Cela y ressemble quand même un peu.
Lorsqu’est publié l’article ci-dessous, Pascal Edouard Cyprien Luraghi fait son itinérance parisienne en famille, avec passage obligatoire par le château de Malmaison à Rueil, ce qu’il racontera à ses lecteurs dès son retour chez lui, dans le Lot, fin février 2009, notamment sous le titre de « Joséphine ».
En ce mois de février 2009, il s’est aussi rendu dans les locaux de Rue89, voir tous ses bons amis journaleux de « gôche », et leur super modératrice Corine, qui vire gentiment presque tous les posts et comptes de « méchants » qu’il lui signale directement par téléphone.
Selon l’article ci-dessous, la méga teuf au château de Malmaison pour les 50 ans d’Eric Zemmour aurait eu lieu à l’automne 2008, soit après la suppression de mon premier compte sur Rue89 par David Servenay le 6 septembre 2008, et alors que je me suis réinscrite sous le pseudonyme de « jexiste », au grand dam des « déconnologues », Pascal Edouard Cyprien Luraghi en tête.
Ceux-ci organiseront aussi une méga teuf sur le site Rue89 juste après le retour du chef parmi eux, fin novembre 2008 – il boudait le site depuis environ six mois, reprochant à ses journalistes modérateurs de l’avoir « censuré » alors qu’il insultait d’autres riverains.
L’ami de Jean-Luc Mélenchon « Charles Mouloud » avait ouvert le bal avec cet article visant tout spécialement une victime de harcèlement moral dans le travail :
https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-les-moulouderies-de-charles/20081203.RUE7015/j-ai-connu-une-rue-sympathique-il-y-a-quelques-mois.html
Il ne reste aujourd’hui aucun des près de 4000 commentaires qu’il avait alors suscités, ils ont tous été supprimés.
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/zemmour-le-fievreux-du-samedi-soir_738791.html
Il déboule au restaurant à l’heure où les serveurs replient les nappes, serre mécaniquement la main du barman, réclame une table avec la tranquille assurance des gens de télévision. Les têtes des derniers clients se dévissent. « C’est Zemmour! Tu l’as vu, l’autre soir, chez Ruquier? Qu’est-ce qu’il a mis à Fabius… » Il est déjà en train de commander une sole. Avec de la purée. Sa purée. Le garçon prend note. Une sole-purée. « Oui, enfin, celle qu’on me sert d’habitude: la purée maison, avec les vraies patates, la crème fraîche et le beurre, vous voyez? » Il voit. C’est un sage. Il n’a pas envie de finir comme ces romancières ou ces politiques invités pour badiner sur le plateau de On n’est pas couché, chaque samedi, sur France 2, et qui redescendent du ring, roués de mots, l’ego en écharpe, des sanglots dans la gorge.
Eric Zemmour, le fiévreux du samedi soir, a 50 ans, des nerfs de rottweiller et une solide culture classique en guise de barre à mine. Sa raie sur le côté doit remonter à sa première photo de classe et c’est pour ça qu’il donne si souvent l’impression d’être dans une cour de récréation, à faire monter la mayonnaise. Il y a quelques semaines, le pape du slam, Grand Corps Malade, a goûté, stoïque, aux bourrades du sale gosse. « C’est consternant! » attaque Zemmour, à l’écoute des psalmodies de l’idole des ZUP. « Ça vient du coeur… », tente le chanteur Jean-Louis Aubert, solidaire de son collègue artiste. « Bah! oui, c’est ça le problème, jubile le polémiste. Les rédactions d’élèves de CM2, aussi, ça vient du coeur… »
Avec Zemmour, c’est donc le grand retour du catch à la télé. Fièrement, il énumère sa collection de scalps. Le comique Michael Youn, au bord de la dépression après avoir été traité de « professionnel de la bonne humeur pour gamins de moins de 4 ans ». Jacques Attali désertant le plateau. Robert Ménard, ex-Reporter sans frontières, hurlant en coulisses. Cali, le barde de Ségolène Royal, propulsé en orbite. Harry Roselmack, présentateur aguerri mais romancier débutant, que son tortionnaire a dû consoler dans sa loge après l’avoir dépecé. « Ce n’est pas si grave, Harry, c’est juste de la télé, tu connais? »
Zemmour, qui a raté l’ENA, finira à l’Ina. Il a sa carte de fidélité au zapping de fin de semaine, ses plus beaux clashs tournent en boucle sur You Tube et sa marionnette aboie, depuis peu, aux Guignols de Canal +. « Devant les caméras, il a un atout majeur: il n’est jamais ennuyeux, car il ne s’ennuie jamais », juge son mentor, l’animateur Laurent Ruquier. L’écrivain américain Ted Stanger, qui, lui aussi, s’est fait passer à tabac par le ludion, en parle comme un pur produit de l’intelligence à la française, ce beau pays où « la réalité des actes sera toujours réduite à néant par l’agilité de la parole ».
