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mardi 20 octobre 2015

François Hollande et ses ministres

Petite récap’.

Pour ceux qui n’auraient pas tout compris…


http://www.bfmtv.com/politique/valls-aubry-le-drian-hollande-distribue-les-bons-et-les-mauvais-points-923379.html

Valls, Aubry, Le Drian: Hollande distribue les bons et mauvais points


19/10/2015 à 11h15 
 
French prime minister Manuel Valls, French junior minister for Parliamentary Relations Jean-Marie Le Guen, French Labour Minister Myriam El Khomri, French Defence minister Jean-Yves Le Drian, French President Francois Hollande, and Chief of Military Staff general Benoit Puga, leave following the weekly cabinet meeting at the Elysee palace, in Paris on September 30, 2015
Le gouvernement à la sortie du conseil des ministres, le 30 septembre à l’Elysée. – Stéphane de Sakutin – AFP

Lors de son interview sur RTL lundi matin, le chef de l’Etat a évoqué ses relations avec ses différents ministres et piliers du PS.


A près de deux mois des élections régionales, François Hollande réfléchit. A quoi ressemblera son gouvernement après le scrutin? Qui doit partir, qui peut faire son entrée au gouvernement? Lundi sur RTL, le chef de l’Etat a évoqué les cas de différents membres du gouvernement, potentiels arrivants ou partants.

> Le bon point: Manuel Valls


Avec Manuel Valls, les relations sont au beau fixe. François Hollande assure former « un bloc » avec son Premier ministre. « Entre Manuel Valls et moi, vous n’arriverez pas à faire la moindre distinction. Ce que dit le Premier ministre m’engage, et ce que dit le président de la République engage le Premier ministre », affirme-t-il. Pas de rivalité entre les deux hommes? Rien n’est moins sûr. Car François Hollande ne se prive pas non plus de rappeler son ascendant sur Manuel Valls:

« Il y a un exécutif, c’est un bloc, avec le gouvernement. C’est la politique que j’ai décidée et que le Premier ministre met en œuvre en coordonnant la politique gouvernementale ».

 > L’avertissement: Jean-Yves Le Drian


Vient ensuite le gouvernement. La question la plus pressante concerne Jean-Yves Le Drian, qui a officialisé sa candidature à la présidence de la région Bretagne vendredi. Restera, restera pas? François Hollande apprécie son ministre de la Défense dont la popularité est un atout, et a besoin de lui maintenant que la France a lancé des frappes aériennes contre la Syrie. « Jean-Yves Le Drian est un très bon ministre de la Défense, il m’a accompagné dans des décisions très difficiles que j’ai eu à prendre », martèle François Hollande. Mais il avertit: « s’il est élu, il connaît parfaitement la règle. La règle, je l’ai posée: c’est celle du non-cumul ».

Surtout, le chef de l’Etat souhaite composer un gouvernement sur lequel il peut s’appuyer en vue de la présidentielle de 2017. Perdre Jean-Yves Le Drian ne serait donc pas une bonne nouvelle. Mais impossible de déroger à la règle du non-cumul des mandats, déjà appliquée à François Rebsamen: s’il est élu, Jean-Yves Le Drian devra donc quitter son poste de la Défense, a assuré François Hollande.

> Le mauvais point: Martine Aubry


Qui pourrait donc le remplacer? Plusieurs noms circulent, comme celui de Jean-Marie Le Guen, ou encore Bruno Le Roux, le patron des députés socialistes. Un temps évoquée par certains médias, Martine Aubry semble avoir été rayée de la liste. Et cette fois, François Hollande compte bien clarifier sa situation.

« Elle ne souhaite pas entrer au gouvernement. La question lui a été posée en 2012. Elle préfère se consacrer pleinement à Lille et je respecte ce choix », indique le chef de l’Etat.

Une façon de dire que la maire de Lille, qui a décliné la tête de liste aux régionales dans le Nord, n’intègrera pas le gouvernement en décembre.

La convaincre d’en faire partie aurait pourtant permis à François Hollande d’exiger d’elle la solidarité gouvernementale de rigueur. Mais l’ancienne ministre du Travail gardera sa liberté de pousser des coups de gueule contre le gouvernement, comme elle l’a fait contre Emmanuel Macron. Et tant pis si elle sème la zizanie à gauche. « Chacun a sa liberté d’expression », répond François Hollande, qui semble vouloir jouer l’apaisement. « On ne peut pas à la fois être en dehors du gouvernement et se priver de cette liberté ». En espérant que la maire de Lille se garde bien de trop en faire usage.

Ariane KUJAWSKI
Ariane KUJAWSKI
Journaliste


http://www.letelegramme.fr/finistere/regionales-la-liste-finisterienne-de-le-drian-20-10-2015-10818693.php

Régionales. La liste finistérienne de Le Drian


20 octobre 2015
 
Les candidats finistériens se sont retrouvés, hier matin, à Gourlizon pour le...
Les candidats finistériens se sont retrouvés, hier matin, à Gourlizon pour le lancement officiel de la campagne.

