Halte à la censure et la désinformation satanistes !
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jeudi 8 novembre 2018
Attaqué par ses amis, Mélenchon prend la tangente Roma
Retour sur le cas Mélenchon.
Dans une vidéo par lui mise en ligne peu après les perquisitions, on
l’a vu, fort pessimiste, dire qu’il allait perdre. Etant donnés le
déploiement policier et tout le reste, n’est-ce pas, il ne pouvait pas
en être autrement…
Je rappelle ici qu’en ce qui me concerne, si j’ai bien été condamnée
une fois – pas plus d’une fois contrairement à ce que prétend l’avocat
de Pascal Edouard Cyprien Luraghi – j’ai quand même pu obtenir
l’annulation de ce jugement en appel et n’ai ensuite plus été condamnée,
même en me défendant seule contre un avocat qui se présente comme
spécialisé – et dont les « dernières actualités » publiques s’arrêtent
actuellement au 12 avril 2018…
Or, je suis réellement bien seule. Je suis très isolée en conséquence
des campagnes de calomnies publiques dont je suis victime depuis les
années 2008-2010 de la part de ces mêmes personnes qui, violant de plus
continuellement l’intimité de ma vie privée, me harcelant et m’ayant
maintes fois menacée de mort, s’amusent encore à multiplier à mon
encontre les dénonciations calomnieuses et tentatives d’escroqueries au
jugement. Et mes moyens financiers ne sont pas les leurs – très
nombreux, ayant l’appui de partis politiques et d’organisations
criminelles de grande envergure, ils sont fort riches et s’activent
aussi pour m’empêcher de travailler comme de bénéficier de toute
indemnité.
Je suis donc particulièrement seule et démunie.
Ce n’est pas le cas de Jean-Luc Mélenchon qui quoiqu’en difficulté
reste à la tête d’une vraie machine de guerre politico-médiatique
disposant encore de toute une armada d’avocats.
Mais une chose est bien certaine : de mon côté, j’ai bien été poursuivie et condamnée – uniquement par les magistrats ultra CORROMPUS
du Tribunal de Grande Instance de Brest, dont le jugement illégal du 11
juin 2013 a été annulé en appel à Rennes le 2 décembre 2015 et n’a
jamais été confirmé à Paris quant au fond par la procédure abusive de
Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ni en première instance ni en appel –
sur la base de seules dénonciations calomnieuses d’individus m’accusant
mensongèrement de faits délictueux qu’en réalité je n’ai jamais commis,
car ce sont eux qui multiplient les infractions pénales à mon encontre,
pas l’inverse, et qu’ils ont pu trouver à plusieurs reprises des avocats
sans aucun scrupule qui acceptent de les défendre en attaquant leurs
victimes comme je l’ai été au vu et au su de tous à leur propre
initiative, puisqu’ils n’ont cessé de publier à ce sujet, d’abord sur
leurs différents blogs et sites de « combat », ensuite, également, dans
les quelques médias qui se retrouvent fièrement listés sur son blog
principal par Pascal Edouard Cyprien Luraghi dans l’unique article
public qu’il consacre encore à ses harcèlements judiciaires à mon
encontre.
Jean-Luc Mélenchon doit bien savoir qu’en ce qui le concerne, les
faits dont il est soupçonné étant ce qu’ils sont, quoique très entouré
et puissamment soutenu par tous ses fans, il a peu de chances d’obtenir
les mêmes résultats que moi au final, du moins sur le plan judiciaire,
pour ce que le public en connaît.
Ceci étant, le défaitisme qu’il exprimait au lendemain des
perquisitions est exactement le même que celui dont fut également
atteint Joël Roma à l’automne 2005 lorsqu’il décida d’abandonner la
bataille judiciaire alors envisagée contre ses anciens camarades de la
LCR à propos de l’association AC ! Brest dont, toujours le seul
président légitime, il venait d’être de fait dépossédé – et tout son
Conseil d’Administration avec lui – par une équipe d’usurpateurs
illégalement mise en place par la criminelle Josette Brenterch.
Il était donc en droit. Nous étions tous en droit. Mais un dossier de
déclaration de changement de situation déposé à la Sous-Préfecture de
Brest venait de se perdre après lui avoir été retourné par courrier afin
qu’il puisse le compléter d’une pièce manquante. Nous n’avons jamais su
laquelle, ce courrier contenant tout notre dossier n’étant jamais
parvenu à son destinataire. Joël Roma avait alors compris que cette
perte malencontreuse qui arrangeait bien les affaires de Josette
Brenterch et de son équipe d’usurpateurs ne pouvait être le fruit du
hasard et résultait probablement d’une interception de courrier illégale
par ses anciens camarades de la LCR.
