https://twitter.com/CyprienLuraghi/status/1297922352051781638
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Bonne continuation.
Le criminel qui se dit « quiet » s’avoue lui-même mythomane, c’est l’un de ses plus grands plaisirs :
https://twitter.com/CyprienLuraghi/status/1298397374499430400
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Il ment et affabule comme il respire et est toujours cru sur parole par enquêteurs et magistrats… tout comme tous ses complices… en dépit des tonnes d’éléments de preuve qui les contredisent en tous points dans leurs diverses déclarations mensongères et attestent de ce qu’ils sont et font en réalité…
Exemple : pour justifier qu’il ait disposé de mon identité et de toutes mes coordonnée, y compris de mon N° de téléphone sur liste rouge qu’il a aussi publié sur Internet à une certaine époque (toutes les victimes de tentatives d’assassinat, dont je suis, ont ce réflexe-là : elles se cachent autant que possible…), il a raconté aux juges qu’il avait découvert une personne qui me connaissait grâce à son seul prénom, Josette, trouvé dans un de mes commentaires sur Rue89, qu’il l’avait contactée et qu’elle lui avait confirmé mon identité…
En sous-entendu : comme il l’a toujours dit par ailleurs, il avait bien déjà mon identité et toutes mes coordonnées lorsque selon ses dires il l’aurait contactée pour se les faire confirmer… et ne donne donc, de fait, aucune explication à ce sujet…
Toujours en sous-entendu : la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, puisque c’est d’elle dont il s’agit, connaissait aussi l’identité de l’anonyme commentatrice de Rue89 que j’étais encore à cette époque-là, et qui bien entendu ne l’avait jamais évoquée dans aucun commentaire, pas plus que l’association AC ! Brest où nous nous étions rencontrées puis côtoyées en 2004 et 2005…
Ah… et comment donc la connaissait-elle pour pouvoir la confirmer dès les tout premiers mots échangés par téléphone avec PEC Luraghi lorsque selon ses dires il la contacte à mon sujet ?
Enquêteurs et magistrats ne posent aucune question, ils laissent les criminels s’exprimer librement, se contredire entre eux ou eux-mêmes de déclarations mensongères en déclarations mensongères et se montrent très satisfaits du résultat : ceux-là ne racontant jamais d’histoires, n’est-ce pas, contrairement à leurs victimes qui toutes les accusent – forcément mensongèrement – de faits répréhensibles, ils auraient ainsi établi la « vérité » de manière limpide et définitive et la reprennent à leur compte dans ses diverses versions contradictoires dans leurs propres conclusions…
Mais le clou des explications que le mythomane et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi a choisi de réserver aux autorités judiciaires réside dans la manière dont, selon ses dires, il aurait trouvé l’identité et les coordonnées de la prénommée Josette pour la contacter à mon sujet : pour commencer, alors que je déclarais être de Paris, il a su qu’il fallait la chercher à Brest, soit à près de 600 km de la capitale, tout au bout du monde, à la pointe du Finistère (quel flair…), puis il aurait cherché dans l’annuaire une prénommée Josette à Brest (recherche qui techniquement n’a jamais été possible)… et l’aurait trouvée tout de suite car c’était la seule Josette à Brest !!!
Oui, il a bien fait cette déclaration-là aux autorités judiciaires : il n’y aurait dans toute la ville de Brest qu’une seule Josette !!!
Il doit s’imaginer que nous y vivons dans un minuscule « village »…
Comme à leur habitude, les deux faussaires et criminelles Isabelle Johanny et Céline Verdier du Tribunal de Grande Instance de Brest ont tout avalisé…
A noter : tout en racontant aux juges et enquêteurs comment il aurait recherché et trouvé des personnes qui me connaissaient pour qu’elles le renseignassent à mon sujet, le cybercriminel PEC Luraghi m’accusait mensongèrement d’avoir fait de même à son égard et ne craignait pas de porter plainte contre moi pour de tels faits, alors que ceux-ci ne sont nullement répréhensibles tant que des moyens illégaux comme ceux qu’il emploie (piratages informatiques, écoutes illégales) ne sont pas mis en oeuvre pour y parvenir.
