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dimanche 8 mai 2016

Des menaces de Cyprien Luraghi de 2008 à 2010


Je viens de rappeler qu’au mois de février 2012 le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’était remis à multiplier les menaces de mort à mon encontre après avoir excité contre moi des voyous fréquentant assidument un site consacré au grand banditisme, et ce avec un certain succès, puisque j’y avais été menacée du « virgule » (calibre 11,43).

Je vous offre ici un petit tour d’horizon de précédentes menaces de ce psychopathe à mon encontre en rappelant qu’il m’a toujours piratée et harcelée sur Internet à compter de l’année 2008 à l’instigation de Josette Brenterch du NPA de Brest qui depuis l’année 2004 au moins m’avait toujours fait passer pour folle dans tous ses réseaux et auprès de l’intégralité des personnes que je pouvais croiser ou rencontrer.

Durant les deux premières années de ces harcèlements internétiques, d’abord sur le site Rue89 jusqu’à mon exclusion le 31 juillet 2009, puis également sur le site Le Post jusqu’à mon bannissement fin février 2010, enfin sur la plateforme de blogs OverBlog où j’avais ouvert un blog indépendant le 26 mars 2010, tous ces harcèlements étant toujours doublés d’écrits calomnieux pérennes sur le blog principal de leur auteur, Cyprien Luraghi s’était attaché à me faire passer pour folle absolument partout en exigeant toujours mon exclusion et mon isolement, conformément à ce que son égérie du NPA de Brest avait elle-même toujours fait durant toutes les années précédentes.

En même temps, se justifiant auprès de ses camarades de blog excédés par ses comportements à mon endroit, il leur expliquait déjà m’avoir choisie comme « personnage » d’un de ses « romans » et me traquer absolument partout sur Internet et jusque dans l’intimité de ma vie privée pour se « documenter » sur son « personnage » et l’ »étudier ».

Voir par exemple les textes du 13 septembre 2009 rapportés dans cet article de blog du 12 janvier 2013 (cliquer sur l’image pour l’agrandir) :


2013-01-12 Blogacyp- quand y'en a plus, y'en a encore ! - Un petit coucou


Cyprien Luraghi ayant recommencé à me harceler sur Le Post comme auparavant sur le site Rue89 dès mon inscription début septembre 2009 sur ce second site d’information participatif où, plus libre que sur le précédent, je pouvais publier mes propres articles, je commencerai – sans grand succès – à y poster des réponses à ses calomnies publiques récurrentes me concernant très exactement le 17 septembre 2009, comme rapporté dans cet article de blog du 1er mai 2010 :


2010-05-01 Sus aux victimes de harcèlement moral sur Rue89 et Le Post - Un petit coucou


Cette première tentative infructueuse avait été suivie de celles-ci, toujours au mois de septembre 2009 :


2010-05-06 Je ne suis pas celle que vous croyez ! - Un petit coucou


2010-05-08 Salie par les mensonges et calomnies de mes harceleurs - Un petit coucou


2010-05-11 Dame Gloubiboulga a perdu son pot - Un petit coucou


Seul le premier de ces trois textes sera donc accepté par la modération du Post, mais seulement durant un mois, Cyprien Luraghi en ayant obtenu la suppression le 22 octobre 2009.

Dans l’intervalle s’était produite la crise démentielle qu’il m’avait faite à la suite de ma première publication d’un article consacré aux conditions de détention, avec menaces de représailles de ses amis du grand banditisme, des menaces qu’il avait réitérées en juin 2010 alors que l’une des personnes concernées venait de démentir tous ses propos à ce sujet, comme je l’ai déjà exposé sur ce blog.

Après la suppression le 22 octobre 2009 de mon texte de présentation sur Le Post, que j’avais jugé nécessaire du fait que Cyprien Luraghi me harcelait déjà sur ce média où en vérité il avait même commencé à me calomnier comme sur le site Rue89 et sur son propre blog dès le mois de mars 2009, je n’ai pu répondre derechef à tous ses textes me concernant pour rétablir la vérité qu’après l’ouverture de mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog, à compter du 26 mars 2010.

L’on notera qu’au mois de mai 2010, comme rapporté dans l’article ci-dessous, discutant publiquement avec ses amis « déconnologues » qui tous me traitaient de folle depuis deux ans, il soutenait bien qu’ils auraient tous « su » « depuis le début » que je l’aurais été effectivement, mais que sur le site Rue89, les journalistes auraient « tout de même mis plus de deux ans avant de s’en rendre compte, et plusieurs mois sur Le Post. »


2010-06-01 Le plus grand diffamateur du net se plaint qu'une de ses victimes tente de se défendre contre ses accusations mensongères ! - Un petit coucou


Ils étaient tout simplement « renseignés » à mon sujet depuis le début par Josette Brenterch du NPA de Brest qui m’a bien toujours fait passer pour folle absolument partout, et à cet effet, continuait à me surveiller illégalement comme elle l’avait toujours fait depuis des lustres pour appréhender toutes mes nouvelles relations.

