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jeudi 31 juillet 2025

Attentat de Pahalgam du 22 avril 2025 en Inde : les trois terroristes abattus

Quel sera le sort réservé aux terroristes du 12 juin dernier quand ils seront tous identifiés ? 

 

https://www.lesechos.fr/monde/asie-pacifique/linde-annonce-avoir-abattu-les-trois-terroristes-responsables-du-sanglant-attentat-de-pahalgam-2179203

L'Inde annonce avoir abattu les trois terroristes responsables du sanglant attentat de Pahalgam

Les auteurs de l'attaque étaient recherchés depuis plus de 3 mois par les forces de sécurité indiennes. L'annonce a été l'occasion pour Narendra Modi de nier le rôle des Etats-Unis dans le cessez-le-feu négocié avec le Pakistan, tenu pour responsable de l'attentat de Pahalgam.

Le gouvernement indien a annoncé mardi que les trois terroristes auteurs de l'attentat de Pahalgam avaient été tués lundi dans une opération conjointe de l'armée et de la police au Cachemire.
Le gouvernement indien a annoncé mardi que les trois terroristes auteurs de l'attentat de Pahalgam avaient été tués lundi dans une opération conjointe de l'armée et de la police au Cachemire. (Tauseef MUSTAFA/AFP)

 

Par Clément Perruche

Publié le 30 juil. 2025 à 11:13Mis à jour le 30 juil. 2025 à 14:14

C'est une heureuse coïncidence. Alors que les députés indiens interrogeaient le gouvernement sur l'opération « Sindoor » lancée contre le Pakistan après l'attentat meurtrier de Pahalgam, le ministre de l'Intérieur indien, Amit Shah, a annoncé mardi en plein débat que les responsables de l'attaque terroriste avaient été neutralisés dans la journée de lundi.

« Tous les trois ont été abattus », a-t-il expliqué devant la chambre basse du Parlement indien. Cela faisait plus de trois mois que ces hommes étaient recherchés par les forces de sécurité du pays. Ils auraient été encerclés et éliminés dans une zone forestière située à seulement 30 kilomètres de Srinagar, la plus grande ville du Cachemire.

Bon timing

Les trois individus seraient des ressortissants pakistanais, a annoncé le ministre de l'Intérieur, indiquant que deux d'entre eux appartenaient au Lashkar-e-Taiba, un groupe terroriste bien connu et installé au Pakistan. « Les agences de sécurité indiennes ont des preuves détaillées de leur implication dans cette attaque », a déclaré le ministre de l'Intérieur, précisant que les fusils et munitions retrouvés sur les lieux de l'assaut correspondaient aux balles utilisées lors de l'attaque de Pahalgam.

Avec ces annonces, le gouvernement de Narendra Modi coupe l'herbe sous le pied de ses adversaires. Lundi, de nombreux députés de l'opposition avaient en effet interrogé le gouvernement sur le sort des attaquants de Pahalgam et la lenteur avec laquelle l'enquête visant à retrouver les terroristes était menée, dans un territoire qui est, de surcroît, l'un des plus militarisés de la planète.

Guerre avec le Pakistan

Les trois hommes étaient activement recherchés depuis le 22 avril, date à laquelle ils avaient fait irruption dans une vallée bucolique non loin de la ville de Pahalgman, au Cachemire, et exécuté à bout portant 26 hommes, dont 25 Indiens et un Népalais. Selon les témoins présents, les terroristes avaient demandé leur religion à ces hommes avant de les abattre, parfois devant leurs femmes.

En Inde, l'attentat avait suscité une vague d'émotion inédite. Mais l'attaque terroriste avait surtout eu pour conséquence de provoquer un conflit de grande intensité avec le Pakistan voisin. New Delhi avait en effet considéré que le voisin honni était le véritable commanditaire de l'attaque. Depuis des années, Islamabad est accusé d'apporter un soutien politique, logistique et financier à différents groupes terroristes menant des opérations dans la partie indienne du Cachemire, territoire que le Pakistan revendique dans sa totalité. Islamabad, de son côté, a toujours démenti toute responsabilité dans l'attaque.

Après l'attentat de Pahalgam, Narendra Modi avait juré de se venger et a mis à exécution ses promesses en lançant, le 7 mai, l'opération « Sindoor » contre le Pakistan. L'armée indienne a commencé par effectuer des frappes aériennes sur ce qui a été présenté comme des camps d'entraînements de groupes terroristes situés en plein territoire pakistanais. L'armée pakistanaise avait ensuite répliqué, entraînant les deux pays dans un affrontement d'une intensité inédite en plus de 25 ans. Après quatre jours lors desquels les deux frères ennemis ont échangé des attaques de drones suicides, des tirs d'artillerie et de missiles, les deux voisins ont finalement négocié un cessez-le-feu annoncé par Donald Trump sur les réseaux sociaux.

Modi recadre Trump

Le débat parlementaire autour de l'opération « Sindoor », a également été l'occasion pour le Premier ministre, Narendra Modi, de nier le rôle joué par Donald Trump dans le cessez-le-feu avec le Pakistan. « Aucun dirigeant étranger ne nous a demandé de mettre fin à l'opération », a déclaré le leader hindou sans mentionner directement le Président américain. En Inde, l'annonce par Donald Trump du cessez-le-feu avait irrité le gouvernement car il donnait le sentiment que New Delhi avait été contraint d'accepter une trêve sous la pression américaine.

Un narratif réfuté par le gouvernement indien, lequel clame depuis la fin des affrontements que c'est le Pakistan qui a réclamé un cessez-le-feu après que certains de ses sites militaires stratégiques ont été touchés par des frappes indiennes. Mardi, Narendra Modi a répété que c'était bien l'Etat-Major pakistanais qui avait « supplié » l'Inde d'arrêter les combats.

Clément Perruche (Correspondant à New Delhi)

 

mercredi 30 juillet 2025

Sandrine Rousseau se rapproche encore de la mafia brestoise...

