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mercredi 7 mars 2018

Empoisonnement de personnes dérangeantes : je suis l'éternelle oubliée de la liste !


Empoisonnée le 22 mars 2002 par des complices de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, notamment pour avoir toujours refusé de me prostituer alors que j’exerçais comme ingénieur d’études en informatique, et ce, même après avoir perdu mon emploi pour cette raison souvent exprimée par mes harceleurs, et en dépit de toutes les dettes qu’ils mettaient illégalement et artificiellement à ma charge tout en me privant tout aussi illégalement de toutes les ressources auxquelles je pouvais prétendre, j’ai bien failli trépasser au cours de ce printemps 2002.

Les auteurs de tous les harcèlements en vue de me contraindre à la prostitution dont j’avais déjà à me plaindre en ce temps-là ont bien recommencé leur cirque à compter des années 2008 à 2010.

Ils ne m’avaient en fait jamais lâchée.


http://www.lefigaro.fr/international/2018/03/06/01003-20180306ARTFIG00106-le-poison-une-arme-au-service-d-assassinats-d-espions-et-de-politiques.php

Le poison, une arme au service d’assassinats d’espions et de politiques



Avant Sergueï Skripal, ex-espion russe retrouvé dans un état critique à Londres dimanche et probablement empoisonné, des substances toxiques ont déjà servi à réduire au silence des individus. Le Figaro revient sur cinq affaires célèbres d’empoisonnement.

Ricine, Polonium-210, ou encore dioxine. Ces poisons font partie de l’histoire. Tous ont servi à des tentatives d’assassinat de personnalités. Discret, et difficilement identifiable, le poison est depuis longtemps un moyen prisé pour éliminer adversaires politiques et personnes gênantes. Dimanche, c’est un ancien espion russe travaillant pour le Royaume-Uni qui a été retrouvé dans un état critique. L’homme, qui avait été arrêté en Russie puis libéré en 2010 lors d’un échange, a été hospitalisé après avoir été exposé «à une substance toxique». Le dernier d’une longue liste dont voici quelques cas célèbres.

Georgi Markov, mortel parapluie


«L’affaire du parapluie bulgare» se déroule en pleine Guerre froide en 1978. Georgi Markov, écrivain bulgare, a fui son pays neuf ans plus tôt pour se réfugier au Royaume-Uni. Le 7 septembre, à Londres, alors qu’il attend le bus pour rentrer chez lui après sa journée de travail à la BBC, il se fait piquer la jambe par un passant, qui abandonne son parapluie. Le soir même, il est pris d’une forte fièvre et décède trois jours plus tard.

L’enquête permet d’établir que le parapluie était en réalité une arme. L’écrivain aurait été empoisonné par un liquide dissimulé dans une capsule de la taille d’une épingle. L’autopsie du corps établie finalement que Georgi Markov a succombé à une dose de 0,2 milligramme de ricine, un poison 6000 fois plus violent que le cyanure. L’affaire n’a jamais été élucidée.

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Viktor Iouchtchenko, un visage marqué à vie

 

Viktor Iouchtchenko en décembre 2004.

Il porte toujours les stigmates du poison sur son visage. Si, avec le temps il a retrouvé une couleur de peau normale, son faciès reste grêlé. En septembre 2004, l’Ukrainien Viktor Iouchtchenko, candidat de l’opposition, héros de la Révolution orange, mène campagne pour la présidentielle. Celle-ci l’oppose à Viktor Ianoukovitch, candidat favori de Moscou. Iouchtchenko tombe malade après un dîner avec le chef des services secrets urkrainiens et son adjoint. Il faut trois mois pour que des médecins autrichiens identifient un empoisonnement à la dioxine.

Les analyses montrent que l’organisme de Viktor Iouchtchenko présente des concentrations en dioxine 1000 fois supérieures à la normale. Malgré les traces qui ne disparaîtront pas de son visage, il est élu président de l’Ukraine ans janvier 2005. Cinq en plus tard, il sera balayé, échouant à se faire réélire en ne recueillant que 5% des suffrages.

