J’ai déjà rapporté sur ce blog plusieurs articles de presse relatifs à cette affaire le 21 novembre 2015.
En voilà encore d’autres, dont le compte rendu d’audience publié par le Télégramme le 19 novembre 2015, et des articles parus au mois de janvier 2013, lorsque l’affaire avait éclaté.
Il en ressort clairement que les discussions entre Maître David Rajjou et le Procureur de la République de Brest à propos de cette affaire ont été houleuses dès ses débuts et jusqu’à la fin du procès.
L’avocat de Josette Brenterch, du NPA de Brest, qui obtient ce qu’il veut des juges brestois avec une facilité déconcertante, n’a pas gagné face aux magistrats du Parquet dans cette affaire.
Après avoir rappelé que la corruption de fonctionnaires est l’un des multiples sujets qui m’ont toujours opposée à Josette Brenterch et ses amis de la « gauche radicale » brestoise, qui tous soutiennent mordicus que celle-ci n’existerait pas plus que les organisations criminelles (et pour cause, ils en sont tous), il convient de noter qu’au mois de janvier 2013 plusieurs des dossiers des procédures judiciaires qui nous opposent se trouvaient en attente de décision chez ses amis juges d’instruction du Tribunal de Grande Instance de Brest.
Or, ceux-ci se sont réveillés précisément le 9 janvier 2013 pour prendre des décisions la satisfaisant entièrement en dépit de réquisitions contraires du Procureur de la République de Brest.
http://www.letelegramme.fr/bretagne/trafic-a-la-maison-d-arret-de-lourdes-peines-requises-19-11-2015-10855284.php
Comment cette surveillante de prison, âgée de 46 ans et bien notée jusque-là, a-t-elle pu « franchir la ligne », au point d’affirmer ne pas être « une balance » à un magistrat désireux d’en savoir plus sur ses agissements ? Cette question, le tribunal de Brest a tenté d’y répondre, hier, lors de débats bien plus sereins que ceux de la veille. Objectif : démêler les entrelacs d’un trafic de stupéfiants, d’alcool et de téléphones au sein de l’Hermitage entre décembre 2012 et le 9 janvier 2013, jour où la surveillante, uniforme sur le dos, a été interpellée en possession de 205 g de cannabis et d’un litre de vodka. Ce premier trafic démantelé, une seconde combine avait pu être mise en évidence. Au total, dix prévenus se sont succédé, deux jours durant, à la barre du tribunal brestois.
Mutée à Brest, en 2011, en provenance de Nantes, où elle exerçait après sa formation au Bois d’Arcy, la surveillante se trouve, à l’époque, dans un état de « détresse affective ». Son divorce, en 2010, avec le père de ses trois enfants, un homme épousé à l’âge de 19 ans et avec lequel elle avait connu la prospérité, a laissé des traces. Ses enfants confiés à leur père, elle revient dans sa ville natale, trouve refuge chez ses parents, avant de « se faire mettre dehors par son père ». Plongée dans une « solitude absolue » elle ne trouve alors de « réconfort » que dans son travail.
Au « 4.2 », étage de la maison d’arrêt où elle exerce, elle se lie d’amitié avec plusieurs détenus. Pour l’un d’entre eux, qu’elle retrouve le soir sur un site de rencontre en ligne, elle fait rentrer un téléphone, en novembre 2012. Le « tout premier impair » de cette femme, et un moyen, selon elle, de « faire plaisir » à un homme condamné à 25 ans de réclusion en 2007 pour viol en récidive, dont elle était tombée follement amoureuse.
Cet homme, présenté, hier, comme l’« agent corrupteur » par le procureur Diacono lors de son réquisitoire, est soupçonné d’avoir ensuite tiré profit de cette liaison, consommée dans la buanderie de l’établissement carcéral, pour organiser l’import de cannabis avec un autre prévenu incarcéré au moment des faits et multirécidiviste en matière de stupéfiants.
Grâce à ses contacts à l’extérieur, dont son « frère », un ami d’enfance contre lequel deux ans de prison ont été requis, ce dernier est soupçonné d’avoir fait entrer de la résine à l’intérieur de la maison d’arrêt, via la surveillante amoureuse. La résine était ensuite partagée, puis consommée (l’un fumait « jusqu’à 15 joints par jour ») ou revendue, avant que « l’argent ne soit exfiltré par le parloir », comme l’a défendu le représentant du ministère public, insistant sur le fait « qu’on jugeait bien ici, non pas l’administration pénitentiaire, mais des individus », contrairement aux arguments avancés par la défense tout au long de ces deux journées d’audience.