Leurs déclarations d'amour mutuelles ne passaient déjà pas inaperçues à l'époque des premières accusations publiques de viols et agressions sexuelles contre Gérard Miller :

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/et-hop-michel-walter-en-echo-sandrine.html

Sandrine Rousseau cherche désormais une vieille maison à retaper dans le Finistère... 

Le Finistère : le département qui accuse 20 ans de retard dans le traitement des affaires de moeurs dès leur tout début...

Elle y sera comme un poisson dans l'eau : sauf exception, ici les pédocriminels et autres violeurs sont toujours des rois, que dis-je, des dieux vivants...

Joël Le Scouarnec n'a pas quitté le Morbihan pour le Finistère par hasard après s'être fait prendre par le FBI à consulter des sites pédopornographiques à l'automne 2004, il savait qu'ici il serait tranquille.

Pourquoi son avocat rennais s'est-il "suicidé" ou a-t-il été "suicidé" ? 


Lire ou relire :

https://satanistique.blogspot.com/2019/08/joel-le-scouarnec-chirurgien-accuse-de.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/08/le-site-20minutesfr-en-symbiose-totale.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/08/affaire-joel-le-scouarnec-nouvelles.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/08/affaire-joel-le-scouarnec-comme-le.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/08/affaire-joel-le-scouarnec-une-sanction.html 

https://satanistique.blogspot.com/2019/08/affaire-joel-le-scouarnec-la-curee.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/09/comment-le-procureur-de-brest-aurait-pu.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/09/le-pedopsychiatre-meilleur-allie-du.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/09/juges-et-medecins-francais-tous.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/09/affaire-joel-le-scouarnec-deja-une.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/09/a-morlaix-un-medecin-hospitalier-accuse.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/10/assassinat-lhopital-psychiatrique.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/11/cas-de-maltraitance-lhopital.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/11/maltraitance-lhopital-psychiatrique-de.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/11/affaire-du-chirurgien-pedophile-joel-le.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/11/timothe-20-mois-mort-par-la-faute-dun.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/11/affaire-du-chirurgien-pedophile-joel-le_24.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/12/obscurs-pedophiles-inconnus-ou-oublies.html

https://satanistique.blogspot.com/2020/01/la-theorie-des-faux-souvenirs-ou.html

https://satanistique.blogspot.com/2020/03/corruption-de-magistrats-dans-le.html

https://satanistique.blogspot.com/2021/03/qui-viole-une-niece-viole-en-liesse.html

https://satanistique.blogspot.com/2021/12/des-nouvelles-detienne-morel-ancien.html

https://satanistique.blogspot.com/2021/12/enorme-scandale-brest-les-directeurs-du.html

https://satanistique.blogspot.com/2022/03/je-ferais-peur-michel-walter.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/07/deces-brutal-de-lavocat-rennais-de-joel.html

 

 

https://www.letelegramme.fr/bretagne/quest-ce-quelle-vient-chercher-ici-a-dineault-le-projet-dachat-immobilier-de-la-deputee-sandrine-rousseau-interroge-6864414.php

« Qu’est-ce qu’elle vient chercher ici ? » : à Dinéault, le projet d’achat immobilier de la députée Sandrine Rousseau interroge

 
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Sophie Prévost

Par Sophie Prévost

INFO LE TÉLÉGRAMME. Sandrine Rousseau aime le Finistère. La députée écologiste de Paris a même repéré une maison à retaper dans la campagne de Dinéault. En plein débat sur la loi Duplomb, les habitants de la commune aux 38 exploitations agricoles s’interrogent sur un choix qu’ils jugent « surprenant ».

 

Autour du café du matin, à Dinéault, Emmanuelle, Victoire, Thérèse et Marine n’avaient qu’un sujet à la bouche, ce mercredi 30 juillet 2025 : pourquoi la députée écologiste Sandrine Rousseau voudrait-elle acheter une maison sur la commune ?
Autour du café du matin, à Dinéault, Emmanuelle, Victoire, Thérèse et Marine n’avaient qu’un sujet à la bouche, ce mercredi 30 juillet 2025 : pourquoi la députée écologiste Sandrine Rousseau voudrait-elle acheter une maison sur la commune ? (Photo Le Télégramme/Sophie Prévost)

 

Éleveur de moutons en face du Menez-Hom, à Dinéault, Patrik Sastre-Coader a allumé la mèche, lundi 28 juillet 2025. Publiée sur les réseaux sociaux, la lettre ouverte du secrétaire général de la coordination rurale du Finistère évoque « sa surprise » de s’être découvert une possible voisine, nommée Sandrine Rousseau. « Je l’ai reconnue devant la vieille maison à vendre à 200 mètres de chez moi, la semaine dernière. Elle ne s’est finalement pas dévoilée et cela m’interroge. On a tous en tête ses propos récents à propos de la loi Duplomb, où elle disait qu’elle « n’en avait rien à péter de la rentabilité » des entreprises agricoles. Comment peut-elle vouloir s’installer en milieu rural breton avec cet état d’esprit ? »


Attentat de Manhattan du 28 juillet 2025 : le tueur qualifié de "cinglé"

S'agirait-il encore d'une recrue de la folledingue Josette Brenterch du NPA de Brest ?

Son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi n'aime pas le foot.

Et ses tueurs sont tous tellement tarés qu'il leur arrive régulièrement de se tromper de cible.

Ce serait le cas, par exemple, pour le double meurtre du stand de tir de la Villeneuve, à Brest, en octobre 1996 : les commanditaires de ce contrat auraient en réalité demandé que soit assassiné le pharmacien brestois Claude Giron, très impliqué dans les tueries de l’Ordre du temple solaire, car il devait être interrogé dans le cadre de l'enquête sur ces tueries. Il s'agissait donc de l'empêcher de parler. Lui aussi aurait dû être présent à l'ouverture du stand de tir le jour du double meurtre, mais en définitive il n'y était pas allé. C'est en tous les cas ce qu'il aurait raconté au journaliste brestois Renaud Marhic à une époque où celui-ci enquêtait sur l'Ordre du temple solaire, mais à la manière extrêmement partiale d'un militant de l'extrême-gauche ne cherchant à épingler que des extrême-droitistes en exonérant systématiquement de leurs responsabilités tous ses collègues de l'extrême-gauche, raison pour laquelle il n'a jamais divulgué que dans un cercle très restreint cette information pourtant capitale.