Ayant fait partie des leurs durant plusieurs années (de 1999 à 2005),
il connaissait bien toutes leurs méthodes et disait avoir dès lors
compris que nous avions contre nous beaucoup de monde, notamment tous
les syndicats, soit un ensemble de « forces » contre lesquelles il
refusait de se battre, s’estimant d’avance perdant à tous les coups,
quoique dans ses droits.
Etant le président de l’association, il était en effet, à ce titre,
le seul à pouvoir prendre une décision quant aux suites à donner au
putsch dont nous avions tous été victimes.
Ce fut donc dès cet instant l’abandon de tous les recours envisagés
collectivement pour AC ! Brest au bénéfice de la réponse « politique »
personnelle de son président, une réponse à ses anciens camarades de
« lutte » qu’il entendait privilégier afin de se défendre
personnellement contre toutes leurs accusations mensongères, mais qui
n’a jamais produit l’effet escompté, à savoir sa réhabilitation
personnelle, sa réintégration parmi eux.
Par la suite, il me fera de nouvelles révélations sur toutes les
méthodes illégales de ses anciens amis, notamment celles dont j’étais
personnellement déjà victime lors de mon arrivée dans l’association AC !
Brest en début d’année 2004, et dont il avait dès lors été amplement
informé par les cadres de son parti lors de réunions internes
spécialement y consacrées et qu’ils avaient organisées à l’attention de
tous les militants de la LCR qui allaient être amenés à me rencontrer
dans cette association et ses abords.
La LCR (aujourd’hui NPA) est une organisation criminelle dont il
avait fait partie en toute connaissance de cause durant plusieurs
années. En 2006 et 2007, il adhérait toujours à toutes ses positions,
ses objectifs et ses moyens, regrettant seulement de ne plus y être
considéré comme auparavant. Il n’était donc pas prêt à dénoncer quoi que
ce soit, et à ma connaissance, il ne l’a jamais fait, ne se plaignant
toujours que des maltraitances dont il était ou s’estimait
personnellement victime.
Outre qu’il trouvait toujours parfaitement normal et pleinement
justifié d’assassiner des ingénieurs, notamment mes proches et moi-même,
il était de toute façon tout aussi conscient d’être lui-même passible
de poursuites pour complicité de ces crimes et avait adopté à cet égard
la même défense que ses anciens amis de la LCR, laquelle consiste
toujours, comme chacun le sait, à multiplier toutes les attaques contre
les victimes « récalcitrantes », c’est-à-dire celles chez qui il reste
encore un souffle de vie.
Dans ce cadre-là, il était donc et a toujours été hors la loi, tout
comme ses anciens camarades de « lutte » de la LCR, ce qui lui
interdisait de facto tout recours à la « justice bourgeoise » pour
régler ses comptes avec eux.
Aussi, lorsqu’à compter de juin 2010 il s’est trouvé brutalement
exposé dans les écrits publics du cybercriminel et mythomane Pascal
Edouard Cyprien Luraghi me concernant, avec à nouveau tout un tas
d’affabulations calomnieuses en provenance de la criminelle Josette
Brenterch, laquelle ne lui a jamais pardonné d’avoir toujours refusé de
lui obéir lorsqu’en 2004 et 2005 elle en exigeait mon exclusion de
l’association AC ! Brest – mais alors seul militant de la LCR parmi les
membres actifs de ladite association, il ne pouvait pas s’y comporter
comme simple courroie de transmission des ordres déraisonnables de sa
chef dans ce parti, à savoir la susdénommée Josette Brenterch – sa
réaction de défense contre la publication quasi quotidienne de nouvelles
accusations mensongères et affabulations délirantes de cette folle fut
derechef exclusivement « politique ».
Après avoir été exclu de la LCR, il avait un temps milité au Parti
des Travailleurs ayant fusionné en 2008 dans le Parti Ouvrier
Indépendant.
Cette fois, il a choisi d’intégrer les rangs d’un autre parti détesté
par ses anciens amis de la LCR et lui aussi beaucoup plus important que
le leur, mais encore plus que le précédent, c’est-à-dire qu’il a
rejoint le Front National dont il est vite devenu localement l’un des
meilleurs éléments…
Or, que fait Jean-Luc Mélenchon ?
Après avoir pesté contre le « système » pour la forme bien plus que
par conviction, il élargit lui aussi sa base dans cette même direction…
Par Recueilli par Pierre-Olivier Julien, publié le 7 novembre 2018 à 21h03, modifié le8 novembre 2018.
Le
leader de la France Insoumise Jean-Luc Mélenchon tient un meeting à Pau
ce jeudi soir. Pour la République des Pyrénées, il évoque les élections
européennes, la défense européenne, mais parle aussi municipales, et à
nouveau perquisitions...
