Oui et non, pas seulement.
Les commanditaires de tous ces attentats isolés ou coordonnés sont toujours les mêmes, ils le revendiquent sur mon blog à leur manière devenue habituelle dès les premières années, entre 2012 et 2014, et continuent comme ils l'ont toujours fait à manipuler des malades psychiatriques pour toutes leurs exactions, qu'il s'agisse de toutes celles qu'ils peuvent commanditer à mon encontre, procès délirants y compris, ou de tous les attentats "islamistes" associés.
Cette fois-ci, un tabloïd britannique et non allemand révèle l'existence d'une feuille de papier comportant des inscriptions intrigantes retrouvée sur le tableau de bord du véhicule ayant servi à l'attaque, de la même manière qu'en décembre 2014, un carnet rempli de notes qualifiées de "délirantes" avait été retrouvé dans le véhicule de Sébastien Sarron après son attaque du marché de Noël de Nantes.
Une autre attaque très étrange s'était accompagnée, avec le suicide présumé de l'auteur des faits, d'une lettre d'explications à l'allure rocambolesque, il s'agit de la tentative d'assassinat perpétrée à Brest le 27 juin 2019 par le Lyonnais Karl Foyer contre l'imam de la mosquée Sunna de Brest, à Pontanézen, Rachid Eljay.
Enfin, n'oublions pas le petite bibliothèque affichée par Amedy Coulibaly lors de sa revendication des attentats de janvier 2015 à Paris et véhiculant autant de messages très significatifs :
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/des-attentats-islamistes-pour-des.html
Avec ce nouveau papier scotché à l'intérieur de la voiture utilisée pour l'attaque d'hier en Allemagne, on se fout des ingénieurs, c'est évident...
Attaque à la voiture-bélier à Mannheim : le profil du suspect intrigue les enquêteurs allemands
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Il s'est servi de sa voiture "comme d'une arme", selon les autorités. Un homme a tué deux piétons et en a blessé onze autres, lundi 3 février, en fonçant au volant de son véhicule sur une foule en plein centre de Mannheim, dans l'ouest de l'Allemagne, alors qu'elles s'apprêtaient à participer au carnaval, avant d'être arrêté par la police. En milieu de journée, le conducteur a foncé dans la zone piétonne de Mannheim "à très grande vitesse", a indiqué le ministre de l'Intérieur de l'Etat régional où est située cette ville, le Bade-Wurtemberg.
Cet acte de violence intervient à la suite de plusieurs attentats à la voiture-bélier qui ont ébranlé ce pays ces dernières semaines et dominé la récente campagne électorale. Rapidement, les autorités ont également exclu "un mobile politique" et mettent en avant des problèmes "psychiques" du conducteur, qui a causé la mort d'une femme de 83 ans et d'un homme de 54 ans.
"Maladie psychique"
Le suspect est un Allemand de 40 ans : Alexander S. travaillait comme paysagiste à Ludwigshafen, une ville voisine de Mannheim. Après sa course folle, il s'est tiré une balle dans la bouche avec un pistolet d'alarme, une arme de dissuasion mais qui peut provoquer de graves blessures à bout portant. Blessé, son état de santé est décrit comme stable. La police n'a pas encore pu l'interroger.
Pour les enquêteurs, cela ne fait pas de doute : l'homme, qui circulait à vive allure dans la zone piétonne, a foncé délibérément dans la foule. Le scénario est identique à l'attaque de Munich, le mois dernier et à celle commise sur le marché de noël de Magdebourg fin décembre. Mais à Mannheim, contrairement à d'autres attentats, le suspect n'aurait ni motivation religieuse, ni motivation politique.