Des téléphones (revendus jusqu’à 800 € en prison), de l’alcool (négocié 40 € la demi-bouteille), mais aussi des cadeaux (bijoux, vêtements, plats cuisinés) ont aussi été introduits par la surveillante, contre une « bouteille de champagne » ou la promesse d’un « CD de Céline Dion ».
Les méfaits de ce « quatuor infernal » connaissent finalement un coup d’arrêt lorsque quatre bouteilles d’alcool et un téléphone sont découverts, peu avant Noël, occasionnant « un grand bazar » au « 4.2 ». Fouilles et écoutes allaient alors permettre de mettre au jour les différentes implications et de révéler un second trafic, pour lequel six des prévenus comparaissaient également et contre lesquels jusqu’à deux ans de prison ont été requis. Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 12 janvier.
http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/01/10/une-surveillante-de-la-maison-d-arret-de-brest-en-garde-a-vue_1815063_3224.html
Le Monde.fr avec AFP | 10.01.2013 à 15h02
La police
a procédé à une intervention à la maison d’arrêt de Brest, mercredi 9
janvier, et a interpellé une surveillante et trois détenus.
L’information a été donnée jeudi par la substitut du procureur de Brest, confirmant une information relayée par les quotidiens régionaux Ouest-France et Le Télégramme. Le directeur de la maison d’arrêt, Richard Ménager, s’est montré prudent : « Une enquête judiciaire est menée au sein de l’établissement« , a-t-il déclaré, confirmant simplement l’intervention de la police judiciaire, mercredi.
De l’argent, des téléphones portables et de la drogue auraient été trouvés dans les cellules des détenus placés en garde à vue, selon Ouest-France, qui ajoute que la surveillante pénitentiaire aurait pu favoriser l’introduction de ces différents biens au sein de la maison d’arrêt. Le Télégramme écrit que ladite surveillante aurait noué une relation amoureuse avec un détenu. Elle lui aurait fourni régulièrement du cannabis, de l’alcool et des téléphones portables, que l’amant aurait revendus à ses codétenus, ajoute le quotidien.
http://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-la-police-fait-une-descente-la-maison-darret-351464
Une vingtaine de policiers ont mené une opération mercredi soir à la maison d’arrêt de l’Hermitage, à Brest. Selon nos informations, trois cellules auraient été fouillées, à l’aide d’un chien. De l’argent, de la drogue et des téléphones portables auraient été retrouvés. Trois détenus auraient été placés en garde à vue, ainsi qu’une surveillante de prison, qui serait soupçonnée d’avoir fourni une assistance aux prisonniers. D’après la CGT de la maison d’arrêt « ce genre d’opération est extrêmement rare ».
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/maison-d-arret-de-brest-la-surveillante-amoureuse-trafiquait-10-01-2013-1967785.php?redirect=true
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/une-surveillante-de-prison-mise-en-examen-brest-178089.html
En voilà encore d’autres, dont le compte rendu d’audience publié par le Télégramme le 19 novembre 2015, et des articles parus au mois de janvier 2013, lorsque l’affaire avait éclaté.
Il en ressort clairement que les discussions entre Maître David Rajjou et le Procureur de la République de Brest à propos de cette affaire ont été houleuses dès ses débuts et jusqu’à la fin du procès.
L’avocat de Josette Brenterch, du NPA de Brest, qui obtient ce qu’il veut des juges brestois avec une facilité déconcertante, n’a pas gagné face aux magistrats du Parquet dans cette affaire.
Après avoir rappelé que la corruption de fonctionnaires est l’un des multiples sujets qui m’ont toujours opposée à Josette Brenterch et ses amis de la « gauche radicale » brestoise, qui tous soutiennent mordicus que celle-ci n’existerait pas plus que les organisations criminelles (et pour cause, ils en sont tous), il convient de noter qu’au mois de janvier 2013 plusieurs des dossiers des procédures judiciaires qui nous opposent se trouvaient en attente de décision chez ses amis juges d’instruction du Tribunal de Grande Instance de Brest.
Or, ceux-ci se sont réveillés précisément le 9 janvier 2013 pour prendre des décisions la satisfaisant entièrement en dépit de réquisitions contraires du Procureur de la République de Brest.
http://www.letelegramme.fr/bretagne/trafic-a-la-maison-d-arret-de-lourdes-peines-requises-19-11-2015-10855284.php
Brest. Trafic à la maison d’arrêt : de lourdes peines requises
19 novembre 2015 à 08h04 / Thierry Dilasser /
Au terme d’un procès éprouvant à bien des égards, des peines de trois ans de prison ont été requises à l’encontre des principaux acteurs d’un trafic, mis au jour en janvier 2013, qui avait cours à la maison d’arrêt de Brest.
