Halte à la censure et la désinformation satanistes !
compteur
jeudi 5 septembre 2019
Violences dans un lycée brestois : les précisions du Télégramme
Au moins l’un des jeunes impliqués dans ce qui apparaît
pour l’heure comme un règlement de compte entre eux est Albanais. A
priori, il s’agit donc bien d’un des protégés d’Olivier Cuzon et des
autres complices extrême-gauchistes de Brest de la criminelle Josette
Brenterch. Or, manifestement, il attendait ses agresseurs au lycée…
Lire ou relire mon précédent article sur ce sujet :
Ce mercredi, une bande de jeunes armés et cagoulés a
fait irruption dans la cour du lycée Dupuy-de-Lôme, à Brest. Un coup de
feu a été tiré. Une jeune fille a été blessée avec une batte de
baseball. Deux des suspects ont été identifiés.
Il était environ 15 h 30, ce mercredi, selon les témoignages.
« C’était l’heure de la récré ». Une dizaine de jeunes, cagoulés et
armés de battes de baseball, d’armes blanches et d’au moins une arme de
poing, sont entrés dans la cour du lycée Dupuy-de-Lôme, par l’arrière de
l’établissement. « Un accès qui normalement est fermé », déplore un
professeur. Les jeunes voulaient visiblement en découdre avec un élève
de terminale d’origine albanaise. Élève qui, visiblement, se sentait
menacé et les attendait, « puisqu’il avait deux marteaux dans son sac »,
souligne un autre professeur. L’élève aurait déjà eu maille à partir,
dans la matinée, avec un membre de la bande qui lui aurait promis « de
revenir ». Heureusement, le mercredi, il y a peu d’élèves, les faits
auraient pu être beaucoup plus graves.
Une douille retrouvée
Une bagarre a alors éclaté. Des enseignants, un surveillant et un
conseiller d’éducation auraient tenté de s’interposer. Parmi les intrus,
ils ont identifié deux anciens élèves de l’établissement, « qui,
aujourd’hui, ne sont plus scolarisés », dont un très défavorablement
connu de la police, confirme-t-on au commissariat. Un coup de feu a été
tiré. Personne n’a été blessé, mais une douille a bien été retrouvée.
Elle est partie à l’expertise. Il s’agit d’un calibre 7.65, « ce qui
laisse à penser que l’arme utilisée était un semi-automatique de petit
calibre » souligne une source proche de l’enquête.
Dans la cohue générale, le jeune Albanais âgé de 18 ans a été
légèrement blessé. Mais il a refusé de porter plainte. Une jeune fille
« qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment » a également
reçu un coup de batte de baseball. Elle a été prise en charge à
l’infirmerie du lycée pour y recevoir des premiers soins avant d’être
admise aux urgences. Elle a déposé plainte, tout comme le surveillant et
le conseiller d’éducation qui ont été chahutés. Les policiers ont été
avisés, mais « plus d’une heure après les faits » déplore cette même
source proche de l’enquête. Appelé ce jeudi midi, le proviseur n’était
« pas joignable », nous a fait savoir son secrétariat. Le rectorat ne
s’est pas montré plus loquace. Tout juste précise-t-il, dans un
communiqué, qu’« un rappel a été fait auprès des élèves sur les règles
de sécurité de l’établissement ». Quant au maire, François Cuillandre,
il n’a tout simplement pas été mis au courant
par la préfecture et les forces de l’ordre, visiblement très occupés
par la sécurisation du G7 parlementaire qui s’ouvre ce jeudi soir à
Brest. Après avoir appris la nouvelle, il a dénoncé « ces actes de
violences intolérables » et adressé « une pensée particulière aux
lycéens concernés ».
Selon nos informations, le jeune Albanais a été exclu du lycée et
devrait passer ce vendredi en conseil de discipline, pour ne pas avoir
signalé à la direction qu’il était menacé. L’enquête, confiée à la
Sûreté départementale, se poursuit. « Plusieurs témoins ont été
auditionnés » précise le parquet.
Peu d’élèves étaient présents mercredi après-midi. Ce jeudi,
beaucoup ignoraient ce qui s’était passé. (Le Télégramme/Sarah Morio)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire