Qu'est-ce qu'on attend encore pour révoquer de la fonction publique toutes ces racailles de magistrats qui se foutent des victimes et se plaisent à les multiplier pour satisfaire des délinquants ou criminels aux casiers judiciaires déjà longs comme le bras ?
Un enfant de 7 ans mort retrouvé congelé, ses soeurs battues… l’horreur à Perpignan
Après la terrible découverte du corps sans vie et partiellement congelé d'un petit garçon de 7 ans, jeudi à Perpignan, son père devrait être mis en examen pour meurtre. Le point sur l'enquête.
L’horreur dissimulée au cœur de l’intimité familiale. Un petit garçon de 7 ans a été retrouvé mort à Perpignan, son corps tuméfié et en partie congelé, gisant dans la baignoire de l’appartement de son père. Ce dernier, ainsi que son frère (l’oncle de la victime), mais aussi la mère des deux hommes (grand-mère de l’enfant) sont entre les mains de la justice. Les sœurs du petit, deux fillettes âgées de trois et quatre ans, portant «des traces de traumatismes multiples» selon le procureur de la République de Perpignan Jean-David Cavaillé, ont également été hospitalisées dans un état préoccupant.
L’alerte a été donnée jeudi, selon France Bleu Roussillon, par une entreprise de pompes funèbres. Dans l'après-midi, cette société a reçu l’appel d'un habitant de Perpignan souhaitant faire la levée de corps de son fils qui venait de décéder. Interpellées par la nature des questions, mais également par une attestation de décès signée d’un médecin qui affirmera n’avoir jamais produit un tel document, les pompes funèbres ont rapidement prévenu la police, en leur communiquant le nom et l’adresse laissés par l’homme au bout du fil.
Une scène de crime «particulièrement effroyable»
Sur place, et devant l’absence de réponse, les forces de l’ordre ont dû enfoncer la porte de l’appartement à coup de bélier. Le père aurait été découvert en premier, un cordon électrique autour du cou et les mains liées dans le dos, selon «Le Parisien», mais conscient. «Lors de leur progression dans l’appartement, les policiers se sont retrouvés nez-à-nez avec le corps d’un enfant, dans une baignoire, en train de décongeler», a expliqué Franck Rovira, secrétaire régional du syndicat Alliance Police, témoignant sur France Bleu Roussillon. Une scène «particulièrement effroyable», selon lui, au point que ses collègues se sont vus proposer une aide psychologique.
Les policiers ont également découvert les signes montrant que deux autres enfants vivaient dans cet appartement, mais étaient absents. Il s’agissait des deux sœurs du garçon décédé, prénommé Imran. Les fillettes avaient été conduites aux urgences par leur oncle, dans un état préoccupant. Les petites présentaient de nombreuses blessures, notamment au visage. L’une d’elles était inconsciente au moment de son hospitalisation.
Des hommes déjà connus de la justice
Le père des enfants, d’après «Le Parisien», était connu des services de police pour des faits de violences intrafamiliales. Selon «L’Indépendant», le père et l'oncle, respectivement âgés de 28 et 33 ans, ont déjà été condamnés par le passé. L’homme avait toutefois obtenu la garde de la fratrie, en raison d’une déficience mentale de la mère. Cette dernière n’était pas présente au moment des faits et a reçu un soutien psychologique.
Les deux hommes ainsi que leur mère de 61 ans ont été déférés devant le parquet de Perpignan ce samedi. Le père devrait être mis en examen pour le meurtre de son fils, et tentative de meurtre sur ses deux filles, mais également pour violence sur mineures par ascendant, séquestration, recel de cadavres et faux et usage de faux. L'oncle et la grand-mère devraient être mis en examen pour non-dénonciation de crime.
Enfant mort à Perpignan : son corps congelé, ses sœurs violentées… ce que l’on sait de ce drame sordide
Un père, son frère et sa mère sont en garde à vue après des violences commises sur trois enfants, notamment un garçon de 6 ans retrouvé mort jeudi, le corps en partie congelé.
