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vendredi 30 novembre 2018
Drôle : je demande Luraghi et j'obtiens Mélenchon qui manifestement me lit toujours...
Depuis trois jours, je me suis remise à parler d’animaux
préhistoriques ou quasi pour décrire Pascal Edouard Cyprien Luraghi,
parce que ce sont bien ces images-là qui s’imposent en l’occurrence,
comme je l’avais déjà fait fin août 2010 avec une belle série de vidéos
sur le tyrannosaure rex (cliquer sur les images pour les agrandir et
lire les textes, qui s’ils ne sont pas très propres, vu que nous
luttions contre un animal particulièrement primaire et vulgaire en vue
de le faire reculer, ont quand même pour énorme avantage de témoigner de
la réalité de nos échanges publics à cette époque) :
Du coup, son supporter Jean-Luc Mélenchon accuse Libération de
l’avoir traité de « diplodocus » il y a 32 ans… à la manière dont
Cyprien Luraghi et avant lui son complice Georges Cortez m’ont tous deux
mensongèrement accusée de les avoir traités de « pédophiles » à compter
de l’année 2009 : je ne l’ai en réalité jamais fait, ce sont eux-mêmes
qui se vantaient d’en être dans leurs écrits publics…
Avec ça, son délire victimaire à l’égard des « classes
prétentieuses » est aussi, très exactement, celui de mes agresseurs
depuis le début ou presque, dans les années 1990. Il fut clairement
exprimé par le proxénète B.I. dans une attestation qu’il s’était faite
pour lui-même contre moi… ainsi que par sa complice la mère maquerelle
Josette Brenterch du NPA de Brest à de multiples reprises dans ses
propos publics me concernant, à compter de l’été 2010.
Histoire de remettre les pendules à l’heure, je rappelle que ces
gens, qui multiplient crimes et délits en tous genres depuis des
lustres, ont tenté de m’assassiner à de multiples reprises à compter des
années 1990 et bel et bien assassiné des ingénieurs de mon entourage et
bien d’autres personnes… en toute impunité jusqu’à ce jour.
Dans un billet hier soir sur son blog, le leader de la France insoumise a de nouveau attaqué les médias.
Sans le savoir, il s’attaque… à lui-même. Hier soir, Jean-Luc Mélenchon a signé un billet sur son blog afin de répondre à ses « détracteurs » qui critiquent les « conditions de la composition de la liste pour les élections européennes »
de la France insoumise. Il y a quelques jours, trois personnes ont
quitté le mouvement avec fracas critiquant le fait d’être « mal placées sur la liste« ,
précise le leader de gauche. Ainsi, le député des Bouches-du-Rhône a
vilipendé les médias, qui, selon lui, ne cherchent qu’à nuire à la
France insoumise en relayant notamment la parole de ces anciens membres
de son mouvement.
« Un bashing permanent qui cherche à nous dénigrer »
« Le parti médiatique continue son pilonnage de commande : un
bashing permanent depuis des mois où pas une semaine, pas un jour ne
passent sans un article, un son ou une image qui cherche à nous
dénigrer. J’en prends la large part comme on le sait« , écrit Jean-Luc Mélenchon, ajoutant : « Cela
me vaut une incroyable ferveur dans le milieu populaire qui déteste
tout ce que ces gens de média aiment (…) Et cela me vaut un dédain
confirmé des classes prétentieuses. »
Le leader de la France insoumise cible ensuite un article de « Libération » datant de près de 30 ans. « Je
vis avec (les classes prétentieuses, ndlr) depuis trente ans au moins,
lorsque élu pour le première fois, je fus qualifié le lendemain dans
‘Libération’ de ‘dernier dinosaure marxiste’« , lance Jean-Luc Mélenchon. Avant de conclure : « J’ai eu le temps d’en prendre mon parti. Je prends doucement l’habitude de vivre entouré d’une telle haine de caste. »
« Je suis le dernier diplodocus du Parti socialiste »
Ce matin, « Chez Pol« ,
la newsletter de « Libération » sur l’actualité politique française, a
tenu à répondre aux accusations du député LFI. Tout d’abord, le
quotidien reconnaît que le 30 septembre 1986, il y a 32 ans, deux jours
après l’élection de Jean-Luc Mélenchon au Sénat, « il était bien question de dinosaure » dans un article consacré à l’homme politique alors âgé de 35 ans. « Sauf
que cette métaphore n’est pas faite par notre quotidien mais par…
Jean-Luc Mélenchon lui-même. Qui déclare donc : ‘Je suis le dernier
diplodocus du Parti socialiste’« , précise « Libération » avec une photo de l’article à l’appui.
