… suite à la publication d’une enquête du Télégramme sur les raisons ayant conduit des magistrats non finistériens, en l’occurrence de Saint-Brieuc, à poursuivre chez eux cet élu de Quimper pour des faits d’exercice illégal de la médecine et d’agressions sexuelles…
Notons que le très curieux ou très intrigué journaliste du Télégramme auteur de cette enquête hallucinante qui n’aura jamais porté sur l’essentiel des questions qui s’imposaient, à savoir, celles concernant les manifestes défaillances de la justice locale, et non de présumées maladies mentales dont seraient atteintes les femmes qui se plaignent de pervers et/ou les font poursuivre, n’est-ce pas… n’est autre que Thierry Charpentier, qui se fait régulièrement bisouter sur Twitter par le trafiquant de drogue, pédophile, cybercriminel, mythomane, calomniateur public et harceleur notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, sans s’être jamais interrogé sur toutes les libertés dont jouit cet individu…
Tant qu’à enquêter sur cette affaire, il aurait peut-être pu aussi s’intéresser un peu à l’auteur des faits, au lieu de n’interviewer qu’une de ses victimes disant d’elle-même avoir été naïve et n’être pas traumatisée, contrairement à celles qui ont porté plainte…
Mais non…
On y supplée ci-dessous avec quelques éléments de parcours de l’individu.
P.S. : Celui des journalistes du Télégramme qui se fait régulièrement peloter sur Twitter par le pédophile et cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi est le Brestois Hervé Chambonnière et non le Quimpérois Thierry Charpentier. On les confond assez souvent. Toutes mes excuses au second pour cette erreur.
Le faux infirmier qui piquait les femmes jugé au tribunal de Saint-Brieuc
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Peu banales, les lubies de ce chef d’entreprise et ex-élu quimpérois, qui réalisait des prises de sang sur des femmes. Avant son procès, à Saint-Brieuc, mardi, pour exercice illégal de la médecine et agressions sexuelles, l’une de ses victimes témoigne.
Emilie (*) avait classé l’affaire dans un recoin de son cerveau, parmi les souvenirs « un peu perturbants ». Tout lui est revenu en pleine poire, en juillet, lorsqu’elle a appris, par hasard, que Nicolas Gonidec comparaîtra, le 12 octobre, à Saint-Brieuc, pour exercice illégal du métier d’infirmier. Après réflexion, elle a trouvé « important d’en parler, si je ne suis pas la seule et qu’il a été plus loin avec d’autres ».
Cooptée pour être bénévole
La trentenaire sud-finistérienne a dix ans de moins lorsqu’elle croise ce chef d’entreprise quimpérois. Elle travaille alors pour un fanzine nantais. À l’époque, un événement fait l’unanimité dans le monde culturel breton : le Cyber fest-noz. Ce défi technologique, créé à Quimper en 1999, fait se connecter, lors du festival de Cornouaille, les danseurs du monde entier. Pour écrire son article, Emilie contacte le responsable d’An Tour Tan, la société de production audiovisuelle qui capte et retransmet en direct l’événement. Lors de l’interview, elle lui fait part de son intérêt pour la photo. Échange de bons procédés : en retour, il la coopte pour être bénévole sur le festival de Cornouaille.
« Si tu veux bien, ce serait su-per-sym-pa ! »
L’hiver suivant, elle a retrouvé sa cité universitaire lorsqu’elle est recontactée par Nicolas Gonidec. « Il me demandait un coup de main : faire des photos pour illustrer un article sur les prises de sang. J’ai trouvé ça un peu bizarre mais bon, je me disais surtout que ça allait ensuite être un bon plan pour avoir des pass pour les prochains festivals », se remémore-t-elle. Elle lui envoie quatre clichés de son bras, manche relevée, avec un garrot. Plus aucune nouvelle jusqu’à ce qu’en mars 2012, un « hello ! » apparaisse sur sa page Facebook. Nicolas Gonidec lui demande si elle serait « dispo pour l’aider à nouveau ? ». Il lui révèle qu’il a « une formation médicale », qu’il fait partie « d’un groupe de travail qui met au point une méthode de relaxation simple mais efficace à réaliser avant les prises de sang ou vaccins, et je dois tester cette méthode… Donc si tu veux bien, ce serait su-per-sym-pa ! ».
