http://petitcoucou.unblog.fr/2014/03/24/troll-definition-a-lattention-des-sceptiques-du-quebec/
Il n’a donc pas fallu longtemps au troll formule tout
en un NEMROD34 pour indiquer ce blog à ses petits camarades de jeux du
forum des Sataniques Sceptiques du Québec.
Il l’a fait hier par le commentaire suivant, posté dans leur discussion sur la disparition du Boeing 777 de Malaysia Airlines que j’ai rapportée dans mon précédent article du jour :
L’un des lecteurs de cette citation n’a pas tardé à venir commenter celui de mes articles dont elle provient, et son message a pris immédiatement la direction de la poubelle quand je l’ai trouvé.
Je le publie ici pour l’exemple, en précisant bien que je traite toutes les cochonneries du style des commentaires habituels de NEMROD34 de la même manière, c’est-à-dire selon mon humeur, en l’occurrence, pour ce soir, en publiant toutes les données dont je dispose :
Et voici l’explication de texte de Wikipédia :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Troll_%28Internet%29
En argot Internet, un « troll » est un message (par exemple sur un forum) dont le caractère est susceptible de provoquer des polémiques, ou auquel on ne veut pas répondre et qu’on tente de discréditer en le nommant ainsi. Le mot « troll » peut également faire référence à un débat conflictuel dans son ensemble, soulevé dans cet objectif.
L’expression peut aussi s’appliquer à une personne qui participe à une discussion ou un débat dans le but de susciter ou nourrir artificiellement une polémique, et plus généralement de perturber l’équilibre de la communauté concernée1,2,3. Mais pour cet usage on utilise plus communément les termes trolleur/trolleuse.
Dans la majorité des cas, l’évaluation repose sur l’aspect récurrent ou caricaturé de l’argumentation. En français, le terme « trollage4» existe aussi pour désigner le fait de susciter ou participer à un troll[réf. nécessaire]. Les usagers d’internet emploient généralement les termes « troll », « troller », comme synonymes de « moquerie provocatrice » plutôt que de « polémique ».
Le troll est à distinguer du « flaming », qui consiste en l’envoi de messages délibérément hostiles et insultants avec l’intention de créer un conflit.
L’usage en français du verbe « troller » ou du nom commun « troll » (selon la signification présentée dans cet article) est un emprunt à l’argot Internet de langue anglaise. L’usage de ce terme en anglais est prétendu remonter aux années 1980, mais la première mention avérée daterait d’un message de 1992 sur le groupe Usenet alt.folklore.urban. Deux origines distinctes sont généralement proposées pour ce troll Internet :
Selon la première hypothèse, le mot ferait référence au troll, une créature monstrueuse peu amicale ou agressive du folklore scandinave. Ce terme serait alors emprunté au troll des langues scandinaves (notamment suédois ou norvégien), lui-même emprunté au vieux norrois trǫll ou troll attesté dans la littérature nordique du Moyen Âge5. Au sens figuré, le troll désigne aussi dans les pays scandinaves un individu ayant un comportement inapproprié, violent ou agressif.
Selon la deuxième hypothèse, le mot dériverait du verbe anglais « to troll » ou du mot « trolling », qui font références à des techniques de pêche à la traine et à la cuillère. Ce verbe anglais to troll dérive peut-être du moyen français « troller, trôler », qui fait référence à des déplacements au hasard ou en vagabondant et s’applique à des techniques de chasse ou pêche6. L’usage de trolling en anglais, avec le sens figuré de « chercher à provoquer des réactions » aurait été documenté dès les années 1970 dans l’armée américaine.
Certains forums sont financés par la publicité et ont besoin d’activité pour générer des revenus. Le lancement et l’encouragement de trolls sont alors faits directement par les gestionnaires du site.
On distingue en général deux catégories intentionnelles, le troll bénin et le troll malin.
Le troll malin n’a que rarement besoin d’insulter ou de devenir vulgaire pour provoquer. Les réponses agressives des personnes provoquées ont pour effet d’amuser le troll, qui verra qu’il a réussi à troller ces personnes, et qui les poussera de façon subtile[réf. nécessaire] et ironique à se ridiculiser encore plus.
Les méthodes d’action du troll vont de la simple insulte au flood, en passant par diverses démarches, telles que :
Le sujet « part en troll » si des participants au débat « tombent dans le piège » tendu par le troll et se lancent dans une discussion stérile éloignée du sujet initial. On a tendance à dire que l’unique solution se trouve dans la phrase « Don’t feed the Troll » (en français : « Ne nourrissez pas le troll »), c’est-à-dire : ignorez le troll ou ne lui donnez pas matière à polémiquer.
Un troll peut être perçu positivement ou négativement selon les situations et les personnes. Il est toujours pugnace, abandonne parfois le débat mais jamais le sujet qui l’obsède. Ainsi, un troll ignoré ou insatisfait tentera à plusieurs reprises d’enflammer la discussion. Le troll obsessionnel est attaché à un sujet et ramène toujours le débat à lui, en général un concept, une idée simpliste ou même un mot d’ordre. Généralement, si la discussion s’envenime suffisamment et que les arguments viennent à manquer, le troll ou l’un de ceux qui le nourrissent finit par atteindre le point Godwin. Mener leurs victimes jusqu’à ce point peut être vu par certains trolls comme l’aboutissement de leur action.
Il en est de même pour les préférences en matière d’environnement de bureau pour systèmes X11 (par exemple, les débats comparant GNOME, KDE ou XFCE), pour les préférences en matière d’ordinateur, de console de jeux (par exemple, PS3 contre Wii ou contre Xbox 360), de système d’exploitation (par exemple, Windows contre GNU/Linux ou contre Mac OS ; ou encore iOS contre Android), de navigateurs (Internet Explorer contre Firefox ou Safari ou Opera ou Chrome), d’écoles (Supinfo, eXia, ou Epitech contre EPITA), voiture à essence contre diesel, etc.
Le phénomène n’est pas limité aux sujets relatifs à l’informatique, ainsi chaque grand thème (société, économie, politique, sciences, sexe, racisme…) possède sa panoplie de sujets à trolls, qui finissent par être bien connus des usagers des forums concernés.
La plupart des sites de discussion et des listes de diffusion ont leurs débats-types, tellement ressassés qu’il n’est pas rare de voir des participants crier au troll dès que le sujet est mentionné, prenant parfois au dépourvu un nouvel utilisateur.
Il l’a fait hier par le commentaire suivant, posté dans leur discussion sur la disparition du Boeing 777 de Malaysia Airlines que j’ai rapportée dans mon précédent article du jour :
NEMROD34 |
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Inscrit le: 21 Mar 2008, 10:45 Messages: 3484 |
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L’un des lecteurs de cette citation n’a pas tardé à venir commenter celui de mes articles dont elle provient, et son message a pris immédiatement la direction de la poubelle quand je l’ai trouvé.
Je le publie ici pour l’exemple, en précisant bien que je traite toutes les cochonneries du style des commentaires habituels de NEMROD34 de la même manière, c’est-à-dire selon mon humeur, en l’occurrence, pour ce soir, en publiant toutes les données dont je dispose :
Auteur | Commentaire | En réponse à | |
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Auteur | Commentaire | En réponse à | |
massias enrico tutycrois@ticon.fr 195.75.235.1 |
Envoyé le 24/03/2014 à 11 h 35 min
Nul à chier ton article…L’aigreur et la bêtise font des dégâts, tu en es la preuve vivante… |
Et voici l’explication de texte de Wikipédia :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Troll_%28Internet%29
Troll (Internet)
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (mars 2011).
Si vous disposez d’ouvrages ou d’articles de
référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du
thème abordé ici, merci de compléter l’article en donnant les références
utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ». (Modifier l’article)
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En argot Internet, un « troll » est un message (par exemple sur un forum) dont le caractère est susceptible de provoquer des polémiques, ou auquel on ne veut pas répondre et qu’on tente de discréditer en le nommant ainsi. Le mot « troll » peut également faire référence à un débat conflictuel dans son ensemble, soulevé dans cet objectif.
