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mercredi 18 novembre 2015

Trois équipes de trois intervenants...

Comme le savent bien les lecteurs assidus du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et aussi quelques-uns des miens, sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest qui est à l’origine de toutes ses exactions internétiques et autres à mon encontre depuis l’année 2008 au moins a réussi à me faire condamner par le Tribunal Correctionnel de Brest le 11 juin 2013 pour avoir publié des droits de réponse dans lesquels j’avais démenti de gros mensonges et rétabli quelques vérités essentielles concernant mon parcours personnel à la suite de ses campagnes de calomnies publiques démentielles à mon encontre.

Cette affaire a été réexaminée par la Cour d’Appel de Rennes le 30 septembre dernier et cette fois, alors qu’en première instance mon avocat m’avait fait l’énorme surprise d’arriver à l’audience les mains vides, de nombreuses pièces ont été produites en soutien d’une demande de relaxe au motif de ma bonne foi.

Parmi ces pièces figure une attestation de ma mère qui quoi qu’en disent Josette Brenterch, ses avocats et divers complices, est quand même bien un témoin privilégié de ma vraie vie et connaît aussi toutes les difficultés que les membres actifs de l’association AC ! Brest avaient rencontrées en 2005 avec sa trésorière Josette Brenterch pour avoir eu l’occasion de s’entretenir avec plusieurs de ces personnes à l’époque des faits.

En voici un extrait :


« Contrairement à ce que prétend aujourd’hui Mme Brenterch, ma fille ne manipulait personne, c’est bien Mme Brenterch elle-même qui provoquait des réactions négatives à son encontre avec toutes ses exactions. Elle attaquait ma fille sans relâche, mais s’en prenait aussi aux autres membres de l’association du seul fait que ceux-ci refusaient de l’exclure.

Or, elle usait contre eux des même méthodes méprisables, révoltantes, qui semblent chez elle habituelles.
 
Elle complotait sans cesse, utilisait des malades mentaux qu’elle manipulait pour mener ses attaques, et suscitait chez ces déséquilibrés diverses violences contre ses cibles.

A compter du mois de juin 2005, Mrs Joël Roma [président de l'association], XXXXXXXXXX [membre du conseil d'administration de l'association] et Christian Hamon [ancien président et membre du conseil d'administration de l'association] ont tous les trois été gravement menacés par des proches de Mme Brenterch.

Puis elle a organisé ses putschs de la rentrée au lieu de suivre le programme convenu entre eux tous, et le conseil d’administration de l’association a décidé de la destituer de son mandat de trésorière et de la radier de l’association, à la suite de quoi, ayant repris par la force le bureau de l’association, elle en a exclu tous ceux qui l’en avaient radiée.

Ces derniers ont tous été radiés de la nouvelle association de Mme Brenterch pour le même motif en fin d’année 2005, puis ils ont été menacés de plaintes pour diffamation pour le cas où ils auraient communiqué sur ces évènements.

Dans un courrier du 4 janvier 2006, Mme Brenterch leur précisait :


Bonjour,

Comme je vous en avais informés, j’ai rencontré cet après-midi Lucette Le Thos, avocate. Je lui ai remis les éléments concernant les propos tenus publiquement à mon égard dans les derniers mois, qu’ils soient écrits ou verbaux. Elle me confirme ce dont je me doutais, il y a largement matière à porter plainte, je lui laisse le soin de la qualification juridique. Je ne souhaite pas du tout en venir là, mais je considère qu’on ne doit pas tout accepter.

Je prends volontiers acte du « calme » de ces deux dernières semaines.

Pour l’avenir, au moindre « dérapage » de l’un ou l’autre d’entre vous, écrit ou verbal, avec ou sans témoins, contre moi-même ou qui que ce soit d’autre d’AC!, madame Le Thos se chargera, à ma demande, de déposer une plainte en mon nom sur la base de l’ensemble des éléments dont elle dispose déjà et des éventuels éléments nouveaux.

J’espère sincèrement que les choses en resteront là, mais je suis déterminée à ne plus rien laisser passer, c’est pourquoi j’ai « pris date » d’un point de vue juridique.

Josette


Au cours du mois d’août 2006, [ma fille] a pu discuter de ce conflit et de ses motifs avec un militant de la LCR de Brest qui connaissait très bien ce parti et son personnel, dont Josette Brenterch, depuis les années 1970.

Il s’agit de Mr XXXXXXXXXX. Ils ont échangé par mail, et [ma fille] m’a montré ces courriers électroniques.

Comme toutes les autres personnes que j’ai entendues évoquer ce conflit, Mr XXXXXXX se disait lui aussi persuadé que Mme Brenterch était animée par la jalousie.

Il a rapporté à ma fille la version qu’elle donnait de ce conflit à ses camarades militants de la LCR de Brest, qui tous la croyaient sur parole, et avaient répondu à son appel à l’aide pour renverser les instances dirigeantes d’AC ! qui la dérangeaient sans se poser aucune question. Ils obéissaient tous aveuglément à leur gouroute Josette Brenterch, que Mr XXXXXXX décrit comme anti-féministe, anti-intellectuels, et d’une grande perfidie, perverse.

