Depuis mardi 26 juillet 2016, cette élue brestoise qui
s’affiche sans aucun complexe avec la criminelle Josette Brenterch du
NPA de Brest et d’autres extrême-gauchistes de la même eau fait le buzz
en raison d’un tweet prétendument « humoristique » qu’elle a posté à
peine deux heures après l’assassinat du père Hamel, à
Saint-Etienne-du-Rouvray.
Le Télégramme ayant consacré à cette affaire un article paru dans
l’édition papier d’aujourd’hui, j’ai enfin découvert ce jour ce qui
jusque-là m’avait échappé. Il est donc inutile de m’accuser d’avoir pris
part d’une quelconque manière aux réactions violentes que sa
« plaisanterie » a pu susciter, je n’étais même pas au courant.
En revanche, maintenant que je le suis, je réagis par l’unique canal
que j’ai toujours utilisé pour m’exprimer depuis le 27 mars 2010, à
savoir un blog portant la signature de Petitcoucou en précisant, si
besoin était, que je n’ai aucun rapport avec une quelconque chapelle
d’extrême-droite.
Je fais juste partie des innombrables victimes de la criminelle
Josette Brenterch et de ses amis de l’extrême-gauche, dont Julie Le
Goïc, fille de Pierre Le Goïc, ancien militant de la LCR de Brest et
professeur d’histoire décédé en 2011 que je n’ai jamais eu l’heur de
connaître, pas plus que sa fille dont j’observe depuis 2013 les diverses
violences publiquement assumées, de la même veine que celles de
l’égérie du groupe Josette Brenterch, qui doit bien les inspirer pour
une bonne part.
Cliquer sur l’image ci-dessous pour lire les textes.
Connaissant bien ce groupe d’extrême-gauchistes et ses pratiques
habituelles, donc, je suis en mesure d’affirmer que la seule élue qu’il
compte actuellement parmi ses rangs, à savoir Julie Le Goïc, n’est
certainement pas plus écologiste que les autres, qui bien au contraire
ont toujours combattu les vrais écologistes, d’une part en s’attaquant
très violemment à leurs personnes et celles des différents membres de
leurs familles, notamment leurs enfants dès l’école avec l’aide de leurs
nombreux militants et sympathisants de l’Education nationale, et
d’autre part en faisant de l’entrisme dans toutes leurs organisations
afin de les pourrir ou de les détruire de l’intérieur, une stratégie
habituelle de la LCR contre toutes ses cibles, politiques, étatiques ou
autres.
Je rappelle également que toute expression publique individuelle a
toujours été proscrite pour les différents membres de ce groupe dont les
provocations diverses et variées sont toujours calculées et décidées
collectivement, « démocratiquement » sur ordre de la délirante et
hystérique Josette Brenterch dont l’autoritarisme n’a jamais souffert
aucune contradiction.
Je ne puis donc croire une seconde à la spontanéité du tweet qui en
retour vaudrait à Julie Le Goïc une avalanche de menaces semblables à
celles, innombrables, que j’ai reçues de la part de ses amis après avoir
commencé à m’exprimer anonymement sur Internet en 2008.
Je ne crois pas davantage à son innocence et rappelle encore ce qui suit :
- en vertu d’un arrêt de la Cour d’Appel de Rennes du 2 décembre 2015
devenu définitif le 8 mars 2016, j’ai été définitivement blanchie de
toutes les accusations mensongères de ma persécutrice de très longue
date Josette Brenterch qui avaient entraîné une première condamnation à
mon encontre à Brest le 11 juin 2013 alors que mon avocat comptant
obtenir l’annulation de toute sa procédure à mon encontre ne m’avait
même pas défendue sur le fond, laissant à cet égard s’exprimer
pleinement sans aucunement la contrarier celle qui n’a jamais souffert
la moindre contradiction pour aucun de ses délires, surtout lorsque
ceux-ci me concernent;
- comme je l’avais dès lors prédit, sachant que Josette Brenterch
n’est pas du genre à s’avouer vaincue et remet sans cesse l’ouvrage sur
le métier quand il s’agit de me calomnier, elle a bien planifié une
nouvelle saloperie à mon encontre pour la rentrée et prépare le terrain
avec de nouveaux « coups », comme elle l’a toujours fait;
- les innombrables menaces de viols, de lapidation ou autres formes
de meurtres que j’ai reçues à compter de l’année 2010 de la part de ses
complices cyberdélinquants de la bande du malade mental extrêmement
dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi n’avaient été provoquées, de ma
part, que par quelques commentaires publics anonymes sur le sujet du
harcèlement moral en entreprise sur le site Rue89 et la diffusion
d’articles de presse relatifs aux condamnations prononcées en son
absence dans le Finistère, fin 2007, pour viols et agressions sexuelles
sur plusieurs de ses patients handicapés mentaux, contre un psychiatre
brestois pédophile très proche de l’extrême-gauche brestoise qui avait
disparu depuis 2005;
- au mois de janvier 2010, cet ancien psychiatre brestois, Serge
Rodallec, qui à l’automne 2005 avait pris la fuite à l’étranger en
raison d’une nouvelle plainte d’une de ses victimes, venait d’être
retrouvé en Thaïlande sous une fausse identité; il avait donc bénéficié
de l’aide d’un réseau criminel pour échapper à la justice française;
comme toujours dès lors qu’un extrême-gauchiste de Brest se trouve sur
la sellette (cf. par exemple les émeutes de banlieues de l’automne 2005,
directement consécutives à des exactions de Josette Brenterch et de ses
amis de la LCR contre les chômeurs, précaires et exclus, notamment dans
et à travers le réseau de colletifs AC !), le scandale qui menaçait
d’éclater fut immédiatement couvert par une bronca très importante à
travers toute l’Europe, touchant cette fois les prêtres pédophiles; je
venais aussi de me faire bannir du site Le Post à la demande des
cyberdélinquants de la bande de Cyprien Luraghi pour avoir soi-disant
« diffamé » cet ancien psychiatre en relayant sur ce média des
informations le concernant déjà publiées ailleurs, alors qu’il venait
d’être retrouvé en Thaïlande; naturellement, je protestais;
- le 8 janvier 2015, entre deux coups de feu terroristes à Paris, un
blog où avaient été copiés divers propos publics de Cyprien Luraghi sur
la pédophilie ou sur des pédophiles qu’il défend toujours envers et
contre tout fut supprimé par son hébergeur pour apologie de la
pédophilie;
- en ce qui me concerne, Josette Brenterch ne s’est jamais contentée
de menaces; j’ai bien été victime de nombreuses agressions physiques
dont elle a toujours été complice, voire instigatrice ou commanditaire,
comme nombre de ses amis, et ce bien avant qu’il fût jamais question de
la pédophilie de certains d’entre eux;
- ces agressions physiques comprennent plusieurs tentatives d’assassinat effectives;
- plusieurs de mes proches et d’autres témoins des exactions de
Josette Brenterch à mon encontre ont aussi subi de ces agressions
criminelles ou tentatives d’assassinat, à diverses époques, avec plus ou
moins de succès;
- la « justice » française a quasiment toujours cautionné tous ces
crimes que Josette Brenterch et ses amis ont toujours eux-mêmes
qualifiés de « plaisanteries » ou de « moqueries », comme tous leurs
lynchages publics à mon encontre, comprenant, outre d’incessantes
injures et inventions calomnieuses, nombre de menaces de mort et de
viols, d’appels au meurtre, au viol.
Enfin, Julie Le Goïc ayant dit elle-même avoir « fait une connerie »
ne pourra de ce fait me tenir grief de la traiter de « connasse »,
d’autant qu’elle assure l’assumer et l’a en fait répétée sans craindre
d’apparaître ainsi incohérente.