Dans les commentaires sur l’article suivant, du 11 juin 2010, Cyprien Luraghi prétendant que mon blog n’avait d’autre objet que de lui « vomir dessus » m’annonçait son intention d’ouvrir un nouveau blog qui me soit entièrement consacré. Il le créait et commençait à l’alimenter de ses délires à mon sujet dans la foulée.


2010-06-11 A NEMROD34 - STOP ! - Un petit coucou


2010-06-11 A NEMROD34 - STOP ! - Un petit coucou  - 2


Dès les tout premiers articles de son nouveau blog, « Tique Toc », le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi m’associait à l’affaire de l’attentat de Karachi et révélait au public mon identité après avoir obtenu pour ce faire le feu vert de sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest.

Il ouvrait ainsi une vaste opération de lynchage public qui durera tout l’été 2010.

Les menaces, la mise en danger de la vie d’autrui étaient d’emblée patentes.

Elles continueront à se multiplier tout au long de l’été 2010 avec la publication sous forme d’un feuilleton de différents épisodes de ma soi-disant « biographie » selon Josette Brenterch et ses nouveaux amis « déconnologues ». Je n’étais plus seulement présentée comme folle, ou « cas lourd psychiatrique » ayant passé le plus clair de son existence en hôpital psychiatrique, mais également comme prostituée et débile mentale dite sans aucune empathie et très très très méchante, menteuse, mythomane et j’en passe.

Mes harceleurs incitaient le public à la haine à mon encontre avec quantité d’inventions calomnieuses. J’étais aussi incitée au suicide.

A compter du mois d’août 2010, la bande des « déconnologues » de Cyprien Luraghi se mettait à lancer à mon encontre des appels publics au meurtre, au viol, à la lapidation, au lynchage physique dans le quartier où je réside. Leurs menaces directes de mort ou de viol commençaient également à se multiplier. Entre autres choses, ils me promettaient de m’exterminer ou de me pulvériser, de me droguer, de me tuer avec une carabine ou des armes de guerre.

A compter du printemps 2010, je suis également constamment menacée d’internement psychiatrique.

Or, comme le sait bien Josette Brenterch du NPA de Brest pour avoir illégalement mis la main sur la totalité de mon dossier médical au plus tard en début d’année 2004, des empoisonnements criminels dont j’avais été victime de la part de certains de ses complices au printemps 2002, précisément avant l’attentat commis à Karachi le 8 mai 2002, m’ont laissé bien des séquelles et ont très fortement réduit ma tolérance aux médicaments, par exemple les psychotropes qui font partie de toux ceux qui depuis lors me sont formellement interdits en raison d’un risque létal, ce que je m’étais empressée d’expliquer aux deux dangereux malades mentaux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Jean-Marc Donnadieu dès leurs premières menaces d’internement psychiatrique, au printemps 2010.

Cela n’empêche pas le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi de harceler des psychiatres brestois à mon sujet pour tenter d’en obtenir mon internement.

Il tente visiblement de me faire tuer par tous les moyens possibles et imaginables.

Le 29 novembre 2010, comme rapporté dans les commentaires de l’article ci-dessous, j’avais découvert avec effarement qu’en dates des 26 et 27 août 2010, soit juste avant de fermer au public son blog « Tique Toc » et que ne soit également supprimé son appel à me lapider sur Facebook, il m’avait dénoncée comme « mécréante » sur au moins une vingtaine de sites islamistes, probablement pour le cas où leurs lecteurs n’auraient pas encore vu ses articles de blog associant mon nom à l’affaire de l’attentat de Karachi :


2010-11-25 Une aspirine pour le bélier, SVP ! - Un petit coucou


Puis à compter du 21 septembre 2010, j’avais reçu une série de « spams » personnalisés en provenance d’une messagerie piratée appartenant à l’ancien gangster qui était intervenu dans nos discussions de juin 2010 pour rétablir la vérité sur ses relations avec le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi qu’il a toujours dit mythomane et traité de « fêlé ».

En le piratant et usurpant son identité pour m’envoyer ces messages très particuliers, ce dernier réitérait toutes ses précédentes menaces de la part de gangsters de ses amis.

Ces nouvelles menaces étaient toutes corrélées à des évènements particuliers, principalement mes contacts téléphoniques avec mon avocat, mais aussi des avancées procédurales comme mon audition par la police le 7 décembre 2010 à la suite d’une plainte de Josette Brenterch, et d’autres menaces, comme une tentative d’entrer à mon domicile par effraction dans la nuit du 28 au 29 décembre 2010.

Cette première série de « spams » avait pris fin début janvier 2011 après des échanges de voeux très animés sur le site Rue89.

Les voici réunis dans l’article ci-dessous :


2011-07-08 Des menaces de Pascal Cyprien Luraghi - Un petit coucou


Si le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’était énormément réjoui de ma convocation par la police pour une audition le 7 décembre 2010 à la suite de la première plainte à mon encontre de sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest, en revanche il s’était montré furieux que j’aie pu préparer une liste de pièces pour ma défense, ce qu’il m’avait vu faire en me piratant, et il avait fait dès le lendemain une grosse colère en raison d’un dépôt de plainte en réplique de ma part le même jour, 7 décembre 2010.

Aussi, en cette fin d’année 2010, ses menaces publiques récurrentes à mon encontre avaient encore flambé.

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