Les 15 et 16 août 2006, en réponse aux questions que lui posait ma fille, il lui a précisé :


Au fait, qu'as-tu entendu exactement sur le conflit à AC !
et à notre sujet
à tous, ou sur chacun d'entre nous ?
 
je n y ai plus mis les pieds depuis bien avant
je  n etais en contact qu avec roma qui a refait la salle de
bain de mon pere et avec garcon qui me donnait la version opposee
en gros toute confiance a josette
roma est amoureux de toi et a perdu la boule
et toi tu cherches a te servir de ac pour regler des comptes
personnels avec les psy au nom d ac
tu te serais presentee comme AC en faisant d un scandale au
quartz pour une affiare personnelle ou privee enre toi et un psy
donc virer ta bande serait de pur retablissement de AC comme
asso et non outil tes troubles obsessinnels (je resume)

Et mes troubles obsessionnels, ce serait quoi au juste ?
 
ben regler tes comptes avec tous les psy-chiatres, chologues,
chanalystes de brest et te servir de tous et toutes , assos
comprises, comme chair a canon

Le Quarz, ça remonte à la première quinzaine d'octobre 2004. Je ne savais 
pas que le point de départ se situait là, et je suis sûre que Joël et 
les autres non plus. Comme quoi on en apprend tous les jours... 

Il s'agit d'une journée-forum organisée par la municipalité sur le thème 
"Santé et Précarité" et réservée aux professionnels et aux associations 
concernées, sur invitation. Au programme : conférences durant la matinée, 
et ateliers l'après-midi (1/ accès aux droits : Sécu, CMU, etc.. 2/ 
insertion 3/ souffrance psychique). On s'y est invités à 9 (ce qui me fait 
pas mal d'amoureux, Monique y compris, puisqu'elle était encore avec 
nous), 3 par atelier l'après-midi, tous représentant AC !, et on a animé 
les trois ateliers en parallèle (on s'était réparti le travail à 
l'avance). J'étais à l'atelier souffrance psychique avec Monique et 
Gilbert.

…/…

Nous sommes donc deux, dans cet atelier souffrance psychique, à avoir 
"fait un scandale", s'il faut ainsi qualifier nos questions et critiques, 
tandis que d'autres représentants d'AC ! faisaient aussi "scandale" 
dans les deux autres ateliers... 

Josette a commencé à m'allumer peu de temps après, mais sur autre chose, 
jamais sur cette journée au Quartz à laquelle elle n'a pas participé. 
Nous ne l'avons vue qu'à l'entrée, où elle distribuait des tracts à côté 
de Hubert et Garçon tenant une banderole genre "La sécu est à nous". 

Monique n'a rejoint Josette qu'au mois de décembre. 

Evidemment, l'idée que des chômeurs et précaires représentant le public 
concerné par les débats des professionnels sur la question "Santé et 
Précarité" aillent semer leur zone dans les salons du Quartz était de 
moi...
 
je suis bien content d avoir eu cette version parce que le
quartz c est ce que m a dit josette je crois et c est le point
de depart de tout
en gros si on te laisse tu finiras par agresser fysiquement un
psy, tu sais pas te contenir

charmants les "copains"

 
Ma fille avait interrogé le psychiatre conférencier sur la question du harcèlement moral en entreprise. Celui-ci avait répondu qu’après avoir longtemps traité en psychiatrie les personnes se plaignant de harcèlement, à défaut d’avoir pu mettre en évidence une quelconque pathologie psychiatrique dont elles auraient souffert, les psychiatres avaient conclu qu’il ne s’agissait pas de malades mentaux.

Mon mari était présent dans la salle. Il témoigne que ces échanges ont été cordiaux et que le sujet abordé avait intéressé les autres participants aux débats. Par ailleurs, une autre personne, représentant une autre association qu’AC ! Brest, avait davantage créé l’évènement avec des critiques très virulentes, mais tellement pertinentes que toute la salle l’avait applaudie.

Mr XXXXXXXXXX rapportait également dans ces courriers électroniques que selon Josette Brenterch, toute l’activité de l’association en 2004 et 2005 aurait été réduite à l’expression de ces « troubles obsessionnels » qu’elle attribuait faussement à ma fille. C’est encore faux. Les activités qui se développaient sous l’impulsion de ma fille portaient sur toutes les questions intéressant les chômeurs, précaires et exclus, tandis que selon d’anciens militants de l’association, depuis sa création en 1994, Mme Brenterch et ses amis de la LCR avaient toujours freiné ou bloqué toutes les initiatives analogues.

Dans ses courriels, Mr XXXXXXXXXX témoigne lui aussi de ces divergences profondes concernant l’objet de l’association, qui avaient toujours existé depuis sa création, et n’apparaissent donc liées qu’à la personnalité de Josette Brenterch, ma fille n’ayant jamais fait partie d’aucune association de lutte contre le chômage avant l’année 2004.

De notoriété publique, ces conflits récurrents entre groupes de chômeurs et militants de la LCR ont bien conduit à une scission du mouvement AC ! au cours de l’automne 2005. »

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