Terrible découverte jeudi dans un appartement de Perpignan (Pyrénées-Orientales). Un petit garçon de six ans a été retrouvé mort dans une baignoire, le corps en partie congelé. Ses petites sœurs âgées de 2 et 3 ans, victimes de mauvais traitements, ont été hospitalisées. Le père et l’oncle des trois enfants ont été placés en garde à vue. Dans un premier temps entendue en tant que témoin, la grand-mère des petites victimes a, selon BFMTV, elle aussi été interpellée dans le cadre de cette enquête ouverte pour meurtre sur mineur, tentative de meurtre, violence sur mineures par ascendant, séquestration, recel de cadavre et faux et usage de faux.
Que s’est-il passé ?
Jeudi, la police a fait la découverte d’un enfant de 6 ans décédé dans la baignoire d’un appartement, cité des Peupliers, dans le quartier populaire du Bas Vernet. Son corps était marqué de multiples ecchymoses et était partiellement congelé. Il aurait pu avoir été placé dans un petit congélateur retrouvé dans l’appartement.
C’est un employé des pompes funèbres de la ville qui avait donné l’alerte, après avoir été questionné par le père du garçonnet, par téléphone, sur l’éventualité du rapatriement de son corps en Algérie malgré l’absence de certificat de décès.
Les deux petites sœurs de l’enfant ont également été hospitalisées et portent « des traces de traumatismes multiples », notamment des dents cassées, a précisé jeudi le procureur de la République de Perpignan Jean-David Cavaillé.
Qui sont les suspects ?
Non loin du cadavre congelé de son fils, Salim B., 28 ans, le père des enfants, a été découvert par les policiers, allongé, semi-inconscient, le cou « autoligoté » avec le câble d’alimentation d’une perceuse. D’abord hospitalisé, il a été ensuite placé en garde à vue. Au même moment, les petites sœurs du garçonnet étaient amenées à l’hôpital par Cherif B. 33 ans, frère de Salim. Les fillettes présentaient de graves traumatismes, l’une d’entre elles était même inconsciente. Cherif B. a lui aussi été placé en garde à vue.
« Les deux fillettes, âgées de deux et de trois ans, portent des traces de traumatismes multiples. Elles restent hospitalisées. Les deux hommes ont déjà été condamnés », notamment pour des violences intrafamiliales, indique le procureur dans un communiqué.
Selon les informations de BFMTV, la mère des deux hommes mis en cause par la police judiciaire de Perpignan, a elle aussi été placée en garde à vue vendredi après avoir été entendue dans un premier temps en tant que témoin. Le quotidien L’Indépendant précise que Salim B. ne serait pas le géniteur de l’aîné, mais qu’il l’aurait reconnu après sa naissance.
Quel est le contexte familial ?
Salim B. avait déjà fait l’objet de procédures judiciaires pour des violences sur la mère de ses enfants, elle-même victime de problèmes psychologiques.
« Il s’agit tout d’abord d’un drame d’une violence inouïe, confie au Parisien Me Ilyacine Maallaoui, l’avocat de la mère des victimes. Ma cliente m’avait contacté avant l’été afin que l’on puisse faire un point sur son dossier, ne se sentant pas en sécurité malgré les procédures déjà enclenchées. Malheureusement notre deuxième échange concernait la mort de son fils et les violences graves subies par ses filles. L’heure est aujourd’hui au recueillement mais elle espère évidemment que toute la lumière sera faite dans cette affaire. »
Selon nos informations, elle avait été équipée d’un bracelet de protection et s’était déjà plainte d’un climat qui n’était pas favorable aux enfants.
Enfant retrouvé mort à Perpignan : congélateur, sœur "à moitié morte", père violent... Les derniers éléments sinistres de l'enquête
Ce que l'on sait sur la découverte d'un enfant à moitié congelé dans un appartement de Perpignan.
À mesure que l'enquête avance, les révélations sont de plus en plus effroyables. Jeudi 14 septembre, le corps d'un enfant de 7 ans a été découvert dans un appartement à Perpignan (Pyrénées-Orientales). Il était dans la baignoire, nu, une partie du corps du petit garçon semblait congelée.
Le père de famille avait contacté les pompes funèbres pour faire la levée du corps qui venait de décéder. Une demande bien étrange, les pompes funèbres ont alors alerté les forces de l'ordre, rapporte L'Indépendant. Au 4e étage de cet immeuble situé dans le quartier du Bas-Vernet, la police a forcé l'entrée avant de faire la terrible découverte dans la salle de bains.