« Il m’a eue à l’usure »
Le hic, c’est que Emilie n’est pas du tout stressée par les piqûres – elle donne régulièrement son sang -, et elle n’est pas trop dispo. « Mais je ne voulais pas lui répondre un non catégorique, pour ne pas me fermer la porte pour d’autres festivals ». Elle fait traîner les choses mais « il m’a relancé un paquet de fois ! ». Le 26 novembre, elle finit par dire oui, « pour être tranquille. Il m’a eue à l’usure ». Le lendemain, la voilà à Quimper, dans une pièce des locaux d’An Tour Tan. « Il est seul. Il y a un canapé, et, en face, une caméra sur un trépied. Il me réexplique le topo, qu’il teste une méthode de relaxation pour les personnes qui stressent avant une piqûre ». Elle s’installe sur le canapé. Il met la caméra en route. « Il me fait une première piqûre, sans rien injecter, de ce que je me souviens ».
« C’est là que j’ai fait un malaise »
Vient le second temps de l’expérience : La méthode de relaxation. « Ce dont je me rappelle, c’est qu’à un moment, il fallait se faire un massage de la poitrine. Il me dit : J’éteins la caméra. Je sors de la pièce. Il faut vraiment que tu sois relax pour faire ça ». Un brin interloquée, Emilie « (se) retrouve seule comme une conne. Je trouvais ça très bizarre. Je crois que je suis allée voir si la caméra était bien éteinte et puis je n’allais pas me tripoter la poitrine ! Je l’ai attendu… ». Lorsqu’il revient, Emilie lui assure qu’elle a suivi le protocole à la lettre. « Il me dit alors qu’il va faire une deuxième piqûre pour voir si la méthode a fonctionné ». La seringue contenait-elle ou non un produit ou son cerveau s’est-il mis en rideau devant l’étrangeté de la situation ? « C’est là que j’ai fait un malaise alors que ce n’est pas du tout mon genre ! Ça ne m’arrive jamais ».
Quatre parties civiles
Quand elle reprend ses esprits, il est à ses côtés, prévenant. « J’étais un peu dans les vapes et je me disais que c’était bizarre… Il a attendu que ça aille un peu mieux et puis merci, au revoir ! Il m’a dit qu’il me recontacterait. Ensuite, j’ai de nouveau été bénévole pour An Tour Tan. Il ne m’a rien demandé depuis », relate Emilie. Elle relativise : « Après coup, je me dis que j’ai été naïve, je n’avais qu’à dire non. Mais je ne suis pas traumatisée ». D’autres femmes le sont. Quatre d’entre elles se sont portées partie civile. Contacté par nos soins, le prévenu, qui fut conseiller municipal quimpérois délégué à la culture bretonne de 2014 à 2020, n’a pas souhaité livrer sa position avant le procès. Il est poursuivi pour exercice illégal de la profession d’infirmier – des faits commis à Rostrenen – mais aussi pour agression sexuelle, à Quimper et Bourg-Blanc.
(*) Prénom modifié
Thierry Charpentier
Les plaintes s’accumulent contre l’ancien élu quimpérois qui piquait les femmes
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Nos révélations sur l’enquête menée contre un ex-élu quimpérois pour exercice illégal de la médecine et agressions sexuelles ont ravivé de nombreuses douleurs. De nouvelles plaintes ont été enregistrées à Quimper.
Ce lundi, suite à la parution dans nos colonnes des poursuites dont fait l’objet l’ancien élu quimpérois Nicolas Gonidec, 40 ans, pour exercice illégal de la médecine et agressions sexuelles, les appels ont afflué au commissariat de Quimper. Uniquement des femmes, désireuses de savoir comment déposer plainte contre le responsable de la société web média An Tour Tan, ou tout du moins d’être partie prenante du procès qui devrait s’ouvrir ce mardi à Saint-Brieuc.
