Le 17 novembre 2018, le psychopathe de Puy-l’Evêque publiait un
nouveau texte assez clair quant à son état d’esprit actuel, alors que
son public peut constater à quel point il l’a trompé à mon sujet durant
dix ans, car je ne suis en effet ni folle ni débile mentale ni
prostituée ni secrétaire ni narcissique ni méchante ni menteuse ni
mythomane ni rien d’autre de tout ce qu’il a pu raconter à tous durant
toutes ces années. Par contre, j’ai bien toujours exercé comme ingénieur
d’études en informatique tant que j’ai pu travailler, et tous mes
avocats s’accordent à reconnaître, tout comme les magistrats honnêtes,
que j’aborde avec facilité toutes les questions de droit. Ils me disent
avoir de ce fait plaisir à discuter avec moi, et avoir bien compris que
contrairement à ce que certains s’acharnent à leur soutenir, je n’ai
rien d’une folle et devais effectivement, autrefois, être très
compétente dans mon métier, comme en ont jadis témoigné de mes
employeurs, clients et collègues de travail. Pascal Edouard Cyprien
Luraghi n’a donc cessé de me calomnier depuis dix ans, ce que certains
pourraient aujourd’hui lui reprocher amèrement, tout comme de son côté
il en veut à mort à tous ceux qui ont refusé de le suivre à mon sujet,
notamment toutes les autorités brestoises qu’il a vainement harcelées en
vue d’en obtenir mon internement en psychiatrie.
Confirmant comme je l’avais raconté sur ce blog le 18 septembre dernier qu’il ne peut soutenir mes regards selon lui « assassins », ni certainement ceux de toutes ses autres victimes, il a intitulé son texte « Lutte à mort ! ».
Entre autres choses, il y affirme aussi que son ennemi juré qu’il craint tant a sûrement son nom dans le journal, qu’il dit ne plus lire du tout – mais il a aussi souvent prétendu qu’il ne me lisait plus, et ce n’était pas la vérité, il m’a toujours lue bien plus que n’importe qui d’autre, ayant accès jusqu’à tous mes brouillons…
Or, pour autant que je sache, mon nom n’apparaît encore nulle part.
En revanche, le nombre d’individus qui à un moment ou un autre de sa « lutte à mort » contre moi lui ont fait défaut et voient aujourd’hui publier leurs noms dans les journaux avec plein de mots pour eux très désagréables ne cesse d’augmenter.
Depuis deux jours, c’est donc le tour d’élus brestois parmi les plus proches du maire.
Ils n’ont pas forcément fait pire que Josette Brenterch avec la caisse d’AC ! Brest à compter de la création de cette association en 1994, puisqu’elle en a toujours détourné à son profit, tout à la fois, les cotisations de ses adhérents et une subvention annuelle que la mairie de Brest versait pour la lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions, mais eux ont bien droit à l’opprobre public accompagnant l’enquête qui n’aura jamais frappé la criminelle du NPA de Brest.
Je recolle ci-dessous les premiers textes que j’avais publiés à ce sujet sur mon ancien blog « Un petit coucou », en 2010, en rappelant que l’intéressée ne s’est jamais plainte d’aucune de mes publications ayant eu pour but de rétablir la vérité sur mon activité dans l’association AC ! Brest et les différends qui nous y ont opposées en 2004 et 2005, à la suite de ses campagnes de calomnies publiques débutées au mois de juin 2010 avec le concours hyperactif de ses complices « déconnologues » de la bande de Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/brest-systeme-distribution-indemnites-elus-socialistes-au-coeur-enquete-1579049.html
L’enquête préliminaire pour « détournement de fonds publics » concernant les élus de Brest se précise, après les premières rélévations de nos confrères du Télégramme, en mars dernier. Le premier vice-président de la métropole, Alain Masson, a été auditionné, et vient de démissionner.
Par M Thiébaut Publié le 21/11/2018 à 17:04 Mis à jour le 22/11/2018 à 12:29
Un système, vieux de 30 ans, pour redistribuer les indemnités des
élus, est au coeur de l’enquête, ouverte après les révélations du
Télégramme. Selon une source judiciaire, la quasi-totalité des élus socialistes de la métropole brestoise versait ses traitements dans un « pot commun » . Objectif: « compléter
les insuffisantes indemnités versées à certains élus très investis et /
ou ayant renoncé à leur activité professionnelle pour exercer leur
mandat » , d’après les explications fournies par Alain Masson au Télégramme lors des premières révélations, en mars dernier.