L’expression peut aussi s’appliquer à une personne qui participe à une discussion ou un débat dans le but de susciter ou nourrir artificiellement une polémique, et plus généralement de perturber l’équilibre de la communauté concernée1,2,3. Mais pour cet usage on utilise plus communément les termes trolleur/trolleuse.
Dans la majorité des cas, l’évaluation repose sur l’aspect récurrent ou caricaturé de l’argumentation. En français, le terme « trollage4» existe aussi pour désigner le fait de susciter ou participer à un troll[réf. nécessaire]. Les usagers d’internet emploient généralement les termes « troll », « troller », comme synonymes de « moquerie provocatrice » plutôt que de « polémique ».
Le troll est à distinguer du « flaming », qui consiste en l’envoi de messages délibérément hostiles et insultants avec l’intention de créer un conflit.
Sommaire
Origine du terme
L’usage en français du verbe « troller » ou du nom commun « troll » (selon la signification présentée dans cet article) est un emprunt à l’argot Internet de langue anglaise. L’usage de ce terme en anglais est prétendu remonter aux années 1980, mais la première mention avérée daterait d’un message de 1992 sur le groupe Usenet alt.folklore.urban. Deux origines distinctes sont généralement proposées pour ce troll Internet :
Selon la première hypothèse, le mot ferait référence au troll, une créature monstrueuse peu amicale ou agressive du folklore scandinave. Ce terme serait alors emprunté au troll des langues scandinaves (notamment suédois ou norvégien), lui-même emprunté au vieux norrois trǫll ou troll attesté dans la littérature nordique du Moyen Âge5. Au sens figuré, le troll désigne aussi dans les pays scandinaves un individu ayant un comportement inapproprié, violent ou agressif.
Selon la deuxième hypothèse, le mot dériverait du verbe anglais « to troll » ou du mot « trolling », qui font références à des techniques de pêche à la traine et à la cuillère. Ce verbe anglais to troll dérive peut-être du moyen français « troller, trôler », qui fait référence à des déplacements au hasard ou en vagabondant et s’applique à des techniques de chasse ou pêche6. L’usage de trolling en anglais, avec le sens figuré de « chercher à provoquer des réactions » aurait été documenté dès les années 1970 dans l’armée américaine.
Objectifs d’un troll
Les objectifs d’un troll peuvent être multiples et variés, allant du simple jeu à la volonté d’imposer ses idées, par plaisir pur et simple, ou même par tentative de détruire l’intérêt d’un forum ou d’une discussion visée par ses actions, par censure, et cætera.Certains forums sont financés par la publicité et ont besoin d’activité pour générer des revenus. Le lancement et l’encouragement de trolls sont alors faits directement par les gestionnaires du site.
On distingue en général deux catégories intentionnelles, le troll bénin et le troll malin.
Le troll bénin
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Le troll malin
Désigne une volonté délibérée de déstabiliser la discussion. L’initiateur comprend en général très bien le fonctionnement d’internet et sait qu’il est très facile de s’en servir pour manipuler ou provoquer. Il n’est pas à démontrer qu’il connaît parfaitement les mœurs des administrateurs qui modèrent le sujet de discussion cible7.- Il considère souvent l’espace de discussion sans autre intérêt que celui que peut représenter un jeu de rôle. Le but recherché est alors de faire vivre un personnage imaginaire, de gagner de la considération ou du respect en s’attribuant de fausses compétences ou en marquant des points sur d’autres intervenants arbitrairement considérés comme des adversaires pour le déroulement du « jeu ». Certains intervenants utilisent plusieurs personnages virtuels afin de les renforcer entre eux, ou de soutenir le personnage principal. Lorsque le personnage principal est découvert et banni ou en manque de prestige, le troll crée un nouveau personnage pour s’y substituer.
- Un autre objectif possible du troll malin, et qui n’est que rarement compris par ses adversaires, est de dénoncer, par l’ironie et l’absurde, des comportements pouvant porter à polémique. Ainsi, sur certains réseaux sociaux, des trolls tournent en dérision la diffusion publique par certains parents d’images de leurs enfants, ou la prolifération de pages « hommage » mettant en avant des personnes mortes récemment.
Le troll malin n’a que rarement besoin d’insulter ou de devenir vulgaire pour provoquer. Les réponses agressives des personnes provoquées ont pour effet d’amuser le troll, qui verra qu’il a réussi à troller ces personnes, et qui les poussera de façon subtile[réf. nécessaire] et ironique à se ridiculiser encore plus.
- Il peut vouloir censurer une discussion en la noyant sous un flot de propos sans intérêt.
Dans les jeux vidéo
On observe depuis peu le trolling dans les jeux vidéo. Il s’agit de narguer les joueurs adverses ou alliés ou bien faire autre chose qui n’a rien à voir avec le but du jeu. Il est également observé l’ajout de « troll faces » (symbole emblématique du troll) sur les têtes des personnages dans des vidéos enregistrées lors de parties multijoueurs, qui ajoutent un côté humoristique à la vidéo.Déroulement
On dit qu’une discussion s’enflamme lorsque les échanges se multiplient entre les participants et que le ton monte. L’origine du conflit — si conflit il y a — n’est pas forcément un troll, ou tout du moins n’est pas forcément un troll « volontaire ». On ne parle de troll que lorsqu’on pense avoir décelé une volonté de polémiquer allant au-delà de la volonté d’avancer dans une discussion.Les méthodes d’action du troll vont de la simple insulte au flood, en passant par diverses démarches, telles que :
- ne jamais être d’accord sur quelque sujet que ce soit, ou à l’inverse l’être systématiquement. Le but n’est alors pas de donner son avis mais d’alimenter la polémique ;
- ne jamais être d’accord avec un interlocuteur considéré comme gênant, le traitant de fake, d’inculte, de naïf, voire de troll ;
- allusion à un débat voisin, mais hautement polémique (par exemple, allusion au conflit israélo-palestinien dans un débat sur la politique égyptienne) ;
- attaques sur la forme (par exemple, commencer les réponses avec l’expression « c’est n’importe quoi », ou bien critiquer l’orthographe des autres pour les discréditer) ;
- hors sujet ou Argumentum ad hominem (attaques personnelles, détournement du fond du débat) ;
- double discours ;
- sous-entendus menaçants ;
- insultes visant un groupe de personnes (définis par leur nationalité, religion, opinion politique, etc.) et permettant de déclencher de nouvelles interventions ;
- procès d’intention ;
- délation et/ou diffamation ;
- bluff ;
- sophisme ;
- autodérision de façade pour camoufler des intentions malveillantes ;
- moquerie fraternelle et private joke ;
- mélange de flatterie envers les uns et injures envers les autres, pour s’attirer à la fois alliés et ennemis. Lorsque le but du troll est le jeu ou la provocation, il tente de maximiser son nombre d’adversaires. Au contraire, s’il est déterminé à nuire il va tenter d’avoir un maximum d’alliés et d’isoler sa victime ;
- « parler par slogan » est aussi une méthode utilisée par le troll qui souhaite envenimer une discussion, la ramenant par là-même à une forme simpliste du débat de départ.
Le sujet « part en troll » si des participants au débat « tombent dans le piège » tendu par le troll et se lancent dans une discussion stérile éloignée du sujet initial. On a tendance à dire que l’unique solution se trouve dans la phrase « Don’t feed the Troll » (en français : « Ne nourrissez pas le troll »), c’est-à-dire : ignorez le troll ou ne lui donnez pas matière à polémiquer.
Un troll peut être perçu positivement ou négativement selon les situations et les personnes. Il est toujours pugnace, abandonne parfois le débat mais jamais le sujet qui l’obsède. Ainsi, un troll ignoré ou insatisfait tentera à plusieurs reprises d’enflammer la discussion. Le troll obsessionnel est attaché à un sujet et ramène toujours le débat à lui, en général un concept, une idée simpliste ou même un mot d’ordre. Généralement, si la discussion s’envenime suffisamment et que les arguments viennent à manquer, le troll ou l’un de ceux qui le nourrissent finit par atteindre le point Godwin. Mener leurs victimes jusqu’à ce point peut être vu par certains trolls comme l’aboutissement de leur action.
- Il existe aussi le troll, comprenant une erreur (appelée fail en anglais), donnant naissance aux trolls faces (visages de trolls).
Limite
Certaines personnes dénoncent les abus d’utilisation du terme « troll » qui pourrait parfois servir à couper court à toute discussion et débat. Ainsi, un intervenant à un débat pourrait utiliser ce terme afin de discréditer les personnes qui remettent en cause ses thèses, en les accusant de vouloir polémiquer. Le troll se détachant d’une simple opposition d’idées par l’aspect volontaire de la polémique, il est parfois extrêmement difficile à découvrir. Ainsi, parfois, ce peut être l’accusateur qui est en fait un troll (voir la méthode hypercritique).Sujets de troll classiques
Dans la tradition d’internet et d’Usenet, certains sujets polémiques sont réputés pour les débats sans fin qu’ils engendrent. Ceux-ci, généralement fondés sur des préférences personnelles sur lesquelles il est impossible de trouver un compromis, peuvent être utilisés afin de lancer un troll. Par exemple, parmi les utilisateurs de systèmes UNIX ou GNU, les sempiternelles querelles entre les partisans de l’éditeur de texte vi et ceux de l’éditeur de texte Emacs en font un sujet de troll classique.Il en est de même pour les préférences en matière d’environnement de bureau pour systèmes X11 (par exemple, les débats comparant GNOME, KDE ou XFCE), pour les préférences en matière d’ordinateur, de console de jeux (par exemple, PS3 contre Wii ou contre Xbox 360), de système d’exploitation (par exemple, Windows contre GNU/Linux ou contre Mac OS ; ou encore iOS contre Android), de navigateurs (Internet Explorer contre Firefox ou Safari ou Opera ou Chrome), d’écoles (Supinfo, eXia, ou Epitech contre EPITA), voiture à essence contre diesel, etc.
Le phénomène n’est pas limité aux sujets relatifs à l’informatique, ainsi chaque grand thème (société, économie, politique, sciences, sexe, racisme…) possède sa panoplie de sujets à trolls, qui finissent par être bien connus des usagers des forums concernés.
La plupart des sites de discussion et des listes de diffusion ont leurs débats-types, tellement ressassés qu’il n’est pas rare de voir des participants crier au troll dès que le sujet est mentionné, prenant parfois au dépourvu un nouvel utilisateur.
Notes et références
- Anne Revillard, Les interactions sur l’Internet [archive], Terrains & travaux 1/2000 (n° 1), p. 108-129
- Mirko Vidović, Dis [archive], Lulu.com (éd.), 2006, p. 113
- Europe1.fr, Quand l’épouse du PDG d’Eurotunnel joue les troll [archive], 2 octobre 2009
- Définition de trollage [archive] sur L’Internaute.
- Voir Troll#Étymologie pour détails et sources.
- Signification du français « troller » : http://www.cnrtl.fr/definition/troller [archive]
- http://lci.tf1.fr/high-tech/2010-01/pedophilie-le-groupe-facebook-de-la-polemique-5646087.html [archive]
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- (fr) Qu’est-ce qu’un troll?, sur http://www.uzine.net/, 30 aout 2001
- (fr) « Et vous trouvez ça troll ? », sur Télérama, 18 avril 2011
- (fr) Le troll: portrait psychologique et fonction politique, sur France Culture, 24 mars 2012
- « Que se passe-t-il quand les trolls l’emportent ? » par Xavier de La Porte, 13 février 2014
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