Halte à la censure et la désinformation satanistes !
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lundi 4 novembre 2019
Aux Etats-Unis, les relations intimes entre collègues ne sont plus tolérées
On y viendra aussi en France.
Interdire toute relation « affective » entre collègues de travail,
dans les entreprises, les administrations et autres institutions très
sensibles est le seul moyen de diminuer de manière drastique tous les
problèmes qui en résultent, tels les harcèlements et agressions
démentiels qui sont organisés en France par des pervers ou mafieux
notoires comme la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses
divers complices à l’encontre de femmes qui comme moi ont pour seuls
torts d’être trop compétentes et/ou parfaitement intègres (ce qui bien
souvent revient au même), en passant par toutes les « coucheries » ou
« promotions canapé » des femmes qui leur sont acquises (par exemple
celles de la juge d’instruction Muriel Corre qui de ce fait n’a jamais
été indépendante…), lesquelles favorisent, voire suscitent à l’évidence
et de multiples manières, soit par actions directes, comme la totalité
des femmes participant aux harcèlements dont je suis personnellement
victime depuis des lustres, soit par l’exemple qu’elles donnent à tous,
les comportements inadmissibles de nombreux messieurs à l’égard des
femmes dans le cadre professionnel comme partout ailleurs.
Pour ce qui me concerne, j’en rappelle les assertions de base : les
femmes n’ont pas l’intelligence pour être ingénieurs; quand elles le
sont néanmoins, nécessairement elles ont « couché » avec tous leurs
profs, employeurs et supérieurs hiérarchiques pour obtenir bonnes notes,
bons dossiers de candidature, diplômes, emplois ou postes d’ingénieurs,
puis bonnes réputations professionnelles ou avis très favorables quant à
leurs compétences professionnelles effectives; ce sont aussi des
débiles mentales, car dans de telles conditions, elles s’imaginent
vraiment qu’elles sont compétentes, alors que tout le monde sait que les
femmes n’ont pas l’intelligence pour être ingénieurs et qu’elles ne
doivent tous leurs excellents résultats apparents qu’aux hommes avec qui
elles « couchent » afin de les obtenir; enfin, quand elles refusent de
se prostituer pour de bon, alors qu’on leur propose de gagner de la
sorte bien plus d’argent qu’avec leurs bêtes emplois d’ingénieurs (faux
de surcroît), sans plus se fatiguer à travailler (ou faire semblant de
travailler), et en y prenant par-dessus le marché beaucoup de plaisir,
alors cela prouve bien qu’elles sont folles à lier…
Il n’existe donc réellement de femmes ingénieurs absolument nulle part, ces « sales putes qui volent la place des hommes dans le travail »
sont toutes débiles mentales et folles à lier et méritent bien comme le
dit très régulièrement le Dieu vénéré de tous les magistrats brestois
depuis 2010, à savoir le malade mental extrêmement dangereux Pascal
Edouard Cyprien Luraghi, de subir « les pires outrages ».
SCANDALE AU MCDO – Le géant américain du fast-food a contraint son
directeur général Steve Easterbrook à quitter l’entreprise en raison
d’une liaison avec un membre du personnel. McDonald’s n’a rien divulgué
sur le salarié en question, pas même s’il s’agissait d’un homme ou d’une
femme.
04 nov. 07:49 – La rédaction de LCI
Le clown Ronald McDonald voit rouge. La célèbre enseigne américaine a
évincé son directeur général Steve Easterbrook considérant qu’il avait
commis une « erreur de jugement » en engageant une liaison avec un
membre du personnel. Une relation certes « consentie » mais le conseil
d’administration reproche à l’homme de 52 ans d’avoir « violé les règles
de la société » et d’avoir « manqué de discernement ». Le groupe
précise dans un communiqué que ce départ n’a « pas de rapport avec la
performance opérationnelle ou financière » de McDonald’s.
