Comme un arriviste ou un machiste très ambitieux confronté à une femme ingénieure, ni plus ni moins.
Il ne pouvait plus la supporter, paraît-il, mais semble en fait n'avoir jamais éprouvé aucune sympathie à son égard et en tant que chef de l'Etat, c'est bien lui qui a toujours tout maîtrisé de bout en bout.
La "sale pute de femme ingénieure qui vole la place d'un homme dans le travail", ou aurait pu lui faire de l'ombre, il en a fait Madame 49.3, un point c'est tout, c'est ainsi qu'elle va rester dans les mémoires et ce n'est pas particulièrement glorieux.
Pour nous, tous ces "amusements" de messieurs haineux commencent dès les classes préparatoires aux grandes écoles d'ingénieurs et nous sommes sans doute assez nombreuses à y avoir connu cette sensation de la mouche qui se fait arracher pattes et ailes l'une après l'autre par un ou plusieurs de ces camarades de classe qui ne peuvent absolument pas supporter notre concurrence, surtout lorsqu'elle est sérieuse.
Bien évidemment, ces tarés totalement immatures ne sont jamais les meilleurs, leurs résultats sont toujours très moyens pour ne pas dire médiocres.
A lire ou à relire :
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Sans oublier :
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“Il devait arracher les pattes aux mouches” : Emmanuel Macron cruel avec Élisabeth Borne ?
Dans son édition du vendredi 12 janvier, “L’Express” est revenu sur les coulisses des dernières heures d’Élisabeth Borne à la tête du gouvernement et sur la manière dont Emmanuel Macron aurait congédié son bras droit.
Après vingt mois à la tête de Matignon, Élisabeth Borne a tourné le dos au Gouvernement à la demande d’Emmanuel Macron. Sur X (anciennement Twitter), l’actuel locataire de l’Élysée a remercié la femme politique pour son action : “Votre travail au service de notre Nation a été chaque jour exemplaire. Vous avez mis en œuvre notre projet avec le courage, l’engagement et la détermination des femmes d’État.” Mais en coulisses, le Président n’aurait pas vraiment mis les formes pour congédier son bras droit, à en croire un article de L’Express daté du vendredi 12 janvier.
Selon nos confrères, quelques jours avant la fameuse annonce, le successeur de François Hollande se serait entretenu avec Élisabeth Borne au sujet de l’avenir du pays en omettant d’informer son interlocutrice sur son sort. “Il ne m’a rien dit”, aurait-elle d’ailleurs lâché à ses collaborateurs. “Il s’agissait de planter une graine dans son esprit, avec douceur. Il ne convoque jamais quelqu’un en disant ‘c’est fini’, il s’y reprend toujours à plusieurs fois”, aurait indiqué à L’Express un proche du chef de l’État. Et un autre d’ajouter, davantage cinglant : “Ce garçon devait arracher les pattes aux mouches quand il était à l’école.”
>> PHOTOS - Qui sont les hommes qui ont compté dans la vie d'Élisabeth Borne ?
Emmanuel Macron “ne pouvait plus supporter” Élisabeth Borne ?
Plus d’une fois, Élisabeth Borne a été décrite comme étant sur la sellette. En cause ? Une entente peu cordiale entre le Président et son bras droit, à en croire différents témoignages. “Il ne la calcule plus, ça en devient gênant”, avait ainsi déclaré une source anonyme dans les colonnes de La Tribune Dimanche en décembre dernier. À l’annonce du remaniement, c’est un conseiller gouvernemental qui a assuré au Parisien qu’Emmanuel Macron “ne pouvait plus la supporter à la fin”. Même son de cloche du côté de la journaliste Anna Cabana, épouse de Jean-Michel Blanquer, qui avait évoqué le sujet sur le plateau de BFMTV début janvier : “S’il y a bien une chose qu’ils ont très, très peu faite ensemble, c’est de rire. Il y avait moins un problème politique entre eux qu’un problème humain. C’est-à-dire qu’il ne la supportait pas beaucoup. Il n’y a jamais eu de commerce amical ou même convivial entre eux.”
Article écrit en collaboration avec 6Medias
Crédits photos : DOMINIQUE JACOVIDES / BESTIMAGE
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