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mercredi 10 janvier 2024

Assassinat de Carol Maltesi le 11 janvier 2022 : encore un snuff movie ?

 

 

En tous les cas, son assassinat ressemble à s'y méprendre à celui de Carina Saunders le 11 octobre 2011 dans l'Oklahoma, et la personnalité de son assassin est étonnamment proche de celle du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Rappelons donc brièvement quelle est la substance de son "bouquin" sur mon compte : ayant décidé d'exclure de ma biographie l'intégralité de ses éléments constituants, hors mon identité et celles de mes proches, ce pornographe notoire leur a substitué tout un tas d'histoires de cul totalement délirantes, avec l'approbation de la pute Céline Verdier du TJ de Brest et de tous ses complices magistrats ultra CORROMPUS de Brest, Quimper et Rennes, qui tous me manifestent la même haine des ingénieurs et particulièrement des femmes ingénieurs - dont je suis pour leur déplaire.

Autrement dit : alors que je n'ai rien à voir avec les milieux de dégénérés qui sont les siens, le pédophile et trafiquant de drogue Pascal Edouard Cyprien Luraghi a décidé de faire de moi une star de ses bouquins porno qui naturellement doit finir assassinée.

Et on l'a déjà vu à maintes reprises tenter de se glisser dans ma peau en échangeant nos caractéristiques (il prend les miennes et m'attribue les siennes, en tous points diamétralement opposées) autant qu'au moyen d'usurpations d'identité, notamment avec un blog qu'il avait ouvert fin septembre 2011 et alimenté en saloperies sur mon compte jusqu'au 20 octobre 2011 - et Carina Saunders a curieusement subi le sort qu'il me réserve depuis le début, avec rappel en février 2011 autour de l'assassinat de Patricia Bouchon, durant cette même période d'octobre 2011. A Bethany - bête Annie Luraghi ?

Comme pour ce qui est de Patricia Bouchon, les lieux où les cadavres respectifs de ces deux victimes de snuff ont été retrouvés ont probablement été soigneusement choisis (voir ci-dessous).


A voir ou à revoir :

http://satanistique.blogspot.com/2024/01/assassinat-de-carina-saunders-le-11.html



https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tat_de_Borno

État de Borno


Borno
État de Borno
Carte de l'État.

Devise : Home of Peace (en)
Administration
Pays Drapeau du Nigeria Nigeria
Capitale Maiduguri
Date de création
Gouverneur Babagana Umara Zulum (en)
Code ISO NG-BO
Démographie
Population 4 588 680 hab. (2005)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 11° 30′ nord, 13° 00′ est
Superficie 6 943 500 ha = 69 435 km2
Latitude 10° à 13° Nord
Longitude 12° à 15° Est
Pluviométrie min. 500 mm/an max. 800 mm/an
Localisation
Localisation de Borno
Carte de localisation de l'État.

Borno est un État du nord-est du Nigeria, à la frontière du Tchad et du Niger. Son nom vient de celui du royaume du Bornou qui a dominé la région du XIVe siècle à la colonisation britannique. L'État est la cible principale de l'insurrection islamique du groupe Boko Haram.

Histoire

L'État de Borno a été créé le .

En 2001, la charia a été décrétée dans la totalité de l'État1.

En 2002, le groupe insurrectionnel Boko Haram a été fondé à Maiduguri, capitale de l’État, par Mohamed Yusuf en réaction à la décision du président Olusegun Obasanjo d'abolir la loi islamique1.

La région est le théâtre, depuis de nombreuses années, d'affrontements sanglants entre l'armée et l’insurrection islamiste responsables de plusieurs centaines de morts et de milliers de déplacés.

En 2014, Boko Haram s'est emparé de nombreuses localités et a pris le contrôle de zones entières de l'État. L'enlèvement de 200 lycéennes à Chibok la même année provoque une prise de conscience internationale.

Au début de l'année 2015, une coalition de pays (Tchad, Burkina Faso, Niger, France) joignent leurs forces au Nigeria pour affronter Boko Haram. D'importantes opérations militaires conjointes des différentes forces armées de la coalition sont menées dans l'État de Borno. Elles permettent de réduire significativement le contrôle du territoire de la secte islamiste et la libération de la plupart de ses otages.

En , au moins 110 civils sont tués par des jihadistes présumés confirmant l'incapacité du président Muhammadu Buhari à sécuriser le nord-est du pays2.

Découpage administratif

L'État est bordé au sud par l'État d'Adamawa, au sud-ouest par l'État de Gombe, à l'ouest par l'État de Yobe, au nord par le Niger, au nord-est par le lac Tchad et à l'est par le Cameroun.

Les principales villes, outre la capitale Maiduguri, sont : Dikwa, Gwoza, Konduga, Bama, Monguno, Shani et Damboa.

Divisions

L'État de Borno est divisé en 27 zones de gouvernement local : Abadam, Askira/Uba, Bama, Bayo, Biu, Chibok, Damboa, Dikwa, Gubio, Guzamala, Gwoza, Hawul, Jere, Kaga, Kala/Balge, Konduga, Kukawa, Kwaya Kusar, Mafa, Magumeri, Maiduguri, Marte, Mobbar, Monguno, Ngala, Nganzai et Shani.

Économie

Démographie

La langue dominante y est le kanouri.

Culture

Religion

L'Islam y est la religion la plus pratiqué, au côté d'un petit nombre de chrétiens, ainsi que de pratiquants d'autres religions. La charia joue un rôle majeur dans les fondements de l'Etat, puisqu'elle est prépondérante dans le développement, l'interprétation et l'exécution de la plupart des coutumes et des lois, en vigueur à Borno.

L'Etat accueille le siège du diocèse catholique de Maiduguri.

Durant les insurrections de 2009, le groupe terroriste Boko Haram, a détruit l'Eglise des frères du Nigeria, situé à Maiduguri. Elle a été reconstruite par la suite.

Délégation de l'État de Borno lors d'un festival culturel.

Notes et références


  • Christian Seignobos, « Boko Haram : innovations guerrières depuis les monts Mandara », Afrique contemporaine, no 252,‎ , p. 146–169 (lire en ligne [archive] Inscription nécessaire).

  • Annexe

    Article connexe

    Liens externes



    https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9thanie

      Béthanie

      Marthe et Marie accueillant Jésus à Béthanie (Otto van Veen)
      Mosaïques de Marie, Lazare et Marthe sur la façade de l'église catholique à Béthanie.

      Béthanie (de l'hébreu Beth-Ananiah) est un village de Judée où habitent les proches de Jésus, Marthe, Marie et Lazare. L'Évangile selon Jean le situe à « quinze stades » de Jérusalem (Jn 11:18). C'est à Béthanie que se déroulent la résurrection de Lazare, la réception de Jésus par Simon le Lépreux et l'onction à Béthanie.

      Dans le Nouveau Testament

      Évangile selon Matthieu 26,6-13 : (Onction de Béthanie) Comme Jésus se trouvait à Béthanie dans la maison de Simon le lépreux, une femme s’approcha, portant un flacon d’albâtre contenant un parfum de grand prix. Elle le versa sur la tête de Jésus, qui était à table. Voyant cela, les disciples s’indignèrent en disant : « À quoi bon ce gaspillage ? On aurait pu, en effet, vendre ce parfum pour beaucoup d’argent, que l’on aurait donné à des pauvres. » Jésus s’en aperçut et leur dit : « Pourquoi tourmenter cette femme ? Il est beau, le geste qu’elle a fait à mon égard. Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous, mais moi, vous ne m’aurez pas toujours. Si elle a fait cela, si elle a versé ce parfum sur mon corps, c’est en vue de mon ensevelissement. Amen, je vous le dis : partout où cet Évangile sera proclamé – dans le monde entier –, on racontera aussi, en souvenir d’elle, ce qu’elle vient de faire. »

      L'Évangile selon Jean y situe la résurrection de Lazare : Jésus, étant arrivé, trouva que Lazare était déjà depuis quatre jours dans le sépulcre. Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ, beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère. (Jean 11,17-19)

      Dans l'Évangile selon Luc, Béthanie est également le lieu où se produit l'Ascension de Jésus au ciel : « Puis il les emmena jusque vers Béthanie et, levant les mains, il les bénit. Et il advint, comme il les bénissait, qu'il se sépara d'eux et fut emporté au ciel. Pour eux, s'étant prosternés devant lui, ils retournèrent à Jérusalem en grande joie, et ils étaient constamment dans le Temple à bénir Dieu » (Lc 24,50 à 53)1.