Dans une lettre adressée aux salariés, Steve Easterbrook a reconnu
lui-même avoir commis « une erreur ». « Etant donné les valeurs de
l’entreprise, j’estime comme le conseil d’administration qu’il est temps
pour moi de passer à autre chose », y écrit-il. A noter que McDonald’s
n’a rien divulgué sur l’identité du salarié en question, pas même s’il
s’agissait d’un homme ou d’une femme.
Steve Easterbrook est ainsi remplacé, avec effet immédiat, par Chris Kempczinski,
qui gérait jusqu’à présent les activités de McDonald’s aux Etats-Unis.
Il était arrivé en 2015 au poste de directeur général de l’entreprise,
afin de moderniser les restaurants et d’adapter l’offre de McDonald’s
aux nouvelles habitudes des consommateurs. Sous sa houlette, l’action de
McDonald’s avait doublé à Wall Street et le bénéfice net de
l’entreprise avait augmenté chaque année mais il n’avait toutefois pas
réussi à enrayer la diminution progressif des ventes de l’entreprise, à
l’instar de toutes les autres grandes chaînes de restauration rapide,
confrontées aux changements d’habitude des consommateurs, à la recherche
d’une alimentation plus saine – les burgers végétariens, la dernière
mode du secteur.
Ce n’est pas la première fois que des PDG quittent leur entreprise
pour cause de « liaisons » sur le lieu de travail. En 2018, ce sont les
patrons du fabricant de micro-processeurs Intel, Brian Krzanich, et du
fabricant de vêtements de yoga branchés Lululemon, Laurent Potdevin, qui
avaient quitté leur entreprise respective pour des liaisons avec des
salariées. En 2016, Darren Huston, le PDG du site du commerce en ligne
Priceline, avait dû démissionner pour des raisons similaires. Idem en
2012 pour Brian Dunn, le PDG du groupe de grande distribution BestBuy.
Amour au travail : quels sont les risques en France ?
FOCUS – Le patron d’Intel a dû démissionner après une relation
consentie avec un ou une de ses employés. En France, près d’un tiers des
couples se forment au bureau. Mais ces idylles sont souvent synonymes
de complications.
Publié le 14 février 2017 à 06:00, mis à jour le 25 juin 2018 à 11:13
La discrétion est de mise pour les couples qui travaillent
ensemble. Jeanette DietlLudwigstr. 38930/Jeanette Dietl –
stock.adobe.com
Coquillages et crustacés moins romantiques qu’imprimantes et
agrafeuses? Difficile à imaginer. Et pourtant les passions amoureuses
commencent plus souvent au bureau que sur des plages abandonnées.
Plusieurs études affirment que près d’un couple sur trois se forme au
travail.
Et pas de raison légale de s’en priver, l’une des lois Auroux
(1982) établit que «la vie de couple ne relève pas de l’entreprise». À
condition toutefois de respecter quelques règles élémentaires de savoir
vivre. Voire de droit: avoir des relations sexuelles sur son lieu de
travail, même pour un couple marié, peut donner lieu à des sanctions.
«Par définition le lieu de travail est fait pour travailler. Si on y
fait autre chose il peut y avoir des sanctions disciplinaires», explique
Maître Eric Rocheblave, avocat spécialiste en droit du travail.
Dès lors, quel est le secret d’une relation amoureuse dans l’open
space? La discrétion! Selon une enquête OpinionWay pour «J’aime ma
boîte, Le Parisien Économie, RTL», parmi les 44% des interrogés qui se
disent favorables à une love story avec un collègue,
18 % feraient «le maximum pour que cela reste secret.» Si elle est
connue de tous, la relation amoureuse entre deux membres d’une même
équipe peut semer le désordre. Les rapports aux autres risquent de
changer et dans le cas d’une différence hiérarchique entre les deux
partenaires, les suspicions de promotion canapé peuvent avoir de
fâcheuses répercussions sur l’ambiance de travail. «Le risque est
également de devenir l’œil de Moscou’ et d’être marginalisé par ses
collègues», explique Jean-Noël Chaintreuil, spécialiste des ressources
humaines. Là encore «si la relation porte atteinte à l’entreprise,
l’employeur peut prendre des mesures», prévient Maître Eric Rocheblave.
