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lundi 20 mai 2019
Ligue du LOL : une association féministe porte plainte à Paris
La plainte porte notamment sur de possibles entraves à la
saisine de la justice réalisées par la suppression de preuves, en
l’occurrence de nombreux tweets litigieux.
En ce qui concerne le modèle primitif de cette « Ligue du LOL »
essentiellement composée de jeunes communiquants, à savoir la bande de
« déconnologues » du mythomane, malade mental et cyberharceleur
extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, composée pour sa
part de militants politiques tous extrémistes et pour la plupart
militants ou sympathisants du NPA affichant une moyenne d’âge de plus de
50 ans, des suppressions de preuves ont été réalisées à plusieurs
reprises par piratages informatiques des différents sites et blogs où
elles se trouvaient, soit toujours à la vue du public, notamment sur Le
Post ou ses archives tant que celles-ci sont restées en ligne (traces
des harcèlements du chef en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon
encontre en 2009 et 2010), soit en stock hors la vue du public pour
édification ultérieure de juges ou enquêteurs, notamment dans les
parties privées des blogs des victimes, comme les corbeilles où étaient
conservés des commentaires d’injures et de menaces non publiés,
principalement ceux du très prolifique Jean-Marc Donnadieu de Béziers,
dont un grand nombre avait disparu de la sorte début octobre 2010 au
moment même où il adressait au procureur de la République de Brest une
lettre de dénonciations calomnieuses à mon encontre tandis que son
avocat Philippe Desruelles lançait à Béziers toutes ses opérations
d’escroquerie au jugement contre OVERBLOG.
Mon ancien blog « Un petit coucou » chez OVERBLOG, qui n’avait été
que suspendu de manière préventive le 11 juin 2013 à la suite d’une
seconde condamnation inattendue d’OVERBLOG dans le cadre de nouvelles
tentatives d’escroquerie au jugement de mes harceleurs, en l’occurrence,
cette fois-là, Josette Brenterch du NPA de Brest, avait ainsi été
entièrement supprimé par piratage informatique début septembre 2015
alors qu’un policier de Brest s’appêtait à m’interroger à la suite d’une
plainte déposée à mon encontre à la gendarmerie de Puy-l’Evêque par
Pascal Edouard Cyprien Luraghi au mois de mai 2015.
Il ne s’agissait encore, bien entendu, que de dénonciations
calomnieuses, et son auteur craignait que je ne me défende comme
OVERBLOG et moi-même l’avions déjà fait contre ses deux complices
Jean-Marc Donnadieu et Josette Brenterch en exhibant notamment tous ses
commentaires sur ce blog.
Aussi, il s’était publiquement réjoui de sa suppression dans les
colonnes du site Rue89 peu de temps plus tard alors qu’il n’en avait été
averti par aucune forme d’annonce publique.
Mais ce blog avait bien été supprimé à sa demande ou directement par
lui pour m’empêcher de produire les preuves de ses harcèlements à mon
encontre sur mon propre blog durant tout le temps de son activité, entre
2010 et 2013.
Ligue du LOL : une association féministe saisit le procureur de Paris
HARCÈLEMENT – Une association féministe a saisi lundi 20 mai le
procureur de la République de Paris dans l’affaire de la Ligue du LOL,
ce groupe constitué de journalistes et communicants parisiens – et dont
plusieurs membres sont accusés de harcèlement sexiste dans les années
2000.
20 mai 11:41 – La rédaction de LCI
L’affaire de la ligue du LOL entre un peu plus dans sa phase
judiciaire. Selon nos informations, le collectif féministe « Prenons la
une » a saisi lundi 20 mai le procureur de la République de Paris afin
que « toute la lumière soit faite sur les faits supposés de
cyberharcèlement, injures à caractère sexiste, raciste ou homophobe et
incitation à la haine raciale ou sexiste ». Et demandé à la ministre de
la Justice Nicole Belloubet, ainsi qu’à la secrétaire d’Etat aux Droits
des femmes, Marlène Schiappa, d’en faire de même.
Plusieurs licenciements
Créé à la fin des années 2000, la ligue du LOL est un groupe Facebook
privé qui regroupait notamment des journalistes ou travailleurs du web,
surtout parisiens. Une dizaine d’années plus tard, ces mêmes
journalistes, parfois très influents, parfois rédacteurs en chef de
grands médias, sont accusés d’avoir harcelé pendant ces années de
nombreuses personnes. L’affaire avait fait réagir jusqu’à la secrétaire
d’État à l’égalité femmes-hommes Marlène Schiappa.
En février dernier, un article de Libération–
abondé ensuite par de nombreux témoignages sur Twitter – mettait au
jour ces faits de harcèlement sexiste. Dans les semaines qui ont suivi
ces révélations, plusieurs journalistes ont d’ailleurs été licenciés
notamment Alexandre Hervaud et Vincent Glad à Libération tout comme David Doucet, rédacteur en chef web du magazine Les Inrocks, et de son adjoint François-Luc Doyez.
Suppression de preuves ?
»Il importe de connaître le déroulé précis des événements pour
savoir s’ils sont prescrits, indique le collectif Prenons la une dans un
communiqué. Nous souhaitons que la suppression de nombreux messages sur
les réseaux sociaux, à la suite de la révélation de l’affaire, soit
étudiée, afin de savoir si cela constitue une nouvelle infraction
d’entrave à la saisine de la justice. »
En février dernier, relevant le caractère raciste de certaines de ces attaques, SOS Racisme
avait également effectué un signalement auprès du procureur, suite à
l’affaire de la ligue du LOL. Pour l’heure, aucune enquête n’est
ouverte.
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