      Histoire

      Époque byzantine

      Eusèbe de Césarée cite ce village vers 330 comme étant celui de Lazare. Le pèlerin de Bordeaux à la même époque en 333 écrit qu'il a vu le tombeau où Lazare a trouvé son dernier repos, mais c'est saint Jérôme2, en 390, qui donne le plus de précision en traduisant l'Onomasticon d'Eusèbe. Il ne traduit pas exactement la phrase d'Eusèbe qui précise que c'est ici que l'on montre la tombe de Lazare, mais écrit : « Une nouvelle église construite à cet endroit conserve sa mémoire. » L'église nouvelle du Lazarium (ou Lazarion en grec) est donc attestée vers 390 dans l'Onomasticon de saint Jérôme, mais pas encore en 383 par Égérie, où la station liturgique qu'elle décrit (ch. 29) se fait à ciel ouvert. Elle contenait une crypte avec un tombeau, que l'on peut encore visiter aujourd'hui : la tombe de Lazare sur laquelle a été construite une basilique et le monastère qui jouxte celle-ci. La tradition de cette tombe de Lazare, qui donne sur l'atrium de la basilique du Lazarium, est tardive, si bien que la « grotte de Béthanie ne doit pas, selon toute vraisemblance, être considérée comme un lieu de culte judéo-chrétien3 »

      Les fouilles de 1949 découvrent un sol de riches mosaïques aux formes géométriques et entrelacs remarquables de couleur ocre, brun et noir sur fond blanc4. L'église de plan basilical à trois ailes, de 18 mètres de largeur, se trouve à l'est du site. Elle comporte deux sacristies de chaque côté, séparées par des colonnes de pierre rose de Bethléem et s'ouvrant en ailes, qui servent ainsi à renforcer l'église. Les colonnes étaient d'ordre corinthien, comme le montrent des restes de feuilles d'acanthe. Un atrium se trouve au milieu et le tombeau à l'ouest du site. Les pierres sont de même nature que celles de la basilique constantinienne de la Nativité à Bethléem et celles de l'absides sont liées par un liant de mortier similaire à celui utilisé pour le théâtre romain de Césarée. L'autel était sans doute sigmatique, comme il était fréquent à l'époque. Une porte se trouvait au nord, comme l'atteste le seuil retrouvé. Des jarres et une douzaine de lampes à huile byzantines sont trouvées sur le site.

      Cette église est détruite vraisemblablement par un tremblement de terre, car il y a des signes d'écroulement, et une nouvelle église est construite au Ve ou VIe siècle.

      Les pèlerins Daniel et Sæwulf la décrivent au XIIe siècle. Elle est modifiée par les croisés.

      L'église que l'on visite à côté est une reconstruction sur une partie du plan de l'église byzantine.

      Royaume de Jérusalem

      La reine Mélisende de Jérusalem et sa sœur cadette, l'abbesse Yvette de Béthanie, y font construire une abbaye.

      Réutilisation du nom

      Résurrection de Lazare (Carl Heinrich Bloch)

      La portée symbolique de ce miracle a répandu le nom de Béthanie, qui a été réutilisé pour beaucoup d'œuvres, de villes et de lieux-dits. Le nom même qui dérive de l'hébreu Beth-ani, maison de l'Affliction (Domus Adflictionis, en latin, traduit par saint Jérôme5) laisse entendre que le village était une halte pour les pèlerins en marche vers Jérusalem, et que l'on y soignait les malades et les nécessiteux, comme l'indique l'épisode de Simon de Béthanie6 qui était lépreux.

      Certains historiens7 suggèrent que Béthanie était un endroit d'arrêt privilégié des Galiléens avant d'arriver à Jérusalem, après avoir pris la route du midi à l'est du Jourdain évitant ainsi de traverser des terres peuplées de Samaritains, et prenant ensuite les hautes routes par Jéricho.

      Ce nom est associé aux œuvres de charité envers les personnes en difficulté.

      Notes et références


    • Frère Antoine Tingba, L'Ascension du seigneur, 2013, Site des Dominicains de Bordeaux - http://bordeaux.dominicains.com/new_site/index.php?controller=homelies&id=53 [archive]

    • Il est en Terre Sainte depuis quatre ans

    • Simon Claude Mimouni, Le judéo-christianisme ancien : essais historiques, Éditions du Cerf, , p. 355.

    • Elles ont disparu entre les colonnes et vers le sanctuaire

    • C'est ce sens qui est aussi repris par le Nouveau Testament rédigé en syriaque

    • Évangile selon Marc XIV, 3-10

      1. (en) Brian J. Capper, Essene Community Houses and Jesus Early Community, 2006, in James H. Charleworth, Eerdmanns Publishing, « Jesus and Archeology », p. 474-502

      Voir aussi

      Sur les autres projets Wikimedia :

      Articles connexes

      Lien externe

      • Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste
    • Commentaire du passage sur Bible-service [archive]


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