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mardi 17 mars 2015

Derrière les malveillances, une "amie" de quarante ans...

Voilà un cas de harcèlement qui par certains aspects m’évoque bien évidemment celui dont je suis la victime et Josette Brenterch du NPA de Brest l’auteur des faits.

Il ne se passe pas une journée sans que je m’interroge sur les motivations de cette femme et de chacun de ses complices pour tous les crimes et délits qu’ils ont pu commettre, notamment ceux dont je suis régulièrement ou constamment victime depuis plus de vingt ans.

Après avoir identifié Josette Brenterch et quelques-uns de ses amis politiques les plus proches comme les auteurs, instigateurs ou organisateurs premiers de tous ces faits, j’en ai beaucoup discuté avec mon père qui connaissait effectivement plusieurs d’entre eux depuis le début des années 1970, alors que je n’en connaissais moi-même aucun avant 2004.

J’ai ainsi appris que ces personnes qu’il n’avait lui-même jamais identifiées comme des militants de la LCR l’avaient harcelé dans toutes ses activités bien avant moi.

Cela avait débuté dans les années 1970 alors que je me faisais moi-même remarquer auprès d’autres amis de Josette Brenterch en raison de mes excellents résultats scolaires.

Elle avait dès lors commencé à haïr toute ma famille dont elle ne connaissait personnellement aucun des membres.

Comment s’étonner qu’elle ait multiplié les exactions visant à m’empêcher de travailler, me faire perdre mon emploi, puis m’interdire définitivement tout retour à l’emploi ?

Dès les années 1970, elle estimait que mon père n’aurait pas eu le droit de travailler et commençait à faire circuler de ses inventions calomnieuses à son encontre.

Cependant, elle n’a jamais réussi à faire entendre à son employeur sa ou ses « raisons ».


http://www.ouest-france.fr/elle-harcele-un-couple-damis-durant-cinq-ans-3248154

Elle harcèle un couple d’amis durant cinq ans
 
Normandie – 10 Mars
 

Derrière des gestes malveillants, une amie de quarante ans… Elle a été condamnée à Caen à de la prison avec sursis.


Depuis 2009, un couple habitant près de Caen reçoit des appels et des courriers malveillants. Des ordures sont déposées devant sa porte, sa voiture est rayée ou taguée à la peinture jaune avec des messages tels que « cocu ». Les époux reçoivent aussi des DVD pornos ou des messages indiquant que l’épouse est infidèle. Ils vivent dans une angoisse permanente. L’épouse, dépressive, fera une tentative de suicide.

L’auteur de ces harcèlements finit par être démasqué : le couple a placé une alarme et une caméra. Ils reconnaissent une « amie de quarante ans », vêtue de noir et encapuchonnée. Cette assistante maternelle de 64 ans, allure soignée, a été jugée par le tribunal correctionnel de Caen. Elle n’a reconnu qu’une partie des courriers, « mais on se demande bien qui aurait pu écrire les autres », lui fait remarquer le président du tribunal. Elle explique avoir agi « parce que le voisin rendait sa femme malheureuse », et que « ça le visait lui ». « Cela les affecte tous les deux et ça n’a pas amélioré la situation de votre amie », note le président. Elle conteste que des sentiments amoureux envers cette amie aient pu motiver ses actes. Mariée depuis des années, elle n’a « pas d’attirance pour les femmes ».

Le président cite une affaire d’appels malveillants en 2000 envers une coiffeuse qui « traitait mal une employée ». Le psychiatre note que l’accusée « est psychorigide et a tendance à se poser en justicier. Elle ne supporte pas les remarques et les critiques ».

« Des incapacités totales de travail psychologiques de trois mois, on voit ça rarement », note Me Simao, qui défend le couple. « Le jour, elle vit normalement et la nuit, elle passe à l’action. Elle joue un double jeu et a un comportement vicieux », estime la procureure de la République.

Pour Me Corbel, sa cliente « a été débordée par les confidences de son amie dépressive. Elle n’a pas réagi de la bonne façon ».

Le tribunal condamne l’assistante maternelle à un an de prison avec sursis et mise à l’épreuve. Elle devra se soigner, verser 4 000 € à chacun des époux, ne plus les contacter, ni paraître dans la commune où ils résident.

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