Un pied à la télé, l’autre au Figaro, mais le coeur vissé à la littérature, Zemmour jouit de sa bruyante notoriété avec l’ardeur d’un amant tardivement récompensé. Dans le métro, il rentre dans le chou des usagers qui l’apostrophent, sourit à ceux qui lèvent le pouce, affûte encore et toujours le glaive de sa rhétorique réactionnaire. « Au Figaro, on le surnomme ‘Tu connais ma thèse’ », s’amuse son collègue Bruno Jeudy.
Dans sa première vie de chroniqueur politique à la plume vive et aux obédiences souverainistes, Zemmour a beaucoup fréquenté la bande à Pasqua. Son ami William Abitbol, ex-plume de l’ancien ministre de l’Intérieur, se souvient des visites régulières du journaliste, Place Beauvau. « C’est moi qui lui ai inculqué l’axiome de Jacques Pilhan, notre maître en communication: ‘Tout ce qui ne passe pas au 20 Heures n’existe pas’… »
Zemmour a retenu la leçon. Aujourd’hui, quand il guerroie à la télé contre les hérauts du féminisme, de l’antiracisme ou du communautarisme, il a le sentiment de porter, à lui seul, « la parole inaudible de millions de Français ». Les menaces de procès, les tentatives de boycott glissent sur lui comme la rosée du matin. « Du maccarthysme de gauche… », pouffe-t-il.
On est comme on naît. Eric Zemmour, lui, est le fils d’un ambulancier de Drancy (Seine-Saint-Denis) et d’une mère au foyer. Enfance pauvre, mais généreuse en coups de ceinture. Il se venge sur les études: Sciences po et l’ENA, ratée d’un cheveu, à l’oral. « L’humiliation de ma vie », reconnaît-il. Le destin d’un recalé de l’ENA est aussi sûrement tracé que celui d’un diplômé. « Eric aura toujours une revanche à prendre sur ceux qui ont triomphé là où il a échoué et qui, aujourd’hui, gouvernent le monde », dit son ami le journaliste Nicolas Domenach.
Quand il ne déboulonne pas les intouchables du petit écran, Zemmour joue les poils à gratter dans les colonnes du Figaro Magazine. Dernièrement, il a vitriolé Rachida Dati, coupable, à ses yeux, d’avoir prénommé sa fille Zohra, « une insulte faite aux institutions ». Devant sa purée, il en rajoute une cuillerée. « Moi, mes ancêtres étaient berbères, mais ma mère s’appelle Lucette et mon père, Roger. Quand un ministre s’assoit sur les règles minimales de l’ascèse républicaine, il faut l’écrire. Et tant mieux si ça choque les professionnels du ‘chocage’… »
L’automne dernier, Zemmour a fêté ses 50 ans. Sa femme avait réservé la petite Malmaison, l’ancienne résidence de l’impératrice Joséphine, à Rueil, en banlieue parisienne. Des jeunes gens en uniforme de grenadier de l’Empire y accueillaient les invités. On a même fait tonner le canon. L’amoureux de Bonaparte était aux anges. Tous ses amis étaient là, en une brochette éclectique, à l’image de l’omnijournaliste. Le socialiste Jean-Christophe Cambadélis trinquait avec Henri Guaino sous le regard attendri de Dick Rivers. Au lendemain d’une émission, l’ancien rocker avait appelé Zemmour pour lui déclarer sa flamme: « C’est formidable ce que vous dites à la télé. » En voilà un, au moins, qui peut passer chez Ruquier sans son gilet pare-balles.