Dans le cadre de la
campagne pour les élections européennes, Jean-Luc Mélenchon, leader de
La France insoumise, tient un meeting ouvert à tous ce jeudi à 19h30 au
parc des expos de Pau (hall Aragon). L’occasion pour le député des
Bouches-du-Rhône, déjà venu en Béarn en 2012 (pour la présidentielle) et
2013 (pour soutenir Olivier Dartigolles aux municipales), de délivrer
son message pour une autre Europe, mais aussi pour tacler la politique
d’Emmanuel Macron...
LE
SCAN POLITIQUE/VIDÉOS - La Commission européenne a retoqué le budget
italien proposé par le gouvernement populiste au pouvoir à Rome. «Les
Français ont intérêt à défendre ceux qui défendent la souveraineté
populaire», a déclaré Jean-Luc Mélenchon.
Jean-Luc Mélenchon
s'invite dans le bras de fer qui voit s'opposer le gouvernement italien
et la Commission européenne. Interrogé mercredi à Strasbourg, le leader
de La France insoumise a déclaré qu'il fallait «évidemment prendre parti
pour le gouvernement italien», dont le projet de budget 2019 est retoqué par Bruxelles.
Bien que le budget italien prévoit un déficit de 2.4%, (sous la barre
des 3% exigé par les traités européens), il est jugé trop important au
regard du poids de la dette italienne (131% du PIB en 2017).
«Dans
cette affaire, les Français ont intérêt à défendre ceux qui défendent
la souveraineté populaire. L'identité national française est une
identité républicaine qui se confond avec l'idée de souveraineté
populaire. C'est la raison pour laquelle il faut évidemment prendre
parti pour le gouvernement italien contre la Commission européenne», a
lâché Jean-Luc Mélenchon. Toute en précisant: «Même si on désapprouve le
gouvernement italien, ce qui est notre cas, tout en désapprouvant la
Commission européenne».
«Evidemment nos adversaires ouvrent un
front dans le pire angle qui soit pour nous, parce qu'en allant
affronter le gouvernement de Monsieur Salvini, d'une certaine manière il
lui donne un label de respect de la souveraineté populaire qu'on aurait
préféré qu'il n'ait pas», a expliqué le parlementaire Français.
La Commission européenne rejette le budget de l’Italie pour 2019
Le
projet de budget italien pour 2019 a été refusé par la Commission
européenne. C'est une première en Europe. L’institution a demandé au
gouvernement de présenter un nouveau document dans les trois prochaines
semaines.
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La Commission européenne rejette le budget de l?Italie pour 2019 - Regarder sur Figaro Live
A
ses côtés, se tenait l'eurodéputé Emmanuel Maurel (ex-PS), qui vient de
le rallier pour les élections européennes à venir: «Pour la première
fois, la Commission s'affronte au budget voté par le Parlement d'un Etat
alors même qu'il est dans les clous des traités budgétaires (...) Dès
lors qu'il ne s'agit pas du respect des traités mais d'un profil
budgétaire, on voit bien que c'est une dépossession de la souveraineté
des peuples, quoiqu'on pense des choix qu'ils ont fait».
Olivier Faure dénonce «une rupture»
Des
prises de position qui irritent les socialistes. «C'est la première
fois que je vois la gauche de la gauche venir en soutien d'un budget qui
est porté par l'extrême droite, c'est quand même une rupture», a réagi
Olivier Faure, interrogé jeudi sur France inter. Toutefois, le député de
Seine-et-Marne a refusé de dire qui de la Commission européenne ou du
gouvernement italien avait raison: «Si vous dites à l'Italie de se
plier, vous faites le jeu de Salvini», a-t-il jugé. Ajoutant: «Pourquoi
voulez-vous me faire trancher? Vous me demandez d'être soit Salvini,
soit d'être pour une règle impérative. Il ne faut pas rentrer dans ce
schéma là».
Jean-Christophe Cambadélis, l'ancien premier
secrétaire du PS interrogé mercredi sur LCI a vertement critiqué
Jean-Luc Mélenchon: «Si ça continue comme ça, où sont les désaccords
avec Marine Le Pen? On ne peut pas laisser passer ça (...) C'est la
première fois qu'une organisation politique se réclamant peu ou prou de
la gauche soutient un gouvernement d'extrême droite. Là franchement je
ne sais pas où on va». «La dimension républicaine rappelée par Mélenchon
devrait le conduire à (dire) que ce n'est pas la même chose. On peut
combattre la position de Bruxelles sans adouber la position du
gouvernement italien. C'est un tournant majeur», a martelé l'ancien
député de Paris.
» VOIR AUSSI - Soutien de Mélenchon au gouvernement italien face à la Commission européenne: Faure parle de «rupture»
Soutien de Mélenchon aux Italiens face à la Commission européenne : Faure parle de « rupture »
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