Les enquêteurs s'attellent à retracer le parcours du suspect : "Nous avons plutôt des indices concrets d'une maladie psychique chez l'auteur, c'est pourquoi l'enquête se concentre sur cet aspect", a souligné le procureur, Romeo Schüssler. Il avait purgé, il y a 10 ans, une courte peine de prison pour coups et blessures. En 2018, le suspect avait été condamné à une amende pour un commentaire jugé haineux sur Facebook d'une image d'extrême droite. "Nous ne pouvons pas déterminer s'il s'agit d'un état d'esprit" général du suspect "ou d'une déclaration faite par bêtise" à l'époque, a-t-il ajouté, précisant que l'enquête dans ce domaine se poursuit.
Une longue série d'attaques similaires
Du côté de la population, c'est l'effroi, le choc et des interrogations sur la répétition d'attaques meurtrières dans le pays ces derniers mois. Ce drame s'ajoute en effet à une longue liste, commencée en avril 2018 à Münster, dans l'ouest du pays, où un homme souffrant de troubles psychologiques avait foncé avec une camionnette sur des gens assis à des cafés en terrasse, tuant quatre personnes. À Magdebourg, en décembre, c'est un médecin saoudien de 50 ans qui avait fauché la foule d'un marché de Noël à bord d'un puissant véhicule BMW lancé à toute allure dans une attaque qui a fait six morts et quelque 300 blessés. Mi-février 2025, à Munich, un automobiliste, qui aurait agi "par motivation religieuse", avait déjà précipité sa voiture sur des manifestants, tuant deux personnes, dont une enfant de deux ans, et faisant plusieurs blessés.
Toutes ces violences ont dominé les débats des élections législatives de fin février, qui ont vu la victoire du parti conservateur de Friedrich Merz et une poussée spectaculaire du parti d'extrême droite AfD. Lundi soir, le chancelier Olaf Scholz a déploré un "acte de violence insensé", quand le conservateur Friedrich Merz, probable futur chancelier, lui, a estimé que "l'Allemagne doit redevenir un pays sûr. Nous y travaillerons avec toute la détermination nécessaire".
Attaque à la voiture-bélier à Mannheim : dessins de cœurs, visages souriants, calculs de freinage… Une feuille retrouvée scotchée sur le tableau de bord
Alexander S., l’auteur des faits, devrait être entendu prochainement.
Au lendemain de l’attaque à la voiture-bélier dans la ville de Mannheim (Allemagne), les équipes médico-légales ont dévoilé l’existence d’un papier scotché sur le tableau de bord du véhicule, une Ford Fiesta noire.
Le tabloïd britannique The Sun, qui a rapporté l’information, dévoile que sur ce bout de papier format A4, l’auteur des faits a dessiné un visage souriant accompagné de cœurs.
A lire aussi : Allemagne : Une voiture fonce dans la foule et fait au moins un mort à Mannheim
Mais ce n’est pas tout : il a également écrit ce qui pourrait s’apparenter à des calculs ainsi que des formules qui lui auraient permis de calculer la distance de freinage du véhicule ainsi que le temps de réaction. Les enquêteurs cherchent encore à comprendre pourquoi ce papier a été mis ici.
Déjà connu des services de police
Les enquêteurs n’ont toutefois pas encore pu entendre la version de l’auteur des faits puisqu’il s’est tiré une balle dans la bouche avec un pistolet d’alarme. Cependant, son état de santé est stable, d’après les autorités.
L’homme, un Allemand de 40 ans, identifié comme étant Alexander S., était paysagiste. Il a déjà été condamné dans le passé, notamment pour agression et conduite en état d’ivresse.
Concernant son état psychologique, le procureur Romeo Schüssler a déclaré : "Nous avons plutôt des indices concrets d’une maladie psychique chez l’auteur, c’est pourquoi l’enquête se concentre sur cet aspect." Un "acte à motivation politique" a été exclu par les enquêteurs.
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L’incident s’est produit alors que des personnes se rassemblaient dans différentes villes, notamment en Rhénanie, pour des défilés à l’occasion de l’ouverture de la saison du carnaval, qui comprend 60 stands de restauration, des manèges et des jeux animés. De nombreuses personnes ont été blessées et deux sont mortes.
L’homme a foncé dans la foule, dans le centre-ville de Mannheim.
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