Les soirs d’enregistrement, quand il a fini de désosser les actrices sur le retour, Zemmour s’astreint à lire un ou deux chapitres de Chateaubriand ou de Stendhal. Il s’immerge dans les grands classiques comme d’autres plongent dans les eaux du Gange, pour se purifier l’esprit. Ces derniers temps, Domenach a pris en horreur la défroque de bouffon cathodique de son ami: « Ça serait dommage qu’un type qui a toujours rêvé de l’Académie française finisse aux Grosses Têtes… » Zemmour, pensif, hausse les épaules. Pas mal, ça. Bien envoyé. Faudra qu’il pense à le ressortir à un écrivain raté.
Lorsqu’est publié l’article ci-dessous, Pascal Edouard Cyprien Luraghi fait son itinérance parisienne en famille, avec passage obligatoire par le château de Malmaison à Rueil, ce qu’il racontera à ses lecteurs dès son retour chez lui, dans le Lot, fin février 2009, notamment sous le titre de « Joséphine ».
En ce mois de février 2009, il s’est aussi rendu dans les locaux de Rue89, voir tous ses bons amis journaleux de « gôche », et leur super modératrice Corine, qui vire gentiment presque tous les posts et comptes de « méchants » qu’il lui signale directement par téléphone.
Selon l’article ci-dessous, la méga teuf au château de Malmaison pour les 50 ans d’Eric Zemmour aurait eu lieu à l’automne 2008, soit après la suppression de mon premier compte sur Rue89 par David Servenay le 6 septembre 2008, et alors que je me suis réinscrite sous le pseudonyme de « jexiste », au grand dam des « déconnologues », Pascal Edouard Cyprien Luraghi en tête.
Ceux-ci organiseront aussi une méga teuf sur le site Rue89 juste après le retour du chef parmi eux, fin novembre 2008 – il boudait le site depuis environ six mois, reprochant à ses journalistes modérateurs de l’avoir « censuré » alors qu’il insultait d’autres riverains.
L’ami de Jean-Luc Mélenchon « Charles Mouloud » avait ouvert le bal avec cet article visant tout spécialement une victime de harcèlement moral dans le travail :
https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-les-moulouderies-de-charles/20081203.RUE7015/j-ai-connu-une-rue-sympathique-il-y-a-quelques-mois.html
Il ne reste aujourd’hui aucun des près de 4000 commentaires qu’il avait alors suscités, ils ont tous été supprimés.
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/zemmour-le-fievreux-du-samedi-soir_738791.html
Zemmour, le fiévreux du samedi soir
Par Henri Haget, publié le 05/02/2009 à 11:24
Du plateau de France 2 aux colonnes du Figaro, cet admirateur de Bonaparte prend plaisir à jouer le rôle du sale gosse. Au risque de choquer.
Il déboule au restaurant à l’heure où les serveurs replient les nappes, serre mécaniquement la main du barman, réclame une table avec la tranquille assurance des gens de télévision. Les têtes des derniers clients se dévissent. « C’est Zemmour! Tu l’as vu, l’autre soir, chez Ruquier? Qu’est-ce qu’il a mis à Fabius… » Il est déjà en train de commander une sole. Avec de la purée. Sa purée. Le garçon prend note. Une sole-purée. « Oui, enfin, celle qu’on me sert d’habitude: la purée maison, avec les vraies patates, la crème fraîche et le beurre, vous voyez? » Il voit. C’est un sage. Il n’a pas envie de finir comme ces romancières ou ces politiques invités pour badiner sur le plateau de On n’est pas couché, chaque samedi, sur France 2, et qui redescendent du ring, roués de mots, l’ego en écharpe, des sanglots dans la gorge.