Comment cette surveillante de prison, âgée de 46 ans et bien notée jusque-là, a-t-elle pu « franchir la ligne », au point d’affirmer ne pas être « une balance » à un magistrat désireux d’en savoir plus sur ses agissements ? Cette question, le tribunal de Brest a tenté d’y répondre, hier, lors de débats bien plus sereins que ceux de la veille. Objectif : démêler les entrelacs d’un trafic de stupéfiants, d’alcool et de téléphones au sein de l’Hermitage entre décembre 2012 et le 9 janvier 2013, jour où la surveillante, uniforme sur le dos, a été interpellée en possession de 205 g de cannabis et d’un litre de vodka. Ce premier trafic démantelé, une seconde combine avait pu être mise en évidence. Au total, dix prévenus se sont succédé, deux jours durant, à la barre du tribunal brestois.
« Solitude absolue »
Mutée à Brest, en 2011, en provenance de Nantes, où elle exerçait après sa formation au Bois d’Arcy, la surveillante se trouve, à l’époque, dans un état de « détresse affective ». Son divorce, en 2010, avec le père de ses trois enfants, un homme épousé à l’âge de 19 ans et avec lequel elle avait connu la prospérité, a laissé des traces. Ses enfants confiés à leur père, elle revient dans sa ville natale, trouve refuge chez ses parents, avant de « se faire mettre dehors par son père ». Plongée dans une « solitude absolue » elle ne trouve alors de « réconfort » que dans son travail.
Au « 4.2 », étage de la maison d’arrêt où elle exerce, elle se lie d’amitié avec plusieurs détenus. Pour l’un d’entre eux, qu’elle retrouve le soir sur un site de rencontre en ligne, elle fait rentrer un téléphone, en novembre 2012. Le « tout premier impair » de cette femme, et un moyen, selon elle, de « faire plaisir » à un homme condamné à 25 ans de réclusion en 2007 pour viol en récidive, dont elle était tombée follement amoureuse.
« Quatuor infernal »
Cet homme, présenté, hier, comme l’« agent corrupteur » par le procureur Diacono lors de son réquisitoire, est soupçonné d’avoir ensuite tiré profit de cette liaison, consommée dans la buanderie de l’établissement carcéral, pour organiser l’import de cannabis avec un autre prévenu incarcéré au moment des faits et multirécidiviste en matière de stupéfiants.
Grâce à ses contacts à l’extérieur, dont son « frère », un ami d’enfance contre lequel deux ans de prison ont été requis, ce dernier est soupçonné d’avoir fait entrer de la résine à l’intérieur de la maison d’arrêt, via la surveillante amoureuse. La résine était ensuite partagée, puis consommée (l’un fumait « jusqu’à 15 joints par jour ») ou revendue, avant que « l’argent ne soit exfiltré par le parloir », comme l’a défendu le représentant du ministère public, insistant sur le fait « qu’on jugeait bien ici, non pas l’administration pénitentiaire, mais des individus », contrairement aux arguments avancés par la défense tout au long de ces deux journées d’audience.
Des téléphones (revendus jusqu’à 800 € en prison), de l’alcool (négocié 40 € la demi-bouteille), mais aussi des cadeaux (bijoux, vêtements, plats cuisinés) ont aussi été introduits par la surveillante, contre une « bouteille de champagne » ou la promesse d’un « CD de Céline Dion ».
Les méfaits de ce « quatuor infernal » connaissent finalement un coup d’arrêt lorsque quatre bouteilles d’alcool et un téléphone sont découverts, peu avant Noël, occasionnant « un grand bazar » au « 4.2 ». Fouilles et écoutes allaient alors permettre de mettre au jour les différentes implications et de révéler un second trafic, pour lequel six des prévenus comparaissaient également et contre lesquels jusqu’à deux ans de prison ont été requis. Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 12 janvier.
http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/01/10/une-surveillante-de-la-maison-d-arret-de-brest-en-garde-a-vue_1815063_3224.html
Une surveillante de la maison d’arrêt de Brest en garde à vue
Le Monde.fr avec AFP | 10.01.2013 à 15h02
La police
a procédé à une intervention à la maison d’arrêt de Brest, mercredi 9
janvier, et a interpellé une surveillante et trois détenus.
L’information a été donnée jeudi par la substitut du procureur de Brest, confirmant une information relayée par les quotidiens régionaux Ouest-France et Le Télégramme. Le directeur de la maison d’arrêt, Richard Ménager, s’est montré prudent : « Une enquête judiciaire est menée au sein de l’établissement« , a-t-il déclaré, confirmant simplement l’intervention de la police judiciaire, mercredi.
