Ouais ! Super !
Bravo aux plaignantes et à toutes les autres femmes qui ont eu le cran de témoigner contre lui.
A noter : domicilié dans le XVème arrondissement de Paris où il bénéficiait d’un loyer super sympa au titre du 1% logement, tout comme l’un de mes harceleurs des années 1993 et 1994, il était alors très proche d’Edouard Balladur et avait même été son directeur de campagne en 1995.
Puis il deviendra assez bizarrement ou peut-être très opportunément « villepiniste ».
L’ex-secrétaire d’Etat Georges Tron condamné en appel à cinq ans de prison, dont trois ans ferme, pour viol et agression sexuelle
Accusé par deux anciennes employées municipales de la mairie de Draveil, Georges Tron avait été acquitté en première instance en 2018. Cette fois, la cour d’assises de Paris l’a reconnu coupable de viol et d’agression sexuelle sur l’une des deux plaignantes.
Un verdict rendu après plus de 11 heures de délibération. La cour d’assises de Paris a condamné en appel Georges Tron, mercredi 17 février, à cinq ans de prison, dont trois ans ferme. L’ex-secrétaire d’Etat était jugé pour viols et agressions sexuelles sur deux anciennes employées municipales à la mairie de Draveil (Essonne). La cour d’assises de Paris l’a reconnu coupable de ces faits sur l’une des deux plaignantes. Georges Tron écope également d’une peine d’inéligibilité de six ans et d’une inscription au fichier automatisé des délinquants sexuels.
Son ex-ajointe à la Culture, Brigitte Gruel, également accusée, a été condamnée à deux ans de prison avec sursis pour complicité de viol et d’agression sexuelle en réunion. La cour a en revanche acquitté les deux accusés de faits similaires que leur reprochait une deuxième plaignante. George Tron et Brigitte Gruel avaient été acquittés le 15 novembre 2018, en première instance. Le parquet avait fait appel quelques jours plus tard.
Les deux accusés dénonçaient des « mensonges »
Le viol et l’agression sexuelle en réunion sur l’une des plaignantes à deux occasions, en novembre 2009 et en janvier 2010, « sont établis par les déclarations constantes et circonstanciées de la victime », a indiqué la présidente de la cour en lisant le verdict de la cour. A sa lecture, l’autre plaignante, a quitté la salle. Les deux accusés niaient en bloc les faits reprochés et soutenaient que les « mensonges » des plaignantes participaient d’un « complot » fomenté par les adversaires politiques de Georges Tron dans l’Essonne.
Ce verdict va au-delà des réquisitions du ministère public en ce qui concerne Georges Tron. L’avocat général avait requis cinq ans de prison, dont trois avec sursis, contre l’édile de 63 ans et demandé que la peine ferme soit plutôt effectuée sous bracelet électronique. En costume sombre, l’ex-secrétaire d’Etat a écouté la sentence impassible, sans laisser transparaître la moindre émotion. Dans un silence lourd, il a alors remis sa montre à son avocat, puis est allé se placer dans le box vitré des accusés. Escorté par des gendarmes, il est parti en prison.
D’après le « Canard enchaîné », Georges Tron loue bien un appartement à loyer modéré
La construction de cet immeuble, situé rue Mademoiselle dans le 15e arrondissement de la capitale, « a été subventionnée par la Mairie de Paris avec des crédits HLM », selon le journal.
Le secrétaire d’Etat à la fonction publique, Georges Tron, serait bien locataire à Paris d’un appartement à loyer modéré, contrairement à ce qu’il affirme, selon l’hebdomadaire satirique Le Canard enchaîné à paraître mercredi. D’après le journal, l’ancien député UMP de l’Essonne loue depuis 1992 un appartement de 118 m2 disposant d’une terrasse de 20 m2 et de deux parkings à la société Domaxis, « une société HLM contrôlée par le 1 % logement ».