La place de la hiérarchie
En dehors des deux tourtereaux, les premiers impliqués sont les
managers et les ressources humaines. Comment réguler la vie
professionnelle sans interférer dans la vie privée? Un dilemme. Dans Le Parisien,
Loïck Roche, docteur en psychologie, conseille de n’intervenir que dans
trois cas: «s’il y a atteinte aux bonnes mœurs, si ça peut nuire à la
qualité du travail ou si des ragots remontent».
Certaines entreprises anglo-saxonnes, plus à cheval sur l’étiquette
que leurs homologues françaises, ont rédigé des clauses de «bonne
conduite» dans les contrats de travail. Dès le contrat signé, le salarié
s’engage «à ne pas avoir de relation affective, c’est-à-dire physique,
écrite ou orale», précise à nouveau Loïck Roche dans le Parisien. Maître
Rocheblave assure que ce type de clause ne serait pas recevable en
droit français. Cependant, «il existe des règles implicites dans
certaines entreprises, les grands groupes sont souvent très opposés aux
amours de bureau», dévoile Jean-Noël Chaintreuil. Pour lui le salarié se
met dans une situation peu confortable: «À partir du moment où il y a
une brèche de confiance la vie du collaborateur devient compliqué».
Psychologies rappelle qu’«au travail, 90% des relations sont éphémères, des passades pour la plupart, ou des aventures sans lendemain».
États-Unis. Une élue démocrate poussée à la démission suite à la publication de photos intimes
L’élue démocrate Katie Hill se dit victime d’une « campagne de
calomnies » orchestrée par son mari. Cette parlementaire américaine a
été contrainte à la démission suite à la diffusion de clichés d’elle
dénudée.
L’élue démocrate Katie Hill s’est exprimée dans une vidéo publiée sur Facebook | REUTERS
Ouest-France avec AFP Publié le 29/10/2019 à 00h38
Katie Hill a promis de se battre pour que son exemple ne décourage
pas d’autres jeunes femmes d’entrer en politique. Cette parlementaire américaine a été contrainte à la démission après des révélations sur sa vie sexuelle et la publication de photos intimes.
Dans une vidéo mise en ligne sur sa page Facebook, l’élue démocrate Katie Hill se dit victime d’une « campagne de calomnies » orchestrée par son mari dans le cadre d’une procédure de divorce acrimonieuse, en lien avec « des médias de droite » et ses « opposants républicains ».
Mme Hill a saisi la police du Capitole pour qu’elle enquête sur la
diffusion de clichés d’elle dénudée, les lois en vigueur à Washington
interdisant de publier des photos érotiques sans l’accord de
l’intéressé. « Je ne veux pas que mon expérience soit utilisée pour effrayer des jeunes femmes désireuses d’être candidates à des élections », explique-t-elle.
Âgée de 32 ans, bisexuelle assumée, Mme Hill a été élue en novembre
2018 dans une circonscription de Californie jusque-là aux mains des
républicains et était perçue comme l’une des figures marquantes de la
jeune garde démocrate.
« Erreurs de jugement »
Il y a une dizaine de jours, des médias conservateurs ont publié des
articles lui imputant une relation, entre 2017 et 2018, avec une jeune
femme membre de son équipe de campagne dans le cadre d’un ménage à trois
avec son mari, et ont publié des photos d’elle nue qui circulent depuis
sur internet.
Les mêmes médias lui ont également attribué une liaison avec un assistant parlementaire depuis son arrivée à Washington.