L’élue brestoise d’opposition de gauche Julie Le Goïc se retrouve au
centre d’un ouragan de tweets haineux depuis son post, mardi, d’un
tweet provocateur et unanimement condamné à propos de l’assassinat du
père Hamel, à Saint-Etienne-du-Rouvray : « Du coup, le prêtre mort en
martyr, il a le droit à 70 enfants de chœur au Paradis ? ».
Une blague très « Charlie Hebdo », qu’elle reconnaît avoir « eu tort
de mettre sur les réseaux sociaux », mais qu’elle n’a pas effacé :
« J’ai fait une connerie, maintenant j’assume ».
Appels au meurtre, au viol…
Et l’assumer, c’est du temps plein : c’est par milliers que les
réactions hostiles (c’est un euphémisme) ont déferlé depuis. Toute la
panoplie des insultes disponibles, des menaces, des appels au viol, à
s’en prendre à ses enfants… On a même vu des gens s’inscrire sur Twitter
uniquement pour l’insulter ! Bilan, le sujet Julie Le Goïc a un temps
été parmi les 10 plus discutés en France sur le réseau, hier.
Des tweets venus de toute la France et attisés notamment par
plusieurs relais d’extrême-droite, dont les sites FdeSouche et Breiz
Atao ou, plus institutionnelle, la page Facebook du chef de file du FN
breton Gilles Pennelle.
Condamnation de François Cuillandre
Mais la polémique, prenant de l’ampleur, a nettement dépassé ces
frontières. Le maire de Brest François Cuillandre s’est ainsi
désolidarisé, rappelant que l’élue, qui a rendu ses délégations en 2015 à
la suite d’un énième désaccord politique, ne « fait plus partie de sa
majorité », et qualifiant ses propos « d’inacceptables, imbéciles et
indécents », tout en condamnant les menaces à son encontre.
Le patron du PS brestois Marc Coatanéa a lui demandé à Julie Le Goïc
« des excuses, sans délai », tout en précisant condamner « les tweets
haineux autant que son propre propos, totalement inqualifiable ». L’élu
d’opposition de droite Marc Berthelot a aussi condamné sur Twitter « ce
tweet de haine et d’ignorance ».
Les appels à la démission se sont également multipliés. Au standard de
la mairie de Brest, on n’enregistrait toutefois qu’une activité de son
standard téléphonique « légèrement supérieure, mais sans commune mesure
avec l’affaire de la galette des rois« ).
Une pétition en ligne a été lancée sur mesopinions.com (3.800
signatures ce vendredi matin). Mais de démission ou d’excuses, il n’y
aura pas : « Je ne vais quand même pas démissionner pour une blague ! »
#FautSeCalmer
Les soutiens sont restés peu nombreux. Seul élu à s’être engagé,
l’adjoint au maire de Brest Yann Guével (« avec lequel je me suis
pourtant souvent accrochée », précise Julie Le Goïc), qui, tout en
précisant ne pas partager cet « humour déplacé », a posté son étonnement
sur les réseaux : « Voir toute la fachosphère se déchaîner contre
@JulieLeGoic pour une blague de mauvais goût. Soutien devant tant de
haine. #FautSeCalmer ! »
Actualisé à 13h30 avec l’activité téléphonique de la mairie de Brest et le point sur la pétition.
Actualisé à 14h avec le tweet de Marc Berthelot.
Un roi sans couronne, c’est comme une messe sans prière: ça n’existe pas. Enfin, ça n’existait pas jusqu’à ce que la mairie de Brest
décide, de toute urgence, de révoquer les merveilles dorées en carton
recyclé qui surplombaient les galettes des rois, servies cette semaine
dans les cantines scolaires.
Le motif invoqué fleure bon la sacro-sainte trouille de voir débouler
une horde de laïcards intransigeants en colère, dans les services
municipaux.
« Cette année, sur la couronne était inscrit le mot ‘Épiphanie’,
explique-t-on sérieusement. À nos yeux, c’était faire rentrer le
religieux à l’école, ce qui est interdit par la loi ». Alors, les
enfants ont quand même mangé la galette.
Certains ont même trouvé la fève, fort heureusement vierge de tout
motif sulfureux, mais personne n’a été sacré pour de faux. Et la reine
d’un jour, en attente du bisou de son roi éphémère, a été se faire
coiffer ailleurs.
Reste que dans la symbolique, qu’on le veuille ou non, les enfants
ont quand même célébré l’Épiphanie sans pouvoir la nommer et sans
pouvoir davantage expliquer les raisons justifiant l’absence de coiffure
royale cette année. À une possible petite leçon sur les rites qui nous
entourent, a été préféré le silence total, protégé par les immenses
parapluies de la loi et reposant sur le dos large et polymorphe de la
laïcité, accommodée à toutes les pâtes frangipanes possibles. Puisque la
porte est ainsi ouverte, est-il possible alors de militer pour le
retrait des oeufs en chocolat à Pâques ? Est-il envisageable de
manifester pour que le jeudi de l’Ascension soit travaillé sous peine de
compromission avec l’Évêché? Est-il raisonnable d’éditer une pétition
réclamant le retrait du programme de l’étude des textes fondateurs en
classe de sixième? Allez savoir.
Ce qui est en revanche certain est qu’à force de se méfier de tout,
l’ignorance sur le fait religieux, quel qu’il soit, crée des haines et
des dogmes de chaque côté de la liberté de conscience. De celles qui
sacrent des rois obscurs, couronnés d’épines de violence.
Saint-Etienne-du-Rouvray: une élue brestoise insultée et menacée après un tweet douteux
29/07/2016 à 13h47
Julie le Goïc en 2011. – Michel Briand via Wikimedia Creative Commons.
« Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de
choeur au Paradis? » C’est par ce tweet publié deux heures après
l’égorgement du père Jacques Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray le 26
juillet que Julie Le Goïc s’est signalée. Cette élue brestoise est
depuis l’objet d’insultes, de menaces et d’appels à la démission.
Mais le torrent d’insultes suscité s’est avéré bien plus consternant. Comme le note Le Télégramme,
les injures numériques qui ont suivi la publication douteuse de Julie
Le Goïc proviennent en général de l’extrême-droite ou d’identitaires
bretons. Et le terme d’ « injures » est sans doute un peu léger pour
certains de ces commentaires qui lui promettent le viol ou la mort:
Isolée au sein du conseil municipal
Si les responsables politiques locaux ont tous désavoué cette
violente campagne, l’ancienne militante d’Europe Ecologie-Les Verts,
aujourd’hui élue d’opposition au sein du conseil municipal, n’a pas
trouvé tellement de soutien parmi eux.
Le maire socialiste de Brest, François Cuillandre,
a ainsi jugé ses propos « inacceptables, imbéciles et indécents » tout
en rappelant que Julie Le Goïc ne faisait plus partie de sa majorité.
Marc Coatanéa, un cadre local du PS, lui a demandé des excuses « sans
délai ». D’ailleurs Julie Le Goïc a reconnu depuis que son tweet n’était
pas du meilleur goût et a regretté d’avoir fait cette blague « sur les
réseaux sociaux » tout en l’assumant.
Le FN veut sa démission
Dans Le Lab d’Europe 1, on apprend cependant que Gilles Pennelle, président du groupe FN de Bretagne, réclame désormais la démission de Julie Le Goïc:
« C’est un véritable scandale faire ça après cet attentat
horrible. Ça dépasse l’entendement. Elle ne peut pas rester élue en
tenant de tels propos. » D’après les mots de Gilles Pennelle, il
s’agissait aussi pour lui de s’en prendre à « une famille politique, la
gauche au sens large, qui ne se prive jamais d’épingler un tweet
polémique. Donc retour à l’envoyeur. »
Apparemment, Julie Le Goïc, loin de se retirer, a décidé d’appuyer le trait en retweetant ce jeu de mots.