Deux plaintes pour attouchements
Pour rappel, il est reproché au chef d’entreprise, ancien conseiller municipal délégué à la culture bretonne de 2014 à 2020, de s’être fait passer pour un infirmier auprès de jeunes femmes, et d’avoir pratiqué sur elles, entre autres, des prélèvements et des exercices de relaxation, en filmant le tout. Jusqu’à présent, seules quatre victimes avaient franchi le pas, pour des faits commis à Rostrenen, Quimper et Bourg-Blanc.
Ce lundi, le commissariat de Quimper a finalement enregistré deux nouvelles procédures pour attouchements, ce que confirme le parquet de Saint-Brieuc. La première émane d’une jeune femme qui évoque des premières propositions remontant à 2009, des relances pour le vaccin contre la grippe en octobre 2020 et dernièrement contre la covid-19. La seconde a été déposée par une employée d’une structure événementielle en lien avec l’agglomération de Quimper qui a tout arrêté lorsqu’on lui a proposé un atelier sur l’orgasme thérapeutique.
Menacée d’une diffusion de la vidéo si elle parle
Toutes les femmes impliquées dans cette affaire, qui s’étalerait sur près de vingt ans, ont en commun d’avoir répondu favorablement aux sollicitations de l’ancien élu, qu’il résumait ainsi dans un message : « J’aurais un petit service à te demander (confidentiel). Je fais actuellement une validation des acquis pour compléter ma formation dans le domaine médical, dans lequel je n’étais pas allé au bout. Je peux obtenir une certification de technicien préleveur mais pour cela, je dois justifier 60 actes, 30 sur des femmes et 30 sur des hommes, soit en faisant un stage quelque part, ce qui est impossible vu mon emploi du temps, soit de mon côté avec des personnes consentantes. Ce serait sympa si tu pouvais me consacrer dix minutes. Essentiellement des prises de sang, mais aussi de la relaxation. L’idéal c’est de faire ça au bureau d’An Tour Tan quand je suis seul ».
Maud (*), 35 ans, installée dans la région nantaise, évoque un choc lorsqu’elle a découvert l’enquête du Télégramme. « Moi, cela remonte à l’été 2010. J’étais danseuse dans un cercle et bénévole sur le Festival de Cornouaille, on se croisait souvent. Comme il était gentil, au centre d’un milieu dans lequel tout le monde se donne des coups de main, j’ai accepté. Comme chez le médecin, je me suis mise en sous-vêtements. Il m’a piqué sur les deux bras, et mis je ne sais quoi. J’ai dit non pour le massage de poitrine. Je l’ai recroisé à plusieurs reprises après. Il m’a dit que si j’en parlais, il diffuserait les vidéos de moi prises à moitié nue. Cet été, j’ai parlé à des copains pour la première fois de ce truc dégoûtant qui se rapproche d’une agression sexuelle ».
Une demande de report de l’audience
Au rang des victimes qui devraient déposer plainte dans les prochains jours, Sandrine (*) est convaincue qu’elles sont ainsi « des dizaines et des dizaines à avoir été abusées ». C’est pour cela qu’elle milite pour un report de l’audience de ce mardi. Ce qui ne semble pas être dans les intentions de la juridiction briochine. « D’où l’intérêt de se constituer partie civile pour demander ce report, argumente-t-elle, les victimes doivent avoir le temps d’agir ».
(*) Prénom modifié.
Yves Madec
Journaliste adjoint au chef de rédaction
Quimper. Un ex-élu jugé pour agressions sexuelles
Le tribunal de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) va juger, ce mardi 12 octobre, un ancien élu de Quimper pour exercice illégal du métier d’infirmier et agressions sexuelles.
L’ex-élu de Quimper (Finistère) sera jugé ce mardi 12 octobre 2021, au tribunal de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) pour exercice illégal de la profession d’infirmier et agression sexuelle. | ARCHIVES
Ouest-France Publié le 11/10/2021 à 17h51
Nicolas Gonidec, 40 ans, est un ancien élu quimpérois. De 2014 à 2020, il a été conseiller municipal délégué à la langue bretonne et aux événements culturels. Il est également responsable d’An Tour Tan, société de production audiovisuelle qui organise le cyber fest-noz. Il est appelé à comparaître, devant le tribunal de Saint-Brieuc, pour exercice illégal de la profession d’infirmier, commis du 31 juillet 2020 au 17 février 2021, à Rostrenen (Côtes-d’Armor) et d’agressions sexuelles commises du 31 juillet 2020 au 10 février 2021, à Quimper (Finistère) et le 2 septembre 2020, à Bourg-Blanc (Finistère).
https://copainsdavant.linternaute.com/p/nicolas-gonidec-1832723
Nicolas GONIDEC est sur Copains d’avant. Pour le contacter, connectez-vous ou inscrivez-vous gratuitement.