De l’argent, des téléphones portables et de la drogue auraient été trouvés dans les cellules des détenus placés en garde à vue, selon Ouest-France, qui ajoute que la surveillante pénitentiaire aurait pu favoriser l’introduction de ces différents biens au sein de la maison d’arrêt. Le Télégramme écrit que ladite surveillante aurait noué une relation amoureuse avec un détenu. Elle lui aurait fourni régulièrement du cannabis, de l’alcool et des téléphones portables, que l’amant aurait revendus à ses codétenus, ajoute le quotidien.
http://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-la-police-fait-une-descente-la-maison-darret-351464
Brest. La police fait une descente à la maison d’arrêt
Brest – 10 Janvier 2013
Une vingtaine de policiers ont mené une opération mercredi soir à la maison d’arrêt de l’Hermitage, à Brest. Selon nos informations, trois cellules auraient été fouillées, à l’aide d’un chien. De l’argent, de la drogue et des téléphones portables auraient été retrouvés. Trois détenus auraient été placés en garde à vue, ainsi qu’une surveillante de prison, qui serait soupçonnée d’avoir fourni une assistance aux prisonniers. D’après la CGT de la maison d’arrêt « ce genre d’opération est extrêmement rare ».
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/maison-d-arret-de-brest-la-surveillante-amoureuse-trafiquait-10-01-2013-1967785.php?redirect=true
Maison d’arrêt de Brest. La surveillante amoureuse trafiquait
10 janvier 2013
Hier en fin d’après-midi, une trentaine de policiers ont investi la maison d’arrêt de l’Hermitage à Brest. Leur mission : la fouille totale des cellules. Selon nos informations, cinq détenus ont été interpellés après la découverte, notamment, de cannabis dans leur cellule. Cette opération fait suite à une enquête diligentée il y a plusieurs semaines. Une surveillante de la prison, une femme célibataire venue de Nantes, aurait noué une relation amoureuse avec un détenu. Elle lui aurait ensuite fourni régulièrement du cannabis mais aussi de l’alcool et des téléphones portables, que l’amant revendait ensuite à ses co-détenus. La surveillante a été placée en garde à vue hier.
10 janvier 2013
Hier en fin d’après-midi, une trentaine de policiers ont investi la maison d’arrêt de l’Hermitage à Brest. Leur mission : la fouille totale des cellules. Selon nos informations, cinq détenus ont été interpellés après la découverte, notamment, de cannabis dans leur cellule. Cette opération fait suite à une enquête diligentée il y a plusieurs semaines. Une surveillante de la prison, une femme célibataire venue de Nantes, aurait noué une relation amoureuse avec un détenu. Elle lui aurait ensuite fourni régulièrement du cannabis mais aussi de l’alcool et des téléphones portables, que l’amant revendait ensuite à ses co-détenus. La surveillante a été placée en garde à vue hier.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/une-surveillante-de-prison-mise-en-examen-brest-178089.html
Une surveillante de prison mise en examen à Brest
Par amour pour un détenu, une surveillante de la maison d’arrêt de
Brest (29) a reconnu avoir facilité l’introduction de drogues, d’alcool
et de téléphones portables dans l’établissement.
- Emilie Colin (avec AFP)
- Publié le 10/01/2013 | 15:27, mis à jour le 31/07/2015 | 16:19
Après 5 ans de relation avec mon petit ami, il a soudainement changé et a cessé de me contacter régulièrement. Il proposait des excuses pour ne pas me voir tout le temps. Il a cessé de répondre à mes appels et à mes sms et il a cessé de me voir régulièrement. J'ai ensuite commencé à le rencontrer avec différentes amies de filles, mais à chaque fois, il disait qu'il m'aimait et qu'il avait besoin de temps pour réfléchir à notre relation. Mais après que j’ai contacté (padmanlovespell@yahoo.com), Dr.Padman du temple des sorts jeté un sortilège d’amour et après un jour, mon petit ami a commencé à me contacter régulièrement et nous avons emménagé ensemble au bout de quelques mois et il était plus ouvert à moi. qu’avant et il a commencé à passer plus de temps avec moi que ses amis. Nous nous sommes finalement mariés et nous sommes maintenant mariés avec bonheur depuis 2 ans avec un fils. Depuis que le Dr. Padman de padmanlovespell@yahoo.com m'a aidé, mon partenaire est très stable, fidèle et plus proche de moi qu'auparavant
RépondreSupprimerJe veux profiter de cette occasion pour remercier le grand prophète d'avoir restauré ma maison quand j'ai enseigné que tout espoir était perdu. Mon mari est parti pour une autre femme et j'ai rencontré ce grand lanceur de sorts en ligne et je lui explique ma situation, après 2 jours, mon mari est revenu vers moi et il est maintenant comme je le veux. Vous pouvez contacter le Dr Adeleke pour tout type d'aide spirituelle dont vous avez besoin sur appel ou WhatsApp +27740386124 ou vous pouvez également lui envoyer un courriel sur (aoba5019@gmail.com)
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