Alexandre Litvinenko, un thé toxique


Le 1er novembre 2006, l’opposant russe et ex-agent du KGB Alexandre Litvinenko rencontre deux Russes, Dmitri Kovtoun et Andreï Lougovoï, pour prendre un thé au Millenium Hotel, dans le centre de Londres, et discuter de possibles opportunités d’affaires.

Alors qu’il enquêtait sur d’éventuels liens entre le Kremlin et des réseaux mafieux et qu’il collaborait également avec les services secrets britanniques, Litvinenko est victime d’un malaise après avoir bu le thé et est hospitalisé. Il succombe quelques semaines plus tard à l’âge de 43 ans, empoisonné au polonium-210, une substance radioactive extrêmement toxique produite en Russie. Avant de mourir, Alexandre Litvinenko a longuement été interrogé par Scotland Yard et a ainsi pu, chose peu habituelle, témoigner sur son propre assassinat.

Un témoignage qui a grandement servi à l’enquête menée en Grande-Bretagne. Celle-ci a conclu, le 21 janvier 2016, soit près de 10 ans après le thé du Millenium Hotel, que le président russe, Vladimir Poutine, avait «probablement approuvé» l’homicide de l’ex-espion. Une mise en cause qualifiée de «blague» par Moscou. «Visiblement, on peut relier ça à l’élégant humour britannique», avait déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. La mort de Litvinenko a provoqué une crise diplomatique entre la Grande-Bretagne et la Russie, qui a toujours refusé d’extrader le principal suspect.

Khaled Mechaal, assassinat raté


En septembre 1997, à Amman, cinq agents du Mossad, les services de renseignements israéliens, tentent d’assassiner Khaled Mechaal, chef du bureau politique du mouvement islamiste Hamas. Se faisant passer pour des touristes canadiens, ils lui injectent du poison dans le cou. Celui-ci est censé provoquer une mort naturelle, une crise cardiaque. Au lieu de ça, l’homme tombe dans le coma. Deux agents du Mossad sont arrêtés tandis que les trois autres se réfugient dans l’ambassade israélienne.

» LIRE AUSSI – La guerre de l’ombre du Mossad

Khaled Mechaal est alors sauvé par l’intervention du roi Hussein de Jordanie, qui exige du gouvernement israélien, dirigé par Benjamin Netanyahou, qu’il lui remette l’antidote et autorise la libération du chef spirituel du Hamas, cheikh Ahmad Yassine. En échange, il libère deux agents israéliens.

Kim Jong-Nam, agent neurotoxique à Kuala Lumpur


C’est une affaire beaucoup plus récente. Kim Jong-Nam, demi-frère en disgrâce du dirigeant de la Corée du Nord Kim Jong-un, a été assassiné en plein jour, le 13 février 2017, avec un agent neurotoxique à l’aéroport de Kuala Lumpur, en Malaisie. Il attendait un avion pour Macao, quand il a soudain été approché par deux femmes qui lui ont projeté une substance au visage, selon des images de caméras de surveillance. Kim Jong-Nam est décédé peu après, lors de son transfert à l’hôpital.

Des traces de VX, un agent neurotoxique classé comme arme de destruction massive, ont été découvertes sur son visage et dans ses yeux lors d’examens médico-légaux. La Corée du Nord, qui a toujours nié farouchement toute implication dans cet assassinat, possède du VX, selon des experts. Mais l’enquête n’a pas établi comment les deux femmes ont pu en obtenir. Celles-ci ont plaidé non coupables lors de l’ouverture de leur procès le 2 octobre dernier.

La vidéo de l’empoisonnement du demi-frère du dictateur nord coréen
Kim Jong-nam, le demi-frère du dictateur nord coréen Kim Jong-Un est mort le 13 février des suites d’une attaque au neurotoxique mortel VX. La télévision japonaise Fuji TV, s’est procuré les images de vidéo surveillance de l’aéroport de Kuala Lumpur.
 
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Guillaume Descours
AFP agence

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