La construction de cet immeuble, situé rue Mademoiselle dans le 15e arrondissement de la capitale, « a été subventionnée par la Mairie de Paris avec des crédits HLM », explique le journal. En échange, la municipalité dirigée à l’époque par Jacques Chirac avait « le droit de choisir des locataires pour une partie des 146 logements sociaux » qui composent l’immeuble. Le loyer mensuel de cet appartement est de 1 401,88 euros auxquels s’ajoutent environ 600 euros de charges dont 81,53 euros par parking et 150 euros de consommation d’eau chaude, précise le Canard.
La semaine dernière, Georges Tron, déjà pris à partie par l’hebdomadaire satirique, avait répliqué qu’il ne s’agissait pas d’un HLM mais bien d’un ILN (immeuble à loyer normal). « Ce qui signifie, avait-il précisé dans un communiqué, qu’il n’y a aucun système de conventionnement, aucun seuil, ni plafond de loyer à l’entrée dans les lieux ».
Le Canard considère que George Tron bénéficie néanmoins d’un loyer de 11,88 euros le mètre carré, au lieu de 25 euros « pour un appartement privé de ce standing dans un pareil quartier », souligne le journal. De nouveau interrogé, le service de presse du secrétaire d’Etat a rappelé que ce dernier avait été « totalement transparent sur cette affaire et était toujours disposé à faire parvenir toutes ses quittances de loyer à tout journaliste qui les lui demanderait ».
Pour en savoir plus :
- Lire l’enquête, publiée samedi dans Libération.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Tron
-
Georges Tron
Georges Tron
Georges Tron en 2010.Fonctions Maire de Draveil En fonction depuis le 25 juin 1995
(25 ans, 7 mois et 24 jours)Réélection mars 2001
mars 2008
mars 2014
mai 2020Prédécesseur Jean Tournier-Lasserve Conseiller départemental de l’Essonne En fonction depuis le 2 avril 2015
(5 ans, 10 mois et 16 jours)Élection 29 mars 2015 Circonscription Canton de Draveil Prédécesseur Florence Fernandez de Ruidiaz Secrétaire d’État chargé de la Fonction publique 22 mars 2010 – 29 mai 2011
(1 an, 2 mois et 7 jours)Président Nicolas Sarkozy Gouvernement François Fillon II
François Fillon IIIDéputé français 30 juin 2011 – 19 juin 2012
(11 mois et 20 jours)Élection 17 juin 2007 Circonscription 9e de l’Essonne Législature XIIIe (Ve République) Groupe politique UMP Prédécesseur Françoise de Salvador Successeur Thierry Mandon 2 avril 1993 – 23 avril 2010
(17 ans et 21 jours)Élection 28 mars 1993 Réélection 1er juin 1997
16 juin 2002
17 juin 2007Circonscription 9e de l’Essonne Législature Xe, XIe, XIIe et XIIIe
(Ve République)Groupe politique RPR (1993-2002)
UMP (2002-2010)Prédécesseur Thierry Mandon Successeur Françoise de Salvador Biographie Date de naissance 1er août 1957 (63 ans) Lieu de naissance Neuilly-sur-Seine (Seine) Nationalité Française Parti politique RPR (avant 2002)
UMP (2002-2015)
LR (depuis 2015)Profession Agent public des collectivités locales modifier Georges Tron, né le 1er août 1957 à Neuilly-sur-Seine, est un homme politique français.
Membre du RPR, de l’UMP puis de LR, il est maire de Draveil (Essonne) depuis 1995, député de l’Essonne entre 1993 et 2012 et secrétaire d’État chargé de la Fonction publique de 2010 à 2011.
Accusé d’agressions sexuelles et de viols par deux anciennes employées de sa commune, il quitte le gouvernement Fillon. Il est acquitté en première instance en 2018, mais reconnu coupable en appel en 2021 pour les accusations d’une des plaignantes : condamné à cinq ans de prison, dont trois ferme, assortis d’une peine d’inéligibilité de six ans, il est incarcéré.
Sommaire
Situation personnelle
Famille et vie privée
Né à Neuilly-sur-Seine, il est le fils de Claude Tron et Monique Gas.
Il est marié à Albane Jourdain de Thieulloy, présidente de la Société des amis du patrimoine draveillois, avec qui il a trois filles1.