Eric Zemmour, le fiévreux du samedi soir, a 50 ans, des nerfs de rottweiller et une solide culture classique en guise de barre à mine. Sa raie sur le côté doit remonter à sa première photo de classe et c’est pour ça qu’il donne si souvent l’impression d’être dans une cour de récréation, à faire monter la mayonnaise. Il y a quelques semaines, le pape du slam, Grand Corps Malade, a goûté, stoïque, aux bourrades du sale gosse. « C’est consternant! » attaque Zemmour, à l’écoute des psalmodies de l’idole des ZUP. « Ça vient du coeur… », tente le chanteur Jean-Louis Aubert, solidaire de son collègue artiste. « Bah! oui, c’est ça le problème, jubile le polémiste. Les rédactions d’élèves de CM2, aussi, ça vient du coeur… »
Avec Zemmour, c’est donc le grand retour du catch à la télé. Fièrement, il énumère sa collection de scalps. Le comique Michael Youn, au bord de la dépression après avoir été traité de « professionnel de la bonne humeur pour gamins de moins de 4 ans ». Jacques Attali désertant le plateau. Robert Ménard, ex-Reporter sans frontières, hurlant en coulisses. Cali, le barde de Ségolène Royal, propulsé en orbite. Harry Roselmack, présentateur aguerri mais romancier débutant, que son tortionnaire a dû consoler dans sa loge après l’avoir dépecé. « Ce n’est pas si grave, Harry, c’est juste de la télé, tu connais? »
« Il n’est jamais ennuyeux, car il ne s’ennuie jamais »
Zemmour, qui a raté l’ENA, finira à l’Ina. Il a sa carte de fidélité au zapping de fin de semaine, ses plus beaux clashs tournent en boucle sur You Tube et sa marionnette aboie, depuis peu, aux Guignols de Canal +. « Devant les caméras, il a un atout majeur: il n’est jamais ennuyeux, car il ne s’ennuie jamais », juge son mentor, l’animateur Laurent Ruquier. L’écrivain américain Ted Stanger, qui, lui aussi, s’est fait passer à tabac par le ludion, en parle comme un pur produit de l’intelligence à la française, ce beau pays où « la réalité des actes sera toujours réduite à néant par l’agilité de la parole ».
Un pied à la télé, l’autre au Figaro, mais le coeur vissé à la littérature, Zemmour jouit de sa bruyante notoriété avec l’ardeur d’un amant tardivement récompensé. Dans le métro, il rentre dans le chou des usagers qui l’apostrophent, sourit à ceux qui lèvent le pouce, affûte encore et toujours le glaive de sa rhétorique réactionnaire. « Au Figaro, on le surnomme ‘Tu connais ma thèse’ », s’amuse son collègue Bruno Jeudy.
Dans sa première vie de chroniqueur politique à la plume vive et aux obédiences souverainistes, Zemmour a beaucoup fréquenté la bande à Pasqua. Son ami William Abitbol, ex-plume de l’ancien ministre de l’Intérieur, se souvient des visites régulières du journaliste, Place Beauvau. « C’est moi qui lui ai inculqué l’axiome de Jacques Pilhan, notre maître en communication: ‘Tout ce qui ne passe pas au 20 Heures n’existe pas’… »
Zemmour a retenu la leçon. Aujourd’hui, quand il guerroie à la télé contre les hérauts du féminisme, de l’antiracisme ou du communautarisme, il a le sentiment de porter, à lui seul, « la parole inaudible de millions de Français ». Les menaces de procès, les tentatives de boycott glissent sur lui comme la rosée du matin. « Du maccarthysme de gauche… », pouffe-t-il.
On est comme on naît. Eric Zemmour, lui, est le fils d’un ambulancier de Drancy (Seine-Saint-Denis) et d’une mère au foyer. Enfance pauvre, mais généreuse en coups de ceinture. Il se venge sur les études: Sciences po et l’ENA, ratée d’un cheveu, à l’oral. « L’humiliation de ma vie », reconnaît-il. Le destin d’un recalé de l’ENA est aussi sûrement tracé que celui d’un diplômé. « Eric aura toujours une revanche à prendre sur ceux qui ont triomphé là où il a échoué et qui, aujourd’hui, gouvernent le monde », dit son ami le journaliste Nicolas Domenach.