Alain Masson, vice-président de la métropole brestoise, présidait également l’association en charge de « gérer le pot commun ». Auditionné par les enquêteurs, il vient de reconnaître qu’il touchait une indemnité mensuelle de 3470€, non déclarée au fisc, prélevée sur le pot commun, et en sus de son indemnité d’élu, que lui-même ne versait pas à la cagnotte. Le versement de cette somme n’aurait pas été décidé à l’issue d’un vote de l’association, et n’a fait l’objet d’aucune déclaration fiscale. L’association a mis un terme au système redistributif des indemnités des élus socialistes en janvier cette année.
L’enquête ouverte par le parquet de Brest pourrait ainsi s’étendre aux infractions de « blanchiment de fraude fiscale » et d’ « abus de confiance » , d’après les propos recueillis par le Télégramme auprès d’une source proche de l’enquête.
https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-les-reactions-la-crise-municipale-et-la-demission-d-masson-6085334
Ouest-France
Modifié le 22/11/2018 à 21h03
Publié le 22/11/2018 à 18h11
Plusieurs formations politiques réagissent à la démission d’Alain Masson de la mairie de Brest et de Brest métropole.
Parti communiste français
« Nous prenons acte de la démission d’Alain Masson. Sur le fonctionnement de l’association des élus PS « Vivre à Brest », nous rappelons qu’il faut laisser la justice faire son œuvre pour déterminer si des faits délictueux ont été commis. Politiquement, nous réaffirmons notre volonté de travailler ensemble au sein de notre majorité de gauche à l’intérêt général de la population. C’est cette force collective qui produit des résultats pour les habitants de notre territoire. »
Rassemblement pour Brest
« Nous sommes attachés à la présomption d’innocence, c’est à la justice qu’il appartiendra d’établir les responsabilités, mais cette affaire entache l’image de Brest, et la réputation de ses élus. Il importe d’urgence de prendre des initiatives de nature à lever les suspicions qui pourraient naturellement porter sur d’autres pans de l’activité de l’exécutif municipal et métropolitain. Faute de contrôle démocratique suffisant, vous ne maîtrisez pas les risques. Il ne reste plus alors que la justice pour redresser les errements, ce qui est regrettable. Elle va suivre son cours mais nous en appelons, sans attendre, à un changement drastique dans le fonctionnement de nos collectivités. »
Mouvement radical
« Deux choses sont à retenir : 1) L’appareil judiciaire est en œuvre pour établir la vérité et justicier les personnes responsables et/ou coupables, il ne m’appartient pas de commenter cela. 2) Quant à l’aspect politique, pour la continuité des travaux des deux assemblées, cette affaire doit être rapidement traitée par le maire-président. »
La République en Marche
Les marcheurs brestois et métropolitains prennent acte de la démission d’Alain Masson, à la suite des révélations sur le fonctionnement de l’association qu’il dirigeait conjointement avec Jean-Luc Polard. Cette démission est logique mais des interrogations demeurent. La justice doit sereinement faire son travail mais cette affaire jette le trouble sur la municipalité et au-delà sur l’image de la ville de Brest et de la métropole. Nous, marcheurs, demandons que toute la lumière soit faite sur ces pratiques et que les leçons en soient tirées. »
Brest nouvelle alternative
« Nous demandons la tenue d’un conseil municipal extraordinaire pour faire toute la lumière sur cette affaire. Ce conseil ne pouvant se tenir que par une demande écrite d’au moins un tiers des élus, nous appelons les autres groupes composant le conseil municipal à se joindre à nous pour exiger légalement la tenue de cette session extraordinaire. »
Confirmant comme je l’avais raconté sur ce blog le 18 septembre dernier qu’il ne peut soutenir mes regards selon lui « assassins », ni certainement ceux de toutes ses autres victimes, il a intitulé son texte « Lutte à mort ! ».
Entre autres choses, il y affirme aussi que son ennemi juré qu’il craint tant a sûrement son nom dans le journal, qu’il dit ne plus lire du tout – mais il a aussi souvent prétendu qu’il ne me lisait plus, et ce n’était pas la vérité, il m’a toujours lue bien plus que n’importe qui d’autre, ayant accès jusqu’à tous mes brouillons…
Or, pour autant que je sache, mon nom n’apparaît encore nulle part.
En revanche, le nombre d’individus qui à un moment ou un autre de sa « lutte à mort » contre moi lui ont fait défaut et voient aujourd’hui publier leurs noms dans les journaux avec plein de mots pour eux très désagréables ne cesse d’augmenter.
Depuis deux jours, c’est donc le tour d’élus brestois parmi les plus proches du maire.
Ils n’ont pas forcément fait pire que Josette Brenterch avec la caisse d’AC ! Brest à compter de la création de cette association en 1994, puisqu’elle en a toujours détourné à son profit, tout à la fois, les cotisations de ses adhérents et une subvention annuelle que la mairie de Brest versait pour la lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions, mais eux ont bien droit à l’opprobre public accompagnant l’enquête qui n’aura jamais frappé la criminelle du NPA de Brest.
