direction générale de la santé (DGS), puisqu’il a été rédigé en vue de la COP21, soulève de nombreuses questions. Le Figaro tente d’y répondre, point par point.

• Quelles sont ces armes chimiques et biologiques?


Ce sont des produits considérés comme des armes de destruction massive. «Les armes chimiques utilisent délibérément les propriétés toxiques de substances chimiques pour tuer ou pour blesser», explique le bureau des affaires du désarmement des Nations Unies. En clair, c’est une substance inerte qui agit dans un rayon donné. Les plus dangereuses peuvent être classées en trois grandes catégories:

1) Les agents vésicants: le gaz moutarde, très utilisé pendant la Première Guerre mondiale, entre dans cette catégorie.

2) Les agents suffocants, tel que le chlore.

3) Les agents neurotoxiques organophosphorés comme le gaz sarin, le VX, le tabun et le soman. C’est exactement ce type d’agent qui inquiète le gouvernement.

Quant aux armes biologiques, elles utilisent «des agents pathogènes (virus, bactéries. NDLR) pour tuer ou blesser des êtres humains ou des animaux», précise encore les Nations unies. Autrement dit, elles sont destinées à propager des maladies au sein d’une population. Un exemple: les attaques à l’aide d’enveloppes contenant les bactéries de la maladie du charbon (Bacillus anthracis), fin 2001 aux Etats-Unis. Envoyées à cinq médias et à deux sénateurs, ces enveloppes contaminées avait causé la mort de cinq personnes.

• Quel usage a-t-on le droit d’en faire?


L’utilisation des armes biologiques est interdite par une convention internationale depuis 1925, et leur mise au point et leur possession depuis 1972. Les armes chimiques, elles, sont interdites par un traité international signé en 1993 et entré en vigueur en 1997 avec la Convention sur les armes chimiques. Pour autant, elles sont encore utilisées dans des conflits armés. Ce fut le cas en août 2013, lorsque la ville de Damas a été bombardée à coups de missiles emplis de toxique chimique sarin, faisant des centaines de morts. Le sarin a aussi été utilisé dans le nord de l’Irak contre les Kurdes en 1988 et au Japon en 1995 lors d’un attentat de la secte Aum, perpétré dans le métro de Tokyo. Cette attaque avait causé la mort de 12 personnes et envoyé plusieurs milliers à l’hôpital.

• L’Etat islamique pourrait-il utiliser des armes chimiques ou biologiques en France?


Ces derniers mois, l’Etat islamique était soupçonné d’utiliser des armes chimiques en Irak et en Syrie. Notamment en août dernier, selon des ONG humanitaires. Début novembre, un rapport confidentiel de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) a confirmé que des personnes avaient été touchées par du gaz moutarde. Si cette organisation, de part son statut, n’a pas le droit de désigner un responsable, ses conclusions permettent d’en déduire que c’est bien l’EI qui y a eu recours. Lors des combats, ce sont les formations rebelles qui en ont été victimes, pas Daech. En revanche, il est peu probable que le groupe terroriste s’intéresse aux armes biologiques, leur efficacité étant plus relative.

De l’avis des experts, les risques d’une attaque aux armes chimiques en France sont minces, mais pas impossibles. «Il est compliqué d’organiser un attentat aux armes chimiques», nous explique Olivier Lepick, chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique et spécialiste des armes chimiques. «C’est une chose de pouvoir utiliser des obus résiduels d’Irak et de Syrie. C’en est une autre de les fabriquer». En revanche, «il est important de prendre en compte cette menace. Il faut pouvoir s’y préparer». Si un tel scénario devait se présenter, «Daech ciblerait probablement un endroit confiné comme une station de métro», essaie d’imaginer Olivier Lepick. Sous quelle forme? «Une bonbonne de gaz moutarde ou des obus chimiques reliés à un système explosif», suppose-t-il.

• Quelles sont les effets de ces armes sur le corps humain?


Vomissements, convulsions, problèmes respiratoires…Chaque arme chimique provoque des effets différents. Idem pour les biologiques. Comme leur nom l’indique, les agents neurotoxiques (gaz ou liquide sarin) perturbent les liaisons chimiques entre le système nerveux et les muscles et peuvent provoquer une paralysie du corps conduisant à l’arrêt cardiaque. Les vésicants (gaz moutarde) irritent la peau, les yeux et les muqueuses. Les agents suffocants, tel que le chlore, entraînent de forts troubles respiratoires.

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