Incroyable !
Il ne vaut guère mieux que Matzneff, mais lui n’a jamais été primé… et pour cause, il n’est même pas fichu d’écrire en français correct quand il s’adresse, par exemple, au procureur de la République de Brest pour me dénoncer calomnieusement pour des faits imaginaires… et je ne parle pas seulement de fautes d’orthographe ou de grammaire, mais de fautes de syntaxe… ce qui est quand même assez ahurissant quand on se présente partout comme « écrivain »…
Ils sont bien sympas avec lui, aux éditions Baleine, car ils ont dû effectuer un gros travail de correction avant de publier en mai 1999 sa merde « Pour cigogne le glas », laquelle était destinée à calomnier et discréditer sa soeur de manière préventive pour le restant de ses jours alors qu’elle avait d’excellentes raisons de s’en plaindre et le dénoncer – comme moi depuis les années 2008/2010, vu qu’il m’a refait le même coup… et à bien d’autres aussi… -, travail que ces éditeurs avaient réalisé après avoir eux-mêmes reçu plusieurs lettres d’insultes et de menaces de ce malade mental extrêmement dangereux qui leur reprochait alors très violemment de tarder à le satisfaire et trouvera encore le moyen de les pourrir eux aussi des années durant après publication de son oeuvre monumentale… de dégueulasseries…
C’est qu’ils avaient promis d’éditer dans leur collection « Le Poulpe » absolument tous les romans policiers respectant les règles de cette série qu’ils pourraient recevoir, quelles que fussent leurs qualités…
Les autres éditeurs ont par la suite toujours refusé les manuscrits du taré qui, ne sachant même pas écrire, n’a donc jamais connu les mêmes succès littéraires que Matzneff et bien d’autres, qu’en conséquence il jalouse à mort et voue tous aux gémonies…
Aussi, voilà ce qu'il ose aujourd'hui tweeter à propos de ce pédophile :
Ah ben ça... il est bien placé pour le savoir, lui qui ne vaut guère mieux...
En vérité, il est même bien pire : incapable de séduire ses proies comme d’assumer ses actes à leur égard, ce que Matzneff fait quand même avec un certain panache, puisqu’il raconte et décrit complaisamment dans un certain nombre de ses bouquins le détail de ses faits et gestes frappés d’interdits, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi use pour sa part de diverses violences, tromperies et sournoiseries totalement inadmissibles pour parvenir à ses fins avec ou contre les uns et les autres… sans avoir bien sûr jamais berné celles de ses victimes qui le dénoncent – malheureusement toujours en vain… – depuis des lustres.
Il ne vaut guère mieux que Matzneff, mais lui n’a jamais été primé… et pour cause, il n’est même pas fichu d’écrire en français correct quand il s’adresse, par exemple, au procureur de la République de Brest pour me dénoncer calomnieusement pour des faits imaginaires… et je ne parle pas seulement de fautes d’orthographe ou de grammaire, mais de fautes de syntaxe… ce qui est quand même assez ahurissant quand on se présente partout comme « écrivain »…
Ils sont bien sympas avec lui, aux éditions Baleine, car ils ont dû effectuer un gros travail de correction avant de publier en mai 1999 sa merde « Pour cigogne le glas », laquelle était destinée à calomnier et discréditer sa soeur de manière préventive pour le restant de ses jours alors qu’elle avait d’excellentes raisons de s’en plaindre et le dénoncer – comme moi depuis les années 2008/2010, vu qu’il m’a refait le même coup… et à bien d’autres aussi… -, travail que ces éditeurs avaient réalisé après avoir eux-mêmes reçu plusieurs lettres d’insultes et de menaces de ce malade mental extrêmement dangereux qui leur reprochait alors très violemment de tarder à le satisfaire et trouvera encore le moyen de les pourrir eux aussi des années durant après publication de son oeuvre monumentale… de dégueulasseries…
C’est qu’ils avaient promis d’éditer dans leur collection « Le Poulpe » absolument tous les romans policiers respectant les règles de cette série qu’ils pourraient recevoir, quelles que fussent leurs qualités…
Les autres éditeurs ont par la suite toujours refusé les manuscrits du taré qui, ne sachant même pas écrire, n’a donc jamais connu les mêmes succès littéraires que Matzneff et bien d’autres, qu’en conséquence il jalouse à mort et voue tous aux gémonies…
Aussi, voilà ce qu'il ose aujourd'hui tweeter à propos de ce pédophile :
"Tu sais, hein, pour enculer des enfants, faut vraiment n'avoir aucune vergogne. Alors pour le reste ils n'en ont pas plus, les gens de cette engeance."
Ah ben ça... il est bien placé pour le savoir, lui qui ne vaut guère mieux...
En vérité, il est même bien pire : incapable de séduire ses proies comme d’assumer ses actes à leur égard, ce que Matzneff fait quand même avec un certain panache, puisqu’il raconte et décrit complaisamment dans un certain nombre de ses bouquins le détail de ses faits et gestes frappés d’interdits, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi use pour sa part de diverses violences, tromperies et sournoiseries totalement inadmissibles pour parvenir à ses fins avec ou contre les uns et les autres… sans avoir bien sûr jamais berné celles de ses victimes qui le dénoncent – malheureusement toujours en vain… – depuis des lustres.
https://www.lejdd.fr/Societe/gabriel-matzneff-ce-quil-a-voulu-cacher-3941071
RépondreSupprimerMerci pour l'info, M. Nemrod, même s'il n'y a pas grand-chose d'autre qu'un titre... Autre chose ? Un témoignage inédit, sincère et véritable ? Même très tardif, il pourrait vous honorer.
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