Le père, âgé de 28 ans, était présent dans l'appartement avec un câble autour du cou. Il a été interpellé. Peu de temps après, les policiers ont été informés que deux fillettes âgées de 2 et 3 avaient été admises au centre hospitalier de Perpignan. Elles présentaient plusieurs traces de traumatisme. Les forces de l'ordre ont rapidement appris qu'il s'agissait des sœurs de l'enfant retrouvé mort.
Le témoignage glaçant d'une amie de la grand-mère
Les forces de l'ordre ont tenté de comprendre comment les fillettes avaient atterri à l'hôpital. Il se pourrait que ce soit la grand-mère des petites. Une amie de la grand-mère a témoigné auprès de L'Indépendant, racontant que le père s'était présenté avec les deux fillettes jeudi 16 septembre... les enfants étaient dans un état grave.
"Il est arrivé avec les deux petites filles. Il en avait une sur l'épaule, dans un drap, à moitié morte. Il l'a mise dans les bras de la grand-mère. Il les avait massacrés. La grand-mère lui a demandé où était le petit garçon et il lui a répondu 'il est mort'".
Selon les informations de BFMTV, les fillettes avaient le visage tuméfié à leur arrivée à l'hôpital, l'une d'elles était gravement blessée au crâne. Ce n'est donc pas l'oncle des enfants qui les a amenées à l'hôpital, comme cela avait été envisagé. L'oncle a néanmoins été placé en garde à vue pour être entendu, tout comme la grand-mère des petites.
Une autopsie pour comprendre à quand remonte le décès
Vendredi 15 septembre, une enquête a été ouverte par le parquet de Perpignan pour meurtre, tentative de meurtre, violences sur mineurs de moins de quinze ans, recel de cadavre, faux et usage de faux et séquestration. L'enquête est entre les mains de la police judiciaire et la brigade criminelle du commissariat de Perpignan.
On ne sait pas à quand remonte exactement la mort du petit garçon de 7 ans. Une autopsie est prévue en début de semaine pour comprendre les causes et la date du décès. Mais la découverte d'un petit congélateur, près de la baignoire, dans lequel aurait pu être enfermé l'enfant, laisse présager le pire.
Père violent, mère victime de trouble de la personnalité
Le père était déjà connu des services de police pour des faits de violences intrafamiliales. Néanmoins, il avait tout de même obtenu la garde des enfants lorsque la mère, qui présente un trouble de la personnalité, a été jugée dangereuse pour les petits.
Les enfants avaient d'abord été placés, puis un juge a estimé que le père pouvait récupérer la garde, rapporte BFMTV. Mais cet été, la mère aurait essayé de dénoncer des faits de violences intrafamiliales commis par le père. Une enquête avait été ouverte.
https://fr.news.yahoo.com/enfant-retrouv%C3%A9-partie-congel%C3%A9-%C3%A0-214449129.html
Enfant retrouvé en partie congelé à Perpignan: "un choc, une déflagration" pour sa mère, selon son avocat
C'est "un choc", "une déflagration" pour la mère de famille du petit garçon de 7 ans, retrouvé mort dans une baignoire à Perpignan jeudi, et des deux petites filles, gravement blessées, a expliqué Me Ilyacine Maallaoui, son avocat sur le plateau de BFMTV.
Le père et l'oncle de l'enfant de 7 ans ont été placés en garde à vue jeudi. La grand-mère de l'enfant, la mère des deux hommes, a également été placée en garde à vue vendredi.
La mère avait "des liens avec ses enfants"
Selon les premiers éléments de l'enquête, la police a découvert, jeudi, dans un appartenant de Perpignan, un enfant de 7 ans mort dans une baignoire, présentant des traces brunâtres pouvant correspondre à une congélation. Le père se trouvait également dans l'appartement.
Les deux sœurs de la victime, âgées de 4 et 5 ans, ont été déposées par leur oncle à l'hôpital. Elles avaient le visage tuméfié et l'une des deux était inconsciente et sérieusement blessée au crâne.
"Leurs pronostics ne sont plus engagés désormais, selon les informations que j'ai", a fait savoir Me Ilyacine Maallaoui.
Les trois enfants vivaient avec leur père, qui avait obtenu la garde. La mère présentant un trouble de la personnalité, elle était considérée comme dangereuse pour ses enfants. Les enfants ont dans un premier temps été placés, puis le juge a estimé que le père pouvait en récupérer la garde. Mais la mère de famille "avait toujours des liens avec ses enfants", a précisé son avocat.
