Ce timing correspond parfaitement aux plans des commanditaires tels que je les ai déjà exposés : l’attentat contre Charlie Hebdo du 7 janvier 2015, un attentat contre la liberté d’expression défendue par OverBlog dans la procédure nous opposant à la criminelle Josette Brenterch, patronne de fait du NPA de Brest depuis plusieurs décennies, était censé mettre tout le monde en condition pour l’audience alors fixée à la Cour d’Appel de Rennes, début février 2015 : le « scandale » d’une liberté prétendument sans limites pour les cibles habituelles de mes harceleurs – mais pas pour eux quoiqu’ils s’autorisent une liberté encore plus grande – ayant conduit à cet attentat, il convenait de la restreindre comme l’exigeaient à mon endroit la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses complices, qu’il s’agisse de ses sbires cybercriminels dits « déconnologues » ou des magistrats ultra CORROMPUS du TGI de Brest qui l’avaient entièrement suivie depuis ses plaintes avec constitution de partie civile toutes nulles ou irrecevables de 2011, jusqu’à la condamnation prononcée le 11 juin 2013, sans que je n’aie jamais bénéficié, ni d’une instruction à décharge, ni même d’une quelconque défense au fond, mon propre avocat ayant été convaincu de ne travailler que pour mes adversaires.
Le 6 janvier 2015, veille de l’attentat, mes harceleurs obtenaient je ne sais comment une suspension du Petit Coucou, et le lendemain, 8 janvier 2015, était supprimé pour « apologie de la pédophilie » un blog Blogspot qui les dérangeait depuis son apparition sur la toile en mai 2013 en ce qu’il supportait des copies d’articles de mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog tous consacrés à l’affaire de l’ancien psychiatre et pédophile brestois Serge Rodallec, ainsi que des copies d’écrits apologistes de la pédophilie du malade mental au clavier – son « arme ».
Après l’attentat, ce dernier et ses complices étaient aux anges et revendiquaient dans leurs commentaires sur Rue89 le droit de rire des victimes, de s’en moquer comme ils l’ont toujours fait pour toutes leurs victimes.
En date du 24 janvier 2015, ils publieront même sur leur blog un « poème fermier en prose et en rime, c’est selon… et allégorique étant donné les moments difficiles que traverse notre beau pays aujourd’hui… voire ironique… ou satirique ! mouaaaaarrrrffff » qui aujourd’hui vaudrait au malade mental au clavier – « son arme » – garde à vue puis condamnation en comparution immédiate pour apologie du terrorisme.
Mais avec un peu de bonne volonté, il est toujours possible d’interroger l’éditeur de ce poème dont l’auteur se félicitait d’en avoir eu pour sans argent avec les frères Kouachi…
Et là, donc, patatras, l’audience prévue à Rennes début février 2015 était reportée à l’initiative de la Cour… et le Petit Coucou était rouvert…
Les enquêteurs avaient aussi repéré l’étrange aller-retour en Thaïlande d’un des premiers complices identifiés pour ces attentats de janvier 2015, mais le résident thaïlandais répondant au pseudonyme de « Homere » et ses complices « déconnologues » n’en seront pour autant jamais inquiétés.
L’audience de la Cour d’Appel de Rennes qui sera ultérieurement fixée au 30 septembre 2015 l’était pour plaider, aucun nouveau report n’étant d’emblée plus prévu.
La date de l’arrêt qui fut rendu le 2 décembre 2015 était dès lors prévisible.
https://www.nouvelobs.com/societe/20180419.OBS5469/attentats-du-13-novembre-les-temoignages-effrayants-des-membres-du-quatrieme-commando.html
Attentats du 13-Novembre : les témoignages effrayants des membres du « quatrième commando »
« La Libre Belgique » confirme que deux hommes arrêtés en Autriche en décembre 2015 auraient dû frapper Paris avec les trois autres commandos.