Parcours
Parcours scolaire
-
Ecole De Kerourgue (Fouesnant) - Autre
- Fouesnant 1989 – 1992
-
Collège Ker-vian - Autre
- Fouesnant 1992 – 1996
-
Lycée Brizeux - Autre (Voie générale)
- Quimper 1996 – 1999
Parcours entreprise
-
An Tour Tan Web Média - Dirigeant (Direction générale)
- Quimper 2007 – maintenant
A propos
Général
-
Prénom Nom :
-
Vit à :
QUIMPER, France
-
Né le :
2 déc. 1981 (39 ans)
Ma vie aujourd’hui
-
Description
Bonjour ! N’hésitez pas à me contacter !
-
Profession :
Directeur de la SAS « An Tour Tan Web Média »
Mes goûts et passions
Voyages
Voyages dans le mondeJ’y suis allé
https://www.penhars-infos.com/article-17199402.html
29 Février 2008
Publié par Penhars infos
UMP Quimper : les p’tits loups tiquent !
Mercredi 22 mai 2019 12:43
Quimper. Pour les Européennes, des élus de la majorité municipale appellent à voter LREM
André Guenegan, Guillaume Menguy, Allain Le Roux, Alain Guillou, Jean-Pierre Doucen, Ariane Guillou, Valérie Gacogne, Corine Nicolas, Didier Lennon et Nicolas Gonidec, tous élus de la majorité municipale de Quimper (Finistère), appellent à voter LREM aux élections européennes.
Dimanche 26 mai 2019, se tiendront les élections européennes. À Quimper (Finistère), plusieurs élus de la majorité municipale – le maire Ludovic Jolivet a l’étiquette LR – font savoir, ce mercredi 22 mai, qu’ils voteront pour la liste « Renaissance » d’union LREM – Modem – Agir – Mouvement radical.
Parmi ces élus, on retrouve André Guénegan, adjoint chargé des ressources humaines, Guillaume Menguy, adjoint à l’urbanisme, Allain Le Roux, adjoint à la culture, Alain Guillou, adjoint aux sports, Jean-Pierre Doucen, adjoint à l’éducation, Ariane Guillou, Valérie Gacogne, Corine Nicolas, Didier Lennon et Nicolas Gonidec.
« Le choix de l’efficacité »
« Cette année, l’enjeu est primordial pour que la France continue
de peser dans l’Europe et que l’Europe pèse dans le monde. Nous appelons
donc les électeurs à se mobiliser »
, indiquent les élus dans un communiqué.
« Alors que les autres puissances mondiales s’organisent pour
prospérer (parfois contre nous), nous ne pouvons pas prendre le risque
de la discorde en Europe. L’union des démocraties européennes est une
nécessité absolue et l’exemple navrant du
Brexit
au Royaume-Uni ne doit pas se démultiplier car ce sont les peuples qui en souffriront les premiers. »
« Dans ce monde aux menaces économiques et militaires plus
nombreuses, nous ne pouvons pas nous passer d’Europe. Au contraire,
l’Europe est LA solution ! »
« Pour toutes ces raisons, nous, adjoints au maire de Quimper de
tendances et sensibilités diverses de la droite et du centre, nous
ferons, dimanche, le choix de l’efficacité et d’un vote utile pour la
France et pour l’Europe »
, concluent-ils.
Ouest-France
Municipales 2020 à Quimper : décryptage de la liste du maire sortant Ludovic Jolivet
Ludovic Jolivet, le maire sortant de Quimper (Finistère), candidat à sa succession, a dévoilé sa liste vendredi 20 décembre 2019. Qui rempile ? Qui part ? Qui arrive ? Décryptage.