Jean-Yves Le Drian a fait son entrée en campagne, hier, en présentant les quatre listes qu’il va mener aux élections régionales des 6 et 13 décembre. À Gourlizon, il a détaillé la liste finistérienne « Pour la Bretagne avec Jean-Yves Le Drian », menée par le Brestois Marc Coatanéa. Elle affiche une moyenne d’âge de 47 ans et un taux de renouvellement de 64 %. Dans son bref discours, le ministre de la Défense-candidat a insisté sur la présence, en deuxième position, d’Emmanuelle Rasseneur, maire de Gourlizon et ses 900 habitants. Il a aussi souligné la présence, aux côtés des socialistes, de personnalités comme le navigateur et chef d’entreprise Roland Jourdain ou le syndicaliste emblématique du combat des Gad, Olivier Le Bras. Autre point important, selon Jean-Yves Le Drian : l’engagement sur ses listes d’agriculteurs en activité, à l’image d’Alain Le Quellec, maire de Quéménéven. Enfin, deux « poids lourds » socialistes viennent clore la liste : Marylise Lebranchu et Jean-Jacques Urvoas.
 

La liste dans le Finistère


1. Marc Coatanéa, agent d’accueil, vice-président à Brest Métropole Océane, Brest, 42 ans ; 2. Emmanuelle Rasseneur, cadre de la fonction publique, maire de Gourlizon, 38 ans ; 3. Richard Ferrand, député et conseiller régional, Motreff, 53 ans ; 4. Gaël Le Meur, assistante parlementaire, conseillère régionale et conseillère municipale, Concarneau, 42 ans ; 5. Gwenegan Bui, cadre de la fonction publique, député, conseiller régional, Morlaix, 41 ans ; 6. Laurence Fortin, cadre bancaire, maire, conseillère régionale, La Roche-Maurice, 46 ans ; 7. Roland Jourdain, navigateur et chef d’entreprise, Quimper, 51 ans ; 8. Forough Salami-Dadkhah, assistant parlementaire, vice-présidente du conseil régional, Brest, 49 ans ; 9. Karim Ghachem, ingénieur agronome, Quimper, 38 ans ; 10. Gaëlle Vigouroux, chargée de réseaux communication, Crozon, 42 ans ; 11. Pierre Karleskind, océanographe, vice-président du conseil régional, Brest, 36 ans ; 12. Mona Bras, thérapeute, conseillère régionale, adjointe au maire, Guingamp, 59 ans ; 13. Alain Le Quellec, agriculteur, maire de Quéménéven, 57 ans ; 14. Sylvaine Vulpiani, conseillère de salariés, conseillère régionale, Plouescat, 52 ans ; 15. Olivier Le Bras, en reconversion professionnelle, adjoint au maire, Saint-Thégonnec, 41 ans ; 16. Mélanie Thomin, professeur de français, Quimper, 30 ans ; 17. Jérôme Le Bigaut, maître d’oeuvre, adjoint au maire, Clohars-Carnoët, 42 ans ; 18. Liliane Tanguy, cadre hospitalier, conseillère municipale, Combrit-Sainte-Marine, 48 ans ; 19. Jean-Paul Urien, cadre secteur médico-social, conseiller municipal, Châteaulin, 48 ans ; 20. Sheila Le Nost-Laclusse, professeur d’arts plastiques et artiste, conseillère municipale, Cast, 49 ans ; 21. Laurent Péron, coordinateur de chantier, adjoint au maire, Le Relecq-Kerhuon, 37 ans ; 22. Nadine Urvois, enseignante de breton, Quimper, 54 ans ; 23. Xavier Berthou, retraité de l’agriculture, maire de Plounévézel, 67 ans ; 24. Marylise Lebranchu, cadre à la retraite, ministre et conseillère régionale, Morlaix, 69 ans ; 25. Jean-Jacques Urvoas, maître de conférence, député, Quimper, 56 ans.

© Le Télégramme


http://www.ouest-france.fr/elections/regionales/elections-regionales-la-liste-de-jean-yves-le-drian-en-ille-et-vilaine-3779628

Elections régionales. La liste de Jean-Yves Le Drian en Ille-et-Vilaine


Rennes – 19 Octobre – 0
 
  • Lla liste PS en Ille-et-Vilaine pour les régionales, rassemblée autour de Jean-Yves Le Drian
    Lla liste PS en Ille-et-Vilaine pour les régionales, rassemblée autour de Jean-Yves Le Drian | Photo : Ouest-France.

Olivier BERREZAI

En Ille-et-Vilaine, la liste PS est menée par Loïg Chesnais-Girard. Le maire de Liffré, également directeur de campagne de Jean-Yves le Drian, veut rassembler à gauche.


Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense et tête de liste PS pour les élections régionales en Bretagne, a présenté, ce lundi, les quatre listes départementales.

Il a achevé son Tro breizh, ce lundi soir, en Ille-et-Vilaine, où la liste est menée par Loïg Chesnais-Girard, le maire de Liffré.

« C’est une liste de rassemblement, sans bricolage politique, a souligné Jean-Yves Le Drian. Elle réunit des socialistes, communistes, régionalistes, écologistes, radicaux, également des candidats venus d’ailleurs. »

Jean-Yves Le Drian avec Loïg Chesnais-Girard (à sa gauche), tête de liste dans le département.
Jean-Yves Le Drian avec Loïg Chesnais-Girard (à sa gauche), tête de liste dans le département. | Photo : Ouest-France.

La liste Le Drian en Ille-et-Vilaine


1-Loïg Chesnais-Girard, 38 ans, cadre bancaire, maire de Liffré ; 2-Anne Patault, 60 ans, consultante, Redon ; 3-Sébastien Sémeril, 40 ans, premier-adjoint à Rennes ; 4-Claudia Rouaux, technicienne qualité, Montfort ; 5-Eric Berroche, 56 ans, ouvrier, Rennes ; 6-Evelyne Gautier-Le Bail, 48 ans, professeur, Fougères ; 7-Martin Meyrier, 25 ans, attaché parlementaire, Saint-Malo ; 8-Léna Louarn, 65 ans, cadre associatif, Rennes ; 9-André Crocq, 59 ans, ingénieur, maire de Chavagne, président du pays de Rennes ;
10-Isabelle Pellerin, 50 ans, professeur des universités, Rennes ; 11-Stéphane Perrin, 36 ans, professeur agrégé, Saint-Malo ; 12-Hind Saoud, 37 ans, formatrice, Rennes ; 13-Bernard Pouliquen, 57 ans, inspecteur général de l’Éducation nationale, Rennes ; 14-Catherine Saint-James, 47 ans, chef d’entreprise, Hédé-Bazouges ; 15-Hervé Utard, 34 ans, informaticien, Vitré ; 16-Laurence Duffaud, 46 ans, directrice d’association, Rennes ; 17-Pierre Morin, 44 ans, assistant parlementaire, Rennes ; 18-Katia Kruger, 39 ans, artiste, Rennes ; 19-Henri Rault, 61 ans, agriculteur retraité, maire de Chauvigné ; 20-Aïcha Aït Ali, 35 ans, assistante administrative, Rennes ;
21-Raphaël Schmidt, 43 ans, ingénieur financier, Messac ; 22-Christine Hervé, 63 ans, principale de collège, Saint-Malo ; 23-Benoit Sohier, 41 ans, enseignant, maire de Saint-Domineuc ; 24-Amel Tebessi, 33 ans, chargé de mission social, Le Rheu ; 25-Hervé Letort, 53 ans, instituteur, maire de Saint-Herblon ; 26-Annick Hélias, 65 ans, retraitée, Pacé ; 27-Jean-Yves Geffroy, 63 ans, agriculteur, Plélan-le-Grand ; 28-Mireille Massot, 64 ans, enseignante retraitée, Rennes.


http://www.challenges.fr/politique/elections-regionales/20151020.CHA0691/jean-yves-le-drian-donne-largement-gagnant-en-bretagne.html

Jean-Yves Le Drian donné largement gagnant en Bretagne

Challenges.fr
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Publié le 20-10-2015 à 09h25Mis à jour à 09h27

La liste PS-PRG conduite par le ministre de la Défense obtiendrait 32% des voix au premier tour, devant la liste d’union de la droite et du centre conduite par Marc Le Fur (27%) et la liste Front national de Gilles Pennelle (16%).


Jean-Yves Le Drian a officialisé la semaine dernière sa candidature aux élections régionales en Bretagne. (Kenzo Tribouillard/AFP/Montage Obs) 
Jean-Yves Le Drian a officialisé la semaine dernière sa candidature aux élections régionales en Bretagne. (Kenzo Tribouillard/AFP/Montage Obs)
La liste PS-PRG conduite par le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian l’emporterait largement en Bretagne à l’élection régionale des 6 et 13 décembre, selon un sondage Ifop-Fiducial publié mardi 20 octobre par iTELE, Paris Match et Sud Radio. La liste Le Drian obtiendrait 32% des voix au premier tour, devant la liste d’union de la droite et du centre conduite par le député Marc Le Fur (27%) et la liste Front national de Gilles Pennelle (16%), selon ce sondage réalisé la semaine dernière, juste avant l’officialisation de la candidature du ministre de la Défense vendredi.