Formation
Il fait ses études secondaires au lycée Saint-Louis de Gonzague à Paris (promotion 1975)2, puis des études en droit public sanctionnées par une maîtrise3.
Carrière professionnelle
Embauché en 1982 comme chargé de mission au Conseil de Paris, il travaille auprès de Roger Romani, de Jacques Chirac, puis Édouard Balladur4. Il quitte la mairie de Paris quand ce dernier, nommé ministre de l’Économie, des Finances et des Privatisations, l’appelle à son cabinet, toujours en qualité de chargé de mission. En 1988, siégeant comme député de Paris, Édouard Balladur le choisit pour être son chef de cabinet durant la législature, puis comme conseiller lorsqu’il devient Premier ministre, en 19933.
Directeur de campagne d’Édouard Balladur pour l’élection présidentielle de 1995, il organise notamment pour celui-ci une opération de communication : après que son hélicoptère se fut posé près de Barbentane (Bouches-du-Rhône), le Premier ministre, perdu en rase campagne, est pris en stop, pour rejoindre son meeting, par une automobiliste qui se révèlera être une cousine de Georges Tron5.
En 2009, il s’inscrit au barreau de Paris6.
Parcours politique
Débuts
Georges Tron se présente aux municipales de 1989 sur la liste de Gilles de Robien, qui emporte la mairie d’Amiens. Élu conseiller municipal, il démissionne en cours de mandat7.
En 1992, il s’implante politiquement en Essonne à la demande du président RPR du conseil général, Xavier Dugoin4.
Député et maire de Draveil
Le 28 mars 1993, il est élu député dans la 9e circonscription de l’Essonne face au socialiste sortant, Thierry Mandon8.
Il préside l’Union des jeunes pour le progrès (UJP), mouvement des jeunes gaullistes, en 1993, puis est mis à l’écart des instances du RPR après la défaite d’Édouard Balladur. Il est ensuite membre fondateur de l’Union en mouvement (UEM), qui préfigure la création de l’UMP9.
Lors des élections municipales de 1995 à Draveil, la liste qu’il conduit devance, dans une triangulaire, celle du maire divers droite sortant, Jean Tournier-Lasserve. Dans la ville voisine, Ris-Orangis, Thierry Mandon prend la mairie. L’opposition entre les deux hommes fait la une des médias nationaux quand Libération dévoile qu’une collaboratrice de Georges Tron a tenté d’encourager l’émeute des jeunes Rissois8. Georges Tron est réélu maire en 2001 et 200810,11. Il préside la Communauté d’agglomération Sénart Val de Seine depuis 20033.
Les deux adversaires se retrouvent lors de la législative de 1997, dont Georges Tron sort vainqueur, le 1er juin 1997, avec 717 voix d’écart. Il est réélu le 17 juin 2002 avec 55,8 % des voix au second tour. Il est membre du groupe UMP12. Lors des Émeutes de 2005 dans les banlieues, il prône et applique dans sa commune la suppression des allocations familiales pour les parents d’enfants délinquants8.
Secrétaire général adjoint chargé des élections de 2002 à 2005 à l’UMP, il est considéré ensuite dans son parti comme « villepiniste » (proche de l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin), s’opposant régulièrement à la politique de Nicolas Sarkozy3,6.
Secrétaire d’État à la Fonction publique
Secrétaire national chargé de la fonction publique à l’UMP depuis 20053, il est nommé, le 22 mars 2010, secrétaire d’État à la Fonction publique (poste laissé vacant depuis juin 2009)13 dans le gouvernement François Fillon II, sous la tutelle d’Éric Woerth, ministre du Travail, de la Solidarité et de la Fonction publique. Cette nomination est analysée comme un moyen d’affaiblir Dominique de Villepin8, lui y voyant un « geste d’apaisement »9.
Ses premiers jours au ministère sont marqués par la révélation, par Le Canard enchaîné, du fait qu’il occupe toujours en 2010, dans le 15e arrondissement de Paris, un logement social de 118 m2, obtenu en 1992 sur le contingent de la mairie de Paris14.