Autre exemple : au début des années 2000, la même bande de tarés de l'extrême-gauche de Brest, oui, oui, oui, exactement les mêmes, a fait assassiner l'ancien mandataire de justice escroc de Nanterre Olivier Sauvan en croyant éliminer de la sorte mon ancien employeur mafieux et harceleur... pas pour mon bien, non, non, non, il s'agissait encore pour eux d'éliminer un complice susceptible de les vendre dans le cadre d'une enquête judiciaire.

Tous les témoins gênants de leurs saloperies diverses et variées y passent, même leurs complices !

Concernant l'Ordre du temple solaire, il s'agissait notamment de protéger la grande complice de Josette Brenterch dénommée Louisette Guinio, alors connue sous le nom de Louisette Abiven, qui fera encore partie en 2005 de tous ses vieux complices qu'elle était allée chercher pour son "putsch" dans l'association AC ! Brest, comme expliqué dans cet article du 29 mars 2013 de mon ancien blog "Un petit coucou" chez OverBlog (cliquer sur l'image pour l'agrandir et lire les textes) :

 


 

Grande spécialiste des sectes comme "outils" de "lutte" "communiste révolutionnaire", Louisette Guinio ou Abiven se faisait encore remarquer à la tête de la section locale de la secte indienne de Sri Sathya Sai Baba en 1998 :

https://www.prevensectes.me/rev9808.htm#8

 

  France : Sri Sathya Saï Baba

Brest : Le comité des chômeurs noyauté par une secte ?

 

Le comité AC ! des chômeurs de Brest, né en janvier dernier, aurait-il été noyauté par un sympathisant du mouvement Sri Sathya Saï Baba ? Les signataires d'un texte dénonçant des discours et des agissements nébuleux en ont aujourd'hui la conviction et en appellent à la vigilance.

Le Télégramme de Brest, 5 août 1998, par J.L. G.
Journal national 19-20 de France 3, 7 août 1998.
Marianne, 17 août 1998.
Le Canard Enchaîné, 12 août 1998.

[Résumé]

" Quand vous êtes perturbé, vous êtes à la recherche de toutes les solutions qui vous permettraient de vous en sortir. Je comprends que des gens puissent être bernés par des discours qui promettent des solutions alternatives et font miroiter un autre monde, parfait celui-là ", explique une chômeuse ayant participé à plusieurs réunions du mouvement des chômeurs brestois, organisant des actions mais proposant également pour les exclus une occasion de renouer avec la vie collective. Plusieurs témoignages prouvent hélas que cette occasion fut parasitée par un féru d'ésotérisme qui put, dans ce contexte, tenir en réunion des discours sur des soins par magnétisme - encourageant l'arrêt des traitements "classiques" - et proposer des cours de sophrologie se terminant invariablement par des jugements négatifs, etc...

" Il résulte un risque pour certaines personnes crédules, en situation précaire, de dépendance a l'égard de ceux qui débitent de telles absurdités. Les risques d'accidents médicaux ne peuvent pas non plus être écartés ", estime une des signataires de l'appel public à la vigilance. L'inquiétude est accrue par le fait que les personnes influencées se déclarent maintenant sympathisantes de l'organisation Sri Sathya Sai France, et que le Brestois féru d'ésotérisme fait partie d'une association brestoire qui organisa en mai dernier une conférence sur Saï Baba. Les prosélytes proposent des " prières pour faire reculer le chômage ", tout en expliquant aux chômeurs que leur situation actuelle provient " d'un mauvais karma issu de leurs vies antérieures "...

De plus, un témoin décrira sur France 3 la façon dont cet adepte de Saï Baba chercha a mieux connaître sa vie privée pour attirer a lui les éléments les plus fragiles de la famille de ce chômeur. Enfin, une brève de Marianne rapporte " qu'une chômeuse brestoise de 45 ans a été hospitalisée trois semaines pour avoir arrêté son traitement aux anxiolytiques ".

 

Par ailleurs, mise en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur le double meurtre du stand de tir de la Villeneuve d'octobre 1996, la même Louisette Guinio épouse Abiven bénéficiait d'une levée très rapide de ladite garde à vue, sa grande copine Josette Brenterch n'ayant pas tardé à donner des ordres afin que la gendarmerie abandonnât fissa cette piste pourtant très prometteuse. C'est ainsi que les gendarmes avaient reçu un appel du grand maître local du Grand Orient de France leur enjoignant d'arrêter immédiatement leur interrogatoire de la dame Abiven. Et ? Exécution ! Puis l'enquête leur avait été retirée au profit de la police par le juge d'instruction de Brest, corrompu. Sous ses ordres, les policiers ne reviendront pas sur la piste extrême-gauchiste tout en sachant que c'était probablement la bonne.

Et le grand complice de Josette Brenterch Roger Abiven qui se fait mousser à Brest comme militant anti-nucléaire de récupérer l'énorme boulette de leur bande de criminels complètement frappés pour taper sur l'Armée en l'accusant d'avoir organisé l'assassinat du pharmacien François Picard...

Enfin, pour en revenir à l'actualité du jour, observons que mes statistiques de blog ont encore une drôle d'allure depuis le 21 juillet :

https://satanistique.blogspot.com/2025/07/hum.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/07/lautriche-encore-visee.html

Et j'avais même reçu une visite de Las Vegas le 26 juillet :

   
Las Vegas, Nevada, United States, Vegasnap, Llc   199.127.56.236    
Session #1
Win10, Chrome 138.0, 800x600

  
(Pas de lien référant)
26 Jul12:04:10

 

https://www.public.fr/attentat-a-manhattan-le-tueur-se-trompe-dimmeuble-et-tue-plusieurs-personnes-au-mauvais-endroit

Attentat à Manhattan : le tueur se trompe d’immeuble et tue plusieurs personnes au mauvais endroit

 

Au moins quatre personnes ont été tuées lors d'un attentat survenu à Manhattan ce lundi 28 juillet à New York. Le tueur s'est en réalité trompé d'immeuble et visait le siège de la ligue de football.