Vendredi 20 décembre 2019, le maire sortant de Quimper (Finistère) et candidat à sa succession sous l’étiquette Agir la droite constructive aux élections municipales de mars 2020 a présenté les 50 noms de sa liste Mon Parti, c’est Quimper.
Au sein de l’actuelle majorité de Ludovic Jolivet, quels élus repartent avec lui ? Qui s’en va ? Quelles sont les nouvelles têtes ?
Ils rempilent
Fin septembre 2019, de nombreux adjoints du maire Ludovic Jolivet se trouvaient à ses côtés lors de l’annonce de sa candidature. Voici la liste de ceux qui rempilent sur la liste Mon parti, c’est Quimper :
- Guillaume Menguy, adjoint à l’urbanisme
- Georges-Philippe Fontaine, adjoint aux finances
- Danielle Garrec, adjointe aux affaires sociales et à la santé
- André Guénégan, adjoint aux ressources humaines
- Valérie Lecerf-Livet, adjointe au quartier de Penhars
- Christian Le Bihan, adjoint au quartier de Kerfeunteun
- Jean-Pierre Doucen, adjoint à l’éducation
- Philippe Calvez, adjoint à la coordination des mairies annexes, à la démocratie participative et à la vie associative
- Marie Le Gall, adjointe au handicap
- Dominique Scoarnec, conseiller municipal délégué au commerce
- Yves Gentric, conseiller municipal délégué à la gestion des espaces publics
- Jean-Marc Quiniou, conseiller municipal délégué à l’agriculture
- Anne-Marie Stenou, conseillère municipale déléguée aux rythmes de l’enfant
- Claire Levry-Gérard
- Karine Arz
D’autres élus de la majorité ont fait le choix de rallier Ludovic Jolivet dès le 1er tour. En 2014, ils étaient aussi candidats mais sur la liste Quimper Viva’cité d’Isabelle Le Bal. Il s’agit de :
- Allain Le Roux, adjoint à la culture
- Corine Nicolas, adjointe au quartier d’Ergué-Armel
- Alain Guillou, adjoint aux sports
- Valérie Postic, conseillère municipale déléguée à la tranquillité publique
- Nicolas Gonidec, conseiller municipal délégué à la culture bretonne
- Didier Lennon
Ils arrivent
Lors de la présentation de ses co-listiers, Ludovic Jolivet a indiqué que la moitié des candidats avait été renouvelée par rapport à 2014. Voici celles et ceux qui arrivent :
- Gilbert Hascoët
- Priscillia David
- Fabienne Laurence
- Justine Derouault
- Fabienne Ruelland
- Vincent Le Gall
- Marie-Thérèse Mazetier
- Maryse Colin
- Anne Kerisit
- Pierre Le Corre
- Mélanie Boué
- Yann Jolivet
- Catherine Le Borgne
- François-Régis Friant
- Benjamin Bourry
- Danièle Douguet
- Christelle Lecomte
- Nicolas Micout
- Valérie Laizé
- Laurent Rivière
- Anne Quéguiner
- Julian Bourdelles
- Suzanne Cayot
- Patrick Kerleroux
- Hélène Tanguy
Ils s’en vont
Plusieurs adjoints et conseillers municipaux de l’actuelle majorité municipale ne figurent pas sur la liste Mon parti, c’est Quimper. Voici ceux qui se trouvaient sur la liste Osons Quimper ! de Ludovic Jolivet avant le 1er tour des élections municipales, en 2014.
- Ariane Faye, adjointe à la petite enfance
- Agnès Tardiveau, conseillère municipale déléguée à la prévention sanitaire
- Oumar Ndiaye
- Thomas Couturier
- Dominique Lambert
- Caroline Amiot
- Marie-Christine Coustans
- Maëlig Le Nair
- Nathalie Angot
- Karine Arz
Ils ont rejoint une autre liste
Enfin, d’autres se trouvaient aussi sur la liste Osons Quimper ! Ils ont effectué le mandat en cours aux côtés du maire Ludovic Jolivet. Ceux-ci seront candidats en 2020 mais sur une autre liste. C’est le cas du photographe de Penhars, Christian Rose.
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