La commission d’éthique de la Chambre des représentants avait annoncé
mercredi enquêter sur ce point, de nouvelles règles adoptées dans le
sillage du mouvement #MeToo interdisant aux élus d’avoir des aventures
avec des subordonnés. Mme Hill a admis la première liaison, mais n’a pas
reconnu la seconde.
Dimanche soir, elle a toutefois annoncé son intention de démissionner. « Je ne veux pas servir de diversion dans la crise constitutionnelle actuelle »,
explique-t-elle dans sa vidéo, en référence à l’enquête en vue d’une
destitution de Donald Trump ouverte par les parlementaires démocrates.
Sa décision a suscité des commentaires contrastés.
La chef des démocrates au Congrès Nancy Pelosi a estimé que les « erreurs de jugement » de Mme Hill rendaient « impossible la poursuite de son activité » à la Chambre. « Nous devons assurer un climat d’intégrité et de dignité au Congrès », a-t-elle ajouté.
Mais une éditorialiste du Los Angeles Times, Robin Abcarian, a jugé qu’elle n’aurait pas dû jeter l’éponge. « Les hommes politiques font des choses bien pires et restent à bord », a-t-elle écrit.
Quatre parlementaires ont bien démissionné au cours des deux
dernières années mais ils étaient accusés d’attouchements ou de
harcèlement sexuel, a souligné Mme Abcarian en ajoutant que Mme Hill
était, elle, a priori engagée dans des relations « consensuelles ».
« Katie ne fait pas l’objet d’une enquête et n’est pas
dénigrée parce qu’elle a fait du mal à quelqu’un, mais juste parce
qu’elle est différente », avait tweeté dès jeudi l’élu républicain Matt Gaetz.
Victime de revenge porn, l’élue Katie Hill contrainte de démissionner
Katie Hill a démissionné à cause d’une relation sexuelle avec une
subordonnée, alors que des hommes accusés de faits bien plus
problématiques restent en poste.
Katie Hill, 32 ans, a été élue en novembre 2018 dans une circonscription de Californie, avant d’être victime de revenge porn.
SEXISME – Katie Hill a-t-elle eu raison de démissionner? En plein cœur d’une affaire de revenge porn -la publication de photos intimes la concernant- et de révélations sur sa vie sexuelle, cette élue américaine s’est sentie contrainte de mettre un terme à sa fonction parlementaire dimanche 27 octobre.
“C’est le cœur brisé que j’annonce aujourd’hui ma démission du
Congrès. C’est la chose la plus difficile que j’aie jamais eu à faire,
mais je crois que c’est la meilleure chose pour mes électeurs, pour ma
communauté et pour notre pays”, a-t-elle écrit sur Twitter.
“Campagne de calomnies”
Quelques jours plus tôt, mercredi 23 octobre, la commission d’éthique
de la Chambre des représentants annonçait une enquête suite à la
diffusion d’une information selon laquelle cette élue de 32 ans
“pourrait avoir eu une relation sexuelle avec une personne de son équipe
parlementaire”.
En plein divorce avec son mari, Katie Hill, ouvertement bisexuelle,
avait alors reconnu les faits, affirmant toutefois que la relation en
question, avec une jeune femme membre de son équipe de campagne, avait
pris fin avant sa prise de fonction au Congrès.
En plus de ces révélations, la démocrate, élue, s’est aussi retrouvée
victime d’une “campagne de calomnies” qui serait orchestrée par son
mari. Depuis, des photos d’elle, nue, circulent sur internet.
Depuis l’affaire Weinstein et le mouvement #MeToo qui en a découlé, de nouvelles réglementations ont été instaurées aux États-Unis. L’interdiction, pour les élus, d’avoir des relations sexuelles avec leurs subordonnés,
en fait partie. Que la Chambre des représentants lance une enquête à ce
sujet est donc normal. Pour autant, cette affaire aurait-elle dû la
conduire à démissionner?