"Des coups à la fois sur elle et ses enfants"
Mais la mère de famille, "qui s'est plainte de violences" de son ex-compagnon, a déposé une main courante en janvier 2023 contre le père de ses enfants, selon l'avocat. Puis en juin 2023, elle a déposé une plainte contre lui.
"La plainte est extrêmement circonstanciée, elle met en avant des coups à la fois sur elle, à la fois sur ses enfants", a raconté son avocat.
Le père de famille avait un bracelet anti-rapprochement depuis cette plainte.
"Il sera intéressant de savoir ce qui a pu se passer et les raisons pour lesquelles sa parole n'a pas été suffisamment écoutée, voire peut-être, minorée compte tenu de son état de santé", estime l'avocat. Pour l'avocat, il reste encore beaucoup de zones d'ombres: "A quel moment les faits ont eu lieu ? C'est une question à laquelle je n'ai pas la réponse à ce stade".
Une information judiciaire a été ouverte, a fait savoir le parquet de Perpignan. Le procureur de la République de Perpignan, Jean-David Cavaillé, a requis la mise en examen du père, âgé de 28 ans, pour "meurtre sur mineur de 15 ans" concernant son fils et "tentative de meurtre" envers ses deux filles. Jean-David Cavaillé a également requis la mise en examen, pour "non-dénonciation" du meurtre du garçon de sept ans, de l'oncle paternel, âgé de 33 ans, et de la grand-mère paternelle, âgée de 61 ans.
Une "scène horrible": les policiers sous le choc à Perpignan après la découverte d’un enfant en partie congelé
Une aide psychologique a été proposée ce vendredi aux policiers de Perpignan qui ont découvert le corps d’un enfant de 7 ans, partiellement congelé et couvert de traces de coups, dans la baignoire d’un appartement.
"C’est une scène horrible, qui glace le sang", témoigne Franck Rovira, secrétaire régional du syndicat Alliance Police, après la découverte réalisée par des policiers de Perpignan ce jeudi soir, dans un appartement HLM de l’avenue Roudayre (quartier du Bas-Vernet). "Elle restera à jamais gravée dans les mémoires. Certes, le métier de policier est difficile, on ne nous invite jamais pour un mariage ou un événement heureux. Mais là, c’est particulièrement effroyable".
Selon nos informations, c'est une entreprise de pompes funèbres qui a donné l'alerte. Ce jeudi après-midi, elle a reçu un appel suspect d'un habitant de Perpignan, expliquant qu'il devait enterrer son fils et qu'il souhaitait connaître les modalités. L'homme a précisé son nom et son adresse. Aussitôt prévenue, la police de Perpignan a envoyé un équipage sur les lieux.
Arrivés sur place, les fonctionnaires ont identifié l'appartement, au cinquième étage. Comme personne n'ouvrait la porte, ils ont fait usage d'un bélier pour pénétrer dans le logement. "Lors de leur progression dans l’appartement, ils se retrouvent nez-à-nez avec le corps d’un enfant, dans une baignoire, en train de décongeler". Le corps "tuméfié" présentait également d’importantes traces de violences.
En état de choc, les policiers présents sur les lieux se sont vu proposer un soutien psychologique ce vendredi. "Nous sommes de plus en plus souvent confrontés à de l’extrême violence. Et je me dis : dans quel monde vit-on ?", s’interroge Franck Rovira.
Présent sur les lieux, le père a été immédiatement interpellé et placé en garde à vue. Âgé de 28 ans, il serait très défavorablement connu de la justice. Les investigations ont rapidement permis de retrouver la trace des deux autres enfants vivant dans cet appartement. Les deux fillettes âgées de 2 et 3 ans présentent également d’importantes blessures : elles avaient été conduites aux urgences de l'hôpital de Perpignan dans l’après-midi par leur oncle, lui aussi placé en garde à vue.
L'enquête pour "meurtre sur mineur", "tentative de meurtre", "violences sur mineur", "recel de cadavre" et "séquestration" a été confiée à la police judiciaire et à la bridage criminelle du commissariat de Perpignan, selon un communiqué du procureur de la République de Perpignan.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire