Il ne manque toujours pas une occasion de faire de la publicité pour son tas de boue dans les commentaires sur les articles du site Rue89 :
Bâillon 25/09/2015 à 18h11
Encore un site d’information qui ferme ses commentaires
Xavier de La Porte | Rédacteur en chefMarxForEver
Fioraso murdered Zola
D’un côté les médias qui ferment leurs fils de com deviennent
l’équivalent de la tv ou de la radio. Ils perdent l’un des principaux
avantages offerts par internet. Et ce n’est pas le meilleur moment pour
s’aligner sur une industrie de la presse mourante qui est comparée à la
sidérurgie lorraine.
D’un autre côté, ce journal ne dit pas qu’il ne s’intéresse plus aux commentaires, mais qu’il les déplace sur les réseaux sociaux, parce qu’un problème majeur c’est l’anonymat.
Il permet les multi-comptes, il permet à des individus qui ne sont pas commentateurs de venir refourguer la camelotte qu’ils ont à vendre (sectes, sectes facho etc…).
Au départ, l’anonymat se justifiait pour des raisons informatiques. Certains noms peuvent être problématiques à afficher (genre « Jean-Sébastien van Verdonghen de Caumarais »).
Maintenant, il se justifie par le risque que peuvent prendre notamment les salariés qui viendraient commenter des sujets économiques et politiques.
Autrement dit le besoin d’anonymat résulte de ce qu’on n’est plus vraiment en démocratie. On ne met pas les gens en prison pour leurs opinions, mais on peut les priver de ressources ce qui n’est pas mieux.
Néanmoins, il y a un certain succès des sites de pétitions en ligne, où les gens ne sont pas anonymes par définition. Cela fait penser qu’il faudrait tenter au moins une fois le commentaire non anonyme, juste pour voir ce qui en sortirait.
D’un autre côté, ce journal ne dit pas qu’il ne s’intéresse plus aux commentaires, mais qu’il les déplace sur les réseaux sociaux, parce qu’un problème majeur c’est l’anonymat.
Il permet les multi-comptes, il permet à des individus qui ne sont pas commentateurs de venir refourguer la camelotte qu’ils ont à vendre (sectes, sectes facho etc…).
Au départ, l’anonymat se justifiait pour des raisons informatiques. Certains noms peuvent être problématiques à afficher (genre « Jean-Sébastien van Verdonghen de Caumarais »).
Maintenant, il se justifie par le risque que peuvent prendre notamment les salariés qui viendraient commenter des sujets économiques et politiques.
Autrement dit le besoin d’anonymat résulte de ce qu’on n’est plus vraiment en démocratie. On ne met pas les gens en prison pour leurs opinions, mais on peut les priver de ressources ce qui n’est pas mieux.
Néanmoins, il y a un certain succès des sites de pétitions en ligne, où les gens ne sont pas anonymes par définition. Cela fait penser qu’il faudrait tenter au moins une fois le commentaire non anonyme, juste pour voir ce qui en sortirait.
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C’était juste un rappel, vu qu’il le savait déjà : je le lui avais dit par mail il y a un vieux bail déjà.
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Impossible de se connecter : bugue, ou attaque ?
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Filtre anti DDoS réglé un peu parano, sans doute : file-moi ton adresse IP en privé et je te la débloquerai sur le champ…
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Faire passer pour courageux anonyme quelqu’un dont on connaît l’identité : on a connu plus élégant.
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Je généralisais. Rares sont les « riverains » dont je connaisse l’identité. Pas la peine d’être désagréable.
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Bah oui, mais ce « riverain“-là l’était de vous. Et si vous vouliez vraiment généraliser, il fallait s’en tenir au début de votre message et vous dispenser de ça :
Bienvenue dans notre vie Max Schultz !
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Vous connaissiez mon identité bien avant de me faire la réponse que vous m’avez faite. Puisque nous avons déjà échangé plusieurs e-mails…
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génocidaire
Fioraso murdered Zola
génocidaire
Auteur(e) de l’article Rédacteur en chef
génocidaire
Hecho a mano