Rappelons encore qu’il a plus d’un point commun avec Michel Fourniret : pervers narcissique, pédophile, tueur en série…
https://www.planet.fr/actualites-estelle-mouzin-lintime-conviction-de-son-pere.2049120.1464.html
Estelle Mouzin : l’intime conviction de son père
Auteur de l’article: Laure-Hélène de Vriendt, publié le 26/08/2020 à 15:28
Bientôt une réponse à dix-sept ans d’attente ? L’affaire Estelle Mouzin a connu un tournant la semaine dernière avec les accusations de Monique Olivier contre Michel Fourniret, de nouveau soupçonné d’être à l’origine de la disparition de l’enfant en janvier 2003. Après l’avoir défendu pendant des années, l’ex-femme de l’ogre des Ardennes affirme désormais qu’il a enlevé, séquestré puis étranglé la petite fille de neuf ans dans sa maison de Ville-sur-Lumes, dans les Ardennes. Quelques heures après ces révélations, on a appris que des traces d’ADN partiel d’Estelle Mouzin avaient été découvertes sur un matelas saisi en 2003 dans la même maison.
Estelle Mouzin : les aveux de Monique Olivier
Désormais, c’est au tour de Michel Fourniret de répondre aux questions de la juge d’instruction Sabine Khéris, qui l’a auditionné mardi 25 et mercredi 26 août. Les avocats de la famille d’Estelle Mouzin n’attendent pas grand-chose du tueur en série, qui a pris un malin plaisir à jouer avec les proches de ses victimes au fil des années. « On attend tout du travail de la justice », a déclaré Me Didier Seban, l’un des avocats d’Eric Mouzin, à franceinfo. « J’espère que des avancées auront lieu notamment pour savoir où se trouve Estelle, a-t-il ajouté. Si elles n’ont pas lieu, il faudra encore une nouvelle fois employer les grands moyens pour trouver ce corps parce que, pour nous, l’enjeu principal c’est de trouver où est Estelle ».
La piste Michel Fourniret a été évoquée à plusieurs reprises dans le dossier ces dernières années. Alibi, personnalité de Michel Fourniret… L’hypothèse a été rejetée plusieurs fois avant d’être mise de nouveau sur la table par la famille de l’enfant. C’est Eric Mouzin, le père d’Estelle, qui n’a jamais lâché cette explication.
Estelle Mouzin : la « double colère » de son père
La piste Michel Fourniret a été plusieurs fois refermée par les enquêteurs et les différents juges d’instruction. Interrogé à ce sujet par l ’Agence France-Presse, Eric Mouzin affirme que ce n’est pas « le moment des règlements de compte ». Pourtant, ses avocats ont tenu à rappeler auprès de franceinfo qu’il n’avait jamais lui, perdu de vu l’hypothèse Fourniret.
Selon maître Didier Seban, le père d’Estelle Mouzin a désormais « une double colère » : « Une colère d’abord dirigée contre ce couple criminel par qui le malheur est arrivé dans sa vie, évidemment. Et puis, il y a une colère parce que cette piste Michel Fourniret était sur la table le jour où les enquêteurs belges ont remis ce dossier aux Français ». Les avocats d’Eric Mouzin se demandent pourquoi la piste n’a pas été explorée dès le départ.
Estelle Mouzin : « On est passé à côté »
« Pourquoi le travail n’a pas été fait avant ? ». Cette question est posée par Maître Corinne Hermann, qui représente aussi Eric Mouzin. Auprès de franceinfo, elle rappelle que « cela fait 15 ans que l’on demande à ce que l’on s’intéresse à cette maison de façon sérieuse. On savait que cette maison était libre, vide, qu’il y faisait des travaux et que c’était un bon point de chute pour lui ». « Pourquoi on ne nous a pas entendu, pourquoi on n’a pas voulu de cette piste-là ? », s’interroge encore l’avocate. « A force de dire que ‘c’est un pervers’, on est passé à côté », conclut Me Didier Seban. Il y a dix ans, l’ogre des Ardennes avait pourtant demandé à « être jugé » pour l’affaire Estelle Mouzin…
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