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mardi 5 mai 2015

A Puy-l'Evêque, un gendarme coupable de légèreté

Il s’agit du gendarme qui en 2011, sur ordre du procureur de la République de Brest, avait été chargé d’interroger le cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi à propos de tout ce qu’il publiait à mon sujet depuis le mois de juin 2010, à la suite de la première plainte que j’avais déposée contre lui en 2010.

L’intéressé avait de lui-même parlé de cet interrogatoire sur son blog dès le mois d’avril 2011, dans des commentaires publics que j’avais ensuite rapportés sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog, dans l’ensemble de textes dont copie ci-dessous :


2011-04-17 Cyp interrogé par la gendarmerie de Puy-l'Evêque - Un petit coucou


Cliquer sur l’image pour l’agrandir et apprécier.

Très loin de porter sur tous les faits dénoncés, cet interrogatoire qui remonte au lundi 14 mars 2011 avait été des plus limités.

Ce ne fut en réalité qu’un prétexte pour recueillir le « témoignage » à charge de Cyprien Luraghi à mon encontre.

Il me harcelait intensivement et m’accusait mensongèrement de tout et de n’importe quoi depuis 2008. Il a recommencé très librement devant le gendarme, qui a enregistré ses déclarations, lui a fait signer sa déposition, et s’est arrêté là.

Aucune de ses allégations n’a jamais été vérifiée.

Par la suite, toutes mes nouvelles plaintes, y compris avec constitution de partie civile, ont toutes systématiquement été rejetées en raison de ces « explications » que le délinquant avait fournies au mois de mars 2011 pour ses comportements à mon égard à compter de l’année 2008.

Car dès l’année 2008, je tiens bien sur le site Rue89 des propos justifiant que cet individu et toute sa troupe de « déconnologues » me harcèlent comme ils l’ont toujours fait depuis lors. Il l’a dit. Donc c’est vrai.

Pas plus que le gendarme l’ayant interrogé à la gendarmerie de Puy-l’Evêque au mois de mars 2011, les magistrats du tribunal de grande instance de Brest n’ont jamais envisagé de mettre en doute la bonne foi de cet individu, ils en rejettent même violemment l’idée à chaque fois que je leur rapporte des preuves de tous ses mensonges.

Cela doit tenir à un arrangement de début avril 2011, comme le laissent entendre les propos publics du même Pascal Edouard Cyprien Luraghi en date du 9 avril 2011 que j’avais sitôt rapportés sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog dans l’article dont copie ci-dessous :


2011-04-09 Au printemps, les criminels sont en forme - Un petit coucou


Cliquer sur l’image pour l’agrandir et apprécier les textes.

En date du 9 avril 2011, il avait bien écrit :

« À partir de maintenant, on peut causer de notre histoire de gniasses et d’OverBlog librement Ici. Je pondrais des micro-billets au fur et à mesure de l’avancement des choses. »

Dans la foulée, sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest s’était s’épanchée sur son audition récente dans un service de police de Brest, à la suite de la première plainte que j’avais déposée contre elle, en 2010.

Le 29 mars 2011, j’avais publié à son sujet l’article suivant :


2011-03-29 Josette Brenterch ne s'explique sur rien - Un petit coucou


Aujourd’hui, soit plus de quatre ans plus tard, elle n’a toujours pas commencé à s’expliquer sur la moindre de ses allégations publiques me concernant ou de celles de son complice le cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi écrivant ma soi-disant « biographie » sous sa dictée.

Mais personne ne le lui a jamais demandé.

Les magistrats du tribunal de grande instance de Brest continuent à refuser catégoriquement de diligenter la moindre enquête sur toutes les exactions que commettent à mon encontre ces deux personnes et tous leurs complices « déconnologues » ou autres.

Tout comme Josette Brenterch du NPA de Brest, ils savent pourtant d’emblée tous les problèmes que posent toutes les campagnes de calomnies dont je suis victime.

Je les avais signalés à ceux qui auraient pu jusque-là les ignorer dans cet article du 2 juin 2010 :


2010-06-02 A tous ceux qui s'obstinent à m'injurier, me diffamer, me calomnier - Un petit coucou


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