Au sein du gouvernement, Georges Tron est chargé de préparer la réforme des retraites dans la fonction publique15. Aux côtés d’Éric Woerth, il applique le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux qu’il avait avancé en 2005, mais déclare en mars 2011 que ce mécanisme devra cesser en 2012. Son successeur François Sauvadet continuera de l’appliquer, tout en regrettant que le faible volume des départs en retraite ne permette plus de réduire, autant qu’il le juge nécessaire, les effectifs de la fonction publique16. Il mène la réforme des retraites et négocie avec les syndicats un accord sur la précarité des non-titulaires de la fonction publique8.
Le 29 mai 2011, alors qu’il est accusé de viols, il est contraint de démissionner du gouvernement à la demande de François Fillon17.
Après son départ du gouvernement
Il retrouve automatiquement son siège de député le 30 juin 2011, un mois après sa démission du gouvernement. Le même jour, le bureau de l’Assemblée nationale lève son immunité parlementaire18. Affaibli par les accusations de viol à son encontre, il est battu aux élections législatives de 2012 par le socialiste Thierry Mandon, qui obtient 56,75 % des suffrages19,20.
En 2014, sa liste rassemble 57,5 % des suffrages au premier tour de l’élection municipale de Draveil, ce qui lui permet de conserver son fauteuil de maire.
Il est candidat dans le canton de Draveil lors des élections départementales de 2015, qu’il gagne. Pressenti pour prendre la tête du conseil départemental, il est battu par François Durovray lors d’une primaire interne21. Georges Tron choisit néanmoins de se présenter à la présidence du conseil départemental, malgré un engagement antérieur à respecter les résultats de la primaire22. Dans la foulée, il démissionne de la présidence de la fédération UMP de l’Essonne23. Le jour de l’élection du président, il retire finalement sa candidature24.
En juin 2016, il est investi par Les Républicains comme candidat aux élections législatives de 2017 dans la 9e circonscription de l’Essonne25. Le fait qu’il soit parallèlement mis en examen pour l’affaire de viol suscite une polémique au sein du parti26. Invoquant le non-cumul des mandats, il renonce finalement à se présenter27.
Il est réélu maire en 2020, après que sa liste a obtenu 64,6 % des suffrages au premier tour des élections municipales28.
Affaire judiciaire
Adepte de réflexologie plantaire, Georges Tron est accusé en mai 2011, en pleine affaire Dominique Strauss-Kahn, de viols et d’agressions sexuelles : deux anciennes employées de Draveil (Virginie Ettel et Éva Loubrieu) déposent plainte en affirmant qu’il a profité — en compagnie de son adjointe à la culture, Brigitte Gruel — des séances de massage de pieds qu’il leur prodiguait pour leur imposer des rapports sexuels (attouchements et pénétrations digitales)29,19,30. Georges Tron se défend en arguant d’un complot organisé par des membres locaux du Front national (dont Philippe Olivier) sur fond de spéculation immobilière à Draveil19,6,31,32.
Le 22 juin 2011, il est mis en examen pour « viols et agressions sexuelles en réunion et par personne ayant autorité », et placé sous contrôle judiciaire33,34. Les plaignantes sont menacées à plusieurs reprises35. Le 10 décembre 2013, les juges d’instruction prononcent un non-lieu en sa faveur, conformément aux réquisitions du parquet d’Évry19,36. Mais ce non-lieu est infirmé le 15 décembre 2014 par la cour d’appel de Paris, qui renvoie les accusés devant les assises37. En avril 2015, la cour de cassation refuse d’invalider la décision de la cour d’appel de Paris38.
À partir du 12 décembre 2017, Georges Tron comparaît pour « viols et agressions sexuelles en réunion » devant la cour d’assises de Seine-Saint-Denis, aux côtés de Brigitte Gruel39,40. Il est défendu par Éric Dupond-Moretti et son associé Antoine Vey. Pendant le procès, alors qu’il continue à clamer son innocence, il est dépeint comme autoritaire et séducteur, quatre de ses collaboratrices — outre les deux plaignantes — reconnaissant avoir eu des relations sexuelles avec lui41,42,43. Alors que six ans de prison et cinq ans d’inéligibilité sont requis à son encontre, il est acquitté le 15 novembre 201844,45. Si la cour d’assises reconnaît que Georges Tron et Brigitte Gruel ont bien « participé à des ébats sexuels en présence de tiers dans un climat général hypersexualisé », elle note qu’il « n’a jamais été rapporté la preuve d’une contrainte »46. Le parquet général de Paris fait appel de cette décision47.
