Halte à la censure et la désinformation satanistes !
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mardi 24 septembre 2019
9 avril 2019 : le maire de Brest François Cuillandre était placé en garde à vue
Cette autre affaire de « mutualisation » brestoise n’a
pas connu la moindre publicité depuis le 10 avril dernier, même pas dans
la presse locale.
Il est inutile de compter sur les magistrats brestois pour explorer
toutes les questions qu’elle suscite, ils sont eux-mêmes tous CORROMPUS.
Notamment : Pourquoi l’association concernée s’est-elle mise à
rémunérer Paul Masson comme elle l’a fait à compter de l’année 2014 au
moins ? Quelles furent les contreparties de cette rémunération pour
l’une et l’autre des deux personnes à ce jour mises en examen ?
François Cuillandre et deux de ses anciens adjoints ont été entendus
par la police judiciaire mardi 9 avril. Le maire de Brest est sorti
libre.
Fin de règne pour François Cuillandre ? Le maire socialiste de Brest a
été placé en garde à vue mardi 9 avril avec deux de ses anciens
adjoints, rapporte RTL.
Avec Alain Masson et Jean-Luc Polard, ils ont été entendus dans le
cadre d’une information judiciaire ouverte pour détournement de fonds
publics et devraient être présentés à un juge d’instruction en vue d’une
mise en examen pour « abus de confiance et complicité d’abus de confiance ». Comme le précise la radio, François Cuillandre est sorti libre à l’issue de sa garde à vue.
Président et trésorier de « Vivre Brest »
Alain Masson et Jean-Luc Polard avaient démissionné de leurs
fonctions après des révélations du Télégramme sur l’association «
Vivre Brest » dont ils étaient respectivement président et trésorier.
Créée en 1983, l’association revendiquait, selon les mots de François
Cuillandre à Ouest-France, une « solidarité entre élus et la mutualisation de leurs indemnités perçues dans le cadre de leurs fonctions ».
L’organisation versait une indemnité à chaque élu afin de compenser des
pertes de salaire liées aux mandats électifs. Mais, selon RTL, « Vivre
Brest » ne tenait pas d’Assemblée générale et ne rédigeait ni
compte-rendu ni bilan comptable.
D’après la justice, l’ancien adjoint Alain Masson a perçu une
indemnité de 3 470 euros par mois entre 2014 et 2018 sans lui-même
contribuer à cette « mutualisation ». Selon Le Télégramme,
cette somme n’aurait pas été déclarée au fisc et aurait été accordée
par Jean-Luc Polard sans que les autres membres de l’association soient
consultés. François Cuillandre a toujours nié avoir eu connaissance de
ces agissements. Dans un communiqué cité par RTL, le maire de Brest
précise que « cette affaire concerne une association de droit privé » et affirme sa volonté « de coopération pleine et entière avec les services de police et de justice ».
il est vrai que frequenter les politiques et fonctionnaires
territoriaux permet de voir des choses qui si elles étaient connues par
les citoyens les feraient bondir et mettre des gilets rouges de colere
j’en parle en connaissance de la realite que j’ai cotoyé pendant plusieurs années dans une grande ville
il est vrai que frequenter les politiques et fonctionnaires
territoriaux permet de voir des choses qui si elles étaient connues par
les citoyens les feraient bondir et mettre des gilets rouges de colere
j’en parle en connaissance de la realite que j’ai cotoyé pendant plusieurs années dans une grande ville
Les copains de Ferrand … Faudra aussi jeter un oeil sur les comptes de la SOPAB …..
Deux ex-conseillers municipaux de Brest mis en examen dans une affaire de versement d’indemnités
Le maire de Brest, François Cuillandre, a lui été placé quelques heures en garde à vue mardi, et est sorti libre.
Le Monde avec AFP Publié le 09 avril 2019 à 19h59 – Mis à jour le 10 avril 2019 à 12h05
Temps de Lecture 1 min.
Le maire socialiste de Brest, François Cuillandre, le 13 mars 2014. FRED TANNEAU / AFP
Deux anciens conseillers municipaux de Brest, Alain Masson et Jean-Luc Polard, ont été « mis en examen et placés sous contrôle judiciaire » dans une affaire de versement des indemnités des élus socialistes de la ville.
Alain Masson, qui était aussi premier vice-président de la métropole
jusqu’à sa démission en novembre 2018, a été mis en examen pour « abus de confiance »,
a déclaré mercredi 10 avril à l’AFP le procureur de la République de
Brest, Jean-Philippe Récappé. Jean-Luc Polard a quant à lui été mis en
examen pour « complicité d’abus de confiance », selon la même source.
MM. Masson et Polard, ainsi que le maire socialiste François
Cuillandre, avaient été placés mardi en garde à vue. M. Cuillandre était
ressorti libre dans l’après-midi.
Pot commun
Le parquet de Brest avait ouvert en mai 2018 une enquête préliminaire
pour détournement de fonds publics à la suite de révélations du journal Le Télégramme
sur la manière dont les indemnités des élus socialistes de la métropole
étaient gérées par l’intermédiaire de l’association « Vivre à Brest ».
La quasi-totalité des élus socialistes brestois versaient leur
indemnité dans un pot commun avant une redistribution qu’ils jugeaient
plus « juste et solidaire ». « Les élus les mieux lotis aidaient ceux qui l’étaient moins »,
avaient expliqué Alain Masson, président de l’association, et Jean-Luc
Polard, son trésorier, lors d’une conférence de presse organisée peu
après les révélations du Télégramme.
Mais l’enquête a révélé qu’Alain Masson aurait perçu son indemnité
d’élu municipal et communautaire (4 400 euros net) en plus d’une somme
mensuelle de 3 470 euros, prise dans le pot commun, et ce depuis au
moins 2014. De plus, le versement de cette somme n’aurait pas été décidé
à l’issue d’un vote de l’association et n’aurait pas été déclaré au
fisc. Les deux anciens élus avaient démissionné de leur mandat dans le
cadre de cette affaire.
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