 

Par Clément Garin - Le
Tuerie à Manhattan : l’assaillant se trompe d’immeuble et tue plusieurs personnes au mauvais endroit
John Angelillo/UPI/ABACAPRESS.COM

Résumé

Un homme a ouvert le feu dans des bureaux de Manhattan, tuant plusieurs personnes par erreur avant de se suicider, tandis que sa cible initiale a été épargnée.


Couverture complète sur Attentat

Au mauvais endroit au mauvais moment comme l'a si bien chanté Calogero... Ce lundi 28 juillet, au moins cinq personnes ont trouvé la mort au cœur de Manhattan. Un homme, pour des raisons qui restent à déterminer, a ouvert le feu dans des bureaux américains. Le tueur a tué trois personnes ainsi qu'un policier, selon les premiers éléments rapportés par CNN. Il a ensuite retourné l'arme contre lui-même et s'est suicidé.

L'homme, prénommé Shana Tamura, était agent de sécurité dans un casino de Las Vegas. Joueur de football américain pour un club de Californie, il envisageait de réaliser son attentat au cœur de la Ligue nationale de football (LNF). Mais à la dernière minute, le tueur s'est trompé d'ascenseur et a rejoint les mauvais bureaux.

Les personnes travaillant à la Ligue nationale de football, initialement prises pour cible par l'assaillant, sont donc saines et sauves... Mais celles des bureaux d'en face se sont retrouvées ciblées à tort. Trois ont été tuées, et une est en urgence absolue. Le policier tué sur les lieux du drame n'était pas en service rapportent les autorités. Pour échapper à la justice, le tueur s'est ensuite suicidé.

Donald Trump réagit et qualifie le tueur de "cinglé"

Le maire de New York, Eric Adams, a réagi en déclarant que les personnes tuées n'étaient pas celles initialement visées par l'assaillant. Le président des USA Donald Trump a qualifié l'acte "d'insensé" et le tueur de "cinglé". Via la plateforme Truth Social, le milliardaire a déclaré : "J'ai été informé de la fusillade tragique qui s'est produite à Manhattan, un endroit que je connais et que j'aime. J'ai confiance dans nos forces de l'ordre pour faire toute la lumière sur les raisons qui ont poussé ce cinglé à commettre un acte de violence aussi insensé".

 

jeudi 17 juillet 2025

Attentat d'Air India du 12 juin 2025 : l'auteur serait le commandant de bord

En effet :

 

L’enregistrement des communications au sein du cockpit révèle que l’un des pilotes demande à l’autre : « Pourquoi as-tu coupé le carburant ? », ce à quoi son interlocuteur répond : « Je ne l’ai pas fait. » Les sources américaines identifient désormais le capitaine Sumeet Sabharwal, 56 ans, comme celui ayant désactivé l’alimentation de carburant. Le copilote, Clive Kundar aurait paniqué contrairement au commandant de bord. Peu avant l’impact, Summet Sabharwal a tout de même lancé un appel de détresse.

 

Formé au pilotage à Mumbai, célibataire et sans enfant, il vivait à New Delhi jusqu'au décès de sa mère en 2022. Il était alors retourné vivre avec son père à Mumbai dans une communauté fermée et souffrait de dépression depuis ce décès. 

En outre, il était hindou et son nom indique une origine au Pendjab.

Sa caste est celle des Khatrisoriginaire des régions de Malwa et de Majha, dans la région du Pendjab, en Asie du Sud, principalement en Inde, mais aussi au Pakistan et en Afghanistan. Les Khatris se disent guerriers et commerçants.

Serait-ce encore un vieux pote du terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi ?

Un Khatri peut mourir pour un ami et celui-là souffrait déjà de dépression. 

 

Lire ou relire :

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/jattends-lattentat.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/attentats-islamistes-des-avertissements.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/deux-jours-de-heurts-entre-police-de.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/deux-attaques-meurtrieres-dans-des.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/crash-dun-boeing-787-en-inde-un.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/thailande-fausse-alerte-la-bombe-dans.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/bilan-des-attentats-de-cette-premiere.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/crash-du-boeing-787-dair-india-les.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/qui-etait-vijay-rupani-assassine-par.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/confiance-totale-dans-le-boeing-787.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/crash-du-boeing-787-dair-india-une.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/crash-du-boeing-787-dair-india-le-corps.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/06/le-boeing-787-dair-india-etait-bien.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/07/crash-dair-india-du-12-juin-2025.html

 

 

https://www.parismatch.com/actu/international/crash-dair-india-le-commandant-aurait-coupe-larrivee-de-carburant-avant-limpact-254384

Crash d’Air India : le commandant aurait coupé l’arrivée de carburant avant l’impact

 

Crash d’Air India : le commandant aurait coupé l’arrivée de carburant avant l’impact
Crash d’Air India : le commandant aurait coupé l’arrivée de carburant avant l’impact © X


Martin Lagrave , Mis à jour le

Les deux interrupteurs carburant du Dreamliner ont été coupés une seconde l’un après l’autre. Dix secondes plus tard, les moteurs se sont éteints. Les premiers éléments de l’enquête désignent le capitaine comme à l’origine du geste fatal.

Les spéculations autour des causes du crash du Boeing 787-9 d’Air India qui a causé la mort de 260 personnes se poursuivent. Quelques jours après la publication des premiers éléments des enquêtes indiennes et américaines, qui pointent du doigt la coupure momentanée de l’alimentation des moteurs en carburant, l’analyse de l’une des boîtes noires met en cause la responsabilité du commandant de bord Sumeet Sabharwal.

Selon des sources américaines ayant eu accès à la bande audio du cockpit, citées par le Wall Street Journal, le commandant de bord aurait coupé l’arrivée de carburant quelques secondes après le décollage.

L’enquête préliminaire de l’Aircraft Accident Investigation Bureau (AAIB) avait déjà révélé que les interrupteurs de contrôle du carburant avaient été désactivés l’un après l’autre, à une seconde d’intervalle, entraînant une perte brutale de poussée. Dix secondes plus tard, ils auraient été réactivés. 

Le commandant souffrait de dépression après le décès de sa mère en 2022

L’enregistrement des communications au sein du cockpit révèle que l’un des pilotes demande à l’autre : « Pourquoi as-tu coupé le carburant ? », ce à quoi son interlocuteur répond : « Je ne l’ai pas fait. » Les sources américaines identifient désormais le capitaine Sumeet Sabharwal, 56 ans, comme celui ayant désactivé l’alimentation de carburant. Le copilote, Clive Kundar aurait paniqué contrairement au commandant de bord. Peu avant l’impact, Summet Sabharwal a tout de même lancé un appel de détresse.

La compagnie a confirmé que les deux pilotes totalisaient plus de 9 000 heures de vol à eux deux. Selon The Telegraph, les enquêteurs s’intéressent aussi à l’état de santé psychologique du commandant, qui souffrait de dépression après le décès de sa mère en 2022 et envisageait de quitter Air India pour s’occuper de son père âgé.

Le PDG d’Air India, Campbell Wilson a toutefois appelé à ne pas tirer de conclusions hâtives rappelant que l’enquête reste en cours et que le rapport préliminaire ne détermine ni cause ni responsabilité.



https://www.leparisien.fr/faits-divers/crash-dair-india-lenquete-se-resserre-autour-du-commandant-de-bord-soupconne-davoir-coupe-les-moteurs-volontairement-17-07-2025-M5R2TRZDMBDCJA4ESM65EH652Y.php

Crash d’Air India : l’enquête se resserre autour du commandant de bord, soupçonné d’avoir coupé les moteurs

Selon de nouveaux éléments, Sumeet Sabharwal, le commandant de bord de 56 ans du vol 171 d’Air India, qui s’est crashé le 12 juin dernier, a coupé volontairement l’alimentation en carburant des moteurs de l’avion.

Au total 241 personnes qui se trouvaient à bord du Boeing 787-8 Dreamliner d’Air India  et 19 personnes au sol ont été tuées dans le crash du vol 171 d'Air India, le 12 juin dernier. Reuters/Amit Dave/File Photo
Au total 241 personnes qui se trouvaient à bord du Boeing 787-8 Dreamliner d’Air India et 19 personnes au sol ont été tuées dans le crash du vol 171 d'Air India, le 12 juin dernier. Reuters/Amit Dave/File Photo

 

Que s’est-il passé exactement à l’intérieur du cockpit du vol 171 d’Air India, le 12 juin dernier ? Selon un enregistrement du dialogue entre le pilote et son copilote, le premier a coupé volontairement l’alimentation en carburant des moteurs de l’avion, qui a entraîné la chute de l’appareil, révèle le Wall Street Journal, ce jeudi, citant des sources proches de l’enquête.

Ce jour-là, le Boeing 787-8 Dreamliner d’Air India s’est écrasé quelques minutes après son décollage d’Ahmedabad, en Inde, tuant 260 personnes. Samedi, un rapport préliminaire du Bureau indien d’enquête sur les accidents aériens (AAIB) a révélé que les interrupteurs d’alimentation en carburant des deux moteurs se sont mis en position « arrêt » peu avant l’impact et peu après le décollage.

Le commandant de bord « calme »

Le rapport préliminaire cite notamment l’enregistreur de voix du cockpit dans lequel on entend un des pilotes demander à l’autre pourquoi il a coupé le carburant, avant que le second pilote ne réponde qu’il ne l’a pas fait. Néanmoins, les premiers éléments de l’enquête communiqués ne précisaient pas qui de Sumeet Sabharwal, le commandant de bord de 56 ans, ou de Clive Kunder, le copilote de 32 ans, avait éteint les interrupteurs d’alimentation.

Selon de nouveaux éléments, cités par le Wall Street Journal, les enquêteurs sont parvenus à identifier les voix et à déterminer que c’est Clive Kunder qui demande à Sumeet Sabharwal pourquoi il a coupé les interrupteurs d’alimentation en carburant des deux moteurs. Selon l’enregistrement, Clive Kunder exprime d’abord « sa surprise », avant de « paniquer », tandis que Sumeet Sabharwa, lui, semble « garder son calme », précise nos confrères du Wall Street Journal.



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D’autant que, selon ce second rapport, Clive Kunder était aux commandes lors du décollage et avait donc « les mains pleines » à ce stade du vol. À l’inverse, Sumeet Sabharwal, qui « supervisait l’opération », était « plus susceptible d’avoir les mains libres » pendant le décollage.

« Juste un vol ou deux… Après, je m’occupe de papa »

Si les premiers éléments de l’enquête ne permettent pas de tirer des conclusions sur les causes du crash du vol Air India, le rapport préliminaire indique que les investigations n’ont révélé aucun défaut mécanique ou de maintenance. Reste alors l’hypothèse d’une erreur humaine, qu’elle soit accidentelle ou non.

Selon un article publié par The Sun, lundi, le commandant de bord, Sumeet Sabharwal, souffrait de dépression depuis le décès de sa mère il y a quelques années. « Il avait pris du recul par rapport à ses vols au cours des trois ou quatre dernières années », a confié au tabloïd un ancien pilote instructeur du Boeing 737. Le commandant de bord prévoyait notamment d’arrêter pour s’occuper de son père de 92 ans. « Juste un vol ou deux… Après, je m’occupe de papa », a expliqué l’une de ses proches au Times of India.

 

VidéoCrash d'Air India : « Rien n'indique une erreur de pilotage », selon des experts

 

Néanmoins, le PDG d’Air India, Campbell Wilson, a appelé à ne pas tirer de conclusions hâtives sur les causes du crash, affirmant que l’enquête était « loin d’être terminée ».

Le commandant de bord et le copilote étaient tous les deux originaires de Mumbai. Ils avaient été déclarés aptes au service et étaient suffisamment reposés avant le décollage de l’aéroport d’Ahmedabad le 12 juin, selon un rapport provisoire publié par le Bureau d’enquête sur les accidents d’aviation (AAIB). À 56 ans, Sumeet Sabharwal présentait le profil d’un pilote chevronné avec plus de 15 600 heures de vol à son actif, dont plus de la moitié sur le 787 Dreamliner. L’homme qui envisageait donc de prendre sa retraite était titulaire d’une licence de pilote de ligne (ATPL), le plus haut niveau de certification, délivrée en mai 2021 et valable jusqu’en 2026.



https://www-thetimes-com.translate.goog/world/asia/article/air-india-pilots-crash-sumeet-sabharwal-clive-kunder-bmb9vrwqj?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc

Qui étaient les pilotes d’Air India qui pilotaient l’avion qui s’est écrasé ?

 
Sumeet Sabharwal et Clive Kunder ont été salués comme des héros après le crash de l'AI 171, mais un nouveau rapport suggère que l'un d'eux pourrait être un méchant
Deux pilotes de ligne.
Sumeet Sabharwal, 56 ans, et Clive Kunder, 32 ans

 

Le commandant de bord du vol AI 171 reliant Ahmedabad à Gatwick touchait à sa fin une brillante carrière de pilote commercial. Homme humble et à la voix douce, Sumeet Sabharwal, selon ses proches, ne s'est jamais marié et n'a pas eu d'enfants, mais était dévoué à son père de 88 ans, Pushkaraj.

Sabharwal, 56 ans, avait plus de 15 000 heures d'expérience de vol et il ne lui restait plus que trois vols avant de décider de devenir un soignant à temps plein pour son père dans leur maison dans une communauté fermée à Powai, une banlieue de Mumbai.

L'autre homme dans le cockpit du Boeing 787, Clive Kunder, 32 ans, était bien plus proche du début de sa carrière de pilote commercial, avec 3 400 heures de vol à son actif. Kunder vivait à environ onze kilomètres de son copilote, avec ses parents et sa sœur cadette, dans une autre banlieue de Mumbai. Ils avaient tous deux un parent qui avait travaillé dans l'aviation : Pushkaraj était un fonctionnaire retraité de la Direction générale de l'aviation civile indienne (DGCA), tandis que la mère de Kunder était hôtesse de l'air chez Air India.

 

Débris d'un accident d'avion d'Air India.
L'accident a coûté la vie à 241 passagers et membres d'équipage et à 19 personnes au sol.
SIDDHARAJ SOLANKI/EPA

À 13h37, heure locale, le jeudi 12 juin, le destin de ces deux familles s'est croisé. C'est alors que les deux hommes, tous deux reposés, ont été autorisés à décoller de l'aéroport international Sardar Vallabhbhai Patel. Le ciel était nuageux et des orages étaient attendus en fin d'après-midi. Rien n'indiquait un problème.

Mais environ trois secondes après le décollage, les pilotes ont subi une perte de poussée immédiate. L'avion s'est écrasé 29 à 35 secondes plus tard contre un bâtiment servant d'hébergement aux médecins d'un campus médical voisin, à moins d'un kilomètre de la piste, tuant 19 personnes au sol et 241 à bord. Seul un passager a survécu, Vishwash Kumar Ramesh, originaire de Leicester, qui s'est éloigné en titubant, l'air hébété et choqué.

Immédiatement après l'accident, les deux pilotes, et en particulier le capitaine Sabharwal, ont été traités comme des héros, dont les réflexes et les actions instinctives dans le cockpit leur ont permis d'éviter de quelques mètres un immeuble de trois étages contenant 18 familles pour tenter de détourner le jet vers une parcelle de prairie, avant de s'écraser sur le logement des médecins.

« Grâce au pilote, le capitaine Sabharwal, nous avons survécu », a déclaré un habitant du quartier. « C'est un héros. C'est grâce à lui que nous sommes en vie. Il apercevait l'espace vert à côté de nous et c'est là qu'il s'est rendu. »

L'épave d'un avion encastrée dans un bâtiment.
Les pilotes ont été initialement félicités pour avoir limité le nombre de victimes au sol.
SAM PANTHAKY/AFP VIA GETTY IMAGES

Mais un nouveau rapport publié par le Bureau indien d'enquête sur les accidents d'avion (AAIB) soulève des questions sur les actions des pilotes cet après-midi-là, car une enquête préliminaire a révélé une confusion dans le cockpit entre les deux peu avant le crash, tout en ne trouvant jusqu'à présent aucun défaut dans l'avion lui-même.

Quelques secondes après le décollage et quelques instants avant que l'avion ne s'écrase, l'alimentation en carburant des deux moteurs a été coupée, ont indiqué les enquêteurs samedi. L'information provient d'une analyse des enregistreurs vocaux et de données du Boeing.

Le rapport indique qu'on entend l'un des pilotes demander : « Pourquoi l'avez-vous coupé ? », ce à quoi l'autre répond : « Je ne l'ai pas fait. » Les interrupteurs de carburant, situés sous les manettes de poussée de l'avion, sont équipés de mécanismes de verrouillage qui doivent être levés avant de tourner, afin d'éviter tout choc accidentel. Des supports de protection entourent également les interrupteurs pour éviter tout mouvement accidentel.

Les conclusions du rapport initial ne précisent pas quel pilote a posé la question ni qui y a répondu. Un rapport plus détaillé est attendu dans 12 mois.

Mais selon les données de l'enregistreur de vol, les deux interrupteurs de contrôle du carburant de l'avion se sont déplacés vers la position de coupure peu après le décollage.

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« L'avion a atteint la vitesse maximale enregistrée de 180 nœuds et immédiatement après, les interrupteurs de coupure de carburant des moteurs 1 et 2 sont passés de la position RUN à la position CUTOFF l'un après l'autre », indique le rapport.

Les interrupteurs ne servent généralement qu'à couper les moteurs après l'atterrissage ou en cas d'incendie moteur en vol. Selon les experts aéronautiques, ils ne devraient jamais être coupés au décollage. C'est ce qui a provoqué la perte de poussée des deux moteurs, selon le rapport de l'AAIB. Les pilotes ont alors réintroduit l'alimentation en carburant pour redémarrer les moteurs, mais il était trop tard.

La dernière communication avec l'avion provenait d'un des pilotes, probablement Sabharwal, qui a transmis un message paniqué disant : « Poussée non atteinte… chute… Mayday ! Mayday ! Mayday ! » Quelques secondes plus tard, tous les passagers de l'avion, à l'exception de Ramesh, qui se trouvait assis près de la sortie de secours , étaient morts.

Le rapport de l'AAIB met en lumière les recommandations de 2018 de la Federal Aviation Administration (FAA) avertissant les exploitants du risque de désactivation du mécanisme de verrouillage du commutateur de commande de carburant. Bien que non obligatoire, l'inspection recommandée par la FAA n'a pas été effectuée par Air India, car elle n'était considérée que comme un simple conseil.

Un cabinet d'avocats britannique représentant les familles des passagers a annoncé son intention d'engager une action en justice aux États-Unis pour obtenir des informations sur le système de contrôle du carburant du Boeing 787. James Healy-Pratt, associé du cabinet Keystone Law, a déclaré : « Nos familles intenteront prochainement une action en justice contre Boeing aux États-Unis afin d'obtenir des réponses sur la conception, la fabrication, l'installation et le maintien en service des interrupteurs de contrôle du carburant. »

Quelles ont pu être les causes du crash de l'avion d'Air India ? Les théories explorées

Le rapport de l'AAIB n'a révélé aucune conclusion défavorable concernant Sabharwal ou Kunder, mais le syndicat des pilotes indiens a déclaré samedi qu'il estimait que l'enquête « allait dans une direction présumant la culpabilité des pilotes, et nous nous opposons fermement à cette ligne de pensée ».

Le capitaine Sam Thomas, président de l'Association des pilotes de ligne de l'Inde, a déclaré que le syndicat était « surpris du secret entourant ces enquêtes ».

Les proches des victimes exigent des réponses . « Si ces interrupteurs ne peuvent pas être facilement désactivés, et si aucun problème logiciel n'en est la cause, alors c'est délibéré, n'est-ce pas ? C'est un sabotage ou un suicide », a déclaré Bhaval Shah, un ami de la famille de Kinal Mistry, 24 ans, décédé dans l'accident.

Le ministre indien de l'aviation civile, Kinjarapu Ram Mohan Naidu, a déclaré que les conclusions du rapport étaient préliminaires et qu'il ne fallait pas « tirer de conclusions hâtives à ce sujet ».

Des images vidéo des instants précédant le crash auraient pu aider à comprendre ce qui s'est passé, mais comme la plupart des avions de ligne modernes, le Boeing 787 n'était pas équipé d'une caméra de cockpit. De nombreux syndicats de pilotes se sont opposés à l'installation de caméras dans le cockpit, par souci de confidentialité et par risque potentiel de pression psychologique accrue en vol.

Faute d'informations plus précises, l'attention s'est reportée sur la vie des deux hommes dans le cockpit.

Sumeet Sabharwal

Sabharwal a débuté sa carrière dans l'aviation au début des années 1990. Il a rejoint Air India en 1994 après une formation de pilote à Mumbai et une première expérience au sein de compagnies aériennes régionales. Au fil des ans, il s'est forgé une réputation de discipline, de précision et de compétences techniques, cumulant du temps de vol sur plusieurs appareils, dont des Boeing 777 et 787, ainsi que des Airbus A310.

Ses compétences lui ont valu d'être promu « capitaine de formation en ligne », un rôle réservé aux pilotes expérimentés chargés de former et d'encadrer les copilotes lors des vols réels. L'un de ses anciens stagiaires, Manmath Routray, le décrit comme un « professionnel chevronné », reconnu pour ses compétences en matière de décollage et d'atterrissage. Son dossier de sécurité était irréprochable et il était réputé pour son calme et sa maîtrise de soi sous la pression.


Les personnes en deuil se sont rassemblées près d'une bannière de condoléances pour un pilote décédé.
Des voisins et d'anciens collègues ont rendu hommage à Sabharwal
HEMANSHI KAMANI/REUTERS

Il ne s'est jamais marié, mais était proche de ses parents. Il vivait à New Delhi, mais en 2022, à la mort de sa mère, Sabharwal a déménagé à Mumbai. « C'était un fils aimant », a déclaré Sanjay Singh, un voisin, aux médias locaux. « Il se souciait beaucoup de sa famille. Dès qu'il était là, il ne manquait pas une seule promenade avec son père. »

« On avait l'habitude de se rencontrer et de se saluer en société. D'ailleurs, la veille de l'accident, j'ai croisé Sumeet dans le complexe. Il portait un simple t-shirt et un short, c'était un homme ordinaire et souriant. »

Un autre voisin a déclaré : « C'était un gentleman dévoué. Rien que d'y penser, j'en ai les larmes aux yeux. Il habitait l'immeuble voisin du mien. Une âme disparue trop tôt. »

Usha Talwadekar, 62 ans, ancienne membre d'équipage d'Air India ayant voyagé avec Sabharwal, s'est rendue au domicile familial quelques jours après l'accident pour lui rendre hommage. « Nous avions voyagé ensemble à plusieurs reprises », a-t-elle déclaré aux journalistes. « C'est très triste d'entendre et de voir que des gens le blâment sans connaître son talent. C'était quelqu'un de très poli et sans égoïsme. Je peux dire que c'était un véritable gentleman. »

Le capitaine Kapil Kohal, qui travaille également pour Air India, a déclaré aux médias indiens : « Sumeet était mon aîné à l'école de pilotage. Nous partagions la même chambre et, après la formation, j'ai rejoint Air India comme son cadet. »

Depuis l'école de pilotage, on l'appelait « Sad Sack », car son regard était toujours triste. Mais il était charismatique. Il ne s'était jamais mêlé des affaires de qui que ce soit, mais si quelqu'un avait besoin d'aide, il était là.

« Quoi qu'en disent les experts et les médias, je sais qu'il est resté à bord jusqu'au bout et qu'il a suivi toutes les consignes en temps de crise. C'était un pilote hors pair. »

Le mois dernier, une cérémonie hindoue a rendu hommage à Sabharwal. Des porteurs ont porté son cercueil jusqu'à un crématorium de Mumbai et plus d'un millier de personnes en deuil se sont massées dans les rues de sa résidence fermée, observant Pushkaraj, son père, prier à côté du cercueil de son fils.

Quelques jours seulement avant le crash, des amis et des voisins affirment que Sabharwal avait annoncé à son père qu'il quittait Air India pour s'occuper de lui à temps plein. Il aurait téléphoné à son père depuis l'aéroport juste avant le vol, lui disant : « Je t'appellerai dès mon arrivée à Londres. » L'appel n'est jamais arrivé.

Clive Kunder

Clive Kunder a grandi à Mumbai, dans la banlieue de Kalina, avec son père Clifford, sa mère Rekha et sa sœur Camille. Sa famille fréquentait une église chrétienne et il était un excellent élève à l'école, passionné de football.

Dès son plus jeune âge, ses amis disaient qu'il était passionné d'aviation, décorant sa chambre de posters d'avions et construisant des maquettes en papier de Boeing et d'Airbus. « Clive était un élève brillant, très discipliné, ponctuel et intelligent », a déclaré l'un de ses anciens professeurs. « Son travail était très soigné, propre et systématique. C'était un jeune garçon plein de vie qui rêvait de faire carrière [de pilote] et de vivre une vie heureuse. »

Un camarade de classe a déclaré : « On jouait au football ensemble. Il a toujours été parfait dans tout ce qu'il faisait, que ce soit au football ou au pilotage d'avion. Son héritage restera gravé dans nos cœurs. »

Des parents en deuil lors d'une réunion de prière pour l'équipage d'Air India.
Les parents de Clive Kunder, Rekha et Clifford, lors d'une réunion de prière pour les victimes de l'accident
DIVYAKANT SOLANKI/EPA
Des personnes en deuil se sont rassemblées près du cercueil d'un copilote décédé.
HEMANSHI KAMANI/REUTERS

Après avoir terminé ses études à Mumbai, il a suivi un cours d'ingénierie de maintenance d'aéronefs au Bombay Flying Club de l'aérodrome de Juhu à Mumbai, le plus ancien aéroclub d'Inde, créé en 1928. Il a commencé à piloter le Cessna 172 et le Piper PA-34 Seneca, obtenant apparemment sa licence de pilote commercial en Floride avant de retourner en Inde pour commencer sa carrière dans l'aviation.

Il a rejoint Air India en 2017 et totalisait plus de 1 000 heures de vol, occupant des fonctions de copilote sur Airbus A320 et Boeing 787. Il est resté un chrétien fervent et ses amis le qualifiaient de « profondément spirituel ».

Le mois dernier, sa famille a apporté son cercueil à son domicile, sur Sunteck City Avenue à Goregaon West, avant de le conduire au cimetière chrétien de Sewri. « Il y a dix-sept ans, nous avons rencontré Clive pour la première fois. Depuis, nous l'avons vu grandir, évoluer et s'épanouir », a déclaré Steffi Miranda, une amie proche de l'école.

Des dirigeants d'Air India ont assisté aux funérailles des deux pilotes. La compagnie a salué leur excellence en tant qu'aviateurs.

Meurtre-suicide ?

On pense que l'équipage et d'autres membres du personnel ont délibérément provoqué des crashs d'avions de ligne, tuant des passagers, au moins cinq fois au cours des 25 dernières années.

Dans le cas le plus célèbre de ces « meurtres-suicides », en mars 2015, Andreas Lubitz, un copilote de 27 ans, a délibérément fait s'écraser un Airbus A320 de Germanwings dans les Alpes françaises lors d'un vol Barcelone-Düsseldorf, tuant 144 passagers et six membres d'équipage. Lubitz, qui souffrait de dépression, a enfermé le commandant de bord Patrick Sondenheimer à l'extérieur du poste de pilotage et a fait piquer l'avion.

Un acte humain délibéré est l'une des théories expliquant la perte du vol MH370 de Malaysia Airlines , disparu en 2014 avec 239 personnes à bord alors qu'il voyageait de Kuala Lumpur à Pékin.

En octobre 2023, Joseph Emerson, un pilote de 44 ans en congé, a tenté d'éteindre les moteurs d'un vol d'Alaska Airlines reliant Everett (Washington) à San Francisco. Il voyageait sur le strapontin de rechange du cockpit et a commencé à actionner les poignées de l'extincteur moteur.

Les pilotes de l'Embraer l'ont maîtrisé avant que le système n'arrête les moteurs. Il a déclaré souffrir d'un état mental altéré et a purgé plus d'un an de prison pour mise en danger d'un aéronef.


https://en.wikipedia.org/wiki/Sabharwal

Sabharwal


From Wikipedia, the free encyclopedia

Sabharwal is a surname originating among Hindu and Sikh Khatris of the Punjab region in India.[1]

Notable people who bear the name, but are not necessarily associated with the Khatri clan, include:

Administrators

Athletes

Creatives

Film actors

Jurists

Scientists and doctors

Pilots and Aviators

  • Captain Sumeet Sabharwal, a pilot of Air India, who was the pilot in charge of monitoring of Air India Flight 171 when it crashed on 12 June 2025.

References


Patrick Hanks; Richard Coates; Peter McClure, eds. (2016). The Oxford Dictionary of Family Names in Britain and Ireland. Oxford University Press. p. 2313. ISBN 978-0-19-252747-9.