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samedi 27 septembre 2014

Brest, Marseille : deux villes, deux justices

A Brest, pour peu qu’ils soient fonctionnaires et émargent, par exemple, à l’Education nationale, les proxénètes, violeurs ou pédophiles ne sont jamais poursuivis, ce sont leurs victimes qui le sont dès qu’elles s’en plaignent, et il n’est dès lors pas question de les rater, les magistrats s’en portent garants et n’hésitent pas, comme dans mon cas, à participer activement aux faits de proxénétisme dénoncés, notamment : multiplication des actes illégaux et manoeuvres frauduleuses en vue de priver la victime de tout salaire ou tout autre revenu, de la dépouiller de ses éventuelles économies et de ruiner aussi ses proches pour qu’ils ne puissent l’aider financièrement, harcèlements incessants en vue de la persuader de se prostituer pour gagner sa vie et payer toutes les dettes artificiellement, frauduleusement ou illégalement mises à sa charge, en association aux campagnes de calomnies les plus pernicieuses. Entre autres choses, on me fait passer pour une prostituée, car c’est toujours le meilleur moyen d’isoler une femme, de provoquer à son encontre du harcèlement sexuel ou des agressions sexuelles, éventuellement des viols, et au final, de l’amener effectivement à la prostitution – mais dans ce domaine, j’ai droit aussi aux harcèlements et agressions multiformes de rabatteurs et divers détraqués spécialement recrutés à cet effet par la patronne, Josette Brenterch, comme ses comparses de l’Internet les « déconnologues » de la bande LURAGHI.

La totale pour la victime, donc : elle refuse de se prostituer ? les magistrats eux-mêmes se mettent en quatre pour l’y contraindre.

A Marseille, en revanche, ce sont bien les proxénètes qui font l'objet de poursuites.


http://www.leparisien.fr/marseille-13000/marseille-une-directrice-d-ecole-soupconnee-de-proxenetisme-26-09-2014-4167033.php

Marseille : une directrice d’école soupçonnée de proxénétisme


Publié le 26.09.2014, 19h41 | Mise à jour : 20h04

Le couple est soupçonné d'avoir organisé des soirées lors desquelles des prostituées étaient engagées et de la drogue proposée aux clients.

Le couple est soupçonné d’avoir organisé des soirées lors desquelles des prostituées étaient engagées et de la drogue proposée aux clients. | LP / Arnaud Journois


La directrice d’une école primaire, à Cabriès (Bouches-du-Rhône) près de Marseille, et son compagnon, soupçonnés d’avoir organisé des soirées avec des prostituées et de la drogue, ont été mis en examen pour proxénétisme et trafic de stupéfiants. Agé de 47 ans, l’homme a été écroué, tandis que la femme, 54 ans, a été laissée libre sous contrôle judiciaire.

Ils sont soupçonnés d’avoir organisé des soirées dans un studio d’Aix-en-Provence, appartenant à la directrice, lors desquelles des prostituées étaient engagées et de la drogue proposée à des clients recrutés par le compagnon.

Le couple aurait lui-même participé à ces soirées, lors desquelles il prélevait un pourcentage sur les «passes» et une marge sur la vente de stupéfiants.

L’institutrice a été suspendue à titre conservatoire le temps de l’enquête, a indiqué le Rectorat, précisant qu’il ne s’agissait pas d’une «sanction» mais «d’une mesure de protection pour elle et pour l’institution».

LeParisien.fr Brest, Marseille : deux villes, deux justices dans Calomnie avec_afp

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