Pas sûr que son fil twitter retrouve la paix de sitôt.
Elle le reconnaît volontiers auprès du Lab : « J’ai fait une blague de mauvais goût, et j’ai eu la bêtise de la faire sur Twitter… J’ai un peu réveillé la fachosphère du coup. » Elle, c’est Julie Le Goïc, élue brestoise, anciennement Europe-Écologie-Les Verts aujourd’hui non encartée. Mardi 26 juillet, juste après l’annonce de l’assassinat du prête Jacques Hamel,
tué dans l’église de Saint-Étienne-du Rouvray par deux terroristes,
l’élue, qui siège aujourd’hui dans l’opposition, a posté ce message sur
Twitter :
Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de chœur au Paradis ?
Un tweet de mauvais goût, comme elle reconnaît elle-même, mais que l’élue assume : le message n’a pas été supprimé. « Je regrette juste de l’avoir fait sur un réseau public. Je pense que le droit à l’humour est plus que nécessaire », explique Julie Le Goïc.
Certains n’ont cependant goûté ce tweet écrit juste après l’annonce de la mort de Jacques Hamel et notamment le Front national. Gilles Pennelle, président du groupe des élus FN de Bretagne, demande ainsi la démission de Julie Le Goïc. Contacté par Le Lab, l’élu FN explique :
C’est un véritable scandale de faire ça après cet attentat horrible. Ça dépasse l’entendement. Elle ne peut pas rester élue en tenant de tels propos.
Gilles Pennelle souligne également que Julie Le Goïc appartient « une famille politique, la gauche au sens large, qui ne se prive jamais d’épingler un tweet polémique » venant du FN. « Donc retour à l’envoyeur. Et je le relaye parce que j’ai été profondément choqué », ajoute l’élu frontiste.
Julie Le Goïc a reçu depuis mardi des « environ 1.000 menaces de mort, de viol, etc. » Un tour sur sa time-line Twitter en donne un bref aperçu :
@JulieLeGoic un conseil quitte la Bretagne, et n’y remet plus jamais les pies ou le FLB ce chargera de ton cas.
Une jeune femme emplie de haine, Julie Le Goïc, gauchiste et
idiote, défenseur de l’islam qui lui mettra le voile, fielleuse envers
la culture judéo-chrétienne qui lui a apporté sa liberté d’expression et
la démocratie, n’a pas pu s’empêcher, en bonne nihiliste, d’insulter le
prêtre égorgé par deux islamistes.
On la voit assise à côté de Daniel Cohn Bendit, « l’expert en petits
garçons et petites filles » qui lui a sans doute soufflé son tweet :
« Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de chœur au Paradis ? »
Non seulement ce qu’écrit la perverse est infâme, mais ce qu’elle ne
dit pas l’est plus encore : c’est la haine derrière le sourire
hypocrite, la haine vivace envers ceux que leurs cerveaux incapables de
nuance aiment appeler extrême droite, cette haine aux lèvres
qui habite ceux-là mêmes qui dénoncent la haine, le dégoût pour la
diversité de pensée de ceux qui disent vouloir défendre la diversité.
Seulement voilà que la pigiste est l’objet de menaces physiques.
Et c’est là que je tire l’alarme et trace une ligne rouge. Les
insultes, oui, bien entendu, elle les vaut bien puisqu’elle a insulté —
avec ce qu’elle appelle craneuse de l’humour (si elle avait de l’humour,
elle aurait écrit que Clément Méric, qui a perdu la vie dans une rixe
de fascistes contre fascistes, avait une tête à claques)
Mais les menaces de violences, de mort, de coups, non, sous aucun
prétexte. Ni je ne cautionne, ni je n’excuse, ni j’accepte, tolère et
supporte.
Des propos comme « on sait ou tu travaille, une bouteille d essence et un briquet, c est rapide…. Tu ne sera plus sereine » m’inspirent un immense dégoût pour la vermine qui les a tenus. Dans la vilenie, quelqu’un dit « peut on aller lui crever sa voiture ou jetter des pierres sur sa fille », et j’en passe.
Cette Julie Le Goïc est la première à justifier les coups de couteau
de Palestiniens « désespérés » contre des petites filles dans leur
sommeil à qui ils volent la vie. La première à légitimer les violences
des antifas, ces fascistes qui se font appeler antifascistes. Elle voue
une adoration d’idolâtre aux bourreaux qui ont tué 100 millions
d’insubordonnés sous le communisme, et c’est tout ce qui fait la
différence avec moi.
Elle appartient à l’engeance qu’elle excuse. Rien de plus épais
qu’une feuille de papier à cigarette ne la sépare des bolchéviques, des
islamistes, des terroristes palestiniens et des nazis, elle est de leur
clan. Moi pas.
Je ne soutiens donc pas, je ne peux soutenir, ceux qui lui
ressemblent et trouvent comment justifier le sort qu’ils lui réservent.
Car il n’est qu’une seule violence, quel que soit son habillage.
Attaquer l’ennemi, l’anéantir, le neutraliser, le tuer avant qu’il ne
vous atteigne, voilà la violence saine et indispensable, car
elle protéger la vie qu’il ôtera si l’on ne fait rien. Mais la
violence pour des idées ? C’est faire partie du camp bolchévique,
islamiste, terroriste palestinien et nazi, son clan.
L’infâme idiote avec son tweet de championne, elle ne menace
physiquement personne. Personne ne peut justifier physiquement la
toucher. L’insulter, l’humilier, oui mille fois, car il est évident
qu’elle n’est pas capable d’accéder au dialogue. La toucher jamais.
C’est si difficile à comprendre ?
MAJ : 29/07/2016 19h : Selon le Lab d’Europe 1,
Julie Le Goïc aurait reçu le soutien de plusieurs élus de la majorité
brestoise, eu égard des menaces qu’elle a reçues. Aucun élu brestois n’a
par ailleurs – à l’heure qu’il est – condamné son tweet polémique.
A noter que toute la journée, le standard de la mairie de Brest a été
pris d’assaut par des internautes en colère, certains menaçant même
d’empêcher la tenue du prochain congrès municipal, en octobre prochain.
MAJ 29/07/2016 – 14h : François Cuillandre, maire de Brest, a déclaré sur twitter : « Julie Le Goic n’est pas élue de la majorité. A l’inverse de tels propos, nos pensées vont aux victimes et aux proches. »
sans toutefois condamner fermement les propos de Julie Le Goïc. Cette
dernière, qui maintient son tweet, continue à répondre avec provocation –
comparant même le père Hamel à un Pokemon – aux nombreux message
qu’elle reçoit :
29/07/2016 – 6H45 Brest (Breizh-info.com) – Julie Le Goïc, élue municipale à Brest du groupe « partage solidarité »
et anciennement de la majorité de François Cuillandre, vient de
commettre un nouveau dérapage public. Le 26 juillet 2016, à 12h04, soit
deux heures à peine après l’égorgement du père Hamel à Saint-Etienne du
Rouvray, l’élue d’extrême gauche écrivait sur Twitter : « Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de choeur au paradis ? ».
Julie Le Goïc a depuis supprimé son tweet ( rectificatif : elle nous
indique ne pas l’avoir fait ) et s’est réfugiée sous l’excuse de la « blague potache »
devant le flot d’injures et de menaces qu’elle a reçu depuis. Il faut
dire que beaucoup n’ont pas apprécié, deux heures après l’attentat
islamiste, qu’une « bouffeuse de curé » revendiquée vienne le traiter de
pédophile jusque dans sa tombe. L’élue a ensuite indiqué avoir porté
plainte pour des « menaces de viols » qu’elle aurait reçu suite à son
tweet infamant.
Julie le Goïc en compagnie d’Eva JolY
Julie Le Goïc n’en est pas à son « coup d’essai ». En mars 2016 déjà, elle pilotait un groupe d’immigrés clandestins venus perturber le conseil municipal de Brest
– sans que les élus de droite ne réagissent d’ailleurs. Adhérente de
l’organisation marxiste “Ras l’Front” en 1995 puis à la CNT en 2000,
elle fût par la suite élue au Conseil Administratif de l’Université de
Bretagne Ouest – UBO – sous l’étiquette CNT FAU. En 2006 elle adhère
chez les Verts puis intègre la majorité de François Cuillandre, jusqu’en
juin 2015. Cette dernière jugeait en effet que la majorité brestoise de
gauche dérivait trop à droite (sic).
Militante chevronnée ( LGBT, migrants ..), Mademoiselle Le Goïc –
pourtant loin de faire l’unanimité y compris à gauche – est une des
pièces maîtresses de l’activisme d’extrême-gauche brestois. Ses propos
visant le père Hamel rejoignent le tweet tout aussi ignoble que le
journaliste de Libération Alexandre Hervaud a posté après l’annonce de l’égorgement du prêtre : «
dans le but d’apaiser les tensions entre communautés, j’espère que les
deux assaillants étaient deux anciens scouts abusés par le prêtre ».
« On peut faire de l’humour, bien entendu » nous confie celui qui nous a transmis le tweet. «
Mais ces gens là sont les premiers à espionner, à traquer, à dénoncer
le moindre propos qu’ils jugent «phobes » , les premiers à faire des
procès pour un oui ou pour un non. Les premiers à combattre la liberté
d’expression et d’opinion. Il ne faut pas les louper quand ils
dérapent».
Crédit photo : Wikimedia commons (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2016 dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
29/07/2016 – 14H30 Brest (Breizh-info.com) –Le Front
national – par la voix de Gilles Pennelle, président du groupe FN au
conseil régional de Bretagne – vient de demander officiellement la
démission de Julie Le Goïc du conseil municipal de Brest. Cette dernière
– militante d’extrême gauche, ancienne élue de la majorité de François
Cuillandre – est au coeur d’une polémique révélée hier matin par Breizh-info. Polémique qui a pris énormément d’ampleur sur les réseaux sociaux.
« Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de chœur au Paradis ? »
a-t-elle publié, mardi 26 juillet, deux heures après que le père Hamel
se soit fait égorger par deux islamistes. Ce tweet polémique a été
parmi les 10 plus discutés en France sur la toile – avec des milliers de
commentateurs et de citoyens qui se sont indignés d’un tel mépris,
d’une telle provocation – émanant d’une personnalité bien connue de
l’extrême gauche brestoise. Julie le Goïc n’a – jusqu’ici – pas supprimé
son tweet, qu’elle assume pleinement, soutenue, dit-elle, par des élus
de la majorité socialiste brestoise après les nombreuses menaces qu’elle
a reçues notamment via twitter.
Mademoiselle Le Goïc – qui est par ailleurs Professeur, fonctionnaire
détachée de l’Education nationale – a reçu également le soutien d’une
partie de la presse subventionnée. Celle-ci n’avait rien trouvé à redire
concernant son tweet, mais s’est empressé d’évoquer « un déferlement de
haine » aussitôt que la polémique eut éclaté.
« On a connu Julie le Goïc beaucoup plus sévère et indignée
lorsqu’il s’agit de polémiques à caractère islamophobe ou homophobe », écrit Alex, un internaute qui s’interroge : «
Ceux qui prennent sa défense aujourd’hui auraient-ils réagi de la même
façon si un élu du Front national avait fait une « blague » après la
profanation d’une mosquée , par exemple ? ». Et Alex de poursuivre :
« quand on lit un tel commentaire alors que le cadavre du père Hamel
était encore chaud, on peut supposer que Melle Le Goïc ne devait pas
être atterrée – comme la majorité des Français – par cet attentat.
Les anticléricaux sont indécrottables ».
Le Front national réclame la démission de l’élue : « Le jour même
de l’horrible attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray, Julie le Goïc a
posté un tweet scandaleux : « Du coup, le prêtre mort en martyr, il a
le droit à 70 enfants de chœur au Paradis ? ». Julie le Goïc,
conseillère municipale de Brest, élue sur la liste du maire PS, était
déjà connue pour ses excentricités. Elle a dépassé les limites de
l’ignoble en salissant la mémoire du père Jacques Hamel égorgé par des
islamistes. Je demande officiellement la démission, du conseil municipal
de Brest, de cette élue irresponsable.» écrit Gilles Pennelle.
Marc Berthelot, conseiller municipal (LR) a lui twetté : « Je condamne avec la plus grande fermeté ce tweet de haine et d’ignorance de @JulieLeGoic. Indigne d’un élu.@RPBrest@TLGBrest@OuestFrance» ce qui lui a valu une réponse cinglante de Christian Perrot, militant des « alternatifs » à Brest : « @marcberthelot condamne aussi avec fermeté le tweet stupide et d’ignorance de @avingttrois? »
François Cuillandre, maire de Brest, a qualifié les termes de ce tweet « d’inacceptables, imbéciles et indécents »,
tout en condamnant les menaces proférées à l’encontre Julie Le Goïc.
Marc Coatanea, patron du Parti socialiste à Brest, a lui aussi condamné
le tweet, réclamant des excuses, tout en dénonçant les menaces. Des
menaces pour lesquelles des plaintes pourraient être déposées, bien que
l’élue municipale soit traditionnellement et idéologiquement loin de
porter les forces de l’ordre dans son coeur.
Du côté de l’intéressée, soutenue notamment par Yann Guével, adjoint au maire de Brest, pas question de démissionner : « Je ne vais quand même pas démissionner pour une blague ! ». Le
prochain conseil municipal est programmé le mercredi 5 octobre à 17H.
Sur les réseaux sociaux, certains appellent déjà à se mobiliser afin
d’empêcher l’élue d’y accéder. Affaire à suivre …
Crédit photo : wikimedia commons (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2016 dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
Pour commencer, le gouvernement reconnaît un « échec » judiciaire pour la dernière attaque de l’EI sur le territoire français.
Il y en a eu bien d’autres, mais il faut un début à tout, et enfin l’un de ces « échecs » est reconnu.
Aujourd’hui est donc à cet égard un grand jour.
Et puisqu’il est reconnu à propos d’une remise en liberté, je
rappelle que ce type de décision n’est pas un jugement mais une
ordonnance d’un juge. La seule appréciation de ce monsieur ou de cette
dame est théoriquement soumise au contrôle de la chambre de
l’instruction en cas d’appel, mais quasiment jamais remise en cause par
cette formation de trois magistrats qui la plupart du temps s’en
tiennent aux décisions du juge, même les plus délirantes.
On se demande souvent à quoi sert le juge d’instruction, mais
l’inutilité de la chambre de l’instruction est encore plus flagrante : à
quelques exceptions près, elle entérine tout et n’importe quoi sans
jamais rien contrôler.
Par ailleurs, la presse française rapporte aujourd’hui que l’Allemagne s’est déclarée en guerre contre l’EI.
Par conséquent, la grande question qui vient immédiatement à l’esprit
et doit désormais se poser et s’exposer au grand jour est celle-ci :
A quand la prochaine déclaration de guerre France-Allemagne ?
Dans un entretien au Monde, le premier ministre répond aux
critiques adressées il y a quelques jours par le chef de file des
Républicains, Nicolas Sarkozy, sur la gestion de la menace terroriste.
Il se prononce pour une interdiction temporaire du financement étranger
des mosquées.
Face aux critiques, le chef du gouvernement fait valoir ses arguments. Dans un entretien au journal Le Monde,
le premier ministre Manuel Valls s’exprime longuement sur les mesures
prises par le gouvernement pour empêcher des attaques terroristes et
agir contre la radicalisation. Ces réponses interviennent alors que la
majorité est sous le feu des critiques de la droite, Nicolas Sarkozy en
tête, qui l’accuse de ne pas prendre la mesure de la situation, alors
que deux attentats ont frappé le pays à Nice et Saint-Étienne-du-Rouvray.
• Nicolas Sarkozy accusé de «perdre ses nerfs»
Pour le premier ministre, «certains cherchent à discréditer la gauche
en alimentant les peurs pour se constituer un capital politique», ce
qui n’est pas justifiable, juge-t-il. Une référence aux critiques adressées par la droite depuis plusieurs jours, après l’attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray ainsi que celui de Nice. «Nicolas Sarkozy perd ses nerfs. Être lucide face à la menace, ce n’est pas basculer dans le populisme», affirme également Manuel Valls, en réponse directe à l’entretien donné par le chef de file des Républicains au Monde deux jours auparavant.
Nicolas Sarkozy y prônait le rétablissement de la double peine et la rétention administrative des personnes soupçonnés de terrorisme. Des mesures irrecevables, pour le premier ministre. «Nous avons un triptyque à casser: la peur, la surenchère et le populisme»,
attaque-t-il, estimant que «notre bouclier, c’est la démocratie» et
qu’«il y a une ligne infranchissable: l’État de droit. À ce titre,
l’enfermement d’individus dans des centres sur la base du seul soupçon
est moralement et juridiquement inacceptable. Il ne serait d’ailleurs
pas efficace.» Et de poursuivre: «Mon gouvernement ne sera pas celui qui créera des Guantanamo à la française».
• Un «échec» avec la remise en liberté de Kermiche
L’un des deux assaillants de Saint-Étienne-du-Rouvray, Adel Kermiche,
avait été arrêté après une deuxième tentative de départ en Syrie avant
d’être libéré, assigné à résidence et portant un bracelet électronique. La décision «a été confirmée en cour d’appel par trois juges, également expérimentés», rappelle Manuel Valls. «C’est un échec, il faut le reconnaître.»
Pour le premier ministre, «cela doit conduire les magistrats à avoir
une approche différente, dossier par dossier, compte tenu des pratiques
de dissimulation très poussées des djihadistes». Il se refuse toutefois à
tomber «dans la facilité de rendre ces juges responsables de cet acte
de terrorisme».
• «Nous devons changer nos comportements»
Rappelant que la police des polices a conclu que les mesures de sécurité n’étaient pas sous-dimensionnées à Nice le 14 juillet, Manuel Valls estime que «les accusations graves et nauséabondes sur un prétendu mensonge d’État» doivent cesser.
Il souligne toutefois un changement «d’époque» qui implique de «changer
nos comportements». «Pour chaque événement, il faut se demander: est-il
indispensable? Pouvons-nous y consacrer des moyens exceptionnels en
termes de forces de sécurité qui pourraient être utilisées à d’autres
fins?» Pour le chef du gouvernement, «il faut sortir aussi du
réflexe du bouc émissaire, qui voudrait, à chaque fois, qu’il y ait eu
une faille. Le risque zéro n’existe pas.»
• «Favorable» à une interdiction temporaire du financement étranger des mosquées
Pour lutter contre la radicalisation, «c’est bien un nouveau modèle
que nous devons bâtir», juge Manuel Valls. Le premier ministre prône
notamment «que les imams soient formés et France» et se dit «favorable
à ce que, pour une période à déterminer, il ne puisse plus y avoir de
financement de l’étranger pour la construction des mosquées».
Pour Manuel Valls, «la lutte contre la radicalisation sera l’affaire d’une génération»
et doit impliquer «tous les acteurs: l’Etat, les collectivités locales,
l’éducation nationale, les familles, le milieu carcéral, les
entreprises privées mais aussi les structures de santé mentale qui
devront opérer une révolution sur ces sujets». Il estime nécessaire de
«bâtir un puissant contre-discours qui ne doit pas être que le travail
de l’État, mais de toute la société civile».
Angela Merkel déclare que l’Allemagne est en guerre contre l’État islamique
Jeudi 28 juillet, après plusieurs attaques, commises
notamment par des réfugiés, la chancelière allemande a enfin affirmé que
l’Allemagne est en guerre contre EI.
Après une semaine sanglante, Angela Merkel a jugé pour la première
fois que l’Allemagne était en guerre contre l’Etat islamique (EI). »
Je crois que nous sommes dans une lutte ou, si vous voulez, dans une
guerre contre l’EI « , a déclaré Angela Merkel, sans pour autant
annoncer de nouvelles initiatives militaires après les attentats qui ont
touché son pays. » C’est incontestable « , a-t-elle ajouté. Mais »
nous ne nous trouvons pas dans une guerre ou une lutte contre l’islam
« .
Jusqu’à présent, Angela Merkel évitait d’employer le terme de »
guerre « , contrairement à François Hollande pour qui la France se
trouve en » guerre » contre Daech depuis les attentats djihadistes de
l’an dernier.
Elle a toutefois apporté son soutien militaire à la France dans le
cadre de la lutte contre l’organisation djihadiste en Syrie ou au Mali.
» Une grande insécurité «
Angela Merkel a également jugé que les réfugiés qui commettent des
attaques » se moquent du pays qui les a accueillis « . Accusée par
certains opposants – voire certains de ses alliés de la CSU bavaroise –
d’être coresponsable de cette série noire après avoir laissé venir l’an
dernier un million de réfugiés dans le pays, Angela Merkel a répondu
qu’elle avait conscience de la difficulté et que la décision avait été
collective. » Je n’ai pas dit, il y a onze mois, que ce serait une
chose facile que nous réussirons comme si de rien n’était « , a-t-elle
précisé, en référence à sa devise prononcée alors : » Nous y
arriverons. »
Face à » une grande insécurité « , Angela Merkel a présenté un plan
en neuf points pour mieux contrer le terrorisme. Priorité :
l’introduction d’un système d’alerte pour prévenir la radicalisation de
réfugiés. L’auteur de l’explosion qui a fait neuf blessés dimanche à
Ansbach avait fait l’objet d’un rapport médical dans lequel il était
présenté comme suicidaire et potentiellement dangereux. Ce rapport
n’avait pas été transmis à la police. Parmi les autres points figurent
également une révision du budget pour intégrer le besoin de forces de
l’ordre supplémentaire ou un renforcement des efforts de rapatriement
des demandeurs d’asile refoulés.
On les soutient en rappelant que les victimes de la
première attaque revendiquée par Daesch en Allemagne, lundi 18 juillet
2016, sont toutes chinoises.
MH370: des proches des disparus manifestent à Pékin
Par lefigaro.fr avec Reuters
Mis à jour le 29/07/2016 à 08:58
Publié le 29/07/2016 à 08:56
Des proches des passagers du vol MH370
de la Malaysia Airlines, disparu en mars 2014 alors qu’il effectuait la
liaison Kuala Lumpur-Pékin, ont réclamé aujourd’hui la poursuite des
recherches de l’épave du Boeing que les trois pays impliqués dans
l’enquête, Malaisie, Chine et Australie, menacent de suspendre.
Dans un communiqué commun, les autorités des trois pays ont déclaré
il y a une semaine qu’elles suspendraient leurs recherches si rien n’est
trouvé dans la zone de 120.000 km2 actuellement passée au peigne fin
dans le sud de l’océan Indien. Il reste moins de 10.000 km2 à inspecter.