À la suite de l’appel interjeté par le parquet, un nouveau procès se tient au début de l’année 2021, devant la cour d’assises de Paris. Le 17 février, après onze heures de délibéré, la juridiction le reconnaît coupable de « viol » et d’« agressions sexuelles » sur l’une des deux plaignantes, Virginie Ettel, mais l’acquitte concernant les accusations de l’autre, Eva Loubrieu48. Il est condamné à cinq ans d’emprisonnement, dont deux avec sursis, assortis d’une peine d’inéligibilité de six ans et d’une inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles49. Cette décision valant mandat de dépôt, il est placé en détention à la Prison de la Santé, à Paris50,51.
Détail des mandats et fonctions
- 2 avril 1993 – 23 avril 2010 : député pour la 9e circonscription de l’Essonne
- depuis le 25 juin 1995 : maire de Draveil
- depuis 2004 : président de la fédération UMP de l’Essonne
- 22 mars 2010 – 13 novembre 2010 : secrétaire d’État auprès du ministre du Travail, de la Solidarité et de la Fonction publique, chargé de la Fonction publique
- 14 novembre 2010 – 29 mai 2011 : secrétaire d’État auprès du ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’État, chargé de la Fonction publique
- 30 juin 2011 – 19 juin 2012 : député pour la 9e circonscription de l’Essonne
Notes et références
- Who’s Who in France, 2003.
- Voir sur parisetudiant.com. [archive]
- « Georges Tron » [archive], lepoint.fr, 22 mars 2010.
- Olivier Bertrand, « Un duel doublé de rivalité haineuse » [archive], Libération, 31 mai 1997.
- Alain Auffray, « Georges Tron, l’orgueilleux aux multiples mentors » [archive], Libération, 30 mai 2011.
- « Georges Tron, un ancien villepiniste rallié à Sarkozy » [archive], Le Figaro, 29 mai 2011.
- « Georges Tron, un secrétaire d’État au bref passé picard » [archive], http://www.courrier-picard.fr, 23 mars 2010
- « Georges Tron, de fidèle balladurien à “prise de guerre” sarkozyste » [archive], LeMonde.fr, 30 mai 2011.
- « Portraits : Les trois nouveaux du gouvernement [archive] », parismatch.com, 23 mars 2010.
- Thomas Segissement, « A Draveil, Georges Tron face à un seul adversaire » [archive], Le Parisien, 19 février 2001.
- Élections municipales de 2008 – résultats à Draveil [archive] sur le site du Figaro.
- Groupe d’études sur le problème du Tibet [archive]
- Laure Equy, « Un remaniement pas si “technique” » [archive], Libération, 22 mars 2010.
- « D’après le “Canard enchaîné”, Georges Tron loue bien un appartement à loyer modéré » [archive], Le Monde, 30 mars 2010.
- Anne Rovan, « Les débuts de Baroin, Tron et Daubresse au gouvernement » [archive], Le Figaro, 26 avril 2010.
- « Selon Sauvadet, on arrive au bout de la règle du « un fonctionnaire sur deux » » [archive], sur lemonde.fr, 5 janvier 2012
- David Doucet, « Georges Tron démissionne [archive] », L’Express.fr, 29 mai 2011
- « L’Assemblée lève l’immunité parlementaire de Tron » [archive], Challenges, 30 juin 2011.
- « L’affaire Georges Tron, des révélations au retournement de situation » [archive], Le Monde.fr, 15 mai 2013.
- Résultats de l’élection législative 2012 dans la neuvième circonscription de l’Essonne sur le site du ministère de l’Intérieur. [archive] Consulté le 18/06/2012.