Je recolle ci-dessous les premiers textes que j’avais publiés à ce sujet sur mon ancien blog « Un petit coucou », en 2010, en rappelant que l’intéressée ne s’est jamais plainte d’aucune de mes publications ayant eu pour but de rétablir la vérité sur mon activité dans l’association AC ! Brest et les différends qui nous y ont opposées en 2004 et 2005, à la suite de ses campagnes de calomnies publiques débutées au mois de juin 2010 avec le concours hyperactif de ses complices « déconnologues » de la bande de Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/brest-systeme-distribution-indemnites-elus-socialistes-au-coeur-enquete-1579049.html
Brest: le vice-président de la Métropole démissionne suite aux révélations sur les indemnités des élus socialistes
L’enquête préliminaire pour « détournement de fonds publics » concernant les élus de Brest se précise, après les premières rélévations de nos confrères du Télégramme, en mars dernier. Le premier vice-président de la métropole, Alain Masson, a été auditionné, et vient de démissionner.
Un versement de 3470€ par mois supplémentaire
Alain Masson, vice-président de la métropole brestoise, présidait également l’association en charge de « gérer le pot commun ». Auditionné par les enquêteurs, il vient de reconnaître qu’il touchait une indemnité mensuelle de 3470€, non déclarée au fisc, prélevée sur le pot commun, et en sus de son indemnité d’élu, que lui-même ne versait pas à la cagnotte. Le versement de cette somme n’aurait pas été décidé à l’issue d’un vote de l’association, et n’a fait l’objet d’aucune déclaration fiscale. L’association a mis un terme au système redistributif des indemnités des élus socialistes en janvier cette année.
L’enquête ouverte par le parquet de Brest pourrait ainsi s’étendre aux infractions de « blanchiment de fraude fiscale » et d’ « abus de confiance » , d’après les propos recueillis par le Télégramme auprès d’une source proche de l’enquête.
https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-les-reactions-la-crise-municipale-et-la-demission-d-masson-6085334
Brest. Les réactions à la crise municipale et la démission d’A. Masson
Ouest-France
Modifié le 22/11/2018 à 21h03
Publié le 22/11/2018 à 18h11
Plusieurs formations politiques réagissent à la démission d’Alain Masson de la mairie de Brest et de Brest métropole.
Parti communiste français
« Nous prenons acte de la démission d’Alain Masson. Sur le fonctionnement de l’association des élus PS « Vivre à Brest », nous rappelons qu’il faut laisser la justice faire son œuvre pour déterminer si des faits délictueux ont été commis. Politiquement, nous réaffirmons notre volonté de travailler ensemble au sein de notre majorité de gauche à l’intérêt général de la population. C’est cette force collective qui produit des résultats pour les habitants de notre territoire. »
Rassemblement pour Brest
« Nous sommes attachés à la présomption d’innocence, c’est à la justice qu’il appartiendra d’établir les responsabilités, mais cette affaire entache l’image de Brest, et la réputation de ses élus. Il importe d’urgence de prendre des initiatives de nature à lever les suspicions qui pourraient naturellement porter sur d’autres pans de l’activité de l’exécutif municipal et métropolitain. Faute de contrôle démocratique suffisant, vous ne maîtrisez pas les risques. Il ne reste plus alors que la justice pour redresser les errements, ce qui est regrettable. Elle va suivre son cours mais nous en appelons, sans attendre, à un changement drastique dans le fonctionnement de nos collectivités. »
Mouvement radical
« Deux choses sont à retenir : 1) L’appareil judiciaire est en œuvre pour établir la vérité et justicier les personnes responsables et/ou coupables, il ne m’appartient pas de commenter cela. 2) Quant à l’aspect politique, pour la continuité des travaux des deux assemblées, cette affaire doit être rapidement traitée par le maire-président. »
La République en Marche
Les marcheurs brestois et métropolitains prennent acte de la démission d’Alain Masson, à la suite des révélations sur le fonctionnement de l’association qu’il dirigeait conjointement avec Jean-Luc Polard. Cette démission est logique mais des interrogations demeurent. La justice doit sereinement faire son travail mais cette affaire jette le trouble sur la municipalité et au-delà sur l’image de la ville de Brest et de la métropole. Nous, marcheurs, demandons que toute la lumière soit faite sur ces pratiques et que les leçons en soient tirées. »
Brest nouvelle alternative
« Nous demandons la tenue d’un conseil municipal extraordinaire pour faire toute la lumière sur cette affaire. Ce conseil ne pouvant se tenir que par une demande écrite d’au moins un tiers des élus, nous appelons les autres groupes composant le conseil municipal à se joindre à nous pour exiger légalement la tenue de cette session extraordinaire. »
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