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jeudi 5 septembre 2019
Brest : encore un coup de feu au lycée Dupuy de Lôme mercredi 4 septembre 2019
C’est étrange, encore une fois l’incident aura permis à
la vedette extrême-gauchiste qui exerce dans l’établissement de faire
connaître son mécontentement et ses revendications à l’échelle nationale
au moment le plus opportun…
Il doit faire des incantations spéciales pour les provoquer.
Naan… je rigole, je sais très bien ce qui se passe, j’en avais déjà
parlé dans cet article du 18 mars 2017 à la suite d’un précédent coup de
feu dans le même lycée :
Au mois de décembre 2008, les complices de la mère maquerelle Josette
Brenterch du NPA de Brest se vantaient dans les colonnes de
commentaires du site Rue89 d’avoir bel et bien organisé les violences
spectaculaires s’étant alors produites dans le même lycée Dupuy de Lôme à
seule fin de faire la Une des journaux de tout l’Hexagone et de
profiter de cette médiatisation pour faire connaître toutes leurs
protestations et revendications de l’époque.
Celles d’aujourd’hui sont toujours les mêmes, à quelques variantes
près : Blanquer, G7, Macron, Petitcoucou, etc… et comme d’habitude, tous
les services publics gravement menacés, ou plus exactement, leurs
fonctionnaires les plus corrompus, dont cette pauvre Muriel Corre qui
n’en a toujours pas fini avec sa propre institution, la justice, et
devra peut-être un jour répondre d’un certain nombre de ses saloperies…
Brest. Un coup de feu tiré dans un lycée après l’intrusion d’une dizaine de jeunes : une blessée
Le lycée Dupuy-de-Lôme, à Brest, où un coup de feu a été tiré mercredi 4 septembre, dans l’après-midi. | OUEST-FRANCE Ouest-France Modifié le 05/09/2019 à 16h28 Publié le 05/09/2019 à 15h31
Une bande d’une dizaine de personnes a pénétré dans l’enceinte du
lycée Dupuy-de-Lôme, à Brest, à la recherche d’un élève. Il s’est
défendu en brandissant deux marteaux. Une élève a été blessée dans la
cohue.
Il était 15 h 30, mercredi 4 septembre, l’heure de la récré pour les élèves du lycée Dupuy-de-Lôme, à Brest. «
Une dizaine de jeunes ont pénétré dans l’enceinte de l’établissement,
par un terrain de sport situé à l’arrière du site, moins sécurisé que
les autres accès », raconte Olivier Cuzon, enseignant dans l’établissement et représentant de Sud.
Des anciens élèves reconnus
Armés d’une ou de plusieurs battes de baseball, ces personnes
cherchent un élève de Terminale, clairement identifié. Pour se défendre,
« celui-ci sort deux marteaux de son sac ». Ses agresseurs tirent un coup de feu, une douille étant retrouvée plus tard par les policiers sur le terrain de sport. « Les collègues ont cru qu’il s’agissait de pétard, comme cela arrive de temps en temps dans le lycée. »
Les battes de baseball sont brandies et une élève de l’établissement est touchée. « Elle a dû être conduite aux urgences de l’hôpital »,
explique Olivier Cuzon. Ce jeudi 5 septembre, l’élève blessée ne
présente pas de séquelles. Chez les agresseurs figureraient plusieurs
anciens élèves de l’établissement.
La direction de l’établissement ne souhaite pas communiquer sur l’affaire.
« L’école doit être un sanctuaire »
« L’école doit être un sanctuaire, un lieu où les élèves doivent se sentir en totale sécurité, explique Olivier Cuzon pour Sud Éducation, la CGT et la FSU. Or
mercredi, ils y ont subi une agression. Faute de pouvoir prévenir ces
agressions, il est de la responsabilité de l’Éducation nationale d’y
remédier et de les accompagner dans une démarche de guérison. Les
personnels déplorent aussi le manque de communication à l’interne de
l’établissement, ce qui laisse court aux rumeurs. »
« À l’heure d’une rentrée ou l’établissement vient de perdre
des heures d’enseignements, un poste de surveillant, des heures
d’infirmières et d’assistante sociale, la coupe est pleine, poursuivent les trois syndicats. Nous avons plus que jamais besoin de moyens humains pour assurer nos missions. »
Candidat à la mairie de Brest sous l’étiquette la République en Marche, Marc Coatanéa a lui aussi réagi :
« J’ai une pensée particulière pour la jeune fille blessée et ses
proches. J’apporte également tout mon soutien aux élèves, parents et à
l’ensemble des enseignants choqués par cet événement. La violence ne
peut, ne doit être tolérée nulle part et certainement pas dans un lieu
dédié à l’apprentissage qui accueille nos enfants. L’insécurité et la
violence ne doivent plus être traitées comme des sujets périphériques à
Brest. »
Environ 150 personnes se sont donné rendez-vous ce mercredi en fin
d’après-midi dans le centre-ville de Brest pour défendre les services
publics français, mais aussi européens. Le G7 des parlementaires doit se
tenir du 5 au 7 septembre à Brest.
Par Stéphane Grammont Publié le 04/09/2019 à 19:07 Mis à jour le 05/09/2019 à 11:21
Le rendez-vous a été donné devant l’hôpital Morvan, à l’appel d’associations altermondialistes, réunies sous la bannière de Bloquons le G7 à Brest.
Le cortège a démarré de l’hôpital pour ensuite passer devant
différents services publics comme la Caisse d’Assurance Familiale, les
impôts ou la sécurité sociale.
« Le gouvernement vise particulièrement les services publics, ils veulent les supprimer » a justifié Liz, membre du collectif, « nous
venons là pour dire qu’en tant qu’usagers du service public, nous
aimerions avoir un service adéquate, sachant qu’en plus nous payons des
impôts et des taxes pour cela. »
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