Les recherches pourraient néanmoins reprendre si de nouvelles
informations devaient émerger, ont précisé les ministres du Transport
des trois pays. Une trentaine de proches, certains en pleurs, se sont
rassemblés vendredi à Pékin devant le ministère chinois des Affaires
étrangères pour remettre une pétition. « Nous nous opposons à cette
décision. Nous ne l’admettons pas du tout. Cette décision n’a aucune
justification », a déclaré Boa Lanfang, un Chinois âgé de 65 ans dont le
fils, la belle-fille et le petit-fils étaient dans le Boeing 777 porté
disparu avec 239 personnes à bord, dont une majorité de Chinois.
Les enquêteurs pensent que l’avion a été délibérément conduit hors de
sa trajectoire prévue sur plusieurs milliers de kilomètres, vers le sud
de l’océan Indien. Rien de suspect n’a été trouvé dans le passé
financier, médical ou personnel des membres de l’équipage. Plusieurs
débris du Boeing ont été découverts à la Réunion et au Mozambique mais
n’ont pas permis d’éclaircir le mystère.
Un jeune réfugié afghan de 17 ans a été abattu par la police après
avoir attaqué à la hache les passagers d’un train en Bavière, lundi
soir, faisant quatre blessés graves. Ses motivations ne sont pas claires
à ce stade, selon le parquet.
Un homme a agressé à la hache et au couteau les passagers d’un train régional en Bavière (sud de l’Allemagne),
dans la soirée de lundi 18 juillet, faisant quatre blessés graves –
deux d’entre eux ont leur pronostic vital engagé – et un léger.
L’agresseur, un Afghan de 17 ans, a été tué par la police allemande,
selon un porte-parole de la police.
Les faits se sont produits vers 21 h 15 locale (19 h 15 GMT) à bord
de ce train régional assurant une liaison entre les villes de
Treuchlingen et Würzburg, en Bavière.
« Certaines personnes sont maintenant entre la vie et la mort », a
affirmé un peu plus tard dans la soirée le ministre de l’Intérieur de
Bavière. Selon la presse allemande, les quatre blessés graves sont des
touristes chinois venant de Hong Kong, trois membres d’une même famille
ainsi qu’un ami qui les accompagnait. Quatorze personnes ont été
traitées pour un choc psychologique sur place.
Scène de « boucherie »
Un riverain, qui a pu pénétrer dans le convoi, a décrit une « scène
de boucherie » à l’intérieur du train, avec des traces de sang et des
pansements laissés sur place par les équipes de secours.
« L’auteur des faits est parvenu à quitter le train, la police est
partie à sa poursuite et dans le cadre de cette poursuite elle a tiré
sur l’agresseur et l’a tué », a indiqué le porte-parole du ministère de
l’Intérieur bavarois.
Selon le ministre régional de l’Intérieur, Joachim Hermann, une unité
spéciale d’intervention de la police allemande (SEK), qui l’avait pris
en chasse, a fait feu lorsque le jeune homme a tenté de s’en prendre à
elle avec ses armes blanches. Cette unité se trouvait par hasard, pour
une autre mission, dans la ville, et a pu intervenir rapidement lorsque
l’alerte a été donnée.
Le motif de l’agression pas clair à ce stade
L’auteur de l’agression est un « Afghan de 17 ans », demandeur
d’asile arrivé seul, sans famille, en Allemagne, a indiqué le ministre
de l’Intérieur de Bavière. Il vivait dans la localité d’Ochsenfurt,
voisine de l’endroit où se sont déroulés les faits, et était pris en
charge dans un foyer pour réfugiés mineurs.
Il aurait crié « Allahou Akbar ! » (Dieu est grand) en passant à
l’acte, rapportent plusieurs chaînes de télévision, citant le ministère
bavarois de l’Intérieur, mais l’information n’a été confirmée ni par le
ministre lui-même ni par la police. Dans la matinée, les autorités
bavaroises ont indiqué avoir retrouvé un drapeau de l’organisation État
islamique dessiné à la main dans la chambre du jeune homme.
De quoi raviver le débat sur les réfugiés
Si la piste d’un attentat à motivation jihadiste devait se confirmer,
venant de surcroît d’un demandeur d’asile, elle serait de nature à
rallumer le débat en Allemagne sur la politique d’ouverture généreuse de
la chancelière Angela Merkel à l’égard des réfugiés.
Même si les statistiques du ministère de l’Intérieur ne montrent
aucune corrélation entre l’afflux de demandeurs d’asile et la hausse de
criminalité ou du risque terroriste, la droite populiste allemande en
particulier surfe sur les craintes à ce sujet dans l’opinion.
Plus d’un million de réfugiés sont arrivés en Allemagne l’an dernier,
dont une partie importante de Syriens fuyant guerres et persécutions.
Les Afghans aussi constituent une part importante de ces nouveaux
arrivants.
Jusqu’ici, l’Allemagne a été plutôt épargnée par les attentats
jihadistes, à l’exception d’une attaque au couteau perpétrée contre un
policier par une adolescente de 15 ans, d’origine turque, en février en
garde de Hanovre (nord). L’enquête a démontré depuis la motivation
islamiste de cette jeune fille, qui avait cherché peu avant à se rendre
en Syrie via la Turquie pour rejoindre l’organisation État islamique.
Allemagne. Une attaque au couteau et à la hache revendiquée par Daech
Publié le 19/07/2016 – 11:15
Les passagers de ce train ont été attaqué par un jeune réfugiés afghan en Bavière, le soir du 18 juillet 2016. PHOTO /KARL-JOSEF HILDENBRAND/DPA/AFP
Lundi soir, un homme de 17 ans a attaqué les voyageurs d’un train
faisant cinq blessés. Il a ensuite été tué par les forces de l’ordre.
Mardi matin, l’organisation Etat islamique a revendiqué l’attaque.
“Avec une hache et un couteau”, titre ce 19 juillet la Süddeutsche Zeitung
de Munich après l’attaque survenue dans un train régional en Bavière la
veille au soir et qui a laissé cinq personnes blessées, dont
quatre graves.
Selon les témoins, un homme de 17 ans, identifié comme un réfugié afghan depuis, s’est jeté “sauvagement” sur
les passagers près de la ville de Würzburg, en Bavière. Il a été abattu
par une unité spéciale de la police lors de sa fuite dans la ville.
Un “soldat de Daech”
Selon plusieurs témoins ayant l’homme aurait crié “Allahu Akbar”
avant de passer à l’acte. Mardi matin, l’agence de communication de
Daech a publié un communiqué affirmant que le jeune homme était “un soldat de l’Etat islamique”.
“Lors de la perquisition de son logement, on a trouvé un drapeau de la milice terroriste Etat islamique, fait maison”, rapporte le quotidien de Munich en citant le ministre de l’Intérieur de la Bavière.
Carte : Google Maps
Mineur non accompagné
Les victimes sont toutes originaires de Hong Kong. Il s’agit d’une famille qui voyageait avec un ami, rapporte le South China Morning Post, et dont seul le fils est sorti indemne. Le chef de l’exécutif de Hong Kong, Leung Chun-ying, a fermement condamné l’attaque.
L’attaquant est entré en Allemagne comme mineur non accompagné et
enregistré comme demandeur d’asile depuis mars. Après un séjour dans un
centre d’accueil, il a été placé dans une famille d’accueil dans la
région début juillet. Une situation courante dans la région, explique Spiegel Online : “En
Bavière, un réfugié mineur non-accompagné sur deux vient d’Afghanistan.
Selon le ministère des Affaires sociales, plus de 15 500 réfugiés
mineurs ont été accueillis en Bavière.”
Officiellement, il s’agit toujours d’un suicide dont les raisons
restent inconnues, quoique la mère et la soeur du commissaire aient
protesté.
Depuis la publication des premiers articles y consacrés est paru un
ouvrage du journaliste Alain Hamon sur les suicides dans la police et la
gendarmerie.
Quelques extraits de ce livre sont disponibles sur Internet, dont
certains concernent le cas du commissaire Helric Fredou et précédemment
celui du commissaire Christophe Rivieccio dont il avait lui-même
découvert le corps le lundi 18 novembre 2013.
Selon Alain Hamon, ces deux policiers de Limoges étaient
perfectionnistes, exigeants, et auraient mal supporté de n’être pas
suivis dans leurs enquêtes.
Le premier était originaire de Limoges et en avait été nommé
directeur adjoint du Service Régional de Police Judiciaire (SRPJ) à
l’été 2012.
Le second, n°3 de ce SRPJ, était son subordonné depuis huit mois
lorsqu’il s’était suicidé dans son bureau, un dimanche, le 17 novembre
2013, au même âge de 44 ans. Il avait laissé une lettre pour expliquer
son geste, ce que n’a pas fait le commissaire Fredou.
Bernard Cazeneuve mardi, lors d’un discours devant les forces de l’ordre à l’Ecole militaire à Paris, AFP PHOTO/MIGUEL MEDINA
Grand reporter spécialisé police-justice, Alain Hamon sort «Le jour
où j’ai mangé mon flingue», un ouvrage consacré au suicide des policiers
et gendarmes (en librairie depuis le 8 octobre). Pour Paris Match, il
décrypte la colère des policiers qui crient leur ras-le-bol mercredi
devant le ministère de la Justice.
Paris Match. Les syndicats policiers ont appelé à un
«rassemblement» mercredi place Vendôme sous les fenêtres de Christiane
Taubira. Quelles sont les raisons de ce ras-le-bol ?
Alain Hamon. Une telle manifestation devant le ministère de la
Justice est arrivée deux fois en 32 ans. La dernière datait de 1983 et
ça c’est très mal terminé. Ce rassemblement de mercredi est une réaction
à la fusillade de la semaine dernière près de Saint-Ouen. Le détenu abattu, qui a grièvement blessé un policier, était en cavale après une permission de sortie.
Les policiers veulent dire à la justice que la situation actuelle ne
leur convient pas du tout. Ils ne comprennent pas certaines décisions de
justice et on ne leur explique pas.
Y’a-t-il d’autres raisons?
Ce braquage mortel est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Le
ras-le-bol vient surtout du manque de moyens. La révision générale des
politiques publiques de Nicolas Sarkozy a réduit les effectifs de 17 000
policiers. En parallèle, il y a eu l’instauration de la politique du
chiffre, visant à faire baisser la délinquance. On demande aux forces de
l’ordre de faire plus avec moins d’effectifs. Manuel Valls a supprimé
la politique du chiffre, la remplaçant par la politique du résultat.
Mais comment faire du résultat sans chiffre? Quant aux moyens, Bernard
Cazeneuve a promis un réengagement de 500 policiers par an depuis 2012.
Mais on reste loin du compte par rapport aux 17.000 supprimés.
S’ajoute également un épuisement lié au plan Vigipirate, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme
En effet, CRS et escadrons de gendarmes mobiles sont en permanence
sollicités. Ils n’en peuvent tellement plus qu’avant l’été, plusieurs
compagnies de CRS, ne pouvant faire grève, se sont mises en arrêt
maladie. Les CRS me disent : «On est plus jamais chez nous, on ne voit
plus nos familles. On rentre à la compagnie et on est rappelé
immédiatement». Ils sont en déplacement perpétuel.
« Pour les policiers, les outils juridiques actuels ne sont plus adaptés à la criminalité d’aujourd’hui »
Quelles sont les principales revendications des forces de l’ordre avec la manifestation de mercredi?
En manifestant devant la Chancellerie, ils réclament un travail sur le
volet pénal, avec notamment une réforme du Code de procédure pénal. Ils
estiment en effet que les outils juridiques actuels ne sont plus adaptés
à la criminalité d’aujourd’hui. La revendication sous jacente est de
faire constater qu’ils ne peuvent plus assurer leurs missions.
La dévalorisation du métier est aussi l’une des raisons du ras-le-bol des policiers. Comment le revaloriser?
Il faut le revaloriser aux yeux de la population, des chefs et des
policiers eux-mêmes. Dans le plan anti-suicide présenté par Bernard
Cazeneuve fin janvier, un paragraphe à la fin fait état d’une campagne
d’information de la direction générale de la police sur la dangerosité
et les difficultés du métier de policier. Mais, on n’a pas encore vu la
moindre trace de cette campagne. On peut peut-être supposer que c’est
lié à un problème de financement. En Belgique ou encore à Montréal, il y
a eu des mesures pour revaloriser le métier de policier, eux ont mis
les moyens nécessaires.
»Le suicide des policiers était tabou jusque chez les ministres »
Le ras-le-bol peut mener au burn out, voir au suicide, thème de votre dernier livre. Pourquoi le suicide chez les policiers reste un sujet tabou?
En 2014, il y a eu 55 suicides de policiers. En 2015, nous en sommes
déjà à 32 selon mon décompte élaboré à travers la presse (le dernier
date de dimanche lorsqu’un gardien du commissariat de Villeurbanne s’est
donné la mort, chez lui, avec son arme de service, Ndlr). Un ancien
membre de cabinet du ministère de l’Intérieur -qui a officié sous
plusieurs ministres- m’a d’ailleurs confié un jour : «Ce n’est pas qu’on
a rien fait, c’est qu’on ne voulait même pas savoir». Le sujet était
tabou jusque chez les ministres. En 1996, il y a eu 77 suicides dans la
police, à chaque fois on évoquait des problèmes personnels et non des
raisons professionnelles. Manuel Valls, lorsqu’il était ministre de
l’Intérieur, a été le premier à lever le tabou. A l’époque, il n’avait
pas non plus les moyens alors il a fait des discours. De même, il n’est
pas allé jusqu’à dénoncer officiellement les mauvaises conduites de
responsables de la police et de la gendarmerie. Bernard Cazeneuve a
aussi levé aussi le tabou mais n’est pas allé jusqu’au bout. Il n’a pas
non plus les moyens de faire en sorte que ça change et ne s’attaque pas à
bras le corps à certains comportements déviants dans la hiérarchie
interne. L’administration continue à jouer sur les mots, évoquant
surtout des divorces et autres problèmes personnels pour parler des
suicides.
Dans votre livre, vous évoquez aussi la pression hiérarchique et
de mauvaises relations humaines qui peuvent être l’une cause de passage à
l’acte
Pendant longtemps, quand ça n’allait pas, on tapait sur les patrons, les
commissaires de police. En tant que journaliste spécialisé
police-justice, j’ai tapé joyeusement sur les commissaires de police.
Certains le méritaient, d’autres peut-être pas. En travaillant sur le
burn-out chez les policiers ces dernières années les témoignages
faisaient ressortir que le harceleur était plutôt un officier (lieutenant, capitaine) ou un
«petit chef» (brigadier, brigadier chef, brigadier major). La plupart
des rescapés du suicide témoigne du comportement d’un brigadier chef par
exemple. Dès qu’ils prennent du galon, ils oublient ce qu’ils ont été
et deviennent imbuvables. Pourtant, ils sortent du même moule que les
policiers qu’ils maltraitent. Parfois, on ne leur apprend pas à bien
faire avec leurs hommes et on ne leur tape pas sur les doigts dans le
cas contraire.
Le plan anti-suicide de Bernard Cazeneuve vous paraît-il efficace?
Ce sont des mesurettes. La mise en casiers individuels où déposer son
arme à la fin du service -afin de contrer les suicides aux domiciles –
est une mesure qui fait rire les fonctionnaires. De même, il n’y a eu
aucun retour d’expérience sur cette mesure depuis janvier.