En quatrième position, la liste régionaliste conduite par Christian Troadec, figure de proue des « Bonnets rouges », obtiendrait 8% des voix, devant la liste EELV (7,5%) et la liste Front de gauche (6,5%). Au deuxième tour, la liste PS l’emporterait largement avec 46% des suffrages devant la liste de droite (36%) et la liste FN (18%). Les auteurs de l’enquête relèvent que la liste de Jean-Yves Le Drian serait ainsi en léger recul au premier tour par rapport aux régionales de 2010, lorsqu’elle avait récolté 37,2% des voix. Mais elle ferait jeu égal avec le score de François Hollande en Bretagne à la présidentielle de 2012 (31,8%).

Bond du FN


La liste FN serait de son côté en très forte progression par rapport au premier tour des régionales de 2010, lorsqu’elle n’avait obtenu que 6,2 des voix. A la dernière présidentielle, Marine Le Pen avait obtenu quant à elle 13,2% des voix en Bretagne. Alors que le président Hollande a fait savoir lundi que M. Le Drian devrait abandonner ses fonctions ministérielles s’il est élu président de région, 58% des Bretons interrogés estimaient la semaine dernière qu’il ne pourrait rester ministre pendant la campagne électorale.

Méthodologie: Sondage réalisé par questionnaire en ligne et par téléphone du 13 au 15 octobre à partir d’un échantillon de 1.108 personnes représentatif de la population âgée de 18 ans et plus et selon la méthode des quotas. La marge d’erreur est égale à 3,1% pour un pourcentage trouvé de 50%.

(avec AFP)


http://www.franceinter.fr/emission-invite-de-7h50-henri-guaino-jean-yves-le-drian-est-un-bon-ministre

l’émission du mardi 20 octobre 2015
 

Henri Guaino : »Jean-Yves Le Drian est un bon ministre »


lire(ré)écouter cette émission disponible jusqu’au 15/07/2018 06h50


Député Les Républicains des Yvelines, l’ancienne plume de Nicolas Sarkozy était l’invité de Léa Salamé. Il est notamment revenu sur les mesures à prendre contre le terrorisme et l’emploi du mot « Karcher » par Nicolas Sarkozy.

Léa Salamé : François Hollande est en déplacement à la Courneuve : est-ce le signe que la campagne présidentielle est-elle lancée ?

« Je crains que beaucoup de gens ne pensent qu’à ça. Avec les primaires, on a encore rétrécit le temps. On a fait le quinquennat qui était une folie : plus le monde va vite plus il faut que le temps politique soit long. »

Bientôt les dix ans de la phrase qui a marqué le style Sarkozy : « le Kärcher ». C’est toujours son style ?

« Il faut se rappeler du contexte : le jour de la fête des pères, un enfant lave une voiture, deux bandes s’affrontent. Il se prend une balle. La réalité est que la vie dans certains quartiers est invivable. »

Arrêtons nous sur une phrase plus récente : « les banlieues doivent arrêter de culpabiliser la France » ? Vous la comprenez ?

« Je pense que c’est un vrai sujet. On ne doit pas opposer sans arrêt les banlieues, les territoires ruraux. On dit souvent que la France vit au-dessus de ses moyens, en fait elle vit en-dessous de ses moyens. C’est un immense gâchis des forces vives. »

Deux mois après l’attentat du Thalys, un projet de loi qui durcit les contrôles dans les trains arrivent à l’Assemblée nationale. Cette mesure irait-elle dans le bon sens ?

« Il faut tout faire pour empêcher les fous de commettre des actes irréparables. C’est déjà infernal de prendre l’avion, ça va devenir difficile de prendre le train. Est-ce que ce sont les meilleures mesures pour empêcher le terrorisme ? Il faut qu’on sache s’arrêter aussi. Nous voyons bien que la sphère de l’intimité se réduit chaque jour. On peut se demander si on ne va pas trop loin dans l’étouffement de la liberté humaine. A cet égard, je préfèrerais qu’on s’interroge d’abord sur comment supprimer l’Etat Islamique. »

Le ministre de la défense s’apprête à faire campagne en Bretagne alors que la France est engagée dans le combat contre Daech. Y voyez-vous un problème ?

« Si les gens trouvent que c’est un problème et n’en veulent pas ils voteront contre lui. Le président devrait-il alors démissionner un an avant la campagne présidentielle ? Nous avons un ministre de la défense avec qui je ne suis pas toujours d’accord mais qui est un bon ministre, c’est une personne sérieuse. »

 Marine Le Pen sur le plateau des Paroles et des Actes… Xavier Bertrand est en colère. Vous comprenez ? 

« C’est l’énervement de toutes les campagnes. On lui offre une surface médiatique qu’on n’offre pas à tout le monde. Les temps de paroles sont conventionnels. On compare souvent des choses qui ne sont pas comparables. »

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