« Le leader de la France insoumise accuse donc ‘Libé’ de l’avoir
dénigré dès son premier jour de mandat alors que c’est lui-même qui
s’est comparé à un dinosaure« , souligne le journal, ajoutant qu’il s’était également défini lui-même comme « marxiste »
dans l’article. Par ailleurs, le journaliste Guy Benhamou, qui avait
rédigé l’article en 1986, avait aussi relativisé l’expression de
Jean-Luc Mélenchon : « Mais s’il revendique 140 millions d’années, il sera quand même le plus jeune sénateur de France, avec tout juste 35 ans. »
Dans son dernier billet de blog, Jean-Luc Mélenchon accuse
«Libération» de l’avoir qualifié, dès 1986 et sa première élection, de
«dernier dinosaure marxiste». Sauf que c’est lui-même qui se qualifie de
la sorte.
La confusion préhistorique de Mélenchon
Jean-Luc Mélenchon l’a dit, en février dernier : «Nous n’avons pas d’autre adversaire concret que le « parti médiatique ».» Aussi, lorsque son mouvement La France insoumise est en proie à de grosses tensions internes
et que la presse, toute dingo qu’elle est, s’en fait l’écho, le député
des Bouches-du-Rhône voit rouge. Et s’en prend logiquement aux médias.
Hier, dans une nouvelle note de blog, Jean-Luc Mélenchon bourrine sans retenue contre ce qu’il présente comme «un
bashing permanent depuis des mois où pas une semaine, pas un jour ne
passent sans un article, un son ou une image qui cherche à dénigrer» LFI.
Il estime, comme on le lit dans la capture d’écran ci-dessous, qu’il
subit un tel bashing depuis 1986 et son premier jour d’élu : «Cela
me vaut un dédain confirmé des classes prétentieuses. Je vis avec depuis
trente ans au moins lorsque élu pour la première fois, je fus qualifié
le lendemain dans Libération de « dernier dinosaure marxiste ». J’avais trente-cinq ans.»
«Le plus jeune des diplodocus»
Effectivement, le 30 septembre 1986, Libération avait bien consacré un article à «Jean-Luc Mélenchon
(sic)», élu deux jours plus tôt au Sénat dont il devenait le benjamin.
Il est bien question de dinosaures dans cet article. Sauf que cette
métaphore n’est pas faite par notre quotidien mais par… Jean-Luc
Mélenchon lui-même. Qui déclare donc : «Je suis le dernier diplodocus du Parti socialiste.» Le leader de La France insoumise accuse donc Libé de
l’avoir dénigré dès son premier jour de mandat alors que c’est lui-même
qui s’est comparé à un dinosaure. C’est aussi Jean-Luc Mélenchon qui se
définissait, tout seul comme un grand, comme «marxiste».
Le journaliste faisait les sous-titres : il s’agissait pour le nouvel élu «d’affirmer
qu’il a pour lui la durée, thème cher aux mitterrandistes». «Mais s’il
revendique 140 millions d’années, il sera quand même le plus jeune
sénateur de France, avec tout juste 35 ans», écrivait Guy Benhamou.
Une jeunesse remise en avant à la toute fin de l’article, lorsque
Jean-Luc Mélenchon faisait preuve de son côté provoc’. «Un vrai diplodocus, il l’avait bien dit. Mais le plus jeune des diplodocus», concluait le journaliste.
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