- Daïc Audouit et William Van Qui, « Georges Tron ne sera pas président du conseil départemental de l’Essonne » [archive], france3-regions.francetvinfo.fr, 30 mars 2015.
- Fabrice Pouliquen, « Essonne : Georges Tron briguera tout de même la présidence de l’UMP » [archive], 20minutes.fr, 30 mars 2015.
- Florence Méréo, « Georges Tron : « Je démissionne de la présidence de l’UMP en Essonne » » [archive], leparisien.fr, 30 mars 2015.
- « Georges Tron retire sa candidature à la présidence de l’Essonne » [archive], lesechos.fr, 2 avril 2015.
- voir sur leparisien.fr. [archive]
- « Georges Tron, accusé de viol, investi pour les législatives de 2017 » [archive], lexpress.fr, 23 juin 2016.
- Voir sur lemonde.fr. [archive]
- « Résultats municipales 2020 à Draveil » [archive], sur Le Monde.fr (consulté le 4 juillet 2020).
- Voir sur europe1.fr. [archive]
- « Les deux plaintes qui visent Georges Tron » [archive], Rue89, 31 mai 2011.
- Voir sur leparisien.fr. [archive]
- Voir sur leparisien.fr. [archive]
- Europe 1 : Georges Tron mis en examen pour viol. [archive]
- Voir sur Lefigaro.fr. [archive]
- Voir sur marianne.net. [archive]
- « Accusations de viols : non-lieu pour Georges Tron » [archive], Le monde.fr, 10 décembre 2013.
- « Georges Tron renvoyé devant les assises pour viols et agressions sexuelles » [archive], lemonde.fr, 15 décembre 2014.
- « Le renvoi aux assises de Georges Tron pour viols validé en cassation » [archive], lemonde.fr, 3 avril 2015.
- Voir sur lexpress.fr. [archive]
- « Georges Tron et ses “manies” sexuelles en procès » [archive], 11 décembre 2017.
- « Lors de son procès, Georges Tron dénonce des accusations “aussi abjectes qu’injustes” », Le Monde.fr, 23 octobre 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 24 octobre 2018).
- Voir sur 20minutes.fr. [archive]
- Voir sur ledauphine.com. [archive]
- « Six ans de prison requis contre Georges Tron, ex-secrétaire d’Etat jugé pour “viols en réunion” », Le Monde, 14 novembre 2018 (lire en ligne [archive]).
- « Georges Tron acquitté à l’issue de son procès pour “viols en réunion” », Le Monde, 15 novembre 2018 (lire en ligne [archive]).
- « Georges Tron acquitté à l’issue de son procès pour “viols en réunion” » [archive] par Pascale Robert-Diard, sur lemonde.fr du 15 novembre 2018.
- Voir sur lci.fr. [archive]
- Aude Bariéty, « Procès pour «viols» : Georges Tron condamné à cinq ans de prison, dont deux avec sursis » [archive], sur lefigaro.fr, 17 février 2021 (consulté le 17 février 2021).
- « Viol et agressions sexuelles : Georges Tron condamné à 5 ans de prison dont trois ferme » [archive], sur republicain-lorrain.fr, 17 février 2021 (consulté le 17 février 2021).
- Par Le Parisien avec AFP Le 17 février 2021 à 22h11, « Viols et agressions sexuelles : Georges Tron condamné à trois ans de prison ferme et incarcéré » [archive], sur leparisien.fr, 17 février 2021 (consulté le 18 février 2021)
- « Georges Tron condamné en appel à de la prison ferme pour viol et agression sexuelle en réunion », Le Monde.fr, 18 février 2021 (lire en ligne [archive], consulté le 18 février 2021)
Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
- Georges Tron, sur Wikimedia Commons
- Georges Tron, sur Wikinews
Littérature
- Olivier Adam, dans son roman La Renverse, s’inspire librement de l’affaire Georges Tron, sans s’y référer explicitement, pour créer une fiction qui s’en éloigne.
Article connexe
Liens externes
- Ressources relatives à la vie publique
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Ava doit être dévastée! Elle qui est si folle de ses pieds!
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