Je l'avais bien annoncé dès ses tout débuts de première ministre, elle n'était là que pour endosser le rôle de la méchante, comme le sont tous les matheux et ingénieurs, particulièrement quand il s'agit de femmes, c'est bien connu, et préserver les images respectives de tous ses concurrents et concurrentes non ingénieurs, les gentils communiquants...
Ce fut donc Madame 49.3.
Elle vient de se faire virer comme je l'ai été moi aussi plus d'une fois, avec complot des machistes dans mon dos, et même, parfois, toujours avec complot des mêmes, contrainte tout aussi brutale de reprendre du service dans les même lieux sitôt après...
A lire ou à relire :
http://satanistique.blogspot.com/2022/05/matignon-pourquoi-elisabeth-borne.html
http://satanistique.blogspot.com/2022/06/nouveau-gouvernement-ou-lart-et-la.html
http://satanistique.blogspot.com/2022/07/remaniement-ministeriel-damien-abad.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/bientot-un-nouveau-remaniement.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/01/elisabeth-borne-apres-la-demission.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/01/plainte-de-lfi-contre-elisabeth-borne.html
Sans oublier :
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/six-femmes-ingenieures-se-sont-succede.html
Élisabeth Borne : ce “drôle de numéro” joué par Emmanuel Macron avant son départ
Dans son édition du dimanche 14 janvier, Le Parisien est revenu en exclusivité sur les coulisses du remaniement qui a secoué le gouvernement cette semaine et, en particulier, sur les circonstances du remplacement d’Élisabeth Borne…
Le lundi 8 janvier, la Première ministre Élisabeth Borne présentait sa démission au chef de l’État. Le lendemain, on apprenait que Gabriel Attal avait été nommé pour la remplacer. Dans un article en date du dimanche 14 janvier, Le Parisien est revenu sur les circonstances exactes du départ d’Élisabeth Borne. Depuis des semaines, la rumeur bruissait : la Première ministre était dite "sur un siège éjectable"… Cependant, celle dont le caractère a été qualifié de "difficile" continuait d’agir comme si de rien n’était. À en croire nos confrères du Parisien, il y aurait eu une excellente raison à cela : Élisabeth Borne n’aurait tout simplement pas été informée de ce qui se tramait en coulisses…
Les jeudi 4 et vendredi 5 janvier, le président de la République a reçu les ministres Gérald Darmanin et Bruno Le Maire. Il aurait alors posé beaucoup de questions, mais sans faire part de ses intentions… Par contre, en parallèle, il aurait aussi discuté avec Gabriel Attal d’une première ébauche de gouvernement, sans juger bon d’informer sa Première ministre de ce qui se préparait. Même le dimanche 7 janvier, quand Élisabeth Borne a été invitée à se rendre à l’Élysée, et que la discussion s’est aventurée sur le terrain d’un éventuel remaniement, Emmanuel Macron se serait bien gardé de discuter de son remplacement. Au contraire, tous les deux s'étaient surtout donnés rendez-vous pour évoquer les terribles inondations dans le Pas-de-Calais. Ce n’est que lors d’un entretien le lundi 8 janvier au matin que le Président aurait mis les choses au clair…
>> PHOTOS - Elisabeth Borne : l’évolution physique de la Première ministre en images
Une certaine rancœur ?
Comme l’expliquent encore nos confrères du Parisien, la lettre de démission de la Première ministre laisserait "transparaître sa déception". Celle-ci serait-elle mêlée de rancœur ? En tout cas, il semblerait bien que celle qui partage une mauvaise habitude avec le nouveau Premier ministre n’ait guère envie de continuer à travailler avec ceux qui l’ont évincée. Ainsi, elle a refusé de prendre les rênes du ministère des Armées, préférant se consacrer pleinement à sa fonction de députée du Calvados, qu’elle avait jusqu’ici déléguée à son suppléant, Freddy Sertin. Une attitude qui, peut-être, s’explique par ces nouvelles révélations sur la façon dont s’est déroulé son évincement…
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage
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