Depuis sa décision, Katie Hill reçoit de nombreux soutiens et sa
démission interroge quant au sexisme latent en politique et au double
standard régnant entre les hommes et les femmes.
Sexisme et double standard
Ce qui interroge voire indigne dans cette affaire -outre le revenge
porn en lui-même-, c’est qu’une femme ait dû démissionner de ses
fonctions pour une relation consentie quand d’autres élus masculins,
parfois accusés d’agressions ou d’attouchements, restent au pouvoir.
L’éditorialiste du Los Angeles Times,
Robin Abcarian, a par exemple écrit que “les hommes politiques font des
choses bien pires et restent à bord”. “Aurait-elle dû nous attendre à
mieux? Oui (…) Mais elle n’a rien fait -en tout cas, avec ce que nous
savons à l’heure actuelle- qui aurait dû la pousser à démissionner”,
écrit-elle.
L’éditorialiste rappelle non sans ironie que le premier élu à se
plier aux nouvelles réglementations post-Weinstein est une femme, qui
plus est bisexuelle. Avant elle, au moins quatre membres du Congrès ont
démissionné, pour des faits relevants d’agressions ou de harcèlement
sexuels. “J’ose dire qu’il y a une différence entre ceux-ci et le
comportement consensuel dont Hill est accusée”, poursuit-elle. “Hill est
également punie, ou se punit, pour un geste incroyablement stupide:
poser nue, seule, avec une femme qui semble être son amante, alors
qu’elle se présentait au Congrès”, estime-t-elle.
Brandon Tensley, journaliste pour CNN, rejoint cet avis,
rappelant que “le pardon, quand il s’agit de désordre politique, est un
privilège qui n’est pas réparti de manière égale. Plus précisément, les
femmes et les démocrates en sont exclus de manière disproportionnée”,
estime-t-il, avant de faire référence à plusieurs cas semblables à celui
de Hill mais de la part d’hommes. Et de nommer Donald Trump, accusé à plusieurs reprises d’agressions et de harcèlement sexuels, ce qui ne l’empêche pas d’être actuellement président des États-Unis.
“Donald Trump a harcelé ou agressé sexuellement des dizaines de
femmes. Katie Hill avait, à notre connaissance, des relations
consensuelles et un ex avec une affection pour le revenge porn. Ne
laissez personne vous dire que les hommes et les femmes sont soumis aux
mêmes normes”, a tweeté lundi 28 octobre Jenna Lowenstein, directrice de
campagne du sénateur Cory Booker.
“Trump est accusé de viol et devient plus populaire. Hill est accusée
d’une relation consensuelle déplacée avec une adulte et quitte le
gouvernement dès que possible”, écrit de son côté un éditorialiste de Newsweek.
“Ce n’est pas fini”
Pour démontrer l’absurdité de la situation et ce double standard
criant, l’autrice féministe et avocate américaine Jill Filipovic a
proposé lundi de faire une “liste de tous les législateurs ayant eu des
relations avec des subordonnés, harcelé sexuellement des gens ou qui ont
commis d’autres actes d’inconduite sexuelle, mais sont toujours en
poste”, avant de détailler tous ces noms et faits dans un thread sur
Twitter.
De son côté, Katie Hill s’est dit “blessée” et “en colère”, lundi,
dans une vidéo diffusée sur Facebook. “Le chemin que j’imaginais si
clairement pour moi n’existe plus. Je n’ai jamais prétendu être
parfaite. Mais je n’ai jamais pensé que mes imperfections seraient
utilisées comme des armes pour me détruire ainsi que la communauté que
j’aime depuis toujours”, a-t-elle regretté.
Le jour même, elle a tout de même laissé entendre qu’elle allait
contre-attaquer et tenu à ne pas décourager les jeunes femmes souhaitant
faire carrière en politique: ”à toutes les filles et les femmes – à
tous ceux qui croient en ce combat – ce n’est pas fini”.
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