Quand il ne déboulonne pas les intouchables du petit écran, Zemmour joue les poils à gratter dans les colonnes du Figaro Magazine. Dernièrement, il a vitriolé Rachida Dati, coupable, à ses yeux, d’avoir prénommé sa fille Zohra, « une insulte faite aux institutions ». Devant sa purée, il en rajoute une cuillerée. « Moi, mes ancêtres étaient berbères, mais ma mère s’appelle Lucette et mon père, Roger. Quand un ministre s’assoit sur les règles minimales de l’ascèse républicaine, il faut l’écrire. Et tant mieux si ça choque les professionnels du ‘chocage’… »
L’automne dernier, Zemmour a fêté ses 50 ans. Sa femme avait réservé la petite Malmaison, l’ancienne résidence de l’impératrice Joséphine, à Rueil, en banlieue parisienne. Des jeunes gens en uniforme de grenadier de l’Empire y accueillaient les invités. On a même fait tonner le canon. L’amoureux de Bonaparte était aux anges. Tous ses amis étaient là, en une brochette éclectique, à l’image de l’omnijournaliste. Le socialiste Jean-Christophe Cambadélis trinquait avec Henri Guaino sous le regard attendri de Dick Rivers. Au lendemain d’une émission, l’ancien rocker avait appelé Zemmour pour lui déclarer sa flamme: « C’est formidable ce que vous dites à la télé. » En voilà un, au moins, qui peut passer chez Ruquier sans son gilet pare-balles.
Il se purifie l’esprit en lisant les grands classiques
Les soirs d’enregistrement, quand il a fini de désosser les actrices sur le retour, Zemmour s’astreint à lire un ou deux chapitres de Chateaubriand ou de Stendhal. Il s’immerge dans les grands classiques comme d’autres plongent dans les eaux du Gange, pour se purifier l’esprit. Ces derniers temps, Domenach a pris en horreur la défroque de bouffon cathodique de son ami: « Ça serait dommage qu’un type qui a toujours rêvé de l’Académie française finisse aux Grosses Têtes… » Zemmour, pensif, hausse les épaules. Pas mal, ça. Bien envoyé. Faudra qu’il pense à le ressortir à un écrivain raté.
Le flingueur flingué par…
…Clémentine Autain (adjointe au maire de Paris: « Sous son érudition de grand bourgeois, Zemmour conçoit son rapport au sexe opposé avec les mêmes préjugés que les jeunes arabo-musulmans de banlieue, que je côtoie tous les jours. A l’en croire, plus un homme respecte une femme, moins il bande. Pour lui aussi, il doit y avoir de lourdes humiliations derrière tout ça. La dernière fois que l’ai croisé sur un plateau de télévision, j’ai eu envie de lui souffler l’adresse d’un psy. »
…Clémentine Autain (adjointe au maire de Paris: « Sous son érudition de grand bourgeois, Zemmour conçoit son rapport au sexe opposé avec les mêmes préjugés que les jeunes arabo-musulmans de banlieue, que je côtoie tous les jours. A l’en croire, plus un homme respecte une femme, moins il bande. Pour lui aussi, il doit y avoir de lourdes humiliations derrière tout ça. La dernière fois que l’ai croisé sur un plateau de télévision, j’ai eu envie de lui souffler l’adresse d’un psy. »
…Catherine Breillat (réalisatrice): « Dans
l’émission de Ruquier, Zemmour a démoli mon livre et moi j’étais
absolument fascinée par la pomme d’Adam ridicule qui se balade au-dessus
de son col de chemise. Avec son discours à la Rambo et son corps de
freluquet, Zemmour joue de ses neurones comme d’autres jouent de leurs
muscles. Le genre de type suffisamment cérébral pour penser que, si les
femmes le détestent, c’est qu’il les séduit un peu. Le pire, c’est qu’il
n’a pas forcément tort. »
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