Les attentats du 13-Novembre auraient-ils pu être encore plus meurtriers ? Les témoignages de deux migrants, interpellés pour possession de faux documents en Autriche, en décembre 2015, le laissent penser. Selon les retranscriptions de leurs auditions face aux enquêteurs autrichiens, que nos confrères de « la Libre Belgique » ont pu consulter, les deux hommes s’apprêtaient bel et bien à commettre un attentat suicide en France.
« Abou Ahmed me disait que je devrais me suicider en France. Il me racontait que la vie actuelle ne ressemble à rien. Il me disait qu’une vie paisible m’attend au paradis si je mets fin à ma vie », raconte ainsi l’un d’entre eux, Muhammad Usman, un Pakistanais âgé de 24 ans.
« Je devais remplir une mission pour Allah »
Au cœur de ces révélations, un certain Abou Ahmed, potentiellement identifié comme le belge Oussama Atar, qui a missionné les deux hommes au départ de Raqqa, en Syrie.
« Il m’a dit que ceux de Daech allaient m’envoyer en France et que je devrais faire tout ce qu’un homme exigerait de moi [là-bas]. […] Que je devais remplir une mission pour Allah. […] Les détails, je les aurais quand j’arriverais en France », explique quant à lui le second interpellé, Adel Haddadi, un Algérien de 30 ans, tout en précisant qu’il n’avait pas reçu de consignes précises.La création de leur commando remonte à février 2015, lorsque Adel Haddadi gagne la Syrie en passant par la Turquie. Après un premier passage dans une petite ville, l’Algérien explique avoir gagné Raqqa, où, selon ses dires, il aurait travaillé dans un restaurant plusieurs mois durant.
« Un Syrien est venu me voir un jour dans la cuisine et m’a dit qu’Abou Ahmed voulait me parler. C’était environ dix jours avant que je quitte Raqqa », ville de laquelle il serait parti le 27 septembre 2015, poursuit-il.Cette conversation le mène dans un appartement où, après quelques heures d’attente, Abou Ahmed le rejoint, accompagné de Muhammad Usman et de Oukacha al-Iraki et Ali al-Iraki alias Ahmad Al Mohammad et Mohammad Al Mahmod, les deux kamikazes irakiens qui frapperont le Stade de France.
D’après le quotidien, les hommes sont restés plusieurs jours dans l’appartement et ont chacun reçu 2.000 dollars en billets de 100, juste avant leur départ vers la France.
Incarcérés sur l’île de Kos
Après avoir récupéré de faux passeports, le quatuor rejoint un passeur en Turquie qui les conduits par la mer à Leros en Grèce. Avant de partir, Abou Ahmed donne son numéro de téléphone aux quatre hommes… le même numéro qui sera retrouvé sur un bout de papier dans la poche d’un des kamikazes du Stade de France.
Une fois arrivés sur l’île grecque, Muhammad Usman et Adel Haddadi sont retenus et leurs portables et leur argent sont confisqués. A l’inverse des deux Irakiens dont les faux passeports ne sont pas détectés.
Après avoir été incarcérés pendant 25 jours, Adel Haddadi explique avoir appelé Abou Ahmed pour lui raconter la situation :
« Il a alors organisé l’envoi de 2.000 euros. »Quelques jours plus tard, l’argent arrive et les deux hommes reprennent leur route, mais avec du retard sur leurs compagnons. Le 13 novembre 2015, alors que leurs anciens compagnons de route sont à Paris, eux ne se trouvent qu’en Croatie. Adel Haddadi continue néanmoins, selon la retranscription de son audition, à informer Abou Ahmed à chaque passage de frontière, via la messagerie cryptée Telegram.
Leur dernier échange aurait eu lieu en décembre 2015, une fois les deux hommes arrivés en Autriche… où ils seront finalement arrêtés. Au lendemain des attentats du 13-Novembre, le groupe Etat islamique revendique les attaques du Stade de France, du Bataclan, du 10e, 11e et plus curieusement du 18e arrondissement… qui n’a pas été touché. Etait-ce la cible des deux derniers terroristes ?
V.Z.
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