David Servenay est ce journaliste fort malhonnête qui à compter de
l’année 2008 s’est attaqué très sournoisement aux victimes de
harcèlement moral en entreprise, dont, bien entendu, de nombreux
lanceurs d’alertes potentiels ou avérés, en les faisant passer pour
folles avec l’aide de véritables malades mentaux cybercriminels et
harceleurs tous regroupés autour du « Konducator » de Puy-l’Evêque.
Manifestement à son instigation, ces derniers harcelaient en meute et
sans relâche celles qui avaient fait l’erreur de se manifester
anonymement dans les colonnes du site Rue89, où il sévissait.
Voilà toute son activité du jour sur Twitter :
David Servenay a retweeté
Au mois de janvier dernier, j’avais été assez choquée de retrouver son nom et celui de Pierre Haski parmi les signataires d’une pétition contre des « poursuites-bâillons » similaires à celles, multiples, dont je suis toujours victime de la part de leurs complices « déconnologues » depuis qu’en 2010, dans le prolongement de leurs harcèlements à mon encontre sur le site Rue89 en 2008 et 2009, ceux-ci se rendent coupables à mon égard d’innombrables exactions publiques ayant pour but de poursuivre son travail de discrédit et d’anéantissement des victimes de harcèlement moral dans le travail et « lanceurs d’alertes », bien évidemment au profit de patrons voyous.
Il s’agit de cette pétition publiée le 24 janvier 2018 par Bastamag :
https://www.bastamag.net/Face-aux-poursuites-baillons-de-Bollore-nous-ne-nous-tairons-pas
Pour autant, il serait faux de dire que j’en fus énormément surprise, tant la perversité de mes harceleurs m’est devenue familière depuis le temps que j’en suis victime.
Pas davantage de surprise pour moi, donc, lorsque tout à coup, le printemps arrivant, un certain nombre de magistrats se réveillèrent contre Sarkozy et Bolloré…
Le malade mental au clavier – son « arme » – n’était pas sûr de gagner son procès en appel.
Il a bien perdu.
Voilà toute son activité du jour sur Twitter :
David Servenay a retweeté
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Tweet d’origine :
Après 5 ans de procédures Bolloré perd définitivement son procès en diffamation intenté à @Bastamag, @Rue89 et des sites ayant relayé l’article concerné, sur l’accaparement des terres https://t.co/MDa30tJ3U9— Catherine Petillon (@cathpn) 9 mai 2018
Au mois de janvier dernier, j’avais été assez choquée de retrouver son nom et celui de Pierre Haski parmi les signataires d’une pétition contre des « poursuites-bâillons » similaires à celles, multiples, dont je suis toujours victime de la part de leurs complices « déconnologues » depuis qu’en 2010, dans le prolongement de leurs harcèlements à mon encontre sur le site Rue89 en 2008 et 2009, ceux-ci se rendent coupables à mon égard d’innombrables exactions publiques ayant pour but de poursuivre son travail de discrédit et d’anéantissement des victimes de harcèlement moral dans le travail et « lanceurs d’alertes », bien évidemment au profit de patrons voyous.
Il s’agit de cette pétition publiée le 24 janvier 2018 par Bastamag :
https://www.bastamag.net/Face-aux-poursuites-baillons-de-Bollore-nous-ne-nous-tairons-pas
Pour autant, il serait faux de dire que j’en fus énormément surprise, tant la perversité de mes harceleurs m’est devenue familière depuis le temps que j’en suis victime.
Pas davantage de surprise pour moi, donc, lorsque tout à coup, le printemps arrivant, un certain nombre de magistrats se réveillèrent contre Sarkozy et Bolloré…
Le malade mental au clavier – son « arme » – n’était pas sûr de gagner son procès en appel.
Il a bien perdu.
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