A la suite de mon précédent article relatif à un lecteur indien venu
me féliciter à sa manière pour mes publications du 25 juillet 2016 à
propos des Chinois de Belleville, dont certains pourraient être liés au
trafic de fausses Nike de Saïd Kouachi, en relation avec mon Chinois de
Thaïlande, je rappelle que des journalistes indiens s’étaient très tôt
intéressés à l’attentat contre Charlie Hebdo du 7 janvier 2015 à Paris
et avaient même diffusé un reportage où ils traitaient de l’étrange
suicide du commissaire Helric Fredou dans la nuit du 7 au 8 janvier 2015
à Limoges alors qu’il était chargé de mission à propos de cet attentat.
J’avais moi-même évoqué ce suicide dès le 15 janvier 2015, et encore le 22 juin 2015.
Ce reportage était le fait du Daily News and Analysis, un journal
indien fondé en 2005 à Bombay, également publié à Bangalore, dans le
Sud, et dans plusieurs grandes villes du Nord-Ouest, dont Jaipur, la
capitale du Rajasthan, à environ 250 km du lieu de connexion de mon
lecteur d’hier.
Il avait été diffusé par la chaîne indienne associée Zee News, de Zee Media, filiale de Essel Group, basé à Bombay.
Le Daily News and Analysis (DNA) est un quotidien anglophone grand format lancé en 2005 en Inde. Il est publié à Bombay, Ahmedabad, Pune, Jaipur, Bangalore et Indore par Diligent Media Corporation, une co-entreprise
entre Zee Media et Dainik Bhaskar Group, et vise un lectorat jeune, de
tendance progressiste. C’est le premier journal anglophone d’Inde à
avoir proposé une première page entièrement en couleur.
Le lancement du Daily News and Analysis en 2005 a été précédé par une grande campagne publicitaire, avec pour slogan « Speak up, it’s in your DNA » (littéralement : « Exprimez-vous, c’est dans votre ADN » – jeu de mots entre l’acronyme anglophone de l’Acide désoxyribonucléique
et celui de journal). Les médias indiens ont décrit son contexte comme
tumultueux, avec des réductions de coûts et une concurrence sévère1,2.
Suppression des éditoriaux
A la une de son numéro du 1er février 2010, son rédacteur en chef Aditya Sinha a annoncé que le DNA allait supprimer sa page d’opinions, la partie contenant les éditoriaux, les analyses et les points de vue3. Cette décision a été considérée comme audacieuse et a été accueillie par de nombreuses critiques[réf. souhaitée]. Le DNA a donc commencé à proposer, quand c’était nécessaire, les points de vue d’experts et les commentaires dans les différentes pages du journal.
Diffusion
Selon le Media Research Users Council’s Indian Readership Survey (IRS), le lectorat total du DNA est de 1 242 000 personnes à Bombay,
et le lectorat moyen de ses six éditions est de 824 000. IRS a classé
le journal au sixième rang des dix principaux quotidiens anglophones
d’Inde. Il s’agit du second grand-format en anglais le plus lu à Bombay.
Depuis le rapport de l’IRS du deuxième semestre 2006, son lectorat
moyen par numéro a augmenté de 86% (il était alors de 444 000).
Il a aussi le plus grand pourcentage de lecteurs de la tranche d’âge
30-49 ans parmi les journaux anglophones à Bombay (36,3 %)et le second
plus grand pourcentage de lecteurs diplômés (52,2 %) ou appartenant aux
classes socioéconomiques A et B[Quoi ?] (73,5 %).
En février 2007, le DNA a annoncé que sa diffusion payante
avait atteint 400 000 exemplaires à Bombay (après 300 000 en octobre
2006). Ces chiffres sont certifiés par Ernst & Young depuis mai 20064. Selon leur rapport de juillet 2006, la diffusion payante du DNA était alors de 270 000 exemplaires.
Aujourd’hui, le DNA est le journal préféré d’1 506 000 lecteurs dans la seule Bombay (lectorat total au quatrième trimestre 2012 selon l’IRS).
Éditions et suppléments
Le DNA est actuellement publié à Bombay, Ahmedabad, Pune, Jaipur, Bangalore et Indore. Il possède une section économique, DNA Money, et un supplément loisir, After Hrs.
Le DNA possède un site internet, www.dnaindia.com. Il est aussi présent sur les réseaux sociaux et sur téléphone mobile. L’édition du jour peut être lue en ligne (E-paper).
Marathon
Le DNA organise un marathon annuel à Bombay, le DNA I Can réservé aux femmes.
Notes et références
↑ Indiantelevision.com Team, « ‘DNA’ gears up for a price war », Indiantelevision.com, 10 juin 2005 (lire en ligne [archive])
↑ Debashis Bhattacharyya, « Mumbai’s battle will quickly spill over to New Delhi », The Telegraph, Calcutta, 21 août 2005 (lire en ligne [archive])
Zee News is an Indian news and current affairs channel founded
in 1999 and is the flagship property of Zee Media Corporation company
and a subsidiary of Essel Group.[5] The channel is allegedly tried to extort 100 crores from the Jindal Group[6][7][8] and allegedly fabricated video of Kanhaiya Kumar over 2016 JNU sedition controversy.[9]
Zee News reported that some of the students from Democratic Students’ Union (DSU) raised slogans such as « Bharat Ki Barbadi » (« Destruction of India ») and » Pakistan Zindabad » (« long live Pakistan ») [14]
In a letter Vishwa Deepak, who later resigned from the channel after
expressing reservations over its ‘biased coverage’ alleged that « Our
biases made us hear Bhartiya Court Zindabad as Pakistan Zindabad. » (« long live Indian courts » as « long live Pakistan. »).[9][note 1] In response, Zee News Editor Sudhir Chaudhary said « Our channel only showed what was happening there, whatever we have shown is 100 per cent authentic.[15]
Later, the Zee News showed the raw footage of JNU campus to prove it
was not a doctored tape and reiterated that the students indeed chanted Pakistan Zindabad slogans.[17]
Another video, which showed a speech by JNU Students’ Union President
Kanhaiya Kumar making anti-national slogans, appears to be doctored.
According to India Today, « In the original video, Kanhaiya is asking to end social ills such as caste and communalism not anti national slogans. »[18][19] A judicial enquiry into the matters revealed that 5 out of 7 videos were genuine.[20]
On 14 February 2016, Union Home Minister Rajnath Singh alleged that the JNU incident has the support of the LeT chief Hafiz Saeed.[21] Doubts were soon expressed if this was tied to the discredited alert by Delhi Police that used a tweet from a fake/parody account.[22]
Controversy
The channel is tried for allegedly extorting 100 crores from the Jindal Group[6] and two senior journalist have been arrested so far.[7][8]Naveen Jindal accused Zee News of trying to extort 100 crores from him for not airing stories against his company in Coal Scam. Zee News refuted the charges and made counter charges of Jindal offering them 25 crores to halt their investigations against Jindal Steel in the coal scam.[23]
According to Vishwa Deepak, there is a pro-Modi bias at Zee News, and that Zee News « has abetted a riot-like situation. »[15]
The misinterpretation was disclosed when the Aam Aadmi Party filed a
complaint, alleging that ABVP-students raised « Pakistan Zindabad »
slogans. The ABVP admitted that members of their organisation had been
present, but shouted « Bharatiya Court Zindabad » and « Indian Army
Zindabad, » and filed a counter complaint.[9] The police then declared that « the footage had been tampered with. »[16]
In response, Zee News Editor Sudhir Chaudhary said « Our channel only
showed what was happening there, whatever we have shown is 100 per cent
authentic. How far will you push freedom of speech? »[15]
Hermann Simon mentioned this company in his correspondent Book as an example of a « Hidden Champion »
(Simon, Hermann: Hidden Champions of the 21st Century : Success
Strategies of unknown World Market Leaders. London: Springer, 